Monthly Archives: February 2018

Apple va lancer le plus grand iPhone jamais produit

Le géant américain devrait commercialiser au total trois nouveaux smartphones en 2018, selon Bloomberg. La course au gigantisme reprend entre Samsung et Apple. Selon Bloomberg, le groupe américain, qui capte la moitié du marché mondial du smartphone, se préparerait à commercialiser trois nouveaux appareils en 2018, parmi lesquels le plus grand iPhone jamais produit. L'iPhone géant d'Apple, qui a pour nom de code en interne D33, devrait avoir un écran faisant près de 6,5 pouces (16,5 centimètres). Concernant la taille de la coque, celle-ci devrait être équivalente à celle de l'actuel iPhone 8 Plus, mais son écran plus large d'un pouce, occupant toute la surface. Les deux autres modèles devraient être une version actualisée de l'actuel iPhone X et un modèle moins cher proposant les principales fonctions de l'iPhone. Apple devrait dévoiler ces nouveaux modèles cet automne, indique Bloomberg en notant que ces projets sont encore susceptibles d'évoluer.

By |2018-02-27T10:12:20+00:00February 27th, 2018|Scoop.it|0 Comments

L’Oreal: how the company is engaging its consumer base

A new report from Positive Luxury suggests that beauty brands and retailers are seeing a rising demand for engaging both employees and consumers in new and innovative ways. Positive Luxury, which describes itself as a platform that ‘connects luxury brands with consumers that care’, released the report entitled ‘The World is Ruled by Emotions: Breaking Tradition the Millennial Way’ via its site, available here​. L’Oréal is the leading beauty company on a global scale, and its Luxe division contributes strongly to its operations. This article is part of a series of interviews with retailers and brands featured in the Positive Luxury report. Numerous studies have shown that consumers are willing to purchase more sustainable products and services. However, there is a considerable gap between the intentions of consumers and their actual purchase behaviours. We believe that there are several explanations for this disconnect. First, consumers had the impression that they have to make tradeoffs with respect to the price and/or quality of “green” products and services. Consumers should not have to pay more or make concessions on the functional performance on products just because they are sustainable. It is thus quintessential for companies to transform the way they operate, to offer sustainable products and services at the same price and quality level. L’Oréal developed SPOT (Sustainable Product Optimization Tool) - an innovative eco conception tool that assesses the environmental and social footprint of all our new products throughout the lifecycle. This tool has led to a complete paradigm shift, improving the sustainability of products at every stage of development, from the moment a product is conceived until the end of its life. Second, we believe that consumers lack the right information to gauge the degree to which a product is or is not sustainable. In order to help bridge this gap, L’Oréal is working to develop a consumer-facing version of SPOT that will explain the environmental and social footprint of the totality of the group’s products before 2020.

By |2018-02-27T10:08:32+00:00February 27th, 2018|Scoop.it|0 Comments

UP Magazine – Marché numérique unique : le défi européen de l’innovation.

La création d’un marché numérique unique est indispensable. Le défi pour l’Europe est de créer un terreau fertile afin que des entreprises européennes, aujourd’hui limitées à un marché national (par exemple les 66 millions d’habitants français), puissent agrandir leur terrain de jeu et ainsi concurrencer les géants technologiques chinois et américains. Car les chiffres sont inquiétants. Si aux Etats-Unis on compte près de 106 licornes (une start-up dont la capitalisation boursière est valorisée à plus d’1 milliard d’euros), il n’y en aurait que 17 en Europe. Il s’agit là de bien plus qu’un simple combat de coqs : au vue des transformations que la technologie entraîne avec elle, sur le long terme la souveraineté de la région est en jeu. Aujourd’hui les géants américains dominent le marché lorsqu’il s’agit de créer et d’entraîner des systèmes algorithmiques “intelligents” à partir de données d’utilisateurs (de Google, Apple, Facebook, Uber, etc.). Alors que les décisions deviennent de plus en plus automatisées et assistées grâce à leur utilisation, la question de l’accessibilité de l’information se pose. Si un pays n’est plus en mesure d’ouvrir lui-même la “boîte noire” de ces logiciels afin de mieux comprendre ses décisions, il est dépendant de la volonté d’un fournisseur étranger, lequel accroît de ce fait son pouvoir de négociation. Ce sujet est particulièrement sensible lorsqu’il s’agit de données de sécurité nationale : si l’État français ne peut développer sur son territoire les technologies capables d’assurer sa sûreté dans un monde digital, doit-il recourir aux outils américains ou chinois ? Un pays peut-il être indépendant lorsqu’il s’en remet à une organisation étrangère pour miner de telles informations ? De plus, la dépendance est également économique. Aujourd’hui, on peut raisonnablement estimer que la balance des échanges en matière de services numériques est déficitaire de plusieurs milliards d’Euros. De l’autre côté, les exportations numériques françaises ne représentent pour l’instant que des montants faibles, si ce n’est marginaux. Ce phénomène ne va pas en s’améliorant : demain, avec l’avènement de services considérés comme vitaux, tels que les smart grids (des réseaux d’énergie utilisant des calculs algorithmiques pour réguler la quantité d’énergie produite et distribuée en fonction de la consommation d’une zone géographique) ou les logiciels bancaires (permettant l’automatisation des transactions), ce déséquilibre pourrait atteindre une part significative du PIB national.

By |2018-02-26T22:43:10+00:00February 26th, 2018|Scoop.it|0 Comments

The ICO preps campaign to educate consumers on data and GDPR

The Information Commissioners’ Officer (ICO) is preparing to launch a consumer education campaign that aims to increase the public’s “trust and confidence” in how businesses and organisations use their data. Launching in April ahead of the new General Data Protection Regulations (GDPR) coming into effect, the campaign will run under the banner ‘Your Data Matters’....

By |2018-02-26T22:16:17+00:00February 26th, 2018|Scoop.it|0 Comments

For Most Online Shoppers, Home Delivery Is Still the Default Option

"As creatures of habit, home delivery is the default option for most online shoppers, but across all age groups 40% of shoppers are still interacting with brick-and-mortar stores—either picking up items ordered online or shipping to the store," said Scott Macon, president of Bizrate Insights. "As retailers adopt an omnichannel perspective, customers have reacted by engaging with in-store returns and free ship-to-store options. "This is a smart way for retailers to continue to drive traffic to brick-and-mortar stores, where shoppers will likely purchase additional items during their visit," he added. While very few total respondents (1.4%) said they get their digital purchases delivered to a locker—possibly because they have to go somewhere else to pick up their package as opposed to just getting it shipped to their home or job—millennials (4.0%) were more likely to say they use this method than older respondents. Less than 1% of respondents ages 40 to 49 and those 60 and older said they use it. But that shouldn't be very surprising. Millennials, who grew up with technology and Amazon as a given, are more likely to try and trust alternative delivery methods. And their on-the-go lives lead to higher adoption of curbside pickup, which is a relatively new concept for older shoppers.

By |2018-02-26T21:55:29+00:00February 26th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Le spectre de la Standard Oil plane sur la Silicon Valley

« Dans une entreprise aussi grande que la nôtre, il y a forcément des choses qui se produisent sans notre approbation. Nous les corrigeons dès que nous en avons connaissance. » Mark Zuckerberg ? Non, John D. Rockefeller, le fondateur de la Standard Oil, l'empire industriel le plus puissant jamais créé aux Etats-Unis. A la tête de 90 % du raffinage, du transport, du commerce et de la distribution de pétrole, celle-ci était admirée pour sa technologie innovante et sa stratégie commerciale, et redoutée pour sa capacité à racheter ses concurrents, à faire plier ses fournisseurs et à conserver ses parts de marché en écrasant les prix. J ohn D. Rockefeller a toujours nié avoir enfanté un monopole - il était convaincu d'agir pour le bien de l'humanité puisqu'il éclairait le monde avec son pétrole bon marché. Jusqu'à ce qu'en 1911, l'administration de Teddy Roosevelt ne fasse éclater « la pieuvre », en s'appuyant sur le fameux Sherman Antitrust Act. Un texte récemment exhumé par certains élus à Washington, pour qui, plus de cent ans après la Standard Oil, le spectre du monstre tentaculaire est de retour. « Google, Facebook et Amazon sont devenus de supermonopoles, alertait récemment l'investisseur Roger McNamee, actionnaire de la première heure de Facebook. Ils ont atteint une puissance proche de celle de la Standard Oil il y a plus de cent ans - à ceci près qu'ils ont une empreinte mondiale et non plus nationale. » Difficile de nier la domination exercée par ces Gafa, FANGS ou Frightful Five, entre autres surnoms. Google régit 89 % du marché des moteurs de recherche, 95 % des jeunes adultes américains utilisent Facebook, et 45 % des ventes en ligne aux Etats-Unis ont lieu via Amazon. Google et Facebook absorbent 63 % des publicités sur Internet tandis que Google et Apple équipent 99 % des téléphones portables. Ils figurent parmi les plus grosses capitalisations boursières de la planète : Google, Facebook, Amazon et Apple pèsent, à eux quatre, près de 3.000 milliards de dollars.

By |2018-02-26T18:47:32+00:00February 26th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Le Google Home Mini espionnait h24 son utilisateur

Artem Russakovskii a découvert un peu par hasard le souci mais pour Google, la chose ne pouvait pas tourner plus mal : que ce soit un journaliste en train de passer en revue la dernière enceinte connectée de Google qui découvre une telle faille dans le système n'est pas une bonne chose. L'article a en effet rapidement fait le buzz. En fait, il semblerait que le logiciel du Google Home Mini présentait un bug au niveau du bouton d'activation. En plus de la phrase-clé, il est possible d'activer l'enceinte en restant appuyé sur le dessus de cette dernière. Or, cette activation se lançait de manière aléatoire, à tout moment, ce qui impliquait l'enregistrement des bruits autour. Artem Russakovskii a même posté une vidéo sur Youtube qui montre que l'enceinte s'active sans son intervention (on voit les lumières s'allumer mais elle n'émet aucun son). Google réagit au quart de tour et déploie un correctif Contactée, l'entreprise américaine n'a pu faire autre chose que constater le problème. Consciente qu'une activation aléatoire contrevient au respect de la vie privée des utilisateurs, Google a mis sur le coup tous ses ingénieurs, qui ont créé un correctif en un temps record : Artem Russakovskii a envoyé un mail le vendredi 6 octobre 2017 et le soir même, une équipe de Google a récupéré l'appareil pour l'analyser. Le 10 octobre 2017, Google a identifié le problème et déployé un correctif qui élimine le bug. Pour ce faire, Google a désactivé temporairement la fonction permettant d'activer l'enceinte par le toucher, ne laissant active que la fonction d'activation par phrase-clé. Google a précisé à Artem Russakovskii que le problème a été identifié sur un nombre limité d'enceintes qui subissaient des « activations fantôme ». Mais toute cette histoire ne va pas rassurer celles et ceux qui s'inquiètent pour leur vie privée.

By |2018-02-24T11:50:36+00:00February 24th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Omnichannel Investments Paying Off

Omnichannel Investments Paying Off Shoppers that buy online and offline spend more Omnichannel has been a buzzword for so long that you'd be forgiven for being sick of it. But retailers' attempts at better integrating online and in-store are seeing results. According to the US Department of Commerce, US ecommerce sales totaled $453.5 billion in 2017, a 16.0% increase year over year, making up 8.9% of total retail sales. This proportion grew from 8.0% in 2016. Similarly, eMarketer estimates US retail ecommerce sales reached $454.9 billion last year, up 16.3% from 2016. By comparison, eMarketer estimates total US retail sales climbed 4.4% in 2017. Online sales growth has outpaced total retail sales growth for some time, but the continued increase isn’t attributed solely to swelling online buyer penetration rates in the US or pure play online retailers selling more. Retailer investment in omnichannel initiatives is also responsible for ecommerce sales growth. Multichannel retailers are capturing more online sales through flexible delivery options like buy online, pick up in-store; the addition of lower-priced goods to reach a minimum shipping threshold; automatic replenishment; and expanding categories sold online as traditional supermarkets have done with groceries. US omnichannel customers—those buying in-store and online—make up only 7% of all customers, according to Criteo data from November 2017. Yet this small segment is responsible for 27% of all retail sales. By comparison, 49% are offline-only buyers and generate 49% of sales, while 44% are online-only buyers and contribute to the smallest share of sales (24%). Capturing digital and in-store data is key to understanding these potentially profitable customers. "Omnichannel shoppers represent a significant opportunity for brands, as they are the customers that tend to spend more compared to offline-only or online-only customers," said Jaysen Gillespie, vice president, head of analytics and insights at Criteo. "Retailers that are successful in combining offline and online data are able to apply more than four times as much sales data to improve marketing efforts, contributing to the higher lifetime value of the omnichannel customer." According to a November 2017 survey of US internet users by scheduling platform BookingBug, gifts (60%) and clothing (44%) are the two categories with the highest percentage of omnichannel shoppers. Roughly one-third of those who buy home improvement products, household goods and health and beauty items shop in-store and online. Furniture retailers have the furthest to go to capture this valuable customer: Nearly three-fourths of respondents who are in the market for items like sofas, dining tables or dressers shop only or mainly in a physical store. Retailers should consider the reasons why shoppers choose which channel. BookingBug also found that online was preferred for customer reviews (70%) and saving time (69%) whereas getting the product quickly (79%) and getting questions answered (51%) were considered in-store strengths. Online rules for convenience and stores excel at tactile experiences and the need for immediacy. Preferences on both ends of the spectrum allude to a desire for more information, whether seeing if a purchase met the needs of shoppers like themselves or receiving advice from a sales associate.

By |2018-02-24T11:37:02+00:00February 24th, 2018|Scoop.it|0 Comments

À la recherche des traces de nos vies numériques

Avoir conscience de ces traces que nous laissons et de l'existence bien réelle de ce monde numérique dans lequel nous sommes immergés, voilà l'ambition première de cette exposition. « Nous n’avons pas eu le temps d’apprendre à utiliser Internet, les smartphones, les objets connectés. Les êtres humains ont appris pendant des milliers d'années à faire du feu, à forger des armes, alors que nous, nous nous sommes retrouvés du jour au lendemain avec des ordinateurs connectés dans les mains (…) Comment bouger et vivre dans ce monde numérique dans lequel nous sommes tout en réfléchissant dessus, en prenant du recul ? ». Ici, il s'agit moins de proposer des solutions toutes prêtes que de susciter une prise de conscience autour d'une idée : il faut apprendre à vivre avec ces nouveaux outils puisqu’ils sont là et tant qu’ils sont là. « Les œuvres que j'ai présentées questionnent pour certaines la possibilité que l'œuvre continue », souligne Stéphanie Vidal. Car oui, Internet peut mourir, ainsi que tout ce qui se trouve à l’intérieur. Des œuvres numériques comme le jeu vidéo Do Not Feed the Monkeys ou le film Ronde de Nuit, présentés dans l’exposition, pourraient bien questionnent leur accessibilité dans le temps puisque les technologies pour y accéder changent. La durée de vie d’une œuvre numérique serait-t-elle destinée à être beaucoup plus courte que celle du temple de Louxor ou de celle de La Joconde ?

By |2018-02-24T11:30:39+00:00February 24th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Cli-Fi : des fictions pour prendre conscience du péril climatique

Sous-genre de la science-fiction, la « climate fiction » (« Cli-Fi » pour les intimes) s’est imposée depuis quelques années comme un outil pertinent pour anticiper les bouleversements climatiques à venir. S’appuyant à la fois sur des travaux scientifiques reconnus et sur des scénarios d’anticipation crédibles, ce genre littéraire est appelé à gagner encore en audience à l'avenir, notamment auprès des décideurs politiques. L’écrivain américain Paolo Bacigalupi, auteur notamment de La Fille automate (Au Diable Vauvert, 2012) et La Fabrique de doute (Au Diable Vauvert, 2015) est reconnu aujourd’hui comme l’un des grands noms de la « Cli-Fi » contemporaine. Dans son dernier roman, Water Knife (Au Diable Vauvert, 2016), il imagine à quoi pourrait ressembler la guerre pour l’accès à l’eau dans quelques dizaines d’années.

By |2018-02-24T11:30:27+00:00February 24th, 2018|Scoop.it|0 Comments