Monthly Archives: April 2019

A en croire un sondage de l'université espagnole IE mené auprès de 2.500 personnes en Europe, 25 % des Français seraient « favorables à laisser  partiellement ou totalement l'intelligence artificielle (IA) prendre des décisions importantes pour diriger leur pays ». Un chiffre identique à la moyenne européenne.Dit autrement, il semble qu'une minorité envisage que l'IA puisse assister, à des degrés différents, les hommes et les femmes politiques dans leurs décisions.La gestion de l'EtatDe fait, les algorithmes existent déjà dans la gestion de l'Etat : calcul des impôts, des aides, affectations à l'université, etc. Depuis un an, le gouvernement a lancé  plusieurs chantiers en intelligence artificielle pour aider l'administration dans ses tâches quotidiennes. Par exemple, la Direction générale de l'alimentation travaille sur un outil qui permettrait de repérer les commentaires négatifs sur Internet afin d'orienter les contrôles d'hygiène.

Débuts encourageants pour Apple News +, le  kiosque presse payant que le groupe a présenté et lancé lors de sa dernière  keynote, le 25 mars.  Lors des deux premiers jours, le service du groupe californien a enregistré 200.000 abonnements, croit savoir  le « New York Times ».Pour l'heure, ce service d'Apple est uniquement disponible aux Etats-Unis et au Canada, (pour respectivement 9,99 dollars et 12,99 dollars canadiens par mois), et ces 200.000 utilisateurs bénéficient d'un mois d'essai gratuit.

Le passage de France Télécom à Orange comme inspirationEt pour marquer cette nouvelle étape, la direction a envisagé de remplacer l'appellation de Société nationale des chemins de fer français, forgée en 1937. L'objectif était manifestement de faire comme France Télécom, qui s'est rebaptisé « Orange » lorsqu'il a plongé dans le grand bain de la concurrence.En changeant de nom, la volonté était également de faire table rase des préjugés qui lui sont associés. « La marque SNCF est le paratonnerre de toutes les mauvaises nouvelles qui tombent sur le crâne du groupe, même quand il s'agit d'activités opérant avec une autre marque », rapporte une source interne. Et l'acronyme est devenu peu à peu, dans l'esprit d'une partie des Français, synonyme de trains en retard et de mauvaise qualité de service.

La bête n’est donc pas morte. Elle s’est mise à remuer. Après avoir dégringolé de 10.000 à 3.000 dollars, le bitcoin est remonté à 5.000 dollars, la semaine dernière.On rappellera brièvement toutes les bonnes raisons de penser que le bitcoin n’est pas une monnaie et ne le sera jamais. Elle est lente (ne pouvant soutenir la comparaison avec de bonnes vieilles technologies comme celles de Visa et de PayPal), coûteuse à produire (on ne racontera pas les déboires électriques des fermes de minage), marginale, (son acceptabilité est confidentielle), très apparentée (malgré elle sûrement) au « darknet », aux logiciels malveillants et autres désagréments du même genre.Tous les défenseurs du bitcoin et de sa technologie disruptive en sont venus à supplier les autorités américaines (et mêmes les chinoises) de mettre en place des produits dérivés, d’accepter des fonds cotés en Bourse, de faciliter les transactions. En d’autres termes, la monnaie culte, anti-système, anti-Etat, anti-tiers de confiance, est venue plaider sa cause auprès des autorités de régulation pour arriver à survivre.

ertes, dans le monde, la durée d'écoute globale résiste relativement bien en 2018. Elle ne baisse « que » de 1 minute, à 2 h 55. Mais cette stabilité marque des disparités fortes avec des hausses essentiellement en Asie (où la durée d'écoute reste encore basse) ainsi qu'en Afrique.A l'inverse, dans de nombreuses contrées, la chute est manifeste, illustrant la montée en puissance de Netflix et consorts. Outre-Atlantique, les téléspectateurs regardent par exemple 12 minutes de moins le petit écran en 2018, après un plongeon de 15 minutes en 2017. L'effritement se poursuit et, en quelques années, le temps passé devant le téléviseur est passé de plus de 4 h 30 à à peine 4 heures aux Etats-Unis.« Aujourd'hui, aux Etats-Unis, les programmes de prime time sur les quatre principaux networks touchent, en moyenne, moins de 1 % de la population entre 18 et 49 ans équipée de télévision », souligne Vincent Letang, expert chez Magna (IPG Mediabrands).Après la télévision payante, Netflix attaque les chaînes gratuitesParallèlement, selon lui, les jeunes boudent les shows en live durant des heures. En témoigne l'audience de la cérémonie des « Oscar »,  au plus faible niveau de son histoire en 2018 (même si elle est très  légèrement remonté e en 2019).La France en net reculSur le Vieux Continent aussi, le recul est de 3 minutes en 2018 (à 3 h 32), après 4 minutes en 2017.

Des vols de démonstration de courte durée ont été proposés ce jeudi par la société EHang à plusieurs représentants de la presse invités à Vienne en Autriche. L'EHang 216, un appareil autonome bi-place s'est contenté de très brèves élévations verticales d'une dizaine de mètres, suivies d'atterrissages au point de départ. Sans dépasser les tribunes du stade Generali Arena de la capitale autrichienne où la démonstration a eu lieu. Ce véhicule aérien électrique sans pilote, bourré d'électronique, doit à terme pouvoir transporter deux passagers à basse altitude sur une distance de jusqu'à 35 km et offrir une nouvelle solution de mobilité en zone urbaine, selon EHang.

Advertising’s slavish devotion to youth is often cited, with the finger generally pointed at agencies. Age and experience are too often under-valued by many agencies when building teams; the natural consequence being advertising that is badly targeted, full of stereotypes and unrepresentative.Marketers, too, have shared frustrations with me that age was a barrier to landing a particular job but there isn’t yet a chorus of discontent.As much as diversity in age within your team would improve your output, what would be more of a silver bullet is this: be better at marketing.We as an industry are falling over ourselves to understand millennials. We attack the pursuit of dissecting Generation Z with vigour with relish. There isn’t seemingly the same enthusiasm for those older consumers who have more money, more time, and more need for products and services across more categories.From me to brands: Don’t give up on me when I hit the half-century. I will still voraciously consume new live and recorded music, seek new technology to make my life easier, divide my time between new media and old – at the same time as buying whatever it is my daughter is angling for that week and finally getting around to sorting out our financial lives.

“Stepping into sound and music at home without any knowledge of acoustics and speakers and music, that would not be very wise,” says Björn Block, who heads up Ikea’s Home Smart division. “Of course, we are bringing something to that collaborative table. We’re bringing a deep, long, and global knowledge about life at home.” He notes that Ikea launches around 2,000 products every year. It knows what its customers want.That insight manifests itself here as two initial audio products. First is the $99 Symfonisk bookshelf speaker, named as such both because it fits neatly into Ikea’s existing bookshelf lines, and can also become a shelf itself, if you mount it to the wall with the included bracket. It’ll hold up to 6.6 pounds, enough to support a very small cat.

Today, China doesn’t just play defense against viral dissent by redacting troublesome parts of the internet; the government actively wields technology as a tool of control. In cities across China, including in Xinjiang, authorities are trying out facial-recognition software and other AI-powered technologies for security. In May, facial-recognition cameras at Jiaxing Sports Center Stadium in Zhejiang led to the arrest of a fugitive who was attending a concert. He had been wanted since 2015 for allegedly stealing more than $17,000 worth of potatoes. China’s Police Cloud System is built to monitor seven categories of people, including those who “undermine stability.” The country also aspires to build a system that will give every citizen and every company a social credit score: Imagine your FICO score adjusted to reflect your shopping habits, your driving record, and the appropriateness of your politics.The fundamental force driving this change—this pivot from defense to offense—is a shift in how power flows from technology. In the beginning, the communications revolution made computers affordable to the masses. It wired devices together in a giant global network and shrank them down to the size of your hand. It was a revolution that empowered the individual—the lone programmer with the power to create in her pocket, the academic with infinite research at his fingertips, the dissident with a new and powerful way of organizing resistance.Today’s stage of the digital revolution is different. That supercomputer in your pocket is also a homing device. It’s tracking your every “like,” keeping a record of everyone you talk to, everything you buy, everything you read, and everywhere you go. Your fridge, your thermostat, your smartwatch, and your car are increasingly sending your information back to headquarters too. In the future, security cameras will track the ways our eyes dilate, and sensors on the wall will track our body temperature.In today’s digital world, in China and the West alike, power comes from controlling data, making sense of it, and using it to influence how people behave. That power will only grow as the next generation of mobile networks goes live. Remember how it felt like magic to be able to browse real web pages on the second-generation iPhone? That was 3G, the mobile standard that became widespread in the mid-2000s. Modern 4G networks are several times faster. 5G will be vastly faster still. And when we can do things faster, we do them more, which means data piles up.It’s already hard for most people to comprehend, much less control, all the information collected about them. And the leverage that accrues to data aggregators will just increase as we move into the era of AI.

As part of the announcement, Amazon said it had committed to protect personal health information according to the federal Health Insurance Portability and Accountability Act, or HIPAA, which protects the privacy of medical records. Alexa’s health and wellness team had been working to obtain HIPAA compliance for months. For now, only six companies invited by Amazon will be able to build skills that can access sensitive medical information, but Amazon expects to add more developers to that list in the coming months.In a statement to WIRED, Amazon said that while the company applies multiple layers of security to all skill data—including encryption, access controls, and secure storage in the Amazon cloud—the health care skills data will be treated differently to meet HIPAA requirements. The company did not specify what additional measures are in place to ensure that users’ personal health information is properly identified and access to it is controlled and properly audited.The move is a sign of Amazon’s growing ambitions in health care and consumer-facing uses of its technology. The company has made dozens of high-profile health care hires in recent years.Since 2014, Amazon has been running a secretive lab dedicated to moon-shot-style projects in health care, like using machine learning to help prevent and treat cancer. The lab goes by at least three different names, depending on who you ask—including 1492, The Amazon Grand Challenge, and Amazon X—and it has worked on projects related to telemedicine and the development of health applications for Alexa-enabled devices, per CNBC. The group also reportedly spent years working on a tool to mine patient medical records for data to flag potentially inaccurate information and fill in gaps in a patient’s medical history for insurance companies, among others.Last year, Amazon partnered with JP Morgan Chase and Berkshire Hathaway to launch a new health care venture—only recently given the name Haven—ostensibly designed to revamp health care while cutting costs.In June, Amazon bought online pharmacy startup PillPack, which ships prescription medications directly to customers’ doorsteps, for $1 billion in cash. Amazon has also started selling medical supplies to hospitals and medical professionals.