Monthly Archives: December 2019

Maduro Plans to Airdrop Petro to Municipal Leaders and Eligible Citizens

Venezuelan President Aggressively Pushes for Petro AdoptionThe United Socialist Party leader and Venezuelan president Nicolás Maduro has been marketing the country’s cryptocurrency, the petro (PTR), aggressively recently. In November, Maduro told the public that PTR needs to be just as usable as physical currencies. “The usability is very important, so we can distribute the petro,” Maduro explained at the time. The Venezuelan head of state noted that there are citizens who don’t have a phone, but emphasized that “usability can be done with a card.” Maduro continued by saying that just like the 18 million Venezuelans with the Carnet de la Patria (Homeland card), a card for PTR can be created. The Homeland card is a Venezuelan identity card that leverages a QR code and a digital wallet. Maduro’s announcement further stressed:We can give debit cards with petro, that is, build a solid monetary system and boost the usability of the Venezuelan cryptocurrency.Sunacrip Notice 19 and 20 discuss Maduro’s push for petro (PTR) usability and adoption, while the notices also notify the public of the approval of 30 million barrels of crude oil to back the cryptocurrency.The Venezuelan leader went on to say that the state’s electronic payment system will help the country “seek a definitive exit to the economic war.” Maduro remarked that thousands of Venezuelan merchants will be onboarded by next year and the state’s digital currency system is “taking the right steps to consolidate the economy.” The usability news from the president followed his decision to approve a total of 30 million barrels of crude oil and petroleum products to Sunacrip. The 30 million barrels of oil backing the PTR is much smaller than the promised five billion barrels of oil the Venezuelan government initially pledged to leverage.

By |2019-12-16T22:21:38+00:00December 16th, 2019|Scoop.it|0 Comments

German Banks Increasingly Charging Retail Clients Negative Interest Rates

More Banks Charge Negative Rates From First EuroGerman banks are increasingly passing on the burden of negative interest rates to their retail clients from the very first euro deposited into their accounts. While it is not uncommon for banks in Germany to levy negative interest rates on their customers, most of them have refrained from charging retail clients, largely due to concerns of reputational damage. However, a regional bank close to Munich, Volksbank Raiffeisenbank Fuerstenfeldbruck, made headlines recently when it began charging all new clients -0.5% on their deposits from the first euro deposited. Since then, at least two more banks have followed suit.Another bank, Kreissparkasse Stendal, has a similar policy for clients who have no other relationship with the bank. The bank explains on its website that it is charging a “deposit fee” on balances of 0.01 euro or more. Both Volksbank Raiffeisenbank Fuerstenfeldbruck and Kreissparkasse Stendal “levy the charges on new customers who open a type of savings account that allows for daily, unlimited withdrawals, a popular instrument among German savers,” Bloomberg detailed.

By |2019-12-16T22:20:35+00:00December 16th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Coca-Cola brings back the global CMO role

“Over the past several years, we’ve worked hard to create headroom for our brands to grow. We created the frameworks and disciplines to capture it, and our results demonstrate our progress,” says Crespo. “I feel confident that this great company that I love is set for sustained and long-term growth.”Coca-Cola’s last CMO was Marcos de Quinto, who held the position for more than two years. When he retired, the company made the decision to create the CGO role, which added corporate strategy, customer and commercial to the CMO role.Those duties will now be split.Integrated global marketing, which includes creative, category, marketing operations, design, and knowledge and insights, will report into new CMO Manolo Arroyo. He will also keep his role as president of Asia Pacific.Corporate strategy will report into CFO John Murphy, while customer and commercial operations will fall under chief operating officer Brian Smith’s remit.

By |2019-12-16T15:43:33+00:00December 16th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Cdiscount réinvente la façon de vendre du vin

La Nouvelle Cave proposera trois types de services :- Un conseil digitalisé. En plus de 3 cavistes experts, un sommelier digital, développé avec Matcha, une start-up spécialisée sur le vin, est à la disposition des clients, permettant de les orienter au mieux vers la bonne bouteille en rayon, grâce à un tout nouveau système de guidage lumineux mis en place avec la société Soixante Circuits.- Un accompagnement pour les néophytes ou avertis : grâce à un système inédit de pastillage des bouteilles, les clients ont accès à une clef de lecture simple pour trouver et retrouver la bonne bouteille, celle qui correspond à ses goûts ou à l’utilisation désirée. « Nous sommes partis du postulat que chez les commerçants spécialisés aucun conseil ni indication n’est fourni, si ce n’est la provenance, or chaque client est unique et il faut donc lui apporter une réponse dédiée unique », explique Laurent Lacluque.- Une personnalisation de l’offre : seules les bouteilles les mieux notées et les plus vendues sur Cdiscount et sur le bassin parisien sont proposées en magasin, réactualisées en temps réel grâce à des étiquettes électroniques- Un accès à une offre augmentée : la tablette tactile installée au centre du magasin permet aux futurs shoppers d’avoir accès à plus de 7000 références en livraison gratuite à domicile. Le dispositif est également activable sur smartphone via un QR Code.- Plus de services : des masterclasses d’œnologie et de mixologie animées par des vignerons et des bartenders, la possibilité de tester avant d’acheter, de fabriquer de la bière sur place, de refroidir instantanément toute bouteille achetée pour une consommation immédiate…« Et nous allons encore plus loin, ajoute Laurent Lacluque, nous sommes convaincus du pouvoir de prescription des clients, nous avons donc voulu leur redonner ce pouvoir. Au travers de leurs notes, commentaires sur chaque bouteille et participations aux ateliers, ils contribueront à l’animation et l’amélioration du lieu et de l’offre au fil du temps ».Pour l’instant d'autres boutiques ne sont pas encore prévues, mais l’ambition est clairement affichée : si ça marche, d’autres Nouvelle Cave verront le jour. A court terme des synergies auront lieu avec les autres entités du groupe, comme par exemple « apporter des solutions pour repenser les rayons vins des enseignes appartenant à Casino ».

By |2019-12-16T08:22:32+00:00December 16th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Bordeaux : la filière numérique en quête de talents et de sens – Sud Ouest.fr

Recruter, c’est « la » préoccupation majeure aujourd’hui de toutes les entreprises du numérique dans la métropole bordelaise. Jeudi après-midi, le Job Connect était l’un des temps forts du French Tech Day, qui réunit chaque année l’écosystème. Pas moins de cent entreprises (Dolist, FieldBox.ai…) proposaient ensemble 380 emplois. Dont 300 en CDI.

By |2019-12-13T14:28:25+00:00December 13th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Saga launches SGA token to rival Facebook’s libra cryptocurrency

One blockchain company thinks it has an alternative to Facebook’s digital currency proposal.With an advisory board that includes top economists like Nobel Prize-winner Myron Scholes, U.K.-based firm Saga hopes to introduce a global currency that regulators find agreeable.The company on Tuesday launched its saga (SGA) token, a virtual currency tied to a basket of currencies in order to maintain a stable value. That’s not too dissimilar to Facebook’s libra, which was met with a barrage of regulatory opposition moments after being announced. But one key thing that sets it apart from that project is what Saga bases the currency’s value on.

By |2019-12-13T11:14:09+00:00December 13th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Comment Apple Pay s’est imposé auprès des banques françaises

près avoir tenté de résister au géant américain, les banques ont dû se rendre à l’évidence : les Français ont pris l’habitude d’utiliser leur smartphone et le paiement ne saurait y échapper. Les banques sont sommées d’innover. « Apple Pay permet de fidéliser », souligne Michel Khazzaka.Résultat, les banques se sont toutes converties. Aujourd’hui, leurs clients peuvent payer chez les commerçants avec un iPhone, un iPad ou une Apple Watch via un système de reconnaissance par empreintes digitales. Près de 75 % des commerçants français sont équipés de boîtiers de paiement sans contact compatibles avec les smartphones.Les volumes demeurent toutefois modestes. En 2019, les paiements via les « X Pay » (Apple Pay, Google Pay et Samsung Pay) ont représenté 1 % des transactions dématérialisées, en ligne ou en caisse. « Même s’ils restent encore minoritaires, ces paiements ne font qu’augmenter », explique-t-on du côté de la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad).Commissions très élevéesLes banques refusent de communiquer sur le montant des commissions demandées par Apple, mais s’accordent à dire que celles-ci sont élevées. « Les banques n’ont pas le choix, le contrat n’est pas négociable. C’est à prendre ou à laisser, explique un bon connaisseur du dossier. Et elles ne peuvent pas laisser. »Les commissions prélevées par Apple, qui s’ajoutent à celles payées par les commerçants sur les transactions par carte bancaire, varient selon les établissements. Elles seraient en moyenne de 0,01 % par transaction, selon plusieurs sources. Une situation qui contraste avec les deux autres géants du secteur. Google Pay et Samsung Pay sont en effet gratuits et ne prélèvent aucune commission.

By |2019-12-12T20:56:23+00:00December 12th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Pourquoi les caissières vont complètement disparaître

Le SBAMLa désaffection des hypermarchés a également conduit les distributeurs à supprimer la traditionnelle « ligne de caisses » qui agissait comme une frontière. C'est le cas du Carrefour de Dijon. Gérard Mulliez, le fondateur d'Auchan, avait érigé le SBAM en règle d'or. « Sourire, bonjour, au revoir, merci » : la caissière devenait hôtesse avec une fonction d'accueil. C'est peut-être tout ce qu'il restera. Les vestales du tapis roulant qui entretenaient le feu sacré de la consommation de masse s'effacent du paysage.L'e-commerce, enfin, a tué le métier. En ligne, c'est le client qui joue à la marchande. En deux clics, il commande. En un, il paie. Internet représente, selon les secteurs, entre 5 % et 20 % des ventes.Employés polyvalentsQue vont devenir alors les 135.000 caissières de la distribution, soit 20 % des effectifs du secteur ? Les professionnels tablent sur une baisse de 5 % à 10 % dans les 5 ans. Les statistiques ont un angle mort. La grande majorité des effectifs des grandes surfaces sont des employés commerciaux, un statut polyvalent. Or la polyactivité empêche la précision des décomptes. En réalité, nombre de caissières exercent déjà un autre métier. Dans les magasins de proximités, ceux que l'on fréquente à Paris intra-muros, 90 % du personnel alterne entre l'approvisionnement des rayons et la caisse. Le pourcentage est de 60 % dans les supermarchés et de 20 % dans les hypers.

By |2019-12-12T20:54:55+00:00December 12th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Google’s new era

Co-founders Larry Page and Sergey Brin announced yesterday that they're stepping down from managing parent company Alphabet, paving the way for Google CEO Sundar Pichai to take the top spot. While they'll retain their seats on the company's board — as well as a combined 51 percent voting majority — the move makes Indian-born Pichai one of Silicon Valley's most powerful individuals.What's on his agenda now? Besides overseeing a broader portfolio, such as self-driving cars and health care innovations, the 47-year-old must also deal with Alphabet's increasing political and regulatory challenges.

By |2019-12-12T18:18:21+00:00December 12th, 2019|Scoop.it|0 Comments

France Plans a Revolution to Rein in the Kings of Big Tech | WIRED

CÉDRIC O, FRANCE'S DIGITAL AFFAIRS MINISTER O says that as with banks, governments could identify the “systemic” tech companies with the most power and target them with extra regulations. Those could include being forced to allow competitors access to their services or data for free or at controlled rates, a ban on acquisitions, and even specific hate-speech rules.“Tech platforms have a footprint in our economies and our democracies that is a huge challenge for public power.”Such ideas are unlikely to be popular with US tech companies or the top officials and tweeters of the Trump administration. But O claims that support for reforming antitrust rules to rein in tech is growing in the US, citing discussions he had this week with figures including Wheeler, Senator Brian Schatz (D-Hawaii), who favors a government crackdown on tech firms, and Stanford economist Doug Melamed, formerly a top lawyer on the Justice Department’s antitrust case against Microsoft.

By |2019-12-12T17:01:23+00:00December 12th, 2019|Scoop.it|0 Comments