Pour le créateur de l’objet, affiché au prix modique de 34 dollars, il s’agit surtout de pointer du doigt les excès du plus grand salon de high-tech au monde. Moyennant un chèque de 1 000 dollars et en remplissant un simple formulaire, Nicolas Baldeck a pu apporter aux yeux du monde de la tech son produit étrange et plutôt bancal. « J’ai simplement expliqué en quoi POTATO était un objet connecté doublé d’un assistant personnel, à même de recourir à la fois à l’intelligence artificielle et au cloud », raconte-t-il à BFM. Chaque année, le CES nous habitue aussi bien à des merveilles de technologie qu’à des choses plus insolites ou anodines, voire à n’importe quel objet, meuble ou vêtement du moment qu’il est « connecté ». Parmi eux, la pomme de terre connectée est loin d’être la plus absurde…

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