Monthly Archives: February 2018

The Internet of Things Can Automate Romance. Is That Bad?

A FEW YEARS ago, there was really no way to know how we would use the Internet of Things. A handful prescribed functions for home devices like Nest and Philips Hue made immediate sense. But beyond the gadget-specific actions that blink our lights, lock our doors, and kick on our air conditioners lie scores of automated tasks that can be used to manipulate hearts and minds. IFTTT, one of the largest platforms for using the internet to do our bidding, hosts a shocking amount of recipes dedicated to obsessing over our romantic partners. Users of the service have created automated triggers to monitor, control, and interact with our significant others. Here’s one that notifies you when your wife posts anything to Instagram. Another sends your wife a daily report of your activity. This recipe simply keeps a wife up to date on the whereabouts of her husband. And one to notify your boyfriend when you’re five minutes away. And this classic: “Get a notification when your girlfriend posts a new picture so that you can like before she gets mad.” Simple search terms like “wife,” “husband,” “boyfriend,” “girlfriend,” and “spouse” return fascinating results.

By |2018-02-18T22:49:22+00:00February 18th, 2018|Scoop.it|0 Comments

‘Black Mirror’’s Dating-App Episode “Hang the DJ” is a Perfectly Heartbreaking Portrayal of Modern Romance

"Hang the DJ" will break your heart—but especially if you're single.

By |2018-02-18T22:49:04+00:00February 18th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Une large majorité de patrons se disent favorables aux entreprises à mission

Plus des deux tiers des chefs d'entreprise, selon un sondage, se montrent ouverts à la création de ce nouveau statut. Ils y voient un moyen de stimuler l'innovation de leurs équipes, d'améliorer leur marque employeur et leur image auprès des clients. Faut-il créer un nouveau statut d'entreprise en France ? Le débat est ouvert depuis qu'Emmanuel Macron a fait part de sa volonté, en octobre dernier, d'élargir les finalités d'une entreprise pour reconnaître notamment davantage l'apport des salariés. Depuis, le sujet s'est nettement élargi à toutes les autres parties prenantes : clients, fournisseurs, territoires... Le gouvernement a même confié une mission sur la question au patron de Michelin, Jean-Dominique Senard, et à l'ancienne dirigeante de la CFDT, Nicole Notat, dont les conclusions sont attendues pour début mars et doivent nourrir le projet de loi Pacte de Bruno Le Maire. Un patronat conservateur Face à la profusion des propositions - réécriture du Code civil, création d'un nouveau statut d'entreprise, renforcement de la place des salariés dans les conseils d'administration - le patronat, à quelques exceptions près, s'est montré prudent, voire conservateur. Pourtant, un sondage* Viavoice-HEC, réalisé par la société Prophil, qui pousse à la création d'un statut d'entreprise à mission en France sur le modèle de ce qui existe déjà aux Etats-Unis, montre que les chefs d'entreprise sur le terrain sont beaucoup plus ouverts, notamment sur ce dernier point. Réalisé début février auprès de 623 patrons (hors entreprises cotées), cette enquête indique que 68 % d'entre eux souhaitent la mise en place d'un cadre juridique et fiscal dédié aux entreprises à mission. Et 15 % déclarent déjà remplir l'ensemble des critères qui définissent une entreprise à mission

By |2018-02-18T22:47:50+00:00February 18th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Contenu et fiction : SEAT à fond la caisse sur les placements de…

Quand un politicien clame avoir changé, il doit trouver des leviers pour le faire entrer dans la tête des électeurs. Pour une marque, c'est pareil. SEAT repense ses voitures et son image. Pour faire acter la nouveauté, elle prend le pari d'une campagne de placement produit TV et digital en fil rouge. Les constructeurs automobiles -PSA, Volvo et Ford en parangons- investissent lourdement dans les services urbains de mobilité individuelle. La raison ? Ne pas se faire dégager des villes et devenir un acteur majeur d'un marché, celui des transports de personnes et de marchandises, qui pèse deux fois plus que celui de l'automobile. Mais le marché du quatre roues se porte bien -2,1 millions d’immatriculations en 2017 soit une hausse de 4,7 %. Il reste un terreau fertile de communication, surtout quand elle repense une identité pour accompagner par l'image la promotion identitaire de nouveaux modèles. C'est ce que fait Seat. Après avoir assumé une transformation majeure symbolisée par le rebranding de sa classique Ibiza et la campagne dissonante de sa nouvelle Arona, la marque déploie un ambitieux programme de placement produit TV et digital. Ce dispositif de renforcement de familiarité, conçu et imaginé par Fuse et Re-Mind PHD, va s'étaler sur toute l'année. L'objectif est annoncé : s’installer durablement dans le quotidien des Français et accélérer la perception de changement. Au total ce seront plus de 360 placements tout au long de 2018, dans de nombreuses séries quotidiennes et récurrentes, des téléfilms, des clips musicaux, des programmes courts mais aussi dans des web séries, comme Clique de Mouloud Achour. Pour discuter de cette stratégie de squattage de contenus, INfluencia a posé trois questions à Tiffany Bouthry, la directrice commerciale de Fuse France.

By |2018-02-18T22:47:25+00:00February 18th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Des robots skieurs se sont affrontés pendant les JO de Corée du sud

Les machines étaient équipées de capteurs censés être capables de détecter les drapeaux rouges et bleus et les éviter. Interrogé par le Guardian, Kim Dong-Uk, l'organisateur de cette course, a expliqué que l'objectif était de "montrer à quoi ressemble la technologie robotique sud-coréenne au monde". Mais elle a surtout montré le chemin qu'il reste à parcourir en terme de détection d'obstacle à grande vitesse. Un robot skieur pendant les JO de Corée du sud de 2018. Image: REUTERS/Kim Hong-Ji Cette technologie — percevoir l'environnement et détecter des objets — est notamment au cœur d'une technologie en plein essor: la voiture autonome. A l'heure où sont mis en circulation les premiers véhicules sans chauffeur, cette course de robots montre les défis et risques à prendre en compte dans leur développement. Les modalités de cette course appelée Ski Robot Challenge, dont l'équipe vainqueure empochait 10.000 dollars (8000 euros), limitait la participation à des robots de plus de 50 centimètres de haut, ayant deux "jambes", des jointures qui ressemblent à des coudes et des genoux et un système d'alimentation autonome. Le gagnant du Ski Robot Challenge, TaekwonV, ne mesure d'ailleurs que 75 centimètres: un atout qui lui a été indispensable dans l'accomplissement de cette course, rapporte CNET.

By |2018-02-16T18:17:33+00:00February 16th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Ils Dénoncent « La Mascarade » Des Start-Up Et Proposent Un Nouveau Modèle

Benjamin Zimmer et Nicolas Menet proposent ainsi un modèle de « profitabilité intégrale ». Dans profitabilité, il y a profit, explique Benjamin Zimmer. « Le profit, c’est générer plus. » Or, selon les auteurs, la croissance infinie n’existe pas sans l’utilisation de ressources naturelles. Ils proposent donc de développer une société dans laquelle la consommation de ressources ne serait que circulaire. « Je ne suis pas écolo », précise Benjamin Zimmer, « c’est juste une évidence : laisser une terre vivable à nos enfants est une obligation ». Alors pour refonder le modèle, les auteurs proposent de nombreuses solutions : juridique avec la transformation des incubateurs en sociétés d’intérêt collective « pour que tout le monde soit associé et donc responsable du projet » ; institutionnelle avec la mise en place d’instances collégiales pour contribuer à la programmation des enjeux économiques ; méthodologique pour former les gens à l’intelligence collective.

By |2018-02-14T21:30:38+00:00February 14th, 2018|Scoop.it|0 Comments

UP Magazine – Robotique : la grande confusion

La prolifération des progiciels, les effets de mode et l’absence de normes entretiennent une joyeuse confusion sur le numérique en général et sur les outils de type RPA (Robotic Process Automation) ou l'Intelligence artificielle en particulier. Il n’est pas toujours facile d’appréhender le service réellement couvert par ces nouveaux logiciels : collecte d’informations, intégration interne ou externe (Blockchain) de processus, pilotage de processus. Robotique, Résilience IT et Efficience opérationnelle : trois sujets étroitement corrélés. Avec la concurrence des GAFAM et autres Fintech et la pression sur les revenus, la maîtrise des coûts doit rester un axe prioritaire. Les Majors financiers restent avantagés par la taille de leur clientèle, portefeuille de produits, ressources et compétences et ils connaissent le sens du mot « compliance » mais ce fonds de commerce est exposé à une érosion lente. La RPA peut être un fort incubateur de productivité et d’innovation : les Managers ne peuvent qu’être séduits par ces nouveaux automates présentés comme peu coûteux, faciles à implanter et permettant des économies rapides. Ces ‘nouvelles’ technologies sont prometteuses mais encore faut-il les utiliser à bon escient, bien préparer le terrain et ne pas hypothéquer les architectures. Ces robots peuvent remplacer l’humain et combler rapidement des gaps d’intégration en évitant le recopiage, avec éventuellement une complémentation automatique avec des données récupérées dans d’autres bases ou même sur le WEB. « Gentil Robot » est doté d’une forte capacité d’analyse, d’enrichissement et de classement des données (moteur de règles, paramétrage à la portée de l’utilisateur via un métalangage, archivage de documents) mais, vous l’aurez compris, l’intégration des processus peut être une alternative ! Un robot peut difficilement travailler s’il ne reçoit pas une nourriture structurée mais certains sont plus performants que d’autres sur ce terrain et dotés de capacité de lecture naturelle ou compréhension de la voix. L’intelligence artificielle suppose une capacité d’apprentissage, les visionnaires parlent de ‘curiosité artificielle’. Ces nouvelles technologies sont a priori faciles à déployer, du fait de leur forte adaptabilité par rapport à un contexte hétérogène, que ce soit sur le plan opérationnel, organisationnel ou technique : cette qualité pourrait être un cadeau empoisonné si la RPA ne restait qu’un médicament de confort et symptomatique, venant masquer des pathologies graves qui vont continuer à métastaser en silence.

By |2018-02-13T22:50:20+00:00February 13th, 2018|Scoop.it|0 Comments

60 nouveaux magasins et concepts détectés et scrutés à New York

Alors que les magasins physiques ne cessent de dématérialiser leurs expériences, à New York tous les jours de nouveaux magasins et de nouveaux concepts voient le jour. Le géant pure player, Amazon, rachetait il y a quelques mois la chaîne de magasins alimentaires Wholefoods, renforçant sa stratégie Brick&Mortar. Le retail est en profonde mutation et les évolutions du marché connaissent une accélération sans précédent. De fantastiques opportunités s’ouvrent à ceux qui déploient une expérience client sincère, unique et omnicanale. Les magasins qui ouvrent dans Big Apple ont pour principal objectif de créer non plus une expérience mais une expérience différenciante. L’important est de se souvenir de la marque, que j’achète sur place ou pas. Ici, les entreprises ont compris l’importance de partir du besoin et des usages des clients pour créer. Cela n’a l’air de rien mais cela constitue des concepts qui plaisent immédiatement. Parmi les magasins, beaucoup partagent une composante immersive très forte. A chaque entrée d’une boutique, on « plonge » littéralement dans l’univers d’une marque. Le service, encore du service, toujours plus de service Mais peut-être la plus grande force, la plus élaborée du retail américain est-elle la dimension du service. Aux États-Unis, le client vous fait l’honneur de rentrer dans votre magasin. Cela résume toute une philosophie. Par exemple, un vendeur ne quittera jamais son client pour aller lui chercher un article en arrière boutique. Un autre membre de l’équipe a la responsabilité de s’en charger, pendant que le vendeur continuera d’être en lien avec son client et de répondre à toutes ses questions. Ce sont de petits détails qui font la différence -et les ventes- en boutique.

By |2018-02-13T22:25:07+00:00February 13th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Comment concilier personnalisation et RGPD ?

Comment Concilier Personnalisation Et RGPD ? © Romain Nkounkou – Victor & Charles sur LinkedIn Ce matin, Victor & Charles organisait une table ronde intitulée « Le RGPD, l’occasion rêvée pour les marques de rétablir le lien de confiance avec leurs clients ». L’occasion de rappeler les grands points de ce règlement européen et de...

By |2018-02-13T22:12:59+00:00February 13th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Innovation : quand le groupe AXA siffle la fin de la récré | Petit Web

Une feuille de route en trois points La feuille de route tient en trois points : - connecter la stratégie d'innovation avec les objectifs du groupe. - développer des services qui vont au-delà des prestations traditionnelles de l'assurance - industrialiser les différentes solutions d'innovation Autrement dit, les différents projets d'innovation vont devoir apporter rapidement la preuve de leur potentiel, en termes de croissance ou de revenus additionnels. Les partenariats et le BtoBtoC font ainsi partie des axes prioritaires. Par exemple, même si l'expérimentation blockchain "Fizzy", autour de l'assurance voyage (lire notre article) est présentée comme un "outil d'apprentissage", elle devra rapidement déboucher sur des partenariats, avec des voyagistes ou des compagnies aériennes, pour générer du chiffre d'affaires. Pour l'heure, son impact est très limité, avec moins de 10 000€ de primes d'assurance versées en 6 mois. Kamet, le bras armé de l'innovation d'AXA La démarche d'industrialisation de l'innovation est principalement incarnée par Kamet, le "start-up studio" du groupe, doté de 30 millions d'euros. "Sept start-up issues de Kamet ont développé des produits, et nous avons un pipeline d'une dizaine de prototypes. Tous les six mois, nous lançons un nouveau 'sprint' qui permet d'alimenter ce pipeline." Parmi ces projets, Setoo, basée à Tel Aviv, lancera prochainement son offre en Europe : une solution permettant à n'importe quelle entreprise de concevoir sa propre offre d'assurance dommage, sur mesure, pour la proposer ensuite à ses clients. A la manière d'un fonds, AXA se créé donc un "portefeuille" de projets. "On crée différents projets, pour se constituer notre portefeuille d'options. Il est important ensuite d'avoir le bon process en interne pour tuer ce qui ne fonctionne pas et investir dans ce qui est porteur. Progressivement, on améliore le portefeuille d'options et on fait passer à l'échelle les meilleurs."

By |2018-02-12T22:23:44+00:00February 12th, 2018|Scoop.it|0 Comments