Monthly Archives: October 2018

The Daily: Tether Sheds Its Peg

After enduring months of scarcely moving — BTC because it was trapped within a tight range and USDT because that’s its job — both coins have made big moves over the past 12 hours. BTC began to soar around 2 a.m. EST, hitting $7,500 per coin before settling around the $6,900 mark. Tether, meanwhile, began to slide on Bitfinex, flash-crashing to as low as $0.88 after struggling to maintain dollar parity all week.USDT dropped to under $0.90 against TUSD on Kraken.“Watching tether die,” tweeted constant critic @Bitfinexed, who had likely been waiting for this moment all his life. In the midst of all the drama, Bitfinex issued a clarification, stating that fiat deposits should be re-enabled by Tuesday, Oct. 16. Meanwhile, the Kucoin exchange temporarily stopped USDT deposits and withdrawals due to “wallet system maintenance.” Needless to say, the movements of BTC and USDT are closely correlated, with traders seeking to escape the uncertainty of tether in favor of a safer haven. We’ll have more on this story, and what it means for Bitfinex, Tether and the cryptoconomy as a whole, later today.

By |2018-10-15T21:17:20+00:00October 15th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Avec la Model 3, Tesla devient leader mondial des véhicules électriques

Aux Etats-Unis, le constructeur californien est même passé devant Mercedes sur le segment du premium.Les dinosaures de l'automobile ont longtemps ricané, ils vont devoir se faire une raison. Il faudra désormais compter avec Tesla. Maintenant que le constructeur californien  parvient tant bien que mal à produire sa Model 3 , son premier véhicule de série, les ventes suivent... et commencent à dépasser celles de constructeurs « old school ».Au troisième trimestre de 2018, la firme dirigée par Elon Musk a livré au total 83.500 voitures, dont 55.840 Model 3, 14.470 Model S et 13.190 Model X. « Sur le seul trimestre, nous avons livré plus de 80 % du volume de véhicules vendus au total en 2017 », relève Tesla  dans son communiqué .Déjà devant les voitures de luxeLes recherches effectuées par Matthias Schmidt, analyste pour la revue « AID », montrent que la société d'Elon Musk a déjà dépassé les voitures de luxe : il s'est vendu sur la période davantage de Tesla dans le monde que de Porsche (66.000 ventes) et de Jaguar (41.900 ventes). Et sur les neuf premiers mois de 2018, le constructeur est déjà passé devant le félin britannique, avec 154.200 immatriculations, contre 136.000 pour Jaguar.

By |2018-10-15T21:11:55+00:00October 15th, 2018|Scoop.it|0 Comments

A.I. Heralds End of the Passport Line… and Start of a Privacy Row | Fast Forward

U.S. Customs and Border Protection first tested facial biometric technology for exit verification in June 2016 at Hartsfield-Jackson Atlanta International Airport. They’ve since expanded biometric exit verification to 15 U.S. airports. The agency began biometric entry verification at JFK in July 2018 and has since then expanded that to 13 other U.S. airports. The idea is the same both for entering and exiting passengers: to more quickly recognize suspicious travelers. The Department of Homeland Security has partnered with the University of Arizona’s BORDERS program to develop an AI-based screening system that can identify suspicious behavior more accurately than humans can. And information technology company Unisys in March 2018 unveiled a new AI-based system called LineSight that can more efficiently screen travelers as they go through customs.These technologies promise to significantly reduce waiting times at immigration counters and allow officials to focus on a smaller set of identified suspects instead of every person entering the country. They’re gaining traction at a time when America’s already stretched border-security apparatus is under heightened pressure because of President Donald Trump’s demands for stricter policing of the southern border and his travel ban from several Muslim-majority countries. Help from technology makes sense. But machine learning used to predict human behavior has been found to be biased in a number of ways, including against Black defendants in the courtroom, ProPublica found in 2016. Organizations like the Electronic Frontier Foundation are concerned that facial recognition and AI software will misidentify innocent people at global borders too.

By |2018-10-15T21:11:14+00:00October 15th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Can Convenience Stores Compete in a Digital World?

They are offering myriad payment methods, convenience rules for the modern shopper.But when it comes to actual convenience stores, one of the only things going for them is being in the right place at the right time. Location is the primary draw. But is that enough?There are no shortage of stores. According to a March 2018 Nielsen analysis, the retail channels that opened the most stores from 2007-2017 were dollar (11,249), convenience and gas (8,650) and drug (5,632).A new Dunnhumby study theorizes that eventually these overlapping channels could morph even further. At least in the eyes of the convenience-driven consumer. They compared the three channels using a number of criteria, and in a consumer survey, drug stores outperformed convenience and dollar stores on emotional factors like trust, likelihood to recommend and sadness if the store closed. Drug stores also won out on digital offerings and discounts. 

By |2018-10-15T09:07:08+00:00October 15th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Carrefour fait monter en puissance sa blockchain alimentaire

Cet écosystème est destiné à s’étoffer. Carrefour se donne plusieurs années afin de basculer ses dizaines de milliers de produits sur la blockchain, en débutant par ses produits « filière » puis les grandes marques nationales et certains segments tels que le Bio où le consommateur attend de la valeur. C’est ce que décrit Emmanuel Delerm, directeur organisation chez Carrefour. Il mène le programme blockchain sur la traçabilité alimentaire. Il a pris la parole à l’occasion de l’événement Think d’IBM le 9 octobre à Paris.La blockchain permettra de prouver les engagements du distributeurLa traçabilité est un vieux défi pour les distributeurs, rappelle-t-il. Carrefour a décidé de s’appuyer sur la blockchain pour prouver les engagements pris avec des producteurs et transformateurs. « Ce sont des partis pris difficiles à prouver par exemple, quand on vend un poulet qui est sans antibiotiques, sans OGM et avec des céréales françaises » pointe-t-il. Car les antibiotiques disparaissent de toute façon au bout de 15 jours dans un organisme. « C’est difficile d’expliquer cela et de le prouver au consommateur. On s’est dit que la blockchain pourrait être une réponse » explique-t-il.Carrefour a expérimenté la blockchain et est arrivé à la conclusion qu’elle convenait. Dans ce projet, le distributeur a démarré en interne. « C’était important de travailler à la maison. Nous sommes des retailers. Nous l’habitude de faire des choses assez proches du carrelage. Nous avions envie de comprendre comment cela marche » martèle le responsable.

By |2018-10-15T09:06:39+00:00October 15th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Ca se passe en Europe : la France accusée de dumping social en Suisse

Selon des syndicats helvètes, les stages offerts à des jeunes français dans le cadre du volontariat international en entreprise seraient des « premiers emplois déguisés ».Les « volontaires internationaux en entreprises » (VIE) seraient-ils des artisans du dumping social en Suisse ? Oui, au moins aux yeux des syndicats et dirigeants du Canton de Genève, affirme  le quotidien « La Tribune de Genève »  : « En raison de leur niveau de qualification, ils estiment que ces stagiaires occupent des premiers emplois déguisés à des conditions de rémunération inférieure à notre marché du travail ».Et c'est du sérieux ! Du moins si l'on en juge par la place accordée à l'information : Gros titre en Une accompagné d'un éditorial, et une page entière à l'intérieur, sous cette citation qui claque : « L'Etat français organise du dumping salarial ».Des salaires trop bas selon les syndicatsSelon le journal qui fait autorité dans la ville de Calvin, ce sont les syndicats, réunis dans la Communauté genevoise d'action syndicale (CGAS), qui ont tiré la sonnette d'alarme.Les stages offerts à des jeunes français dans des entreprises nationales installées à l'étranger pour des salaires « entre 3.000 et 3.300 francs suisses par mois (environ 3.000 euros) seraient en fait « des premiers emplois déguisés, rémunérés à des conditions très inférieures aux salaires d'usage ou aux minima des conventions collectives », estime Davide de Fillipo, vice-président de la CGAS.Le phénomène « découvert un peu par hasard », « n'est pas massif, mais pas non plus anodin », indique La Tribune : selon l'ambassade de France, fin septembre, 117 VIE étaient présents en Suisse, dont 79 à Genève.

By |2018-10-15T09:06:22+00:00October 15th, 2018|Scoop.it|0 Comments

UP Magazine – Alerte climatique : qui va nous sauver du drame annoncé ?

être faudra-t-il se souvenir de cette journée du lundi 8 octobre 2018. Elle a commencé par la publication d’un pavé de 400 pages : le rapport du GIEC, l’organisme international vigile de notre climat. Son verdict est un coup de semonce : le climat s’emballe et si rien n’est fait nous allons tout droit – et beaucoup plus vite que prévu – vers la catastrophe. Les climatologues du GIEC sont inquiets mais ils s’efforcent de se montrer optimistes : il y a encore des choses à faire pour éviter la collision fatale. Des mesures d’ordre individuel comme gouvernemental peuvent être prises. Un petit espoir. Tout petit.Le même jour, l’académie Nobel rendait son verdict et consacrait deux américains Prix Nobel d’économie pour leurs travaux sur les relations entre climat et finance. Selon eux, c’est le marché qui va nous sauver de la catastrophe annoncée. Encore un peu plus de capitalisme libéral, d’innovation technologique et de mondialisation et nous serons saufs, et incidemment, enrichis grâce à la lutte climatique. Mais à quel saint faut-il donc se vouer ? Le rapport du GIEC publié le 8 octobre décrit avec force détails la menace d'emballement au-delà d'1,5°C de réchauffement (par rapport aux niveaux préindustriels) : canicules, extinctions d'espèces, déstabilisation des calottes polaires avec à la clé montée des océans, inondations, disparitions de milliers de kilomètres de lignes de côte, mise en danger de millions de personnes, partout sur la planète. Les climatologues avaient calculé que ce seuil de dépassement des 1.5° pourrait intervenir dans plusieurs décennies. Cela nous laissait un peu de temps pour souffler. Faux espoir, car l’échéance peut être plus courte, vers 2030, peut-être même avant. Un horizon à échelle de vie d’homme.  Les 6000 études qui ont nourri la synthèse des climatologues du GIEC sont formelles : le seuil de 1.5° sera atteint plus tôt que prévu, et si les États s’en tiennent à leurs engagements pris lors de l’Accord de Paris, le réchauffement atteindra +3°C à la fin du siècle. « C'est de l'urgence extrême », a réagi depuis Genève le secrétaire général de l'Organisation météorologique mondiale (OMM), Petteri Taalas: « Nous nous dirigeons plutôt vers +3 à 5°C en ce moment ». Scénario catastropheLe scénario du GIEC semble nous mener tout droit vers un monde qui ne ressemblera plus du tout à celui que nous connaissons. Un monde invivable. Lors d’une conférence donnée à Paris le 6 septembre dernier dans le cadre des rencontres BiomimExpo, le climatologue du GIEC, Jean Jouzel, confiait que ce qui nous attend, en France, à Paris, d’ici 2030, ce sont des températures de l’ordre de 50° pendant de longues périodes de l’année. Ce que craignent le plus les scientifiques, c’est l’emballement du climat. Passé un certain seuil, plus rien n’est maîtrisable ni prévisible. Des effets irréversibles s’amplifiant sans limitation possible pourraient se produire. Ce seuil, personne ne le connaît vraiment mais les climatologues sont nombreux à penser qu’à +2°C, nous entrons dans une zone de risque maximum. Pour Pascal Canfin, Directeur général de WWF France, « le réchauffement climatique s’accélère et l’humanité est en passe de perdre le contrôle sur la machine climatique ». Face à cette perspective, les climatologues du GIEC s’efforcent de ne pas sombrer dans un pessimisme mortifère.  Il faut absolument rester en dessous de ce seuil. On peut – on doit –inverser la tendance et stabiliser les températures à +1.5°C. Pour cela, les émissions de CO2 doivent chuter bien avant 2030 (-45% d'ici 2030) et le monde atteindre une « neutralité carbone » en 2050 : autrement dit, il faudra cesser de rejeter dans l'atmosphère plus de CO2 qu'on ne peut en retirer.

By |2018-10-15T09:05:46+00:00October 15th, 2018|Scoop.it|0 Comments

UP Magazine – Le coût des catastrophes climatiques explose

Les pertes économiques directes dues aux catastrophes climatiques enregistrées au cours des vingt dernières années ont été 2,5 fois plus élevées que durant la période 1978-1997, a indiqué l'ONU dans un rapport. Dans ce rapport, le Bureau des Nations unies pour la réduction des risques de catastrophes (UNISDR), explique que le changement climatique "augmente la fréquence et la gravité des phénomènes météorologiques extrêmes" et donc les pertes économiques dues à ces catastrophes, entravant le développement des pays, en particulier ceux à faibles revenus. Selon les experts, les pertes économiques dues aux catastrophes ont bondi ces dernières années, avec 2.908 milliards de dollars de dégâts enregistrés entre 1998 et 2017, dont 2.245 milliards de dollars, soit 77% du chiffre total, dues à des catastrophes liées au climat.Ces chiffres sont à comparer avec les pertes économiques pour la période 1978-1997 qui étaient de 1.313 milliards, dont 895 milliards de dollars (68%) représentaient des catastrophes liées au climat. Ce rapport s'appuie sur une base de données établie par le Centre de recherche sur l'épidémiologie des catastrophes de l'Université catholique de Louvain, en Belgique. En termes de nombre d'événements, les catastrophes liées au climat ont représenté 91% des quelque 7.200 principaux événements enregistrés au cours des 20 dernières années. Les inondations et les tempêtes sont les deux catastrophes les plus fréquemment survenues. Les pertes économiques les plus importantes ont été subies par les États-Unis pour une valeur totale de 944,8 milliards de dollars, suivis de très loin par la Chine (492,2 milliards), le Japon (376,3 milliards). Viennent ensuite, encore plus loin l'Inde (79,5 milliards) et Puerto Rico (71,7 milliards).Les tempêtes, les inondations et les séismes placent trois pays européens dans le Top 10 des pertes économiques : avec 57,9 milliards de pertes pour l'Allemagne, 56,6 milliards pour l'Italie et 48,3 milliards pour la France. La Thaïlande avec 52,4 milliards et le Mexique avec 46,5 milliards viennent compléter ce Top 10. Au cours des 20 dernières années, 1,3 million de personnes ont perdu la vie et 4,4 milliards de personnes ont été blessées, sont devenues sans abri, ont été déplacées ou ont nécessité une aide d'urgence en raison des catastrophes, selon l'ONU.

By |2018-10-15T07:45:55+00:00October 15th, 2018|Scoop.it|0 Comments

MoneySuperMarket drives growth by switching focus from revenue to relevance

The financial services comparison site is sending 200 million fewer emails but has been able to increase revenue by 12% by targeting customers with more relevant communication.Price comparison site MoneySuperMarket has flipped its approach “from revenue to relevance” as it puts greater focus on customer experience and driving long-term growth.The brand had been sending millions of emails to customers each week, regardless of whether they were relevant, which chief customer officer Darren Bentley likens to “throwing enough mud at the wall in the hope some of it sticks”.Talking at the Festival of Marketing yesterday (11 October), he said: “Our approach to data-driven marketing, our eCRM, was absolutely revenue ahead of customer experience. In 2016, we sent 800 million emails to a pre-GDPR opt-in base of 10 million customers, and each piece of communication was sent to around three million people.“If we had a particular offer we wanted to promote and we had marketing permission to speak to that customer then that customer was going to receive the offer, regardless of how relevant it was to them individually or whether it was in the context with which they were engaging with the brand.”If you focus on relevance the revenue tends to follow.Darren Bentley, MoneySuperMarketTo illustrate the sheer volume of emails the brand was sending, he likens it to trying to have the same conversation with everyone in Milan’s San Siro football stadium.“Can you imagine talking to everyone in a football stadium and having exactly the same conversation? We were doing that 40 times over and two to three times a week,” he explained.“The challenge was it was creating revenue; we were hitting our revenue targets but it wasn’t customer-centric. It wasn’t set up to drive long-term engagement and it certainly wasn’t set up to drive long-term retention and we didn’t believe it was a sustainable approach to marketing.”

By |2018-10-15T07:43:03+00:00October 15th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Où va Tesla ?, Les Echos Week-end

Le bras de fer, ultra-médiatisé compte tenu de la notoriété d'Elon Musk, trouve son épilogue deux jours plus tard. La SEC et le dirigeant fantasque s'accordent sur une nouvelle gouvernance : Elon Musk, qui ne pourra s'empêcher de se moquer du régulateur un peu plus tard dans un nouveau tweet, restera directeur général de l'entreprise, mais devra en abandonner la présidence et nommer deux administrateurs indépendants. Tesla a eu chaud car après la menace publique de la SEC, le cours de l'action s'est effondré de 14% en une séance. Les investisseurs le savent : pour excentrique et incontrôlable que soit le milliardaire, sans son génie et son énergie, la firme californienne aurait du mal à rester en équilibre alors qu'elle est depuis plusieurs années sur une corde raide.PLUS DE 9 MILLIARDS DE DETTE« Sans Elon, Tesla ne serait qu'un constructeur plombé par les dettes et brûlant des tonnes de cash », résumait David Whiston, analyste chez Morningstar, à Chicago. Sur le papier, difficile de lui donner tort. Née il y a quinze ans dans un garage près de Palo Alto, dans la Silicon Valley, la start-up est devenue grande : elle affiche une capitalisation boursière comparable à celle de General Motors et emploie aujourd'hui quasiment 40 000 personnes. Mais elle n'a toujours pas gagné un centime et affiche plus de 9 milliards de dollars de dettes Autant dire que sa capacité à devenir un jour durablement rentable pose question.UNE ENTREPRISE PAS COMME LES AUTRESMais la société d'Elon Musk n'est pas une entreprise comme les autres. Voilà quinze ans que ses actionnaires ont des sueurs froides et que les vieux routiers de l'automobile l'enterrent avant l'heure. « Essayer de la comprendre avec une grille d'analyse classique est voué à l'échec : le jour où on pourra affirmer 'tout roule chez Tesla' n'arrivera jamais. » Philippe Chain, qui tient ces propos, est bien placé pour en parler : après vingt ans passés chez Renault, cet ingénieur français aujourd'hui consultant a été responsable qualité chez Tesla entre septembre 2011 et décembre 2012. « La société a toujours connu des problèmes et en connaîtra toujours. C'est son mode de fonctionnement. Son savoir-faire, c'est de les résoudre au fur et à mesure. » En frôlant parfois la catastrophe, mais en sachant rebondir in extremis. Jusqu'ici. Depuis le début de l'année, les épisodes n'ont pas manqué pour le prouver.A DEUX DOIGTS DE LA FAILLITEEn juin dernier, alors que personne ne s'y attend, Tesla annonce la suppression de 9% de ses effectifs, soit 3 500 salariés. « Je pense qu'à ce moment-là, l'entreprise est à deux doigts de la cessation de paiements. Sans cette mesure radicale, elle n'aurait pas pu poursuivre son activité », relève Philippe Chain. Tesla se débat alors depuis plusieurs mois dans « l'enfer de la production » de la Model 3, selon les propres mots d'Elon Musk, et ne parvient pas à générer assez de cash. Avec ce nouveau véhicule, qui succède aux Models X et  S, l'entreprise inaugure la production en série. La Model 3 est sa première voiture à afficher un prix « abordable » (35 000 dollars, contre 80 000 minimum pour les modèles précédents). Mi-2017, Elon Musk fanfaronne lorsque les premières Model 3 sortent des lignes : il en promet 500 000 en 2018 et 1 million en 2020. À comparer aux modestes ventes de Tesla en 2016 (76 000) et 2017 (103 000).

By |2018-10-14T14:30:06+00:00October 14th, 2018|Scoop.it|0 Comments