Monthly Archives: March 2020

Nigerians Can Now Buy Bitcoin With Cash From Stores and ATMs That Take Naira

Nigeria accounts for close to a quarter of all internet users in Africa. Over 123 million Nigerians have access to the web according to Internet World Stats latest data, and one would think that using an online platform to acquire cryptocurrencies isn’t an issue for them. Indeed, opportunities to buy bitcoin on the internet have been increasing, and so have the people that take advantage of them. The Nigeria Bitcoin Community portal lists a number of broker and trading platforms available in the country such as Quidax, Luno, Blockvila, Alphabits, and peer-to-peer exchanges like Remitano, Localbitcoins, Paxful, Coindirect, Buy Coins, and Coincola. Bitcoin.com Local is also available to Nigerians. Other options include Cryset, Redimit, Instantgold.Purchasing cryptocurrency online, however, often requires the buyer to pay electronically, using “traditional” methods such as a bank transfer or credit card and not all P2P platforms allow in-person cash trades. And here is the real issue — having access to the internet doesn’t mean you get to have a bank account too. Around half of Nigeria’s 200 million citizens remain unbanked, and together with the category of the underbanked they form a majority of almost two thirds. According to data released by the World Bank, only around 40% of Nigerian adults have an account with some financial institution or a mobile money provider.Around 100 million Nigerians do not have access to a bank account or financial services.At the same time, the 2018 Global Findex report showed that nearly one in 10 unbanked Nigerians get their wages in cash, including four million who have a mobile phone. Add to that 15 million unbanked Nigerian farmers that sell agricultural goods for cash, some 10 million of whom are mobile phone users, too. That’s a tremendous growth opportunity for cryptocurrencies that need a simple phone to “work,” and not even internet is absolutely necessary thanks to SMS wallets like Cointext, for example.Millions of financially excluded Nigerians would potentially benefit from the financial freedom that comes with decentralized digital money, if they could only get crypto. Cash is ubiquitous in this part of the world and it is the universal payment method the poor and the underprivileged have access to. New opportunities to buy bitcoin with paper money have been emerging in Nigeria in response to interest and demand.Buying Bitcoin With Vouchers Paid With CashYellow Card is a platform that has the tech and internet savvy Nigerians covered, offering them purchase of cryptocurrencies online using a bank transfer or ATM card to load their accounts with naira and then pay for the digital coins they want. It currently supports bitcoin core and dash and will be adding bitcoin cash (BCH) and tether (USDT) in the near future, a company representative confirmed. However, people that have only cash in their pockets are also welcome to acquire crypto from a Yellow Card shop or any of the platform’s agents. To do that, they need to buy a Yellow Card voucher from a merchant which comes with a 16-digit code and redeem it in the mobile app.Yellow Card allows Nigerians to purchase cryptocurrency with vouchers they can buy with cash in stores.Munachi Ogueke, CBO at Yellow Card Financial, told news.Bitcoin.com that although the major demand still comes from traders with bank accounts who generally move bigger volumes, the cash option is doing well too. Yellow Card is currently working with agents in and around Lagos, the country’s commercial and financial hub, and the federal capital Abuja, but it has some serious plans for expansion in the rest of the country aiming to add thousands of brick and mortar stores to its network. There are many different reasons for the increased demand for crypto in Nigeria, Ogueke commented, pointing to the country’s young population and high interest in technology among other factors. Noting that cryptocurrencies are also gradually becoming a popular remittance tool for Nigerians that live and work abroad, he stated:We are seeing explosive growth.Nigeria Gets a Bitcoin ATM and It Won’t Be the LastOther cash for crypto options are gaining ground too. Nigeria now has at least one operational Bitcoin ATM. For various reasons, including security concerns, there’s only a couple of dozen teller devices supporting cryptocurrencies in the whole of Africa, the Coinatmradar map shows. According to local media reports, Nigeria got its first BATM only this year. The device was deployed in Dazey Lounge & Bar in Lagos in early January by a local company called Blockstale. The ATM has been manufactured in China but has an “Africa-focused design,” which takes into account the safety problem in the country, featuring an alarm system, a remote tracker and bio scanners to make it theft and vandal-proof, as the Weetracker news outlet reported.

By |2020-03-08T15:30:14+00:00March 8th, 2020|Scoop.it|1 Comment

Renault lance la voiture électrique low cost en Europe

Une « vraie voiture » électrique à moins de 15.000 euros en Europe ? C'est le pari que lance aujourd'hui Renault avec sa marque Dacia. Faute de concept-car, resté sur le stand du Salon de Genève annulé en dernière minute pour cause de coronavirus, le groupe au losange a diffusé ce mardi par communiqué les premiers détails de sa future voiture électrique à bas coûts. Inspirée de la City KZE , lancée en Chine en novembre dernier, la Dacia Spring est un petit SUV de segment A, de moins de 4 mètres donc, au « look » sportif et aux lignes musclées. Elle sera commercialisée à compter de 2021.

By |2020-03-07T10:47:10+00:00March 7th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Pourquoi la « Raison d’Être » importe-t-elle autant pour les marques…

Radical La radicalité est devenue mode d’expression fréquent, accepté, un moyen de court-circuiter un mode de fonctionnement. Une attitude revendiquée comme un symptôme extrême et une réponse efficace à la crise.Pour les marques, cette radicalité impose de faire face à l’exigence des consommateurs, et de risquer de tomber dans le populisme de marque. Aussi, on peut parler d’un risque permanent d’un défaut de preuves : une impossible exigence de cohérence, ou le dégagisme par des nouveaux joueurs « nativement responsables » peut exister.Mille feuille  Le roman national est définitivement en difficulté. Un des ferments de la radicalité qui réside dans le sentiment de « periphérisation » géographique, économique et statistique pousse tout un chacun a écrire sa propre page, en marge d’une société dans l’incapacité de représenter et d'inclure ses parties prenantes. Pour les marques, une question centrale se pose : celle de l’utilité sociale de l’entreprise/de la marque. Une problématique qui se matérialise notamment dans une expression publicitaire souvent paradoxale : représenter une société fragmentée et proposer des pistes de réconciliation à la fois.Fake News  Rassurez-vous, elles sont dépassées ! Place désormais à la défiance. Pour les marques, la défiance généralisée s’est étendue à l’ensemble des attributs (marque, produits, communication). Rétablir la confiance passe par l’intégrité : réalisation des promesses (vs « brand purpose » déconnecté de la réalité), clarté, simplicité des messages, humilité face à la critique, et choix des contextes et des porte-paroles. Pour être vrai, il faut être brut, cash, immédiat. Data or not data L’inquiétude sur l’usage des données privées ne semble pas freiner le pacte de consommation entre citoyens et GAFA. Une surpuissance des collecteurs de données politiquement comme économiquement qui pose la question suivante : une régulation peut-elle voir le jour ?Fin du monde   Face à l’urgence climatique, le sentiment d’être rattrapé par le passé, le présent et le futur à la fois chamboule les convictions. Pour les marques, le paradoxe ultime règne en maître : la consommation menace la planète et les marques s’engagent pour la sauver…en incitant leur consommateurs à acheter…leur « solution ». Les marques absorbent la préoccupation des consommateurs en proposant de nouveaux produits, en incitant à un usage responsable de leurs produits et services, en réparant, en protégeant. Génération no norme  Explosion des systèmes alternatifs : sexualité, genre, procréation, famille : des domaines qui accèdent enfin à une normalisation pleine et entière sans réprobation. Tolérance, bienveillance et inclusion son au menu, avec des marques sortant enfin des représentations normées (occidentales, blanches, hétéro).  Couleurs de peaux, morphologie, homoparentalité font une apparition massive dans les représentations pub, les offres « inclusives » se répandent. Attention tout de même à ce que l’incarnation de la diversité dépasse la campagne publicitaire…(M)animal Dans une quête de sens et de retour aux fondamentaux, la maltraitance animale, les droits des animaux, la destruction de l’écosystème et de la diversité sont des sujets politiques que le corps citoyen prend à bras le corps. Les antispécistes remettent en cause la prééminence des droits humains sur la nature. Pour les marques, deux questions : quel usage et quelle représentation de la tech et ses apports, en termes d’expérience ou de performance ? Quelles garanties du respect et de la protection du bien être animal et végétal ?    Sens du travail et sens au travail  Le sens que l’entreprise veut donner à son action doit aussi s’adresser à ses employés actuels : il est désormais impossible de dissocier ce qu’une entreprise fait en interne de ce qu’elle dit en externe. La cohérence de la raison d’être avec les pratiques de recrutement, management, autant que la communication et les produits services proposés est de rigueur. Small is beautiful  Ce qui faisait hier la puissance fait aujourd’hui la défiance et la honte. Une question de légitimité de la puissance est posée, et ce qui vient d’en haut est suspecté. Manifester est un acte économique, consommer est un acte politique. Avec le circuit court comme argument marketing ultime, les marques peuvent ainsi mettre en scène le sens que peut avoir un acte d’achat. « En achetant à un petit  producteur, j’ai un impact sur sa vie ». Délocalisation, bio, transparence extrême : on assiste à la réinvention des productions, avec du petit, du local, du neuf. Local  Le local est une manière de revendiquer un ancrage mais aussi de se protéger et de se cloisonner. Une manière de retrouver des liens plus forts : « la revanche de la géographie sur l’histoire » . Là ou on parlait d’ancrage historique, on parle maintenant d’encrage géographique, d’inscription dans un territoire.  

By |2020-03-07T10:46:43+00:00March 7th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Le Boeing 737 MAX, un avion “fondamentalement défectueux et dangereux”

Après deux crashs à moins de cinq mois d’intervalle, qui ont fait respectivement 189 et 157 morts fin 2018 et début 2019, les conclusions du Congrès américain sur le Boeing 737 MAX sont sans appel. Le 737 MAX de Boeing, cloué au sol depuis près d’un an, est un avion "fondamentalement défectueux et dangereux" qui démontre la nécessité de réformer les réglementations relatives à la certification des avions de ligne, a estimé vendredi la commission des Transports du Congrès américain.À quelques jours de la commémoration de la tragédie d’Ethiopian Airlines, le 10 mars, qui a fait 157 morts en 2019, les élus de la Chambre des représentants ont dévoilé des conclusions sans appel.Myriade de dysfonctionnementsCet accident est survenu moins de cinq mois après celui de Lion Air qui a fait 189 morts dans des conditions similaires. C’est principalement le dysfonctionnement du système anti-décrochage MCAS qui a été mis en cause. Une myriade de dysfonctionnements techniques ont également été mis au jour, tels que le manque de redondance de certains systèmes, normalement présents en plusieurs exemplaires par mesure de sécurité en cas de défaillance de l’un d’entre eux.

By |2020-03-07T10:44:29+00:00March 7th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Le service client plus important que jamais

Selon un récent rapport de l’institut de recherche Forrester le nombre de responsables de l'expérience client a augmenté de plus de 1000% en cinq ans dans les entreprises. L'étude montre que les entreprises créées ces cinq dernières années sont 64 % plus susceptibles de compter un Chief Customer Officer (CCO) parmi leur personnel. Une évolution logique quand on sait que les responsables du service client s'attendent à ce que les requêtes des consommateurs ainsi que la taille de leurs équipes augmentent respectivement de 42 % et 36 % dans un avenir proche.Conversations ininterrompues exigées Les clients exigent aujourd’hui des conversations ininterrompues, sans friction ou qui se perdent d'un canal de communication à un autre. Ils veulent que les marques soient joignables sur les canaux qu'ils utilisent pour communiquer avec leurs amis et leur famille. Ces échanges avec les clients doivent être ancrés dans un fil de conversation unique entre les différents canaux pour garantir les réponses rapides et efficaces exigées par les consommateurs."Nous sommes dans une toute nouvelle ère, les attentes clients changent à tel point que le service peut faire ou défaire une entreprise, prévient Elisabeth Zornes, Chief customer officer chez Zendesk. Pour construire une base de clients fidèles tout en se différenciant véritablement, les entreprises, quels que soient leur secteur d'activité, taille et zone géographique, doivent offrir une expérience client sans friction et tirer profit de chaque interaction pour fidéliser les consommateurs ». Beaucoup reste encore à faire…

By |2020-03-05T09:55:00+00:00March 5th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Super Coca-Cola fournisseur officiel d’empathie

Le manque d’empathie dans notre société actuelle est réel. Une enquête effectuée en décembre 2019 dans six pays européens (France, Royaume-Uni, Allemagne, Italie, Danemark et Russie) par l’institut Delineate pour Coca-Cola montre qu’un jeune sur trois âgé de 16 à 24 ans considère notre époque comme la meilleure qui soit alors même que nous vivons aujourd’hui plus longtemps en meilleure santé avec plus d’égalité, de sécurité et de démocratie que dans le passé. 63% des sondés pensent qu’écouter et comprendre les autres pourrait nous rendre plus heureux. Mais une marque de boissons gazeuses est-elle la plus à même de faire de la publicité autour de ces thèmes ? Le sucre et la caféine contenus dans une bouteille ou une canette de Coca-Cola augmentent notre pression sanguine et dilatent nos pupilles. Quelques gorgées suffisent à nous exciter, à nous rendre plus nerveux et à nous empêcher de dormir car elles encouragent la production de dopamine . Pas sûr qu’un tel breuvage dont on supplie les parents de nepkus en donner à leurs enfants, soit le plus recommandé pour lutter contre le manque d’empathie et la violence de notre société…

By |2020-03-05T09:54:19+00:00March 5th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Redécouvrir la proximité

Se mettre à recréer de la proximité là où il n’y en avait plus. Renouer avec la terre. Revisiter son quartier. Aimer ses régions. Rompre avec certains choix de vie. Investir le local en redonnant du sens à l’innovation et en humanisant la tech et la ville… Voilà le nouveau visage de notre pays. Fini le temps où l’on parlait de « Paris et du désert français ». Ces mots empruntés au géographe Jean-François Gravier qui les écrivait il y a moins d’un siècle sont l’expression d’une France déséquilibrée, voire bornée à la Ville lumière si bien nommée pour laisser dans l’ombre la province, que dis-je les provinces, ces belles endormies qui ne suscitaient qu’ennui et faisaient fuir les entreprises, les talents, la jeunesse. Aujourd’hui, les belles, au bois dormant, se sont éveillées et bousculent avec fougue tous les comportements et les codes de nos consommations. Dans cette société qui vit un changement complet de ses paradigmes économiques, sociétaux et surtout écologiques, les liens sociaux se transforment. L’autorité centralisée est remise en cause. L’heure est à une mutation profonde qui passe par la réinvention de nos territoires, dans leurs dimensions socio-économiques, culturelles, et dans la promotion de leurs richesses : la recherche, l’innovation et l’information. Nous avons voulu, dans le nouvel opus d’INfluencia qui sort cette semaine, comprendre comment les citoyens, les consommateurs, les collectifs et les villes redonnaient du sens au mot proximité. Et comment les industries, les marques, les distributeurs, les médias et les agences s’adaptaient et participaient à cette nouvelle quête de sens.

By |2020-03-05T09:50:29+00:00March 5th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Electricité : Enedis veut investir 69 milliards d’euros en seize ans

Dans les prochaines années, la France veut accélérer le déploiement des énergies renouvelables et de la mobilité électrique. Ce qui complique sérieusement les choses pour Enedis, obligé d'agir sur plusieurs fronts. « On passe d'un réseau où l'électricité va dans un sens, du producteur au consommateur, à un système électrique conçu et exploité de manière totalement différente, avec des acteurs nouveaux », remarque Marianne Laigneau.L'entreprise doit ainsi raccorder actuellement 90 % des nouvelles installations renouvelables au réseau d'électricité. Soit 450.000 producteurs d'électricité en tout, pour une capacité de 26 gigawatts raccordés en dix ans. Seuls les plus grands projets renouvelables, comme l'éolien en mer , sont raccordés directement au réseau de transport par RTE.100.000 bornesSans bornes de recharge , pas de véhicules électriques. En 2022, Enedis vise donc aussi 100.000 bornes raccordées au réseau en 2022, contre près de 30.000 aujourd'hui. Cela permettra de recharger un million de véhicules électriques environ. « Notre rôle est d'être un facilitateur de cette mobilité électrique. Nous ne vendons rien », insiste Marianne Laigneau.L'entreprise aide par exemple les collectivités à déterminer quel serait l'endroit le plus pertinent pour installer des bornes de recharge. « Après on tire des câbles » pour connecter ces bornes au réseau, explique la nouvelle dirigeante.

By |2020-03-05T09:45:15+00:00March 5th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Mark Ritson: Coronavirus won’t hurt Corona, it will actually boost sales

So, is this really that bad for Corona? Well, every shit researcher on the planet is currently ignoring the most basic rules of survey design in order to find out something, anything, of interest. Most surveys appear to be showing very negative brand sentiment and a significant decline in purchase likelihood.One company – that famed behemoth of scientific marketing, 5W Public Relations – has been increasing its own salience with a survey showing that 16% of Americans are confused about whether Corona beer has anything to do with coronavirus and that 38% of American beer drinkers who were surveyed said they wouldn’t buy Corona “under any circumstances”. That 38% figure was widely cited over the weekend by a global media, only too ready to write about the indirect damage that the pandemic will do to Corona’s sales.The problem with this kind of research – if I can massively over-summarise, overstate and oversimplify Daniel Kahneman’s work for a sub-sentence – is that it is very much a ‘System 2’ measure of a ‘System 1’ situation. Ask people if coronavirus will affect their feelings for Corona and their reactions might be statistically significant but externally invalid.The massive salience boost for Corona that is now happening will propel the brand to top-of-mind status for millions of beer drinkers for many weeks to come. That’s important because System 1 thinking is how most of us buy most of our shit.We might bang on in focus groups in a fantastically System 2 manner about how our mothers, life goals and modernity influence our toothpaste decision. But as soon as we are out the door of the focus group facility we are back to the brutal invisibility of System 1 buying.Earlier today someone asked you whether you wanted a flat white or a cappuccino. Within a millisecond you shot back “flat white”. You don’t know why. I don’t know why. You just said it. System 1. Drink your coffee.And that’s how most people buy beer. Of this I am certain. When you walk to a bar the question is not ‘does this pandemic make you feel different about any of the beers on the following list?’. The question is: “What can I get you?” Or, if you drink in working-class pubs that have dogs and dartboards, a vaguely intimidating nod in your direction.Either way, the answer that will spring to mind for thousands of drinkers in the current and coming months will be “Corona”. Not because of what it stands for. Not because of the negative associations it evokes. Just because that was the first beer that came to mind. The reptile brain wins again. And so – if this column is correct – will Corona.

By |2020-03-05T09:38:50+00:00March 5th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Marques circulaires : faire mieux avec moins

Alors que 80% des marques de mode qui se créent actuellement ont une démarche responsable, ce sont quasiment toutes les entreprises qui sont en train de remettre en question leur impact sociétal et environnemental. Suivre les nouvelles aspirations des consommateurs est devenu une question vitale pour exister demain. L’étude  « 50 expériences inspirantes pour aller vers l’éco-responsabilité » dresse un portrait des marques qui ont su renouveler leur offre pour anticiper demain. Focus ici sur les marques dites « circulaires », ces entreprises qui font désormais mieux avec moins, en utilisant différents procédés.Sauver les matières premières  Re-Belle commercialise des confitures à partir de fruits et légumes invendus des supermarchés. Cuisinées « hors circuit » ces confitures ont la bonne idée de s’approvisionner avec des fruits délaissés par les consommateurs. Produites à Aubervilliers, les confitures sont distribuées en Ile-de-France, dans des hôtels, des petits commerçants et désormais dans 100 enseignes Monoprix.Réutiliser les matériaux  Maison de création française fondée en 2005, Bilum redonne vie à des matières récupérées, oubliées et destinées à être jetées. À partir de matériaux tels que gilets de sauvetages, tissus, toiles enduites, drapeaux, affiches papier, Bilum créé des sacs, accessoires et quelques pièces de mobilier avec l’aide d’artisans français, le tout en circuit court. En mars 2019, la marque Caroll a fait appel à ce pionnier de la transformation des bâches publicitaires pour effectuer la dépose d’une bâche géante promotionnelle apposée sur la devanture des Galeries Lafayette. L’entreprise a ensuite transformé la bâche en pochettes et sacs de weekend qui ont servi de cadeaux pour les fans de la marque. Deezer, Orangina, Agnès B. ou Michel et Augustin ont aussi fait appel à cette ingénieuse idée. Dans la même lignée, Cos a lancé à Londres en 2019 son premier concept store entièrement dédié à la collaboration artistique. La boutique-musée-galerie réutilise du matériel employé par la marque pour d’autres occasions, comme la grandiose structure Conifera créée initialement pour le Salon du Meuble de Milan. Cette œuvre réalisée en bio plastique entièrement biodégradable a été ré-agencée et reconfigurée dans le magasin londonien en guise d’exposition éphémère pour les visiteurs. Réinventer les formats pour économiser Avec le développement des consciences sont arrivés les nouveaux modèles de magasins proposant du vrac : des produits non emballés, souvent vendus au poids, par souci d’économie et avec la volonté de créer le moins de déchets possibles. La nouveauté nous provient de CoZie, start-up française qui propose des cosmétiques liquides et zéro déchet grâce à un système de consigne en verre et une machine à vrac pour distribuer ces produits. Les consommateurs peuvent donc consommer quatre produits cosmétiques sans produire de déchets. En l'espace d'un an, la start-up s'est constitué un vivier de 287 distributeurs, membres de Réseau Vrac et enseignes bio, grâce à cette machine qui réunit encombrement minimal, traçabilité, praticité et hygiène. Sous la pression des consommateurs les marques traditionnelles sont en train de prendre le virage de l’éco-responsabilité. Consignes, packagings recyclés, biodégradables, grands formats économiques et écologiques, récupération des matières, transformation des déchets : l’avenir regorge de nouvelles opportunités pour le marketing et pour la préservation de la planète.

By |2020-03-05T09:36:48+00:00March 5th, 2020|Scoop.it|0 Comments