Monthly Archives: August 2020

Goldman Sachs Cryptocurrency: Possible Collaboration With JPMorgan and Facebook | News

Goldman Sachs’ Cryptocurrency PlanGlobal investment bank Goldman Sachs has recently appointed a new head of digital assets, Mathew McDermott, a managing director who ran the investment bank’s internal funding operations. He has now revealed that Goldman is exploring creating its own cryptocurrency, CNBC reported on Thursday, quoting the new digital assets chief as saying:We are exploring the commercial viability of creating our own fiat digital token.However, McDermott added that “it’s early days as we continue to work through the potential use cases.” He is expanding his team at Goldman Sachs, reportedly hiring Oli Harris, JPMorgan Chase’s head of digital assets strategy. Harris was involved in JP Morgan’s cryptocurrency, the JPM coin, and was also a vice president in charge of Quorum, the ethereum-based blockchain platform that underpins the JPM coin. The coin, pegged to the U.S. dollar, enables the instantaneous transfer of payments between institutional clients, JPMorgan explained on its website.The new digital assets head said that it is crucial to build “consensus with other banks, institutional investors and regulators,” the publication noted. He believes that “The technology will only take off when it gains a critical mass of users across the world of finance” and “industry consortiums are the best way forward.”McDermott further explained that he “spends a lot of time talking to other companies, including JPMorgan and Facebook.” The social media giant has proposed a cryptocurrency project called Libra, which recently updated its plans to better comply with regulatory requirements. According to CNBC, he indicated:One Goldman project involves collaboration with JPMorgan, potentially regarding how the two banks’ nascent technology efforts could work together.“In the next five to 10 years, you could see a financial system where all assets and liabilities are native to a blockchain, with all transactions natively happening on chain,” the new digital assets head opined.He believes that “Since the boom days of bitcoin a few years ago, interest has shifted from retail and rich investors to large institutions,” the publication conveyed. “We’ve definitely seen an uptick in interest across some of our institutional clients who are exploring how they can participate in this space … It definitely feels like there is a resurgence of interest in cryptocurrencies,” McDermott was quoted as saying.Goldman Sachs has not been pro-cryptocurrency in the past. In May, the investment bank told its clients that “cryptocurrencies including bitcoin are not an asset class.”

By |2020-08-10T15:39:17+00:00August 10th, 2020|Scoop.it|0 Comments

M-Kopa, le pari africain sur l’Offgrid | CIO MAG

En 2012, lorsqu’ils lançaient leur service d’électricité pour les consommateurs à faible revenu et hors réseau, les fondateurs de M-Kopa ne prévoyaient pas une croissance aussi rapide au Kenya. Jesse Moore et Nick Hughes, les co-fondateurs de M-Kopa (avec Chad Larson), ont conçu un système d’énergie constitué d’un panneau solaire et d’une batterie, reliés par un câble solaire. Il est couplé à des micro-paiements électroniques. L’installation à domicile coûte 30 dollars. A ce jour, il fournit de l’électricité à plus de 3 millions de personnes, dans plus de 600 000 foyers d’Afrique de l’Est, au Kenya, en Ouganda et en Tanzanie. Grâce à la lumière produite, les enfants peuvent doubler leur temps d’études après l’école.Ouvert à d’autres services de paiement comme PayPal, le dispositif génère l’historique des crédits que les ménages peuvent utiliser pour acheter des biens et des services. Le financement des études des enfants en fait partie. L’impact de M-Kopa sur le secteur Offgrid est aussi économique. L’entreprise, qui compte 850 employés sur l’ensemble de ses marchés, a dû réduire son effectif de 18% fin 2017. M-Kopa est également responsable de plus de 100 emplois techniques au Kenya. C’est donc un moteur technologique important pour le pays.Pour l’heure, les promoteurs souhaitent faire profiter des dizaines de millions de personnes supplémentaires des bénéfices de cette innovation, dans d’autres pays où M-Kopa sera présent pendant des décennies.

By |2020-08-05T14:46:51+00:00August 5th, 2020|Scoop.it|0 Comments

La blockchain pour rendre la coopération financière au développement plus transparente et efficace | CIO MAG

Une plateforme partagée et basée sur la blockchain pour suivre les financements des bailleurs pourrait contribuer à résoudre ces défis – et c’est effectivement l’idée de derrière l’application TruBudget : Développée par la KfW (banque publique de développement allemande) depuis 2018, TruBudget a l’ambition d’apporter les qualités de la blockchain à la gestion financière des Etats. La blockchain est vue comme un moyen de partager de l’information entre acteurs de manière transparente, auditable par des tiers et en évitant le détournement dans les flux transactionnels. Ainsi les différentes étapes de décaissement, les avis de non-objection, ou des indicateurs d’avancement du projet peuvent être enregistrés sur la blockchain, accessibles à tout moment par tout acteur participant. En créant des relations de confiance, TruBudget permet aux bailleurs de canaliser leurs moyens directement par le budget national, sans risques majeures de malversation. Les avantages sont nombreux : omission des systèmes parallèles et coûteux, renforcement de l’autonomie des gouvernements, amélioration de la durabilité et de l’efficacité des fonds mis à disposition.TruBudget a récemment été mise en place au Burkina Faso, en Ethiopie et en Géorgie par BearingPoint, en étroite collaboration avec les gouvernements respectifs. Créée en open source, c’est une plateforme blockchain privée dont l’accès est limité aux pays partenaires et aux bailleurs de fonds. Le processus du financement accordé par un bailleur de fond inclut plusieurs acteurs et plusieurs opérations dépendantes les unes par rapport aux autres. L’insertion de la blockchain peut fluidifier l’enchaînement des opérations pour plus d’efficience et de transparence. Elle peut aussi impliquer une simplification des processus et faciliter la production des bilans trimestriels ou annuels financiers et conjoncturels, qui se formeraient au fur et à mesure des actions menées sur la plateforme. La plateforme apparaît ici comme une vitrine des finances publiques pour les bailleurs de fonds et une garantie de transparence pour tous les acteurs du développement. De surcroît, la plateforme permet de détecter à l’avance tout défaut budgétaire.

By |2020-08-05T14:15:57+00:00August 5th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Sun Exchange : l’énergie solaire et la blockchain en binôme | CIO MAG

L’originalité du projet porté par Abraham Cambridge, CEO de Sun Exchange, mérite d’être racontée, tant le dispositif déployé par le Sud-africain intéresse un public à l’échelle mondiale. Basée sur la blockchain, Sun Exchange est une plateforme permettant à toute personne, quel que soit l’endroit où elle se trouve sur la planète, d’acheter en ligne des cellules solaires photovoltaïques. Elles sont vendues à un prix unitaire inférieur à 5 $. Et fournissent un revenu au propriétaire, qui loue l’électricité produite à des écoles, des fermes, des hôpitaux, des entreprises et d’autres organisations en Afrique du Sud. À leur tour, ces organisations acheteuses ont accès à une énergie solaire abordable et fiable.Sun Exchange a été lancé en 2015 par Abraham Cambridge, via à une campagne de financement participatif de 35 000 $. Durant ses cinq années d’activités, le projet s’est renforcé avec 31 projets solaires alimentant, à ce jour, plus de 150 000 cellules solaires. Quant aux investisseurs, ils sont répartis dans 164 pays. Une autre satisfaction, pour l’entrepreneur et la quinzaine d’employés qui constitue son équipe, c’est d’avoir réussi à lever, en juin dernier, trois millions de dollars auprès du Fonds Afrique pour les énergies renouvelables (ARPF). Cela va permettre à la firme de s’étendre à travers l’Afrique subsaharienne et d’alimenter des projets hors réseau. Elle va également fournir de l’énergie propre et abordable aux organisations connectées au réseau.

By |2020-08-05T14:14:16+00:00August 5th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Vous voudrez bien d’une éolienne près de chez vous ?

Et peu importe si ce sont des contre-vérités. Le baromètre annuel de l’Ademe (l’agence de la transition écologique) sur les Français et l’environnement, réalisé en décembre dernier, ne conclut pas à un affaiblissement du consensus sur l’éolien. C’est même plutôt le contraire. A la question « accepteriez-vous qu’un parc de 5 à 10 éoliennes soit installé à moins d’un kilomètre de chez vous ? », 32 % des Français concernés2 répondaient « non » en 2014 et en 2015, puis 30 % en 2018 et désormais 28 % en 2019. Parallèlement, ceux ayant répondu « oui », sont plus de 60 % en 2019, en hausse de 3 points par rapport à 2017.Les autres sondages aboutissent à des conclusions similaires. Celui commandé en 2018 à Louis Harris par France Energie Eolienne (le syndicat de la profession) indique que 73 % des Français ont une bonne image de l’éolien. Et quand on pose la question aux riverains, ils sont 80 %. A noter que parmi les 9 % de personnes qui étaient opposées à un projet avant sa construction, un peu plus de la moitié (52 %) se disent favorables après.

By |2020-08-03T18:21:05+00:00August 3rd, 2020|Scoop.it|0 Comments

Microsoft says CEO Satya Nadella has talked to Trump about buying TikTok

In a blog post Sunday, Microsoft said it was “prepared to continue discussions to explore a purchase of TikTok in the United States,” following a conversation between its CEO Satya Nadella and President Trump. It’s the first time the company has confirmed reports it was in talks to acquire the video sharing platform.“Microsoft fully appreciates the importance of addressing the President’s concerns. It is committed to acquiring TikTok subject to a complete security review and providing proper economic benefits to the United States, including the United States Treasury,” the blog post reads. It adds that the company expects to move “quickly to pursue discussions with TikTok’s parent company, ByteDance, in a matter of weeks, and in any event completing these discussions no later than September 15, 2020.”The blog post also says that “the two companies have provided notice of their intent to explore a preliminary proposal that would involve a purchase of the TikTok service in the United States, Canada, Australia, and New Zealand and would result in Microsoft owning and operating TikTok in these markets.”It’s unclear how Microsoft would sever those countries from other areas where TikTok operates, like Europe and Africa. Microsoft also did not commit to undertaking the purchase entirely on its own, saying that the company “may invite other American investors to participate on a minority basis in this purchase.”President Trump had threatened to ban TikTok in the US on Friday. Trump indicated to reporters that he was ready to sign a document to order the TikTok ban as early as Saturday, either via an executive order or emergency economic powers.Secretary of State Mike Pompeo mentioned the possibility of a ban as early as July 7th, saying it was “something we’re looking at.” TikTok is a subsidiary of Beijing-based ByteDance, and critics have called out its privacy practices and potential ties to the Chinese government. Pompeo also compared TikTok to Huawei and ZTE, two Chinese companies that have been designated as threats to US national security.The blog post describes the discussions as “preliminary,” but addresses the privacy concerns, saying the company would “ensure that all private data of TikTok’s American users is transferred to and remains in the United States.“To the extent that any such data is currently stored or backed-up outside the United States,” the post continues, “Microsoft would ensure that this data is deleted from servers outside the country after it is transferred.”

By |2020-08-03T17:11:13+00:00August 3rd, 2020|Scoop.it|0 Comments