Monthly Archives: December 2020

Le joaillier Courbet délivre une assurance contre le vol embarquée dans une blockchain

Luxe et digital font bon ménage chez le joailler Courbet. Cette jeune marque de bijoux, créée en 2018 avec une adresse place Vendôme, délivre à ses clients une assurance digitale hébergée dans une blockchain afin de les protéger contre le vol lors de l’achat d’une bague de fiançailles. Désormais, les personnes qui achèteront une bague se verront délivrer un certificat d’authentification digital géré par blockchain, intégrant nativement une assurance contre le vol caractérisé. Des diamants de synthèse et de l’or recyclé Créé par Manuel Mallen et Marie-Ann Wachtmeister, le joaillier Courbet revendique une vision éthique de son métier. Pour la création de ses bijoux, il utilise des diamants de synthèse et de l’or recyclé afin de faire émerger une joaillerie durable, consciente et transparente. Le certificat numérique d’authentification d’une bague est délivré par la société GoodsID. Les informations sont placées dans une blockchain afin d’être infalsifiables. Ces certificats ne comportent aucune information nominative sur le propriétaire de la bague. Une assurance est nativement intégrée au bien dès l’achat et directement incluse dans le certificat numérique. L’assurance est délivrée par INsurer Wakam, anciennement La Parisienne Assurances. L’assurance est offerte par Courbet aux propriétaires à ce jour, au moment de l’achat et pour une durée de 2 ans. L’assurance est intégrée dans le certificat digital, hébergé et sécurisé dans la blockchain.

By |2020-12-04T22:22:28+00:00December 4th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Safety Line : « L’aérien n’a pas d’autre choix que d’intégrer l’environnement à son modèle »

Nous avons commencé notre activité en développant un modèle d’apprentissage statistique ou Machine Learning afin d’optimiser la consommation de carburant lors du décollage et de la montée des avions. Lors de la phase de montée, OptiClimb a par exemple permis à Transavia d’économiser 82kg de carburant par vol en moyenne.  La solution s’appuie sur l’analyse de données collectées dans les boîtes noires des appareils ce qui permet d’identifier par exemple des raccourcis en vol. C’est l’une des particularités de notre solution qui fait l’objet par ailleurs de plusieurs dépôts de brevets. À noter que les données des boîtes noires de chaque compagnie sont collectées uniquement compagnie par compagnie et exploitées dans le cadre de l’optimisation des vols. Le pilote dispose d’un outil d’aide à la décision pour gagner du temps, réduire sa consommation de carburant et donc permettre à la compagnie aérienne de réduire ses gaz à effet de serre. Au fil du temps, nous avons développé OptiDirect, une solution complémentaire pour optimiser les performances du vol de croisière en trouvant des raccourcis qui ont déjà été validés par le contrôle aérien, l’idée étant à terme d’optimiser les performances lors de l’intégralité des phases de vol soit du décollage à l’atterrissage.

By |2020-12-03T17:56:51+00:00December 3rd, 2020|Scoop.it|0 Comments

Pourquoi Facebook aide gratuitement des TPE et PME françaises à se digitaliser et vendre en ligne

Le réseau social américain a lancé un dispositif d’urgence en France avec la CPME pour aider les commerces de proximité à se numériser afin de mieux faire face à la crise. L’objectif est de toucher 2 millions d’entrepreneurs sur les six prochains mois "82% des Français âgés de 16 ans et plus achètent en ligne, mais seulement 15% des TPE françaises vendent en ligne. La France est à la traîne en Europe sur ce sujet et se classe en 21e position", alerte Clotilde Briend, directrice des Affaires Publiques chez Facebook France. Pourquoi ? "46% disent que c’est par manque de temps et 43% par manque d’argent", constate-t-elle. Cela est d’autant plus problématique que ces petites sociétés constituent l’essentiel du tissu économique français. En revanche, 50% des TPE et PME françaises (soit 2 millions d’entreprises) sont sur Facebook.  Formations flash, outils de diagnostic… Face à ce constat, Facebook et la CPME ont allié leurs forces autour d’un dispositif d’urgence pour accélérer l’adoption de solutions digitales par les commerçants français. "Le risque de voir surgir de plus grandes difficultés dans les mois à venir est réel, et de nombreux points de vente et commerces pourraient fermer dans les prochains mois. Dans ce contexte, digitaliser son entreprise n’est aujourd’hui plus une option, c’est une question de survie", justifie François Asselin, président de la CPME. LA RÉDACTION VOUS CONSEILLE Manifestations samedi à Bordeaux : pour les commerçants, « c’est un film catastrophe » Pour tenter d’y remédier, un vaste programme d’accélération de la digitalisation des commerces a été lancé par Facebook pour toucher 2 millions d’entrepreneurs au cours des 6 prochains mois. A travers notamment une grande campagne de sensibilisation avec des vidéos d’entreprises locales partagées sur le réseau social et sur le site #SoutenonsnosTPEPME "pour aider les entrepreneurs à accélérer leur adoption du numérique". Le partenariat a débuté la semaine du 16 au 20 novembre, par un programme de 25 formations "flash" gratuites de 30 minutes pour basculer en urgence vers des solutions digitales. Il a été proposé aux 150 000 entreprises du réseau CPME, qui emploient près de 3 millions de salariés. 

By |2020-12-03T17:47:36+00:00December 3rd, 2020|Scoop.it|0 Comments

Search data is a gold mine for marketing strategy

Share of search as currently proposed only goes so far That’s not to say pulling Google trends for your brand name and that of your most important competitors to see who’s getting the most searches isn’t useful. It quite clearly is. Share of search gives a quick read on how in demand your brand is versus theirs, and that’s a handy yardstick for how well you’re doing. And yes, if advertising is working to generate demand, it will generate searches too, so share of search – just like brand consideration – can give you a read on how your campaign landed. But it doesn’t take into account the supply side of the purchase decision, and that’s a problem if you want to use it to say anything about whether a marketing investment is or was worth making, or what size your budget should be. Understanding the ‘art and science’ of share of search A search for your brand indicates some willingness to purchase from you, but it doesn’t tell you how much people are willing to pay, or which product features they need. You can be an in-demand brand, with a high share of search, but if the price is wrong, that demand won’t convert to a sale.

By |2020-12-03T08:47:31+00:00December 3rd, 2020|Scoop.it|0 Comments

La troisième main, modèle économique de demain ?

En quelques années, la seconde main est devenue plébiscitée, notamment par la nouvelle génération et bon nombre de marques se lancent dans ce nouveau commerce. Mais les petites marques ont souvent un temps d’avance. Dans la récente étude publiée par Urban Sublime « Transformer la crise en opportunités », Laetitia Faure fondatrice du bureau de tendances analyse les nouvelles formes de vente émergentes. Elle analyse aujourd’hui pour Influencia le concept de la troisième main.   La troisième main, énième concept marketing ? Pas du tout ! Plutôt un surplus de cohérence et une volonté d’aller plus loin dans son modèle éco-responsable. Mélanie Pillaud a fondé La Chambre de Mila, un site e-commerce qui vend des tenues pour enfants, chinées sur Vinted ou issues d’associations de collecte de vêtements. A priori, des vêtements de seconde main donc.   Là où le concept est poussé plus loin qu’à l’accoutumée c’est que le site propose une opération inédite baptisée avec humour : VaTeFaireRecycler. Une fois les vêtements bien utilisés par les enfants, les clients peuvent renvoyer leurs commandes au site, en échange d’un bon d’achat à réutiliser sur la plateforme. Les vêtements récupérés sont soit remis sur le marché, soit transformés en doudous ou lingettes lavables à offrir. Une belle façon de prolonger la vie des vêtements tout en fidélisant les clients grâce aux bons d’achats qui valorisent leur engagement. Et une offre lingettes et peluches créée sans achat de matière première. Un incroyable win-win.

By |2020-12-03T08:46:20+00:00December 3rd, 2020|Scoop.it|0 Comments

Richemont, Farfetch et Alibaba s’unissent pour conquérir la Chine

  Les trois géants Richemont, Farfetch et Alibaba forment un partenariat stratégique pour renforcer leur puissance dans un pays qui devrait représenter la moitié des ventes mondiales de produits de luxe d'ici à 2025.   Certaines alliances font plus de vagues que d’autres. Lorsqu’un géant du luxe unit ses forces avec la première plateforme de mode au monde et le leader de la vente en ligne dans le pays le plus peuplé de la planète, l’annonce fait du bruit. Richemont, Farfetch et Alibaba viennent de conclure un partenariat stratégique visant à fournir aux marques de luxe un meilleur accès au marché chinois. En tirant partie de l'expertise et de la portée de chaque entreprise, cette association vise à accélérer la digitalisation de l'industrie mondiale du luxe et à franchir une nouvelle étape en intégrant de manière transparente les ventes en ligne et physique.      1,1 Md€ d’investissement   Farfetch qui a été fondé en 2008 au Portugal par l’entrepreneur José Neves  compte ainsi lancer de nouveaux canaux d’achats sur les plateformes Tmall Luxury Pavilion, Luxury Soho et Tmall Global d'Alibaba. Il pourra ainsi avoir accès aux 757 millions de clients du groupe chinois. Alibaba et Richemont ont prévu d’investir à parts égales 600 millions de dollars dans des obligations privées convertibles émises par Farfetch Limited. Ils vont également dépenser 500 millions de dollars et prendre 25% du capital de Farfetch China, une entité nouvellement créée dans laquelle seront rassemblée toutes les opérations de Farfetch en République populaire.     Avenir du luxe   « Cette annonce consolide la stratégie de Farfetch, visant à stimuler la transformation numérique de l'industrie du luxe, grandement accélérée par les défis causés par la pandémie du Covid-19 », se félicite José Neves. Le PDG du groupe Alibaba, Daniel Zhang, estime, pour sa part, que cette alliance va lui permettre d’accélérer « la digitalisation de l’industrie du luxe  et de  l'expérience d'achat des consommateurs ». La Chine devrait représenter, rappelons-le, la moitié des ventes mondiales de produits de luxe d'ici à 2025. Le président de Richemont, Johann Rupert, juge, quant à lui, que cet accord permettra d’établir « de nouvelles normes pour l'avenir du luxe ». Rien que cela…

By |2020-12-03T08:44:57+00:00December 3rd, 2020|Scoop.it|0 Comments

La Ruche qui dit Oui ! appelle au soulèvement en faveur d’une…

La Ruche qui dit Oui ! prend la parole pour la première fois auprès du grand public avec l’agence The Good Company. Pour certain.e.s observateur.trice.s, l’ère du libre échange est à jamais grippée. Un contexte idyllique pour cette campagne, déployée en affichage, social et digital, qui entend porter haut et fort le modèle du local et des circuits courts.   Vous aurez surement déjà entendu certains médias -dont votre serviteur, ici ou là- fredonner cette ritournelle ces dernières années : l’attente des consommateurs est de plus en plus grande pour une consommation alimentaire éthique et locale. Selon une étude OpinionWay réalisée pour l'ONG Max Havelaar en mai 2020, les Français sont désormais nombreux à privilégier les produits locaux -45%-, made in France -39%- ou bio -29%-. Pour 69% de nos compatriotes, la pandémie, dont-on-a-marre-de-prononcer-le-nom, nécessite de se tourner vers des achats plus responsables. De quoi transformer le tube d’un moment en classique indémodable. Encore fallait-il trouver les bons musiciens pour l’interpréter.    Sélectionnée à l’issue d’un appel d’offre, l’agence The Good Company accompagne La Ruche qui dit Oui ! pour sa toute première campagne de communication grand public. Depuis sa création il y a 9 ans, La Ruche qui dit Oui ! développe les circuits courts via une plateforme web et un réseau créatif, autonome et décentralisé afin de mettre en relation les consommateurs et les producteurs issus de l’agriculture biologique ou de l’agriculture raisonnée. Après avoir passé commande sur le site internet, les clients n’ont plus qu’à récupérer leurs produits directement auprès des producteurs locaux, grâce aux quelques 1500 points de vente répartis à travers l’Europe : les Ruches. Quant à son modèle économique, sur une commande de 100 euros, le producteur touche 80 euros, le responsable de Ruche 8,35 euros, et la Ruche qui dit Oui!, 11,65 euros. « Cette commission est nécessaire pour faire fonctionner la plateforme », selon Clémence Fernet, chargée de communication pour la firme collaborative

By |2020-12-02T18:50:12+00:00December 2nd, 2020|Scoop.it|0 Comments

Jean Castex : un isolement de 7 jours est envisagé pour les Français partis skier à l’étranger

Mardi, Emmanuel Macron a annoncé qu’il envisageait de prendre « des mesures restrictives et dissuasives » pour empêcher les Français d’aller skier à l’étranger, notamment en Suisse, à Noël. La nature de ces mesures est désormais connue. « On va instaurer une quarantaine », avec « des contrôles aléatoires », a déclaré ce matin le Premier ministre Jean Castex sur BFMTV/RMC. Les préfets des départements limitrophes « pourraient ordonner un isolement de sept jours » pour les Français qui rentreraient d’une station de ski suisse ou espagnole. Cette mesure, qui ne concernerait pas les travailleurs transfrontaliers, se veut dissuasive. « La conclusion à en tirer, c’est que je ne vais pas en Suisse » pour skier, a ajouté Jean Castex. L’harmonisation achoppe toujours La France a décidé de maintenir les remontées mécaniques fermées pendant les vacances de Noël. « Et à côté, en Suisse et en Espagne, alors même qu’ils ont des indices sanitaires plus dégradés que les nôtres, ils ouvrent », regrette le Premier ministre. « Nous préfèrerions une harmonisation européenne », explique le Premier ministre. Mais pour l’instant, comme l’été dernier, cette harmonisation achoppe. Si l’Italie, l’Allemagne et la France sont alignées au niveau de la non-pratique du ski alpin, l’Espagne et la Suisse font de la résistance. « Mais l’action diplomatique continue », « la messe n’est pas dite. » Eviter une troisième vague « Nous gérons l’épidémie au mieux », « pour ne pas avoir de troisième vague en janvier », martèle le chef du gouvernement. « On voit bien que c’est une zone à risques, qui pourrait nous rappeler un peu ce qui s’est passé cet été. » « Nous sommes dans la prévention. ». Quand les remontées mécaniques pourront-elles ouvrir en France ? « Je ne peux pas répondre », a indiqué le Premier ministre. « A ce jour, l’échéance, c’est le 20 janvier. »

By |2020-12-02T17:37:07+00:00December 2nd, 2020|Scoop.it|0 Comments

Maurice Lévy veut relancer l’ascenseur social avec son incubateur : l’Escalator

Ce mardi 24 novembre, sur Teams, Maurice Lévy, à la tête de Publicis pendant 30 ans (jusqu’en 2017), présentait L’Escalator, « un incubateur destiné à celles et ceux qui ont l’esprit d’entreprendre, la volonté de réussir, de bonnes idées de start-ups, mais manquent de contacts et de soutiens financiers », précise ainsi le communiqué. À un moment où l’ascenseur social paraît grippé, phénomène accentué par la crise économique liée à la pandémie de Covid19, l’ancien publicitaire toujours président du conseil de surveillance du Publicis Groupe, enjoint les jeunes entrepreneurs à prendre l’escalator « pour gravir les marches de l’entrepreneuriat ». Ils parviendront ainsi à atteindre leurs objectifs plus vite, mais surtout à leur rythme, explique Maurice Lévy. Ce programme d’accompagnement mixant coaching, mentorat et mise en relation accueillera deux promotions par an, avec 15 projets par promotion. Pour participer, le principe est simple et pourrait être résumé dans cette bonne accroche distillée par Maurice Lévy lors de la conférence de lancement : « Vos idées avant votre CV ». Les candidats porteurs d’un projet « durable » doivent déposer un dossier sur le site de L’Escalator qui sera ensuite examiné par un jury formé d’entrepreneurs et de partenaires (parmi lesquels Orange, L’Oréal, Total ou LVMH et Google). Les candidats sélectionnés « qui sont déjà avancés sur leurs projets » seront encadrés pendant un an, et pour ceux « qui ne sont pas en mesure de réaliser le début du projet », le jury se donnera trois mois pour juger de la solvabilité de l’idée, souligne Maurice Lévy à RTL.

By |2020-12-01T23:05:14+00:00December 1st, 2020|Scoop.it|0 Comments

L’enseigne de mode pour la famille Gémo accroit ses ventes en ligne grâce à la gamification

1 chance sur 10 de remporter ses achats en ligne L’enseigne a lancé une campagne « 1 chance sur 10 de remporter vos achats en ligne » sur Gémo.fr. Le chiffre d’affaires en ligne a augmenté de 60% et le trafic Web de 51%. Gémo a utilisé la solution de gamification de la société GoBeep. Les joueurs obtiennent un code qui leur confère la possibilité (« 1 chance sur 10 ») de remporter gratuitement leurs achats en magasin ou sur le site marchand de l’enseigne. Les internautes ont été activés par email via la base de données clients de Gémo et incités à faire leurs enjeux sur Gemo.fr. Pour l’occasion, la livraison à domicile ou en points relais était gratuite sans minimum d’achats. Grâce à la campagne du vendredi 13 novembre,  le trafic a augmenté de +51% par rapport au vendredi 30 octobre. Le chiffre d’affaires web a augmenté de +60% par rapport au 30 octobre. En tout, 55 000 joueurs ont participé à l’opération sur la journée du 13/11. « Nous sommes très heureux des résultats qui ont été bien au-delà de nos attentes pour cette première campagne test menée sur notre site marchand Gemo.fr » réagit Vanessa Gignoux, responsable digital et e-commerce de Gémo. Les retailers doivent être très réactifs « La crise oblige les retailers à jouer d’agilité et être très réactifs pour continuer d’opérer efficacement au gré des différentes mesures restrictives » ajoute-t-elle. L’opération a été menée de manière ponctuelle sur une journée, une semaine après le premier contact avec GoBeep. Ce type d’opération permet également de générer des profils opt-in qui seront réutilisables sur de prochaines actions marketing. Gémo dispose d’un réseau de 440 magasins situés principalement en périphérie en France et à l’étranger. Gémo réalise un chiffre d’affaires de 840 millions d’euros en 2019 et emploie 3900 personnes.

By |2020-12-01T22:32:21+00:00December 1st, 2020|Scoop.it|0 Comments