Monthly Archives: January 2020

Tesla dépasse les 100 milliards de dollars en Bourse, jackpot en vue pour Elon Musk

En Bourse, Tesla vaut désormais plus que General Motors et Ford réunis. A l'ouverture de Wall Street ce mercredi, le constructeur américain a dépassé pour la première fois les 100 milliards de dollars de capitalisation boursière.Un événement prévisible tant les bonnes nouvelles s'enchaînent en ce moment pour Tesla dont les livraisons annuelles, publiées début janvier, ont largement dépassé les attentes des investisseurs. Quelques semaines plus tôt, le constructeur avait aussi agréablement surpris en signant un troisième trimestre profitable, alors que les analystes tablaient sur une nouvelle perte.En outre, l'avenir de Tesla s'annonce sous les meilleurs auspices. En octobre, la firme californienne a commencé à produire des véhicules dans sa gigantesque usine chinoise, ce qui pourrait lui assurer une place de choix sur le plus grand marché du monde. Tesla s'apprête également à accélérer en Europe, avec l'ouverture prochaine d'une usine à Berlin.Coup de pouce du patron de VolkswagenEnfin, Tesla s'est trouvé un allié inattendu en la personne d'Herbert Diess, le patron de Volkswagen. Lors d'une conférence, le dirigeant s'est publiquement inquiété du destin du géant allemand, craignant qu'il subisse le même sort que le finlandais Nokia dans les télécoms - avec Tesla dans le rôle d'Apple.En Bourse, Tesla et Volkswagen, pourtant incomparables en termes de ventes, sont désormais au coude-à-coude. Le leader mondial a même provisoirement été dépassé par son concurrent mercredi.Dernière bonne nouvelle pour Elon Musk, dont la rémunération est liée depuis 2018 aux performances de l'entreprise  : le franchissement de la barre des 100 milliards de dollars de capitalisation le rend théoriquement éligible à un bonus de… 346 millions de dollars . Mais il faudra pour cela rester au-dessus de cette barre pendant six mois.

By |2020-01-22T22:17:29+00:00January 22nd, 2020|Scoop.it|0 Comments

Maduro Opens International Crypto Casino

The president of Venezuela announced Friday that he has authorized the opening of a casino at the Humboldt Hotel in Caracas where bets must be placed in petros (PTR). The hotel, located on the peak of El Avila hill, was reopened in 2018.“I have authorized legal bets with petros,” he reportedly said during a joint radio and television broadcast. “For example, in the Hotel Humboldt, there will be an international casino and everyone who wants to bet will bet with petros, all those resources will enter the state for health and education.” Maduro elaborated:You can come to bet. There will be offers, special prices. You buy your petro tokens, you can buy them if you bring yuan, if you bring yen, dollars, euros or any other cryptocurrencies … buy your petros and make your licit bets allowed by the state as contemplated by national laws.Maduro announcing the opening of a casino at the Hotel Humboldt.Gamblers must acquire PTR to participate, Criptonoticias news outlet clarified, citing that the initiative aims to procure additional resources to boost Venezuela’s recessionary and hyperinflationary economy. While the Venezuelan president did not specify which cryptocurrencies are accepted, the government’s Petroapp allows users to buy PTR with BTC, LTC, and DASH.Promoting PetrosThe petro was officially launched in February 2018 by Maduro in an attempt to evade U.S. and European Union sanctions against some state officials and companies. However, many are calling the petro a scam and the U.S. has banned its use.Last week, he decreed that the sale of all fuel sold by the PDVSA, Venezuela’s state-owned oil and natural gas company, for planes operating international routes be made in petros from now on, AFP reported. Some buyers of Venezuelan crude oil have reportedly halted purchases after the country started demanding payment of port fees in petros.Furthermore, Maduro has decreed the mandatory use of the petro to pay for state document services including passports. In December, he approved bonuses in petros for state employees and pensioners. The government gave half a petro to 3.5 million public workers and 4.5 million pensioners in December to test the use of the digital currency for payments. In January, it announced that 1,233,093 people paid with petros at 7,422 stores throughout the national territory during that time period.

By |2020-01-22T22:15:12+00:00January 22nd, 2020|Scoop.it|0 Comments

Le chinois Tencent poursuit son incursion dans la fintech française

Quelques jours après être entré au capital de Lydia, le géant chinois des jeux vidéo  Tencent poursuit son incursion dans la fintech française, en menant la levée de fonds record - à l'échelle française -  de la néobanque Qonto. Propriétaire de la méga-appli WeChat revendiquant plus d'un milliard d'utilisateurs, Tencent multiplie les investissements tous azimuts, des jeux vidéo à la musique où il vient de prendre 10 % du capital d'Universal Music Group, en passant par les paiements.Aller là où ils sont bien accueillis« Au sein des BATX (Baidu, Alibaba, Tencent et Xiaomi, les 'Gafa chinois'), Tencent est celui qui a réalisé le plus d'investissements dans les services financiers depuis cinq ans, avec 27 investissements pour Tencent, sur un total de 48. Par comparaison, les Gafa n'ont réalisé que 15 investissements sur ce secteur dans la même période », explique Mikaël Ptachek, à la tête de l'Observatoire de la fintech.Tencent est déjà présent au tour de table de la néobanque allemande N26. Le géant chinois, valorisé 486 milliards de dollars américains, avait par ailleurs investi à lui seul 180 millions de dollars au Brésil, dans Nubank.« Les holdings chinoises nouent peu à peu un réseau puis trouvent dans un deuxième temps une façon de mettre en synergie le dispositif », estime Mikaël Ptachek. Dans ces prises de position minoritaires, les investisseurs chinois améliorent leur courbe d'apprentissage dans des secteurs ou des environnements réglementaires différents des leurs.« Les investisseurs chinois vont là où ils sont bien accueillis. Après les tensions connues aux Etats-Unis, on va les revoir davantage en Europe », explique Emmanuel Gros, vice-président de la banque d'affaires B & A.

By |2020-01-21T12:34:29+00:00January 21st, 2020|Scoop.it|0 Comments

Mes amis, ma start-up, mes emmerdes…

L'idée est née lors d'une discussion entre amis, vite écrite sur le coin d'une nappe. Puis ils se sont lancés dans la création d'une start-up. C'est là que commence l'histoire, la petite et peut-être la grande. Qui ne se termine pas toujours bien…« Tu vois, à la fameuse question 'si tu pouvais retourner en arrière, qu'est-ce que tu ne referais pas ?', eh bien là, t'as la réponse… » La voix de Mathieu tremble de ressentiments. Sa mâchoire se crispe sous le poids des amertumes rentrées, des désillusions, des déceptions. Non seulement sa start-up n'a jamais décollé, mais sa relation avec son meilleur ami en a subi les conséquences. « On ne se parle plus du tout, lance-t-il. Je ne veux même plus en parler. Il a clairement essayé de me la faire à l'envers… »Dans l'écosystème start-up, ce genre d'affaires est bien connu. Porter son entreprise au sommet nécessite aussi souvent d'ensevelir au plus profond les petites trahisons qui en ont généralement découlé. La plus célèbre start-up au monde en est l'exemple même. Facebook, réseau social phare censé créer des amitiés, « les a toutes détruites parmi ses fondateurs », racontait en 2010 le romancier américain Ben Mezrich, auteur de La Revanche d'un solitaire (Max Milo). On se souvient, dans The Social Network, le film de David Fincher tiré de l'histoire de Mark Zuckerberg, de la fameuse scène où Eduardo Saverin, après avoir observé une dilution de ses parts dans l'entreprise avec l'arrivée d'investisseurs, lance à un Zuckerberg impassible : « J'étais ton seul ami. » Parmi les spectateurs, ceux qui ont créé des entreprises peuvent l'avoir carrément vécue…

By |2020-01-20T23:34:58+00:00January 20th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Google se donne deux ans pour éliminer les « cookies » de son navigateur – Sud Ouest.fr

Le géant du web a indiqué que son programme « Privacy Sandbox » lancée en août permettrait toujours aux annonceurs de diffuser des messages ciblés, tout en évitant aux gens d’être suivis par ces « cookies » lorsqu’ils utilisent le navigateur Google Chrome. L’objectif est de rendre les « cookies » de sites tiers (qui ne proviennent pas du navigateur utilisé mais du site visité), « obsolètes » d’ici « deux ans », a indiqué dans un billet de blog Justin Schuh de Chrome Engineering.Respect de la vie privéeCes petits traceurs, installés automatiquement lors de la visite d’un site internet, servent à identifier un internaute, à sauvegarder ses préférences mais aussi à établir son profil et à savoir s’il a vu, ou cliqué, sur une publicité. Leur utilisation est dénoncée par les partisans du respect de la vie privée, mais défendue par les développeurs de services en ligne gratuits qui survivent grâce aux revenus publicitaires qu’ils génèrent.« Notre objectif avec cette initiative open source (dont les codes sont accessibles à tous, ndlr) est de rendre le web plus privé et sécurisé pour les utilisateurs, tout en soutenant les éditeurs", a assuré Justin Schuh. Bloquer purement et simplement les  »cookies" n’est pas une bonne solution pour le géant américain qui craint que cela n’encourage des méthodes de traçage encore plus insidieuses.Google n’a pas précisé par quoi il comptait remplacer ces « cookies » tiers, mais a dit « travailler activement » pour que les développeurs et éditeurs aient l’opportunité d’expérimenter de nouveaux mécanismes. Reste à savoir si l’élimination progressive de ces traceurs donnera à Google plus de contrôle sur sa publicité en ligne, un secteur qu’il domine pour l’instant aux côtés de Facebook.

By |2020-01-20T23:19:50+00:00January 20th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Netflix en pleine accélération en France

Pour  l'inauguration de ses locaux en France , Netflix a cherché à faire les choses en grand. Tables rondes avec des réalisateurs, des auteurs et la direction de Netflix… mais aussi du grand patron, Reed Hastings, du ministre de la Culture, Franck Riester, et de la maire de Paris, Anne Hidalgo, et de bon nombre de personnalités du monde audiovisuel. Le service de vidéo à la demande par abonnement, arrivé en France en 2014, veut accélérer dans l'Hexagone.  Netflix, qui a déjà 24 titres « originaux » en France (« Plan coeur », « Family Business », « Banlieusards », « Marseille » etc.) développe 20 nouvelles productions pour 2020. Au total, le groupe américain  veut investir plus 100 millions d'euros en France, cette année, a indiqué Reed Hastings,  dans une interview à « L'Express ».Par comparaison, le groupe avait investi 200 millions d'euros en France depuis 2015, a indiqué le ministre de la Culture. « Hollywood est juste l'un de nos centres culturels, parmi d'autres. On veut permettre à nos abonnés de voir des oeuvres françaises ou d'autres pays partout dans le monde », a précisé Reed Hastings, vendredi soir, soulignant que Netflix était en France dans une optique de long terme. La plate-forme de streaming avait déjà eu un bureau en France en 2014 avec une équipe marketing, qu'elle avait fermée deux plus tard . 

By |2020-01-20T23:12:42+00:00January 20th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Mais qui a mangé tous les cookies?

Google, plus que jamais au centre de l'échiquierDans cet article très complet, Digiday revient sur cette fameuse Privacy Sandbox. Les cookies y sont remplacés par 5 API. Les annonceurs utiliseront ces interfaces pour recevoir la data sur la conversion de leurs publicités, l'attribution. La Privacy Sandbox repose sur des signaux anonymisés au sein de Chrome. Le bac à sable est en chantier : aucune plateforme ou code n'est accessible aux marketers. Mais Digiday explique que le "Trust API, est l'alternative de Google à Captcha (vous savez, cette interface qui prouve que vous n'êtes pas un robot en aidant les robots à reconnaitre les images d'autobus). Il demandera à l'utilisateur de Chrome de remplir une fois pour toutes un programme de type Captcha et de se reposer ensuite sur un "token de confiance", pour assurer qu'il est bien un humain, et non pas une machine. L'API "privacy budget" limite le montant de data que les sites web peuvent glaner dans l'API de Google. L'API de mesure de conversion, alternative aux cookies, dira aux annonceurs si l'utilisateur a vu la pub et acheté le produit ou a atterri sur la page promue. Le Federated Learning of Cohorts se repose sur le machine learning pour étudier les comportements en ligne de "groups of similar users". Enfin, PIGIN (Private Interest Groups, Including Noise), qui permet à chaque navigateur Chrome de suivre des groupes d'intérêts.La data reste dans le navigateur de l'individu où elle est stockée et travaillée. "Ce sont les nouvelles tables de la loi de la privacy" explique Amit Kotecha MD de Permutive, à Digiday.L'API de conversion est la première que les développeurs de Chrome ont décidé de tester. "S'il est centré sur le clic, cela va encore favoriser les campagnes de direct response". Google a déclaré travailler avec l'industrie pour s'assurer que sa Privacy Sandbox serait profitable à tout le marché, pas juste à son résultat d'exploitation. Le but ? Transformer ces API en standards ouverts qui pourraient être adoptés par Safari et Mozilla.L'une des questions que se pose le marché ? Est-ce que les équipes internes de Google auront accès à la data agrégée disponible pour tout le monde? Ou les équipes bénéficieront-elles d'une data plus fine ? Digiday rappelle que Google a un certain historique sur la manière de tordre les règles du jeu en sa faveur...Une opportunité pour certainsLe reflux du retargetting pourrait favoriser de nouveaux acteurs, comme Batch, opérateur de push sur navigateurs. Et celui du cookie tiers, celui des opérateurs d'ID unifiés comme iD5. Certains (et la liste ci- dessous n'est pas exhaustive) se sont préparés au tremblement de terre dans les temps. Andrew Casale, le fondateur d'Index Exchange avait 17 ans quand il crée un ad network au Canada. Il met ensuite en place un SSP. Et développe une solution de leader bidding individualisée. En 2015, il évolue de régie à solution technologique et se rebaptise Index Exchange. "Il y a deux ans, il comprend que le cookie va disparaitre. Et s'il disparait, les éditeurs perdent 40% de leurs revenus. C'est donc une question de survie. Il se dit qu'il faut aller sur l'identité "people based", en allant derrière cela, sur des identifiants persistants à base de l'email." Index Exchange lance sa solution au prochain quadrimestre. Cela s'appelle avoir l'instinct du time to market.Augustin Decré compare la situation actuelle avec celle du marché allemand, quand Firefox a mis en place la stratégie "do not track". Depuis l'Allemagne a mis en place Net ID, qui repose sur des identifiants sans cookies. Outre Rhin, ce type de mouvement est plus simple qu'en France, tant les syndicats professionnels, et notamment ceux de la presse sont unis et puissants. Firefox représentait alors 70% du marché, et c'était un peu la crise de 29."Le RGPD et la politique des navigateurs est une opportunité pour les éditeurs. Car l'identification des internautes par des cookies tiers a un impact sur leurs site. Les éditeurs n'ont pas le contrôle de ce qui se passe entre leurs 7 000 vendeurs. Et cela affecte la qualité et la sécurité demeures sites. C'est le secret honteux du marché. Les SSP et DSP ont chacun leurs technologies propres. L'appel des pixels entre les pages ne fonctionnent pas bien. Et ça laisse passer des chances d'identifier les internautes à chaque étape. Globalement la déperdition se situe entre 30 à 50% des contacts. Et ce système a un impact aussi sur le temps de téléchargement de la page. Ca expose aussi au pillage des données". Bref, "il fallait sortir du cookie tiers".La solution ? Des identifiants partagés qui donnent un langage commun au programmatique. Il s'agit de passer de 7 000 plateformes, 7 000 identifiants différents à 6 ou 7 identifiants partagés. Parmi les opérateurs de ce type de techno, très très actuelle, ID5, mais aussi des acteurs comme BritePool ou Liveramp.Pour conclure, répondons à la question que nous avons posée "qui a mangé les cookies ?". Et bien, le public, d'abord, qui a voté avec ses pieds, en adoptant les adblocks. Les régulateurs, ensuite, qui se sont un peu perdus dans les spécificités techniques. Et les GAFA, enfin, qui ont ramassé les miettes d'un marché qu'ils dévorent déjà à pleines dents.

By |2020-01-20T22:34:52+00:00January 20th, 2020|Scoop.it|0 Comments

You Might Want to Get Back to Working on the Railroad

No doubt, the 2020 rail industry isn’t exactly in prime fighting shape: U.S. rail carloads decreased roughly 5 percent in 2019, according to data from the Association of American Railroads. Employment is projected to dip 2 percent from 2018 to 2028, compared with the 5 percent average growth rate for all occupations, according to the Bureau of Labor Statistics. Surviving typically means cutting costs — and often cutting jobs — and the industry’s health is subject to volatility generated by trade disputes. But public transit, despite declining ridership, remains better insulated than some other industries, because funding comes from local, state and national governments, Wivell explains. Meanwhile, untenable traffic congestion is forcing cities to consider large-scale public transit expansions. Expanding transit — and how, exactly, to do so — is a project more and more cities are being forced to confront in the face of accelerating climate change and outdated infrastructure systems that exacerbate housing crises. Cities including New York, San Francisco, Madrid and Barcelona are experimenting with car-free zones, a move that has stoked heated opinions on both sides. New York City closed 14th Street and became the first U.S. city to approve congestion pricing in 2019 to mitigate traffic and to raise money to update its subway (it will take effect in 2021). And a slew of apps have cropped up to incentivize commuters to make greener choices.

By |2020-01-20T22:13:56+00:00January 20th, 2020|Scoop.it|0 Comments

In Paris, Ecommerce Warehouses Get a Chic Makeover | WIRED

In Paris, where progressive city leaders spent the last decade pushing residents to travel by bike and Metro rather than private car, the city has launched plans to convert abandoned parking facilities and gas stations into distribution warehouses. Paris has also become more open to developing once-polluted brownfields. So since 2013, Paris has been developing “logistics hotels”—smaller mixed-use developments used for delivery logistics, located in residential neighborhoods instead of the industrial urban fringe. The most unique “hotel,” called Chapelle International, opened in April 2018, on top of an abandoned railway in the trendy 18th arrondissement in the city’s northern section. Don’t call it a distribution center: The “hotel” is actually a 484,000-square-foot mixed-use development, with three stories of floorspace for the entry, organization, and exit of parcels. But it also hosts a data center, offices, sports facilities like tennis courts, and an urban farm. The project was developed by French firm Sogaris, which is owned by the city of Paris but operated as a private company. The hotel is an example of the city’s innovative approach to the urban planning of logistics in the era of e-commerce, says Laetitia Dablanc, who studies logistics at the Université Gustave Eiffel in Paris. (Dablanc’s professorial chair is endowed by Sogaris.) It also makes the concept of an urban distribution center more palatable to residents. It offers them services, but also quick access for rail, delivery vans, and cargo-cycles charged with moving packages the last mile. (The center’s rail link is not yet running.)"

By |2020-01-20T22:08:46+00:00January 20th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Que faisons-nous de tout ce temps passé sur Internet ?

Notre temps quotidien passé sur internet continue sa forte progression. Ce qui change, ce sont nos motivations : une récente étude montre que nous cherchons de plus en plus à nous informer ou à obtenir une réponse à une requête précise, et de moins en moins à nous distraire. Une évolution qui implique de nouvelles responsabilités, mais aussi de nouvelles opportunités, pour les producteurs de contenus.6H42 par jour. C’est le (gigantesque !) temps que nous passons en moyenne sur internet , dans le monde. En France, nous n’en sommes « que » à 4H38 par jour, mais cela représente quand même plus du quart de notre temps éveillé. Et surtout, c’est deux fois plus qu’en 2013 . Mais est-ce grave, est-ce négatif ? C’est en général l’opinion qui prévaut, la majorité des psys/sociologues/scientifiques s’accordant à dire que ce « toujours plus de web » nous désocialise, nous abêtit, voire détruit irrémédiablement notre capacité à raisonner et à nous concentrer. Sans parler de ses éventuels dangers sur notre santé mentale. 

By |2020-01-20T09:55:55+00:00January 20th, 2020|Scoop.it|0 Comments