Monthly Archives: August 2017

Google informera désormais les sites web de leurs publicités énervantes

« Pour aider ces sites à améliorer leur système de publicité, nous passons en revue les sites de façon quotidienne, et enregistrons des vidéos sur ces systèmes qui ne répondent pas aux critères d’exigence du Better Ads Standard. Si un site ne correspond pas à ces critères, le système Ad Experience Report leur enverra des visuels, et une série d’information de la Better Ads Standard, et comment ces problèmes impactent leur site. Dans les semaines qui viennent, nous allons nous occuper d’envoyer des notifications aux sites qui comportent ce genre de problèmes. » En gros, Google va aider les éditeurs de site internet à mieux gérer leur publicité. En revanche, pas de « punition » : ce sont les éditeurs et propriétaires des sites mis en question qui décideront si ces pubs resteront en place, ou non.

By |2017-08-10T06:02:03+00:00August 10th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Des chercheurs dotent un ordinateur de neurones artificiels

Nouvelle percée en intelligence artificielle. Après que des algorithmes ont battu l’homme au go et au poker, alors que des machines reconnaissent parfaitement des images, traduisent des textes, guident des voitures sans pilote, etc., une équipe ­internationale a exposé, dans Nature du 27 juillet, de nouveaux progrès. Avec un taux de succès de plus de 99,6 %, leur machine a reconnu les dix chiffres – de 0 à 9 – prononcés par dix voix différentes. Impressionnant ? Pas du tout au regard des progrès cités ci-dessus. La nouveauté est la manière dont ces chercheurs – de l’unité de recherche commune Thales-CNRS, de l’Institut national en science et technologie avancées (Japon) et de l’Institut national des standards et technologie (Etats-Unis) – y sont parvenus. Ils n’ont pas utilisé des ordinateurs classiques, à base de transistors et de logique binaire, mais un composant nanométrique imitant le comportement d’un neurone biologique. Une révolution comparable « à celle d’il y a soixante ans, lorsque les tubes à vide ont été remplacés par les transistors », selon les mots de Frank Hoppensteadt, de l’Institut Courant à New York, dans un article de ­Nature présentant le travail de ses collègues.

By |2017-08-10T05:59:54+00:00August 10th, 2017|Scoop.it|0 Comments

The Long, Hot Summer of Netflix’s Ever-Accelerating Expansion

July 6: Netflix announces that writer/director Ava DuVernay will write and direct a five-episode "dramatic limited series" based on the case of The Central Park Five, to air in 2019. July 11: A live-action adaptation of Dark Horse Comics' superhero-family series The Umbrella Academy—created by My Chemical Romance frontman Gerard Way—is announced. July 13: Spain's second original series, "an effervescent, uninhibited, and sensual drama" called Élite, is announced for 2019 release. July 25: Simpsons creator Matt Groening receives a 20-episode order for two seasons of Disenchantment, an adult animated fantasy-comedy. ("Viewers will be whisked away to the crumbling medieval kingdom of Dreamland, where they will follow the misadventures of hard-drinking young princess Bean, her feisty elf companion Elfo, and her personal demon Luci. Along the way, the oddball trio will encounter ogres, sprites, harpies, imps, trolls, walruses, and lots of human fools.") July 31: Netflix teams with Hasbro for animated kids' series Stretch Armstrong and the Flex Fighters, based on the classic Hasbro toy. August 2: Netflix announces a slate of new anime properties, including new series from the studios that made Ghost in the Shell and Fullmetal Alchemist. August 2: At a "Vive Netflix" event in Mexico City, Netflix announces numerous projects: Diablero, a new original series filming in Mexico; a slate of 21 standup specials from comics in Latin America; and a total of 50 "Latin American original productions" releasing through 2018. August 3: The first Chinese-language Netflix original series is announced: Bardo (擺渡身), an eight episode Taiwanese thriller "with a karmic dimension." August 7: Netflix announces its first acquisition: Millarworld, Mark Millar's comic book publishing company. "Together, Netflix and Millar will bring Millarworld’s portfolio of critically and fan-acclaimed character franchises to life through films, series and kids’ shows available exclusively to Netflix members globally. Millarworld will also continue to create and publish new stories and character franchises under the Netflix label." (The deal doesn't include Millarworld properties Kick-Ass, Wanted, and Kingsman, all of which have already been adapted.) August 8: David Letterman's interview series is announced.

By |2017-08-10T05:57:11+00:00August 10th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Les touristes de retour en France au niveau d’avant la vague d’attentats

La tendance est fragile, car il suffirait d'un nouvel attentat sur le sol français pour que tout s'effondre, mais elle se confirme bel et bien : les touristes étrangers sont de retour en France. C'est le constat que dresse l'Institut national de la statistique, avec ses chiffres publiés mardi. Selon l'Insee, au deuxième trimestre 2017, le nombre de nuitées dans l'hôtellerie s'est établi à 56,6 millions, en augmentation pour le troisième trimestre d'affilée, avec une hausse qui s'accélère, à 6,3 % en glissement annuel, contre 2,4 % au premier trimestre. Celle-ci « est tirée par le retour de la clientèle étrangère (+10,0 %) », indique l'Insee, en particulier dans l'agglomération parisienne, où les nuitées de clients étrangers se sont accrues très fortement (+16,5 %), pour retrouver un niveau comparable à celui de 2015, avant les attentats de Paris en novembre 2015 et de Nice en juillet 2016. Les hôtels du littoral ont également connu un début de saison excellent (+7,0 %), note l'Institut. Globalement, la fréquentation touristique dans les hébergements collectifs touristiques (hôtels, résidences de tourisme, villages vacances, campings), exprimée en nombre de nuitées, a augmenté très fortement (+10,2 %) au deuxième trimestre, par rapport à la même période de 2016. Le nombre de nuitées, à 107,1 millions, dépasse ainsi de plus de 4 % celui du deuxième trimestre 2015. Et cette reprise concerne tant la clientèle étrangère, qui assure près d'un tiers des nuitées (32,1 %), que les Français. Cet afflux de touristes se traduit par une hausse de 2,4 points sur un an du taux d'occupation des hôtels, qui s'est établi à 63,5 %. Mais, parallèlement à cette progression de la fréquentation, le prix des chambres a baissé, observent les professionnels de l'hôtellerie. Il en ressort donc une croissance du chiffre d'affaires moindre que celle du nombre de nuitées.

By |2017-08-09T12:33:28+00:00August 9th, 2017|Scoop.it|0 Comments

La mue d’Air France passe massivement par le numérique

La gestion des données et l’analytique ne sont pas des nouveautés pour Air France. Les compagnies aériennes sont expertes en remplissage et en tarification différenciée (Yield Management), qui repose depuis longtemps sur du prédictif. Idem du côté du planning - qui organise la masse considérable de vols en fonction des disponibilités des avions et des 13.000 personnels navigants commerciaux et des 4.400 pilotes. Mais la pression des low-costs et l’arrivée de concurrents aux moyens financiers quasi illimités a obligé les compagnies traditionnelles à se réinventer. Leurs offres et leurs relations clients ont dû être remises à plat pour leur ajouter de la valeur, tandis que leurs procédures internes ont dû être rationnalisées et optimisées. Face à ces défis, l'extension du numérique a apporté un socle pour une solution. Air France ne fait pas exception. Un signe ne trompe d’ailleurs pas, c’est le PDG du groupe Air France-KLM - Jean-Marc Janaillac lui-même - qui est venu échanger sur la stratégie numérique de l’entreprise au salon VivaTech. Une des initiatives mise en avant pour « préparer le voyage de demain » passe par la réalité virtuelle pour « embarquer les visiteurs à bord en leur offrant une mise en scène des services et du confort en cabine », dixit un porte parole de la compagnie. Une cabine de démonstration était présente au salon. Plus concrètement, les agences de voyages Air France seront bientôt équipées de casques de réalité virtuelle. « L’innovation au service du client fait partie des gènes d’Air France », rappelle Jean-Marc Janaillac en ouverture de son intervention. « Nous avons déjà fait beaucoup de pas dans ce sens ». T3 Fundraiser : Air France incube ses startups Il entend visiblement en faire plus. Pour y arriver, le groupe s’appuie sur son IT interne (« des experts passionnés ») mais il joue aussi désormais la carte de la collaboration externe. Les exemples sont nombreux avec sa Start Tech Factory (un accélérateur corporate), avec une participation à plusieurs initiatives comme Welcome City Lab (un incubateur dédié au tourisme) ou le soutien à My African Startup, ou encore avec des hackatons et des « challenges ». Cette « ouverture » passe aussi par un travail avec une centaine de start-ups par an, ce qui explique la présence de la compagnie à VivaTech, où elle organisait au passage une compétition d’innovation (cf. encadré en fin d'article). Jean-Marc Janaillac en a profité pour annoncer son nouvel accélérateur de levée de fonds, T3 Fundraiser (prononcez « T Cube »). Le but est de mettre les créateurs d’entreprises en contact avec des financeurs. Mais l’idée est (surtout) de trouver des solutions innovantes en rapport avec le transport puis de les concrétiser en mettant les entrepreneurs au contact des responsables métiers d’Air France. « Nous voulons développer les coopérations fructueuses pour le client », confirme Jean-Marc Janaillac. Chatbot et Intelligence Artificielle en approche De fait, le PDG d'Air France donne raison à Alexandre Dayon, Chief Product Officer de Salesforce (avec qui la compagnie travaille). Le responsable français des produits du numéro un mondial du CRM Cloud avançait, lors du Salesforce World Tour, que « toutes les entreprises ont fait ce basculement […] le client est devenu leur ressource la plus chère ». « Notre relation est de plus en plus directe et personnalisée avec le client », explique pour sa part le PDG d’Air France – KLM. « Nous n’étions pas capables de le faire par le passé. Les équipages et les équipes au sol changent. Le numérique permet aujourd’hui de mieux répondre à ces besoins ». Dans les différentes « jeunes pousses » présentées à VivaTech par Gauthier Le Masne (Chief Customer Data Officer d'Air France), deux ont spécifiquement développé des chatbots pour automatiser la relation avec les clients d'Air France. Une des tendances phares de l'application de l'AI en milieu B2B et B2C. La première, Botline avait gagné un hackathon en novembre et travaille depuis en collaboration avec la compagnie pour créer un bot (sur Facebook Messenger, en full web ou via SMS) qui permette aux voyageurs qui subissent un incident de voyage (retard ou annulation de vol) d’obtenir les informations et de s’organiser sans passer par un guichet – souvent pris d’assaut dans ces situations. Le bot (aujourd’hui encore en PoC) permettra de réserver une chambre d’hôtel (prise en charge par Air France) en cas de report du vol au lendemain ou d’accéder à un opérateur pour les questions les plus complexes. Les développeurs de Chatbot Factory eux, planchent sur un autre bot qui répond aux questions d'avant vols sur les bagages : poids autorisé, dimension et poids acceptés gratuitement, prix pour une planche à voile en soute, etc. Une manière de simplifier l'accès à l'information. 60% des échanges avec les clients désormais sur mobile Toujours dans cette optique de relation directe et optimisée, la documentation d'un vol KLM est aujourd'hui disponible sur la messagerie instantanée Facebook Messenger. Elle l’est également en Chine (sur WeChat). Un bot Air France devrait suivre cet été pour son marché domestique. Ce projet est tout sauf anecdotique. « Aujourd’hui, 60% des échanges avec les clients se font via mobile », constate la responsable du Marketing et du Numérique d’Air France. Effet générationnel, certes (comme le faisait remarquer Larry Ellison, fondateur et CTO d'Oracle). Mais pas que. Le bénéfice client d'un bot est l’instantanéité des réponses (primordiale dans l’aérien) et la simplification des questions (face à des procédures pas toujours intuitives). Dans la continuité des bots mobiles, le questionnement vocal de l’assistant d’Amazon (Alexa) sur le statut des vols ou sur les informations personnelles sera effective d'ici la fin de l’année. Selon nos informations, confirmées cette semaine, Air France – KLM travaille également avec Salesforce sur un autre bot à destination des clients (pour le choix et la réservation des vols). Toujours dans l’AI et toujours avec Salesforce, le groupe utilise également Einstein dans son CRM « pour améliorer la qualification des prospects et prendre de meilleures décisions afin de générer d’avantage de revenus », confirme Henri de Peyrelongue, vice-président de la planification commerciale chez Air France-KLM. Des outils internes numérisés pour de nouveaux services La transformation numérique entamée vise aussi à renforcer le service pendant le voyage lui-même. Air France a par exemple lancé un programme baptisé « Kids Solo ». Comme son nom l'indique, ce programme permet à des parents de faire voyager seuls leurs enfants de plus de quatre ans (les UM pour « Unaccompanied Minors »). « Air France est réputé pour le soin apporté aux UMs. Un service que toutes les compagnies ne proposent pas », se félicite Jean-Marc Janaillac en soulignant une offre différenciante et en taclant les low-costs. Le PDG annonce que Air France va aller plus loin dans ce service. « Tout le déplacement sera digitalisé », lance-t-il. « Cela permettra aux parents de savoir exactement où sont leurs enfants (NDR : à quelle étape du voyage, embarquement, à bord, etc.) et de vérifier en temps réel le soin qu’on leur apporte pour être pleinement rassurés ». Pour faire ce suivi, il a fallu numériser les outils des équipes au sol et à bord. Depuis cette année, tous les personnels en relation avec les clients sont équipés de mini iPad et d’applications métiers dédiées (lire par ailleurs : Southwest Airlines entre dans l’ère de la mobilité pour ses personnels navigants). Au-delà du seul « Kids Solo », ces applications et ces tablettes seront encore plus « disruptives » quand elles pourront se connecter à Internet en cabine. Ce devrait être le cas d’ici 2020, date à laquelle la totalité de la flotte long-courrier d’Air France sera équipée du Wi-Fi à bord (via un partenariat avec Gogo). Au sol, la maintenance va elle aussi suivre cette voie de « l'appification » et de la mobilité. Sur la terre ou dans les airs, cette transformation numérique interne est le deuxième grand champ de la stratégie de modernisation de l'entreprise. "Rien n’est possible si les salariés ne partagent pas l'ambition de la transformation digitale" Adeline Challon-Kemoun, directrice générale adjointe Marketing, Digital et Communication « C’est ce que nous appelons la symétrie des intentions », explique Amel Hammouda, Chief Transformation Officer. « On a déployé énormément de services digitaux pour nos clients. On essaye de faire la même chose pour nos collaborateurs […]. Il y aussi un enjeu de transformation culturelle. Le numérique c’est aussi plus de collaboration […] on a envie de favoriser la prise de risques pour faire émerger de nouvelles idées et de nouveaux services de la part de nos employés ». Dans cette optique participative très « millennials » (ou Génération Y), Air France a refondu une partie de son Intranet avec Yammer (Microsoft). Il y propose une « boite à idées » pour remonter les propositions et les remarques de ses employés pour améliorer ses processus et ses produits. Big Data et Hadoop pour une vision client 360° du plus gros eCommerçant français à l’international « Le digital est au cœur de notre action », confirme Adeline Challon-Kemoun, directrice générale adjointe « Marketing, Digital et Communication ». Et même quatre fois au coeur puisque la vice-président évoque quatre axes de transformation en cours pour le numérique au sein de la compagnie. Le premier concerne le commercial et la vente. « Nous sommes le premier e-Commerçant à l’international devant Ventes-Privées. Nous opérons une centaine de sites dans le monde et nous vendons un billet toutes les 5 secondes », replace-t-elle. Avec l’analytique Big Data appliqué au marketing digital, Air France veut faire passer son chiffre d’affaires « numérique » de 5 milliards d’euros en 2016 à 8 milliards en 2020 (+ 60%). Le deuxième axe, toujours commercial, concerne la personnalisation du service - ce que le groupe nomme « Customer Intimate » (littéralement : devenir intime avec le client). « Nous avons fait un gros effort sur la collecte et le traitement de la donnée », rappelle Adeline Challon-Kemoun. Concrètement, Air France s’est doté fin 2015 d’un Chief Data Costumer Officer qui a eu la responsabilité de mettre en place un Datalake Hadoop pour centraliser, avec les outils d'intégration de Talend, la totalité des données de ses 93 millions de clients (de leurs historiques d’achats aux retours sur les vols, en passant par les réseaux sociaux ou la consommation des « miles » des presque 30 millions de membres du programme de fidélité Flying Blue). L'objectif est d’avoir réellement « une vision 360° de nos clients » - les réguliers comme les occasionnels (qui représentent les deux tiers de la clientèle d’Air France) et de générer au bout du compte « 200 millions € de CA additionnels » grâce à cette personnalisation. Agilité, Co-construction, APIs et OpenData pour l’écosystème développeurs Troisième levier, le fameux Design Thinking. « Toute innovation se fait en co-construction, avec des hackathons, des clients ou des start-ups », avance la vice-présidente. Cette démarche de co-design - chère à des acteurs comme SAP ou GE Digital sur des gros projets ERP ou d'IoT industriel - a permis chez Air France de mettre au point « de manière extrêmement rapide » des packages « vols + hôtel » et de diversifier ainsi les revenus de la compagnie. Enfin (quatrième levier), depuis deux ans, Air France s’est converti aux APIs et depuis un an à l’Open Data. Un levier qui recoupe le précédent. Sont aujourd’hui disponibles pour les créateurs d'applications et de services les informations précises sur les offres tarifaires, la liste des parcours ou les conditions de voyage d'Air France (les horaires en temps réels suivront). Pour l'entreprise, il s'agit d’entretenir un écosystème développeur (comme le fait British Airways ou encore Transavia) et de voir apparaître des services innovants auquel la DSI ou le marketing n’auraient peut-être pas pensé. Le facteur humain Tous ces changements numériques font évoluer, doucement mais sûrement, le navire Air France. Mais pour véritablement réussir, la compagnie et le groupe doivent également continuer à travailler sur les habitudes, dans une démarche d'accompagnement du changement. « Aucun de ces projets n’auraient pu être menés sans le soutien de toutes les équipes du groupe – IT, mais aussi les équipes « aéro » et les RH pour le digital interne », reconnaît Adeline Challon-Kemoun. « Ces équipes font aujourd’hui des développements en mode agile sur des plateaux partagés », se félicite-t-elle. La vice-présidente insiste sur ce point. Car il doit encore être travaillé. « Rien n’est possible si les salariés ne partagent pas cette grande ambition de la transformation digitale ». D’où un intérêt affiché pour « le management interactif et l’expérience salarié » lors du Challenge lancé par Air France à l’occasion de VivaTech. Car l'accompagnement au changement, aussi, passe aujourd'hui par le numérique. « En plus d’une nouvelle palette d’outils internes, nous proposons à nos collaborateurs des formations et des accompagnements », confirme la CTO, Amel Hammouda qui, optimiste, voit plus loin. « Notre enjeu c’est vraiment de pouvoir transformer culturellement l’entreprise pour libérer encore plus l’innovation ». Le Challenge Air France à VivaTech A l'occasion du salon VivaTech, Air France a lancé un challenge de start-ups autour de 4 thèmes représentatifs de sa transformation digitale. Sur les 320 projets candidats, le Lab d'Air France en a récompensé cinq. Voici le palmarès par catégorie : 1 - « Comment appréhender et mieux anticiper les besoins des clients à l'aide des données, du Big Data et du Machine Learning ? » : Citron (France), un chatbot pour trouver les meilleurs lieux où sortir, et Vchain (UK), une solution de vérification des données clients de façon anonyme. 2 - « Comment se servir de l'IA pour améliorer le voyage des clients ? » : Trip Uniq (Espagne), application pour entrer en contact avec une personne locale et avoir des conseils sur sa destination. 3 - « Comment la Réalité Virtuelle peut-elle améliorer l'expérience du client ? » : Plattar (Australie) avec une solution de réalité augmentée pour les voyageurs. 4 - « Comment améliorer l'expérience des employés du groupe autour du monde ? » : Duuoo (Danemark), application qui permet aux managers d'accompagner les membres de leur équipe avec un système de réunions en tête à tête. Les sélectionnés ont gagné un « Proof of Concept » avec Air France. Dernière mise à jour de cet article : juin 2017

By |2017-08-09T12:21:39+00:00August 9th, 2017|Scoop.it|0 Comments

HomePod Firmware Possibly Reveals Apple Watch With LTE and 4K Apple TV With HDR10 and Dolby Vision

A reference to a 4K HDR display mode in the HomePod's firmware is lending credence to rumors that Apple is testing a fifth-generation Apple TV capable of streaming 4K resolution video

By |2017-08-09T08:05:10+00:00August 9th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Afrique : la nouvelle frontière digitale ?

Personnellement je considère que pour les grands groupes internationaux, ne pas s'intéresser à ce continent aujourd'hui pourrait s'apparenter demain à une erreur stratégique monumentale", avertissait Ammin Youssouf, il y a encore tout juste trois ans. Entre-temps, l'ancien directeur de Big Youth, grosse agence de communication française, qui a longtemps dirigé les publicités digitales pour le géant Ferrari, est passé de la parole aux actes. Avec Haweya Mohamed, Franco-Somalienne, experte en communication et marketing, passée par des grands groupes français, il ne veut rien moins que faire décoller les écosystèmes tech africains pour que soient créés par des Africains des produits à rayonnement mondial. Pour y parvenir, ils ont donc lancé Afrobytes, une conférence annuelle bien sûr, mais surtout un Fair Digital Lab, un incubateur qui veut faire le pont entre la tech africaine et les investisseurs européens. Et ils y croient ferme : "Préparez-vous car dans les prochaines années, les investisseurs vont affluer en Afrique, là où s'invente le digital..." ... avec de passionnantes histoires digitales L'Afrique, nouvelle frontière avec de nouvelles histoires qui prennent une tout autre saveur avec des Africains qui les partagent avec le monde grâce aux réseaux sociaux ? Aux premières loges, des tech hubs comme CTIC Dakar, Jokkolabs, ou des start-uppers influenceurs comme Édith Brou, Rebecca Enonchong Ihub ou dans la diaspora, Samir Abdelkrim... et maintenant Afrobytes ! L'impact de leurs actions se mesure déjà dans les médias occidentaux où on parle plus aisément du saut numérique de l'Afrique à travers les applications, les implications de la jeunesse du Continent. Pour Ammin Youssouf, il est important de "construire des stratégies technologiques réussies en Afrique et cela commence par une compréhension approfondie de ce qui est précieux pour les personnes dans leur contexte social et culturel". Car le terrain n'attend pas. "L'accès de plus en plus facile aux smartphones (l'Afrique en est à la deuxième révolution avec la mise en circulation des smartphones low cost) et le développement rapide de la couverture du haut débit mobile combiné à une population très jeune et technophile sont non seulement des facteurs majeurs de développement d'un marché significatif de consommation numérique mais également une véritable opportunité de développement de l'industrie numérique sur le continent", indique Karim Koundi, Associé responsable TMT pour Deloitte Afrique Francophone. Et Ammin Youssouf de compléter : "L'Asie a fait sa révolution agricole avec une pelle et une pioche, l'Afrique va faire sa révolution agricole avec des mobiles."

By |2017-08-08T09:33:49+00:00August 8th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Reconnaissance des visages : le code cérébral déchiffré

Des chercheurs américains viennent de « cracker » le code de la reconnaissance des visages. Comment ? En s’introduisant dans les réseaux de neurones du cerveau de macaques, tels des pirates informatiques. Premier constat : non, il n’existe pas de « cellules du visage de la grand-mère ». Autrement dit, aucun neurone n’est dévolu à la ­reconnaissance d’une personne donnée – votre grand-mère, par exemple. A vrai dire, beaucoup jugeaient l’hypothèse peu crédible. « Vous pouvez reconnaître potentiellement 7,5 milliards de visages ; or il n’existe pas 7,5 milliards de neurones dans les régions du cerveau identifiant les visages ! », relève la professeure Doris Tsao, biologiste à Caltech (California Institute of Technology). Son étude révèle l’extraordinaire élégance des processus en jeu. « Nous avons découvert que le code neuronal de la reconnaissance des visages est très simple, souligne Doris Tsao. Nous sommes maintenant capables de ­reconstruire le visage que regarde un singe à partir de l’activité électrique de seulement 205 neurones, dans son cerveau. »

By |2017-08-08T09:33:36+00:00August 8th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Walmart teste une borne automatique pour retirer ses commandes 24 heures sur 24

Oklahoma City dans les Walmart Super Center de N Council et W Britton Roads, on peut trouver ces installations assez imposantes. Comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous, une fois la commande passée par le site ou l’application mobile, le client reçoit l’adresse de la borne, il peut alors aller récupérer sa commande quand bon lui semble. Selon Scott Markley, porte-parole de Walmart, tout, ou presque, peut être commandé via ce biais. À noter, il y a un montant minimum de 30$ en place. Le test se poursuivra quelques mois durant et le succès de ces bornes conditionnera un déploiement dans d’autres Walmart. Pas mal, non ? Qu’en pensez-vous ?

By |2017-08-08T09:29:21+00:00August 8th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Acheter avec son téléphone portable, un marché à bientôt 6 300 milliards de dollars

Le marché des applications mobiles pèsera-t-il bientôt aussi lourd que la troisième économie mondiale ? C’est en tout cas la conviction de la société App Annie, qui estime à 6 300 milliards de dollars (5 340 milliards d’euros) la valeur de secteur en 2021, soit cinq fois plus qu’en 2016, selon une étude publiée mardi 27 juin. Pour arriver à ces conclusions, la société s’appuie sur un volume important de données. Créée par le Français Bertrand Schmitt, App Annie compte plus de 800 000 éditeurs d’applications utilisant ses outils statistiques, dont 800 clients parmi lesquels Spotify, Barclays, Air France ou LVMH. Une base de données précieuse, qu’elle croise avec les informations émanant des magasins d’applications Android et Apple. Mouvement marqué en Chine Dans son rapport, App Annie détaille les ressorts de ce boom. Le premier réside dans l’évolution du parc des smartphones et des tablettes à l’échelle mondiale, qui va continuer à croître, pour passer de 3,4 milliards d’unités, en 2017, à 6,3 milliards, en 2021. L’évolution des usages va aussi peser lourd dans la balance, avec une part grandissante du commerce mobile (m-commerce), dont le chiffre d’affaires pourrait bondir de 1 200 milliards de dollars de dépenses à plus de 6 000 milliards de revenus, sur cette période (dont plus de la moitié en Asie). App Annie souligne que ce mouvement est déjà particulièrement marqué en Chine, où, en valeur, les ventes d’Alibaba passent à 79 % par le mobile. Parmi les raisons qui peuvent expliquer ces différences d’usage, Bertrand Schmitt note que si le PC a tenu une place centrale chez les consommateurs européens et américains, ce n’est pas tant le cas en Asie, où nombreux sont ceux qui ont « zappé la case PC » pour passer directement au mobile. L’essor de l’application de messagerie WeChat l’illustre. Ses 760 millions d’utilisateurs peuvent régler très rapidement un achat en ligne, mais aussi payer dans un magasin ou un restaurant.

By |2017-08-08T09:15:51+00:00August 8th, 2017|Scoop.it|0 Comments