Monthly Archives: June 2019

MaaS : Alipay intègre les services de mobilité de 1000 villes dans le monde

La startup britannique Splyt Technologies a signé un partenariat avec Alipay, le service de paiement en ligne d’Alibaba. Splyt Technologies a développé une plateforme sur laquelle les acteurs de la Mobilité peuvent intégrer leurs solutions. Le jeune pousse propose ensuite d’intégrer tout ou partie de ces services de transports dans des solutions externes au marché de la mobilité. Acteur BtoB mondial de la mobilité à la demande ou « MaaS », la société se revendique comme un facilitateur de l’itinérance.Grâce à ce partenariat, les utilisateurs d’Alipay accèderont désormais à l’offre intégrée des fournisseurs de mobilité depuis l’application. « Les consommateurs ne veulent pas 100 applications différentes — ils veulent des outils qui leur facilitent la vie. Notre partenariat avec Splyt nous donne un accès inégalé à une liste de fournisseurs de transport à travers le monde qui nous permettra de nous déplacer plus facilement que jamais lors de nos déplacements », explique Kiki Wu, directrice du développement commercial d’Alipay.Couverture mondiale à l’été 2019Pour l’heure, l’intégration permet aux utilisateurs chinois d’Alipay de réserver un taxi au Royaume-Uni sans avoir à télécharger une application. La fonctionnalité couvre également les Émirats arabes unis et l’Asie du Sud-Est. « Avec l’augmentation du nombre de touristes chinois chaque année, la force de notre plateforme facilitera et soutiendra le tourisme dans certains des corridors commerciaux qui connaissent la croissance la plus rapide au monde », déclare Philipp Mintchin, Directeur général de Splyt. La plateforme regroupe un réseau de partenaires de transport dans plus de 1 000 villes dans le monde. Dès l’été 2019, le service offrira une couverture mondiale aux utilisateurs d’Alipay.

By |2019-06-07T12:58:16+00:00June 7th, 2019|Scoop.it|0 Comments

‘Black Mirror’ Isn’t Surprising Anymore. We’re Screwed

The show's fifth season, which releases today, includes only three episodes, presumably in deference to the outsize demands of last year's interactive episode, "Black Mirror: Bandersnatch."   "Smithereens," which features Andrew Scott as the hostage-taking driver in question and Topher Grace as Bauer, hinges on a familiar gripe with social media—so familiar, in fact, that the episode never quite latches onto the essence of the show it belongs to. Black Mirror's best episodes feature either a speculative vision of the future, a funhouse-mirror distortion of our worst digital selves, or both. "Smithereens," with its present-day setting and its predictable twist, might as well be a well-acted episode of CSI: Cyber. (Scott, who recently showed up in Fleabag's second season, turns in a moving, jittery performance.)"Striking Vipers," the second episode, at least tries to bend the mind in a new direction—unless you're already tired of boy-meets-girl, boy-marries-girl, boy-plays-virtual-reality-fighting-game-with-old-friend-and-ends-up ... (well, let me not spoil it here) stories. Black Mirror has dealt with VR more than a few times, but never has it grappled so frankly with the unprecedented ways virtual embodiment can upend the human experience. When you're able to inhabit a different body, what do that body's actions mean for the IRL you? Is what happens in VR real enough to constitute infidelity? Can it shift your sexuality or even your gender identity? What starts out feeling cartoonish ends up legitimately affecting, anchored by solid turns from the episode's core trio (Anthony Mackie, Nicole Beharie, and Yahya Abdul-Mateen II).The final episode is … well, it's bad. The tale of a young teen (Angourie Rice) who receives an Alexa-like cutesy-robot version of her favorite pop star, Ashley (Cyrus), is nominally a warning about music-industry exploitation and artistic empowerment, but it never gets out of hackneyed territory.   Black Mirror has one of the highest degrees of difficulty on television. A speculative dark-satire anthology is hard enough, let alone making each episode a bracing extrapo­lation of one of the many ways people have mortgaged their humanity for convenience and narcissism. 

By |2019-06-07T12:43:34+00:00June 7th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Le Sénat pointe les « effets pervers » de la loi Alimentation

Au Sénat, on est à la limite de donner un zéro pointé à  la loi Egalim . Après avoir auditionné mercredi des agriculteurs, des entreprises agro-alimentaires et des enseignes de la distribution, la Commission économique du Sénat estime que le texte est loin de remplir sa mission. Non seulement son entrée en vigueur en début d'année n'a pas amélioré le revenu des agriculteurs, ni limité la guerre des prix, mais elle a généré « des effets pervers », au point de mettre « en péril » un certain nombre d'entreprises, disent les sénateurs.Assouplir l'ordonnancePremier fautif, l'encadrement des promotions, réclamé à cor et à cri par la FNSEA et considéré comme une des deux mesures phares de la loi sur l'alimentation. « Il faut de toute urgence assouplir l'ordonnance sur ce point », estime Sophie Primas, élue LR des Yvelines et présidente de la Commission économique. « Car certaines PME ne passeront pas le cap des deux années d'expérimentation prévues par la loi », selon Michel Raison, élu LR de Haute-Saône. Les sénateurs citent le cas de l'une d'entre elles, torréfiant du café, qui « avant la loi ne parvenait à gagner des parts de marché face aux géants du secteur, qu'en réalisant 50 % de leur chiffre d'affaires sous promotion. C'était la seule stratégie possible pour conquérir du linéaire, faute d'avoir de très gros moyens publicitaires ».Avec le plafonnement des promotions à 25 % du chiffre d'affaires réalisé en magasin, celle-ci ne peut plus utiliser cet outil. « Elle a perdu un tiers de son chiffre d'affaires dans la grande distribution », rapporte la Commission économique. Pour les entreprises vendant des fruits et légumes, « les promotions sont vitales », au moment des surproductions. Certaines majors, dont les ventes d'eau en bouteille se feraient pour 60 % sous promotion, subiraient également de plein fouet la mesure.

By |2019-06-07T12:32:53+00:00June 7th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Amazon is a key player of online groceries.

Amazon grocery ambitions didn’t start when the company acquired Whole Foods in 2017. It started years before with the introduction of AmazonFresh, then Prime Pantry and Prime Now. And recently, the ecommerce giant further cemented its position in the market with its cashierless Amazon Go stores.According to a study from The Retail Feedback Group, 31% of US digital grocery shoppers (who have shopped online for food and groceries in the past 30 days) said they purchased online groceries from Amazon in 2018. That’s a 5-percentage-point decrease from a year prior. Conversely, a third of respondents said they purchased online groceries from Walmart in 2018—a 7-percentage-point gain from 2017.

By |2019-06-07T12:24:47+00:00June 7th, 2019|Scoop.it|0 Comments

The State of Online Groceries – eMarketer Trends, Forecasts & Statistics

Data from IGD shows that digital grocery sales in the US reached $23.9 billion in 2018. By contrast, sales in China and Japan reached $50.9 billion and $31.9 billion, respectively. Not only is China the biggest digital grocery player in the world, its revenues are set to nearly quadruple by 2023.

By |2019-06-07T12:23:09+00:00June 7th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Le nouvel art du retail

Alors que l’e-commerce s’est développé à la vitesse de la lumière, les clients privilégient de plus en plus le choix du canal de distribution selon leurs besoins. Les boutiques ne sont plus aujourd’hui réduites à la fonction de vendre. Elles ont du se réinventer, créer des expériences in-store, apporter du conseil client, de la personnalisation via des outils technologiques, mais aussi de l’inspiration à travers des oeuvres d’art, du divertissement avec des jeux et la scénographie des lieux. Les boutiques physiques viennent compléter et prolonger l’expérience virtuelle. Une expérience qui est au coeur des nouveaux concepts retail et qui est devenu l’outil le plus puissant pour attirer et fidéliser les clients. Les grands magasins l’ont bien compris en multipliant les expériences in-store, dernièrement les Galeries Lafayette ont lancé « Funorama » et le Bon Marché « Geek mais Chic ». Nous pouvons imaginer qu’à l’avenir il y aura moins de magasins physiques mais que ces derniers seront plus qualitatifs. Cap sur 3 tendances de fond des nouveaux concept stores.

By |2019-06-05T21:44:29+00:00June 5th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Consumer Goods Brands Hope to Fend Off Amazon by Investing in D2C – eMarketer Trends, Forecasts & Statistics

An overwhelming 99% of consumer goods leaders surveyed by Salesforce in February 2019 said that they were investing in direct-to-consumer (D2C) strategies of some kind, leaving 1% who said it was not a priority.In the current retail and ecommerce climate, it’s no surprise that brands are seeking alternatives to the limited options they have now. Some 42% of consumer goods leaders polled said the challenges of brick-and-mortar retailers were negatively affecting their business. This is perhaps because the same companies that are putting smaller retailers out of business also sell private-label brands online and in-store—leaving consumer goods brands not only with fewer options, but increased competition within search results and on the shelves next to them.

By |2019-06-05T21:07:04+00:00June 5th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Almost two-thirds of UK ad spend to be online by 2020

UK online advertising expenditure, relative to the size of the economy, is now the highest in the world at 0.63% of GDP.  In 2018, online advertising contributed 57% (£13.4bn) of the UK’s total advertising spend of £23.6bn. Twenty years ago, online expenditure didn’t even register in published statistics.This is according to the latest Advertising Pays report by the UK’s advertising thinktank Credos and Enders Analysis, which also shows how the UK’s strong online economy has powered the growth of online advertising.At £1,868 per person, the UK retail ecommerce expenditure per capita is higher than in any other G20 market, with both online advertising expenditure and internet retail expenditure almost trebling since 2010.

By |2019-06-05T17:12:13+00:00June 5th, 2019|Scoop.it|0 Comments

US Adults Are Spending More Time on Mobile Than They Do Watching TV – eMarketer Trends, Forecasts & Statistics

For the first time ever, US consumers will spend more time using their mobile devices than watching TV, with smartphone use dominating that time spent.Consumers’ use of smartphones will continue to make up the majority of their media consumption, but we predict that use will plateau by 2020, as consumers become increasingly uneasy about overuse of mobile devices.

By |2019-06-05T17:11:28+00:00June 5th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Trenitalia va concurrencer les TGV de la SNCF sur Paris-Lyon

Au début de la décennie, la SNCF s'était alliée à des industriels italiens pour lancer Italo, le premier opérateur privé de TGV , qui a attaqué frontalement Trenitalia sur son marché intérieur. La compagnie transalpine avait très mal pris cette incursion sur ses plates-bandes, et ne cachait pas  sa volonté de répliquer . L'ouverture de cette première liaison lui en donnerait l'occasion.Apprentissage du marchéDans un premier temps, il lui faudra éviter de perdre trop d'argent : si la section entre Paris et Lyon sera sans doute rentable, celle entre Lyon et Milan sera probablement plombée par un très faible taux de remplissage. Le prix à payer pour faire l'apprentissage du marché tricolore, estime sans doute Trenitalia.Côté français, cette première initiative va être l'occasion de roder les mécanismes de mise en concurrence de la SNCF sur les grandes lignes. La place qui sera réservée à Thello gare de Lyon, et la capacité de donner à la compagnie les créneaux horaires de circulation sur le réseau qu'elle réclame, seront surveillés de près.Pertes de recettes pour la SNCFLa SNCF, de son côté, sera évidemment vigilante. Mais elle s'est préparée depuis des années à cette échéance, et son offre TGV, segmentée entre le haut de gamme inOui et le low cost Ouigo, la met a priori à l'abri d'une déconvenue majeure. Elle va devoir par contre renoncer à une petite partie de ses recettes : l'axe Paris-Lyon étant saturé, elle devra diminuer son offre, notamment lors de la pointe du matin et du soir, période la plus rentable, pour faire une place à son nouveau concurrent.

By |2019-06-05T16:37:56+00:00June 5th, 2019|Scoop.it|0 Comments