Monthly Archives: December 2021

    Lydia simplifie l’investissement dans les actions et les crypto-monnaies

    La Fintech Bitpanda permet d’investir en actions, en crypto-monnaies, sur des entreprises américaines  stars comme Tesla, Apple, Google ou Netflix, McDonald’s et des sociétés européennes (SAP, Deutsche Telekom, Adidas, …) et dans le CAC 40 (Carrefour, LVMH, BNP Paribas, Cap Gemini, L’Oréal, Michelin, …). Bitpanda agréé auprès de l’Autorité des Marchés financiers Bitpanda est un prestataire de services sur actifs numériques (PSAN) agréé depuis la fin 2020 par l’Autorité des Marchés Financiers française. Côté crypto-actifs, Bitpanda propose l’achat de Bitcoin, d’Ethereum, de Polkadot ou de ses propres jetons numériques (Best ou Bitpanda Ecosystem Token). Les utilisateurs peuvent directement utiliser l’argent de leur compte Lydia, il est également possible de retirer l’argent instantanément. Bitpanda emploie 600 personnes et annonce 3 millions d’utilisateurs. C’est une nouvelle étape pour l’application Lydia lancée en 2013 avec l’objectif de remplacer l’argent liquide. Depuis 1 an, Lydia s’étoffe de nouvelles fonctionnalités. En juillet 2020, Lydia avait ajouté la possibilité d’obtenir un crédit à la consommation grâce à un partenariat avec Younited Credit. L’offre « Petit Prêt Express » vise à régler des dépenses en équipement, voyage, voire l’achat de petits véhicules d’occasion.  Fin 2020, Lydia montait en puissance en proposant un véritable compte courant, associant un numéro d’identifiant de compte bancaire IBAN (International Bank Account Number) français et une carte bancaire Visa ainsi qu’une possibilité de paiement en plusieurs fois avec la fonction « Acheter maintenant et payer plus tard ». Lydia est en croissance rapide et revendique 5,5 millions d’utilisateurs en cette fin d’année 2021 contre 3,5 millions en juillet 2020. Lydia a été créée à Paris par Antoine Porte et Cyril Chiche. La Fintech a depuis levé un total de 135  millions d’euros auprès d’investisseurs tels que Accel, Tencent, XAnge, New Alpha, groupe Duval et Founders Future. La jeune société emploie 150 personnes et fait partie du Next40, label créé par le gouvernement français afin de soutenir 40 jeunes entreprises considérées comme susceptibles de devenir des leaders.

    By |2021-12-16T23:37:21+00:00December 16th, 2021|Scoop.it|0 Comments

      Adrien Aumont : il faut une « génération Midnight Trains, comme il y a eu celle d’Easyjet »

      Avec Romain Payet, Adrien Aumont est le cofondateur de Midnight Trains. Une entreprise française qui a pour ambition de se lancer sur le marché du train de nuit dès 2024, « dans le sud de l’Europe, en Italie et en Espagne ». Cette aventure entrepreneuriale est née d’une contrainte. « Tout part d’une histoire personnelle, explique Adrien Aumont, également cofondateur du site KissKissBankBank. Ma compagne avait décidé de ne plus jamais monter dans un avion. Les voyages en Europe sont devenus compliqués. J’ai donc essayé de comprendre quel autre moyen de transport permettrait de faire du moyen-courrier. » Après quelques recherches, le train de nuit apparaît « comme le meilleur moyen puisqu’il permet de gagner du temps sur la nuit. C’est une sorte de téléportation». Crédit : Midnight Trains. Le problème c’est bien sûr de se positionner face à la concurrence qui, elle aussi, a bien compris le potentiel du marché du train de nuit. A commencer par la SNCF en France. « Le train de nuit n’est pas quelques chose de nouveau puisqu’il existait déjà il y a un siècle. Il faut juste réinventer le produit pour lui donner un siècle de plus. » A l’époque, celui qui a quitté les bancs de l’école à 14 ans pour privilégier son amour pour le cinéma a déjà bien des idées en tête. « Il faut redéfinir les standards du train de nuit. Globalement, faire mieux qu’ÖBB (l’entreprise autrichienne, véritable pionnière dans le domaine NDLR), mais en moins cher. » Et avec Romain Payet, il choisissent de se positionner sur « du haut de gamme abordable. On a le souhait de faire un produit plutôt cool. Pas de smoking, de la bière artisanale et du vin naturel. Les trois maîtres mots pour que nos trains de nuit fonctionnent doivent être intimité, convivialité et une surcouche digitale très forte ». Midnight Trains veut renouveler les trains de nuit Adrien Aumont le sait, son produit sera forcément un peu plus cher que l’aérien, qui désormais, avec les low cost, pratique des tarifs souvent imbattables sur les longues distances. «  Le train de nuit est plus cher mais le choix du transport ne doit pas être ‘drivé’ par le prix, l’expérience doit primer. Quand vous avez un coût de revient élevé, vous ne pouvez pas le revendre a un prix ‘peu’ cher. Cela nous oblige à produire de la qualité. Et si on ne le fait pas, on ne renouvellera pas le train de nuit. » Crédit : Midnight Trains. L’entrepreneur tient à rappeler que la compétition n’est pas seulement sur le prix du billet mais sur l’ensemble du voyage en avion. « Quand on prend l’avion il faut ajouter, le taxi depuis l’aéroport, voire un nuit d’hôtel et un dîner. » Il souhaite désormais qu’émerge une « génération Midnight Trains comme il y a eu une génération Easyjet ». Le train de nuit, il en est persuadé, a un impact positif sur l‘environnement. « En tant qu’entrepreneur nous avons une obligation d’impact. Les jeunes génération nous appellent. » Midnight Trains peut déjà s’enorgueillir d’une signature de partenariat avec le grosse TMC Travel Perk. « Nous sommes très fiers de signer avec eux. Ils nous prennent sous leur aile. » Aujourd’hui, l’entreprise reste encore au stade d’embryon. Les deux cofondateurs ont rencontré des experts, se sont entourés de consultants et de financiers pour les acquisitions de nouvelles rames. Leur directeur des opérations ferroviaires arrive en janvier. L’acquisition des rames se fera en leasing appelé « rosco » dans le ferroviaire. Pour un départ depuis Paris dès 2024.

      By |2021-12-16T23:12:11+00:00December 16th, 2021|Scoop.it|0 Comments

        Tesla : Taxis G7 suspend sa flotte de Model 3 après un grave accident à Paris

        A la suite d'un terrible accident ayant occasionné un mort et 20 blessés dont trois graves samedi 11 décembre dans le 13e arrondissement de Paris, la compagnie de taxis G7 a décidé de suspendre sa flotte de Tesla Model 3, en attendant les résultats de l'enquête. Le chauffeur du véhicule, qui n'était pas en service à ce moment-là, a perdu le contrôle de son véhicule et percuté des piétons et d'autres véhicules, provoquant des chocs d'une extrême violence. « Une enquête a été ouverte par les forces de l'ordre, et nous nous y fierons », explique Yann Ricordel, directeur général délégué de G7. « En attendant, au vu des premières informations que nous avons recueillies comme nous le faisons sur chaque accident grave, nous avons préféré agir en responsabilité pour protéger nos chauffeurs, nos passagers et les autres usagers de la route. »

        By |2021-12-15T18:40:05+00:00December 15th, 2021|Scoop.it|0 Comments

          Cryptocurrencies a ‘red alert’ priority for ASA amid crackdown

          Six cryptocurrency platforms, alongside pizza brand Papa John’s, have had adverts banned by the Advertising Standards Authority (ASA) for “taking advantage of consumers’ inexperience” in digital currencies. The crypto platforms under fire from the regulator are eToro, Coinbase, CoinBurp, Payward, Exmo Exchange and Luno Money, all of which were also accused of failing to “illustrate the risk of investment” in cryptocurrencies. Papa John’s was censured for a promotion running on its website and Twitter account promoting the brand’s partnership with crypto exchange Luno. The ads on the Papa John’s website read “Free Bitcoin worth £10″, while on Twitter the brand offered “Free Bitcoin worth £10” for every pizza bought via its ‘£15 off when you spend £30’ promotion.  Despite not attempting to get consumers to invest, a stipulation of the promotion was customers had to open a Luno account. The ASA ruled that customers who engaged in a promotion linked to buying pizza were likely to be inexperienced in their understanding of cryptocurrencies and the inherent risks. The regulator noted the adverts also contained no risk warnings about cryptocurrency.

          By |2021-12-15T18:35:42+00:00December 15th, 2021|Scoop.it|0 Comments

            Nestlé accélère sa sortie de L’Oréal

            Le sujet était sur la table depuis plusieurs années, mais Nestlé restait flou sur l'avenir des actions qu'il détient dans L'Oréal. Mardi soir, le conseil d'administration du numéro un mondial de la cosmétique a annoncé une « opération stratégique » consistant en un rachat par L'Oréal de 22,26 millions de ses propres actions (à 400 euros l'unité), soit 4,0 % de son capital, au géant suisse. Une opération à 8,9 milliards d'euros qui démontre que la participation de Nestlé dans L'Oréal n'est plus stratégique et que le groupe agro-alimentaire a sans doute vocation à continuer de se désengager progressivement. Nestlé avait déjà cédé 8 % du capital de L'Oréal en 2014 et ne conservera plus à l'issue de cette opération que 20,1 % des actions. « Toutes les actions rachetées par L'Oréal le seront exclusivement à des fins d'annulation, et seront annulées au plus tard le 29 août 2022 », a précisé le français. À l'issue de l'opération et après annulation des actions rachetées la famille Bettencourt Meyers verra sa participation au capital de L'Oréal passer mécaniquement de 33,3 % à 34,7 %.

            By |2021-12-12T21:56:59+00:00December 12th, 2021|Scoop.it|0 Comments

              Après Mama Shelter, les Trigano se lancent dans les résidences pour seniors

              Jamais à courts d’idées, les Trigano planchent sur un nouveau projet. Le groupe de maisons de retraites Korian annonce en effet avoir noué un partenariat avec les fondateurs de Mama Shelter pour créer une nouvelle marque de résidences destinées aux seniors urbains et actifs, à partir de 70 ans. Et comme à leur habitude, les Trigano père et fils entendent bien « bousculer les codes de l’habitat des seniors’ en créant des lieux de vie d’un nouveau genre. « Pendant douze mois, des deux côtés, il a fallu observer cet univers sensible d’un œil neuf, racontent les partenaires du projet. Tout mettre à plat, repérer les points sensibles, les carences, la fuite du temps. Et repartir vivement, inverser, pour réenchanter l’univers des résidences seniors à destination bes Baby-boomers de demain. » L’affaire est déjà bien engagée : le premier établissement ouvrira en « avril ou mai » 2022, à Levallois-Perret. Il comptera 100 appartements, du studio au trois pièces, avec une surface allant de 27 à 74 mètres carrés. Si sa commercialisation est un succès, d’autres résidences ouvriront à l’horizon 2022-2023 à Vincennes (Val-de-Marne), Nancy, Toulouse, Caen, Compiègne, Gien, ont précisé les partenaires lors d’une conférence de presse. Des ouvertures à l’étranger – Allemagne, Maroc, Tunisie, etc. – pourraient suivre. « Il faut que ces Casa Barbara donnent envie de vivre » Et si avec ce projet les Trigano font un pas hors du secteur du tourisme, l’esprit « vacances » n’est jamais très loin. Décorée « comme une maison de vacances chic et cosy » par l’architecte d’intérieur Sandra Benhamou, avec des espaces partagés – bar, salle de fitness, sauna, salon de coiffure, salle de cinéma -, la première de ces Casa Barbara offrira une restauration signée par le chef Pierre Gagnaire. Les semaines seront rythmées par des activités et événements culturels et artistiques, sportifs, récréatifs, organisés dans les différents espaces (salle d’activité physique, salon ciné, espace bien-être…) de la résidence. Les habitants pourront y prendre une part active, depuis la définition du programme jusqu’au montage d’événements. Un couple d’hôtes, « des anciens du Club Med », y vivra avec ses enfants et « donnera de l’âme » au lieu, a affirmé lors d’une conférence de presse Serge Trigano, qui a dirigé dans les années 1990 du Club Méditerranée cofondé par son père Gilbert. « J’ai commencé ma vie dans les villages de cases d’un certain club de vacances à l’époque des Bronzés… Cela pouvait être une bonne suite de m’intéresser aux baby boomers », a-t-il dit. « Il y a mille choses à faire quand on commence à être âgé (…), il faut que ces Casa Barbara donnent envie de vivre. » Ces lieux sont « pensés pour ces personnes qui abordent les rives du troisième âge et sont en pleine forme, à la recherche de lieux pour poursuivre une vie sociale active », explique Sophie Boissard, directrice générale de Korian.

              By |2021-12-12T21:17:30+00:00December 12th, 2021|Scoop.it|0 Comments

                Lydia, Spendesk, Swile… la folle fin d’année de la fintech française

                L'heure du bilan de la French Tech n'a pas encore sonné mais certaines conclusions sont déjà connues. La fintech est l'un des secteurs tech les plus dynamiques en cette fin d'année 2021. Depuis septembre dernier, les start-up de la finance enchaînent les méga levées de fonds qui font augmenter significativement leurs valorisations. D'après l'association France Fintech, les investissements dans le secteur ont atteint 762,9 millions d'euros au second semestre 2021 (données collectées jusqu'au 8 décembre), en hausse de 104 % par rapport au deuxième semestre 2020. Ce chiffre est en revanche à relativiser car il ne prend pas en compte la levée de fonds de la néobanque pour professionnels Qonto , dont le montant n'a pas encore été officialisé. Ce dynamisme n'est pas complètement surprenant. Les start-up du paiement, du crédit ou encore de la comptabilité sont devenues les chouchous des investisseurs. « On se fait harceler par les VC. On refuse beaucoup de discussions avec eux car nous avons d'autres choses à faire », confiait le fondateur d'une start-up qui a levé en début d'année. « En un mois, j'ai reçu sept mails de la part du même fonds », ajoutait-il. Quatre licornes en quatre mois Certaines pépites ont cédé aux avances répétées des fonds de capital-risque comme Spendesk, qui, selon nos informations, est en train de boucler une levée de fonds de plus de 100 millions de dollars menée par l'américain Tiger… seulement quatre mois après l'annonce de son tour de table de 100 millions d'euros . Ce nouveau financement valoriserait la start-up spécialisée dans la gestion des dépenses en entreprises à plus d'un milliard. Contactée, la start-up ne souhaite pas commenter. Les fintechs, de plus en plus pourchassées par les investisseurs D'autres fintechs françaises ont passé le milliard de valorisation ces quatre derniers mois, à commencer par Swile (avantages salariés) qui a fait rentrer à son capital Softbank. S'en est suivi Qonto, désormais valorisée plus de 4 milliards de dollars, et Lydia qui vient tout juste de lever 103 millions de dollars avec ses investisseurs existants (Accel, Hedosophia, Tencent…) et deux nouveaux entrants, les hedge funds américains Dragoneer et Echo Street. Sans grande surprise, ce sont donc des fonds étrangers qui ont mené chacun de ses gros tours de table puisqu'ils ont majoritairement des poches d'investissement plus profondes que leurs homologues européens. Une tendance mondiale Ces opérations ont évidemment fait augmenter le ticket moyen attribué aux fintechs françaises. Selon France Fintech, le montant moyen levé a atteint 31,8 millions d'euros au deuxième semestre 2021, contre 21,7 millions pour les six premiers mois de l'année. La start-upSunday a par exemple levé 100 millions de dollars en série, six mois après son tour d'amorçage de 24 millions de dollars. Créée par les propriétaires de la chaîne de restaurants Big Mamma, la jeune pousse a mis eu point un système de paiement d'addition par QR Code. La situation française n'est pas isolée. C'est toute la fintech mondiale qui est en ébullition ces derniers mois. D'après le BCG, les investissements dans les fintechs ont grimpé de 173 % au troisième trimestre 2021 par rapport à l'année précédente. Les levées de fonds de plus de 100 millions de dollars participent massivement à cette explosion. Les fintechs européennes ne sont pas en reste avec des opérations marquantes comme les 900 millions de dollars levés par la néobanque allemande N26 ou les 200 millions de la plateforme bancaire britannique Thought Machine. Mais dans cette surenchère, les Etats-Unis font toujours la course en tête. Mais jusqu'à quand ?

                By |2021-12-12T21:11:57+00:00December 12th, 2021|Scoop.it|0 Comments

                  Lydia simplifie l’investissement dans les actions et les crypto-monnaies

                  Lydia propose désormais d’investir en bourse à partir de 1 € directement depuis son mobile, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, indépendamment de l’ouverture et de la fermeture des marchés boursiers. Tout utilisateur disposant d’un profil Lydia vérifié peut accéder immédiatement à ce nouveau service sans nouvelle vérification d’identité ni fournir de nouveaux justificatifs. Pour ces achats en bourse, un catalogue de 200 actifs est proposé par Lydia qui s’appuie sur la société autrichienne Bitpanda, une fintech créée en 2014, dont les prestations sont intégrées au sein de l’application mobile Lydia, sans redirections. Sur ces offres, Lydia souligne qu’il entend proposer des tarifs transparents et compétitifs vis-à-vis des autres plateformes du marché et défend des « spreads » serrés, c’est-à-dire une faible différence de prix entre le cours d’achat par le client et le cours de vente coté pour un actif. La Fintech Bitpanda permet d’investir en actions, en crypto-monnaies, sur des entreprises américaines  stars comme Tesla, Apple, Google ou Netflix, McDonald’s et des sociétés européennes (SAP, Deutsche Telekom, Adidas, …) et dans le CAC 40 (Carrefour, LVMH, BNP Paribas, Cap Gemini, L’Oréal, Michelin, …). Bitpanda agréé auprès de l’Autorité des Marchés financiers Bitpanda est un prestataire de services sur actifs numériques (PSAN) agréé depuis la fin 2020 par l’Autorité des Marchés Financiers française. Côté crypto-actifs, Bitpanda propose l’achat de Bitcoin, d’Ethereum, de Polkadot ou de ses propres jetons numériques (Best ou Bitpanda Ecosystem Token). Les utilisateurs peuvent directement utiliser l’argent de leur compte Lydia, il est également possible de retirer l’argent instantanément. Bitpanda emploie 600 personnes et annonce 3 millions d’utilisateurs. C’est une nouvelle étape pour l’application Lydia lancée en 2013 avec l’objectif de remplacer l’argent liquide. Depuis 1 an, Lydia s’étoffe de nouvelles fonctionnalités. En juillet 2020, Lydia avait ajouté la possibilité d’obtenir un crédit à la consommation grâce à un partenariat avec Younited Credit. L’offre « Petit Prêt Express » vise à régler des dépenses en équipement, voyage, voire l’achat de petits véhicules d’occasion.  Fin 2020, Lydia montait en puissance en proposant un véritable compte courant, associant un numéro d’identifiant de compte bancaire IBAN (International Bank Account Number) français et une carte bancaire Visa ainsi qu’une possibilité de paiement en plusieurs fois avec la fonction « Acheter maintenant et payer plus tard ». Lydia est en croissance rapide et revendique 5,5 millions d’utilisateurs en cette fin d’année 2021 contre 3,5 millions en juillet 2020. Lydia a été créée à Paris par Antoine Porte et Cyril Chiche. La Fintech a depuis levé un total de 135  millions d’euros auprès d’investisseurs tels que Accel, Tencent, XAnge, New Alpha, groupe Duval et Founders Future. La jeune société emploie 150 personnes et fait partie du Next40, label créé par le gouvernement français afin de soutenir 40 jeunes entreprises considérées comme susceptibles de devenir des leaders.

                  By |2021-12-12T21:08:26+00:00December 12th, 2021|Scoop.it|0 Comments

                    Jean-Paul Agon en route pour la présidence d’HEC Paris

                    « La diversité » Diplômé de l'école en 1978 et donateur depuis 2006, Jean-Paul Agon entretient des relations étroites avec HEC depuis plusieurs années. En septembre dernier, il avait été nommé parmi les administrateurs de la Fondation HEC. Cette dernière abrite aussi, depuis 2019, la fondation Jean-Paul Agon, qui s'était alors engagée à hauteur de 1 million d'euros en faveur de l'égalité des chances et de l'ouverture sociale , pour financer des bourses d'étudiants qui ne seraient pas capables de suivre un cursus à HEC pour des raisons financières. « Pour moi, la diversité c'est une des notions essentielles du XXIe siècle ! », avait tweeté Jean-Paul Agon en septembre 2020. L'un des objectifs de la campagne de levée de fonds 2019-2024 lancée auprès des anciens élèves et des entreprises vise d'ailleurs à financer des bourses d'excellence. Sur les 200 millions attendus, le directeur général de l'école, Eloïc Peyrache, indiquait en mai dernier aux « Echos » avoir déjà « dépassé la moitié de l'objectif ». « Un président qui présidera » Quel rôle jouera Jean-Paul Agon par rapport à son prédécesseur, Jean-Paul Vermès ? « Eloïc Peyrache ne pourra plus faire que ce qu'il veut, il aura un président qui présidera », glisse, dans un sourire, un observateur d'HEC. Et quelle sera l'attitude du nouveau président de la Chambre à l'égard de ses dix-neuf écoles ? Le projet de holding et d'arrivée d'investisseurs est toujours sur la table. Mais HEC a déjà indiqué qu'elle ne « prendrait pas place dans la holding qui doit gérer les écoles de la Chambre ».

                    By |2021-12-12T18:53:36+00:00December 12th, 2021|Scoop.it|0 Comments

                      Les cryptos et bitcoin à la peine malgré l’inflation

                      Pompiers pyromanes Parmi les investisseurs qui ont franchi le pas, le fonds de pension des pompiers de Houston a débuté prudemment en investissant 0,5 % de ses actifs totaux (5,2 milliards de dollars), soit 26 millions de dollars sur le bitcoin et l'éther « Institutional Investor ». Le fonds de retraites des policiers du comté de Fairfax (Virginie) pourrait de son côté investir plusieurs millions de dollars dans un fonds spécialisé sur les cryptos (Parataxis Capital). Au début de la tempête mondiale du Covid en mars 2020, plus d'une centaine d'institutionnels américains (gérant au moins 100 millions de dollars) étaient investis sur les fonds cotés en Bourse ETF qui répliquent la performance du bitcoin ou de l'ether, selon une étude (1). Grâce à cette diversification, ces investisseurs plus audacieux enregistrent un rendement moyen supérieur de près de 3 % par an par rapport à ceux qui n'ont pas franchi le pas. De leur côté, les fonds spécialisés uniquement sur les cryptos raflent la mise. Sur les onze premiers mois de l'année, les hedge funds « cryptos » ont gagné 173 % pour Eurekahedge et 300 % pour Hedge Fund Research. Ils vont désormais tenter de limiter leurs risques face au regain de volatilité.

                      By |2021-12-12T18:50:51+00:00December 12th, 2021|Scoop.it|0 Comments