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Le marché des cryptomonnaies franchit la barre des 3.000 milliards de dollars

Derrière le bitcoin, c'est l'ensemble du marché des cryptomonnaies qui s'emballe. Dans le sillage du nouveau record franchi par la première des devises numériques en octobre, la valeur totale de l'ensemble des cryptomonnaies en circulation a atteint ce lundi un seuil historique. Au total, le marché des cryptomonnaies pesait ce lundi à la mi-journée un peu plus de 3.000 milliards de dollars, selon Coingecko, un site d'information qui suit les échanges de plus de 10.000 cryptomonnaies. Le bitcoin domine encore et toujours le marché, et représente à lui seul près de 41 % de l'ensemble des actifs numériques en circulation, du haut de ses 1.200 milliards de dollars de « capitalisation ». La reine des cryptos a continué de progresser de 6 % ce lundi, pour flirter avec les 66.000 dollars et se rapprocher de son précédent record. L'ether reste le second actif numérique le plus valorisé, et représente 18 % du marché, avec plus de 560 milliards de dollars en circulation. Depuis le début du mois d'octobre, le jeton développé par Ethereum a progressé de 57 % et a atteint ce lundi un nouveau seuil historique à plus de 4.700 dollars. Le fonds indiciel adossé aux cryptos démarre très fort Si cette « capitalisation » reste volatile, elle témoigne néanmoins de l'appétit grandissant des investisseurs particuliers et institutionnels pour les devises numériques. « Le marché des cryptomonnaies gonfle à une vitesse ahurissante », a expliqué à l'AFP Ipek Ozkardeskaya, analyste marchés chez SwissQuote, qui estime qu'il y a « une part de spéculation et une part de réalité ». Les marchés américains ont depuis fin octobre accès à un produit indiciel (ETF) adossé au bitcoin , qui permet à des investisseurs de parier sur l'essor de la première cryptomonnaie sans sortir de Wall Street. Signe de l'appétit des investisseurs, l'ETF a enregistré en moins d'une heure plus de 440 millions de dollars d'échanges, un record pour les lancements de fonds cotés cette année. DECRYPTAGE Le bitcoin réaffirme son leadership sur le marché mondial des cryptos A côté de l'institutionnalisation du bitcoin, d'autres actifs eux continuent de susciter spéculation et effet de levier. Le Shiba Inu, un cryptoactif créé pour rivaliser avec le Dogecoin, elle-même basée sur une plaisanterie, avait atteint fin octobre une taille théorique de 40 milliards de dollars, devenant la dixième plus grande cryptomonnaie avant de s'effondrer en quelques jours de près de 10 milliards de dollars se sont évaporés. Mais d'autres projets basés sur la blockchain suscitent l'enthousiasme des investisseurs pour leur potentiel dans le développement de la finance décentralisée ou les NFT . Les jetons adossés aux blockchains de Solana ou Polkadot ont ainsi franchi ces dernières semaines les 50 milliards de dollars de capitalisation.

By |2021-11-08T23:17:57+00:00November 8th, 2021|Scoop.it|0 Comments

« L’adoption des cryptomonnaies en entreprise se jouera au niveau de l’usage » Pierre Queinnec, CEO et cofondateur de Jenji

Adoptés par les géants du numérique, les startups et les curieux, les cryptomonnaies n’ont pas encore tout à fait intégré le monde de l’entreprise. Pourtant accessibles d’un point de vue technologique, elles suscitent encore de la méfiance. Quand se démocratiseront-elles ? Qu’est-ce que leur adoption changera du côté de l’entreprise comme celui du voyage d’affaires ? Réponse avec Pierre Queinnec, CEO et cofondateur de Jenji, société spécialisée dans la gestion de note de frais.  Demain, notre carte déjeuner pourra-t-elle être rechargée en cryptomonnaies ? Pierre Queinnec, CEO et cofondateur de Jenji Oui, de façon non équivoque. C’est même déjà possible aujourd’hui. Le problème avec les cryptomonnaies, c’est le jargon qu’on lui associe. Remplacez le mot cryptomonnaie par devise et cela vous paraîtra beaucoup moins compliqué. Convertir des euros en bitcoins est le même cheminement que de convertir des euros en yens. C’est à l’entreprise de voir si le taux est favorable, mais technologiquement et dans les usages, cela est possible. Le seul frein à l’adoption des cryptomonnaies peut être leur caractère volatile. Cela est possible et pourtant les cryptomonnaies ne sont pas adoptées par les entreprises. Quand seront-elles plus généralement utilisées ?  Tout dépend des entreprises. Certaines d’entre elles ont investi dans les cryptomonnaies d’un point de vue patrimonial. Elles le font également avec des devises. Quand Tesla stocke du bitcoin et l’utilise de manière spéculative, il s’agit du même processus que si elle possédait des assets financiers. L’un des points importants concerne l’usage et à quel moment les marchands seront réglés nativement dans une cryptomonnaie. Je pense que cela va arriver vite car les Etats sont de plus en plus nombreux à créer leur propre monnaie numérique. Ces dernières années, l’argent est devenu presque totalement dématérialisé. Qu’ils payent par carte bancaire ou Apple Pay, les gens ne voient jamais l’argent physiquement. Ce sera intéressant de voir comment les géants du secteur tirent leur épingle du jeu, notamment pour conserver les frais alors même que les cryptomonnaies reposent sur la désintermédiation. Quel intérêt cela aura-t-il pour l’entreprise et pour le collaborateur ? En réalité, le voyageur d’affaires n’apporte que peu d’intérêt à la monnaie dans laquelle il règle ses achats durant un déplacement. Ce qu’il veut, c’est pouvoir régler aussi simplement que possible ses achats. Pour cela, il faut enlever la friction autour des taux de change par exemple. Aujourd’hui, peu de gens connaissent le taux de change du yen lorsqu’ils voyagent au Japon. Ce qui préoccupe le collaborateur, c’est s’il respecte la politique de dépense de sa société. Pour lui, c’est donc la transparence qui est importante. Pour récompenser les collaborateurs, les cryptomonnaies peuvent être également intéressantes. Cela permet de créer un programme de fidélité avec d’actifs numériques. Cela est très positif car la devise devient une manière de créer un produit ou un service. Pour l’entreprise, le vrai intérêt est de payer le moins de frais de change possible sur les dépenses globales. L’enjeu est également que ce soit simple à gérer pour réduire les coûts et passer les contrôles fiscaux sans encombre. Comment justifier les taux pour certaines devises qui ne sont pas cotées officiellement ? Les autres enjeux sont ceux de l’explicabilité et la transparence, car il faut être capable de vérifier une transaction qu’un salarié a faite en cryptomonnaies. Cela permet d’avoir une preuve supplémentaire et de réduire le risque de fraude. Les cryptomonnaies sont-elles plus sûres en matière de cybersécurité ?  Je pense qu’il sera toujours possible de réaliser des fraudes. D’un point de vue technologique, la différence entre les cryptomonnaies et les autres moyens de paiement réside dans la possibilité de créer un cahier des charges précis. L’entreprise peut choisir d’utiliser une cryptomonnaie qui repose sur la transparence et qui permet ainsi de tout tracer ou d’utiliser une cryptomonnaie qui repose sur l’anonymisation et ne permet pas de tout contrôler. Quand les cryptomonnaies se démocratiseront dans le monde de l’entreprise, qu’est-ce que cela changera pour Jenji ? Cela impactera la cotation et le taux de change. La Banque Centrale Européenne ne cote pas encore les cryptomonnaies, il faudra donc prouver que des taux délirants n’ont pas été utilisés. Chez Jenji, nous voyons ce nouveau moyen de paiement comme une option. Ce n’est pas la base du logiciel, mais un produit supplémentaire mis en place grâce à la technologie. C’est ce que nous avons fait avec notre solution de paiement Jenji Pay. La difficulté sera de faire cohabiter ces flux de manière native pour les entreprises. Un jour, certains collaborateurs voudront peut-être être remboursés en cryptomonnaies et il faudra apporter une réponse crédible à ces inspirations.

By |2021-11-07T21:56:43+00:00November 7th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Yahoo!, LinkedIn, « Fortnite »… Pourquoi de grands noms du Web quittent la Chine

Opérer en Chine devient plus délicat pour les entreprises étrangères du Web, au point que certaines décident de jeter l'éponge. C'est le cas de l'américain Yahoo! ainsi que du jeu « Fortnite », qui ont annoncé ce mardi se retirer du pays, prenant la suite de LinkedIn qui avait fait la même annonce mi-octobre. Le contexte est difficile pour les entreprises occidentales comme chinoises. Pékin a décidé de considérablement muscler son arsenal réglementaire en faveur de la protection des données avec une loi sur la sécurité des données en vigueur depuis septembre, et une autre, prévue pour novembre, sur la protection des données personnelles - sur le modèle du RGPD, le règlement général sur la protection des données européen. Symbolique Un porte-parole de Yahoo! a ainsi justifié la décision de l'entreprise en citant un « environnement commercial et juridique de plus en plus difficile en Chine ». Ex-fleuron du Web, Yahoo! avait lancé un moteur de recherche en Chine dès 1999, misant sur la croissance d'un gigantesque marché en devenir au moment où Internet n'en était qu'à ses balbutiements. ANALYSE - Pourquoi Pékin met au pas ses géants de la tech Certes, ce retrait est en grande partie symbolique pour le groupe américain. Après la suppression de son service mail en 2013, seul restait actif le portail et moteur de recherche « www.yahoo.cn ». Un temps partenaire avec ​le ​géant de l'e-commerce Alibaba - dont il détenait 40 % en 2005 -, Yahoo! a vu sa relation se détériorer avec le groupe chinois jusqu'à une rupture définitive en 2015. Parallèlement, la firme a lentement décliné au plan international, jusqu'à finir bradée avec AOL pour 5 milliards de dollars, en mai dernier, et devenue l'ombre d'elle-même face aux géants actuels de l'Internet tels que Google ou Facebook. L'entreprise craint sans doute d'y laisser encore des plumes face au nouveau tour de vis de Pékin.

By |2021-11-07T21:25:11+00:00November 7th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Jean-Paul Dubreuil (Air Caraïbes + French Bee), entretien long courrier

Dubreuil est un groupe familial basé en Vendée. Mon père était épicier en gros. Il est mort lorsque j’avais 23 ans, j’ai pris sa succession à la tête de cette entreprise qui comptait alors une cinquantaine d’employés. On livrait de petites épiceries en ville et à la campagne. C’est sur ce socle que j’ai commencé à développer le groupe : j’ai créé des supermarchés, ensuite des magasins de bricolage, des concessions automobiles. Notre groupe s’est donc diversifié dans le secteur de la distribution en général. Mais à côté de ça, j’avais la passion de l’aviation : j'ai eu mon permis de pilotage avant mon permis de conduire, à moins de 18 ans. Et mon business se développant, j’ai eu envie de lier l’utile à l’agréable, mon métier à ma passion. J’ai donc passé mon brevet de pilote professionnel et j’ai créé en 1975 une toute petite compagnie qui s’appelait Air Vendée, tout d’abord pour mes propres déplacements, c’est vrai.  On ne va pas s’arrêter en milieu de piste ! Vous pouvez continuer... De fil en aiguille, on a créé des lignes régulières dans un avion de 9 places avec l'Île-d’Yeu, qui n’était reliée que par bateau, pendant 7 ou 8 ans. Puis, parce que j’avais cédé une partie de mes activités de distribution, j’avais plus de temps à consacrer à l’activité aérienne. J’ai donc développé plusieurs lignes européennes au départ de Nantes. En 1992, Air Vendée, en association avec la compagnie bordelaise Airlec, devient Regional Airlines. Qu’on a développée jusqu’en 2000, de la province vers l’Europe. Notre hub était à Clermont Ferrand, comptait une trentaine d’avions, 700 employés, côté en bourse en 1996 : c’était quelque chose d’important. C’est devenu plus difficile à la fin des années 90, et en 2000, on revend à Air France… Des années plus tard, de la fusion de Regional Airlines avec Britair, Proteus et Flandrair, naîtra Hop. Toujours pas de long-courrier, à ce stade… En 2000, je rachète Air Guadeloupe qui avait déjà racheté Air Martinique… Ce que j’avais fait en Europe, pourquoi ne pas le faire aux Antilles ? Nous avons dû rationaliser la flotte et gérer un contexte social difficile. Il fallait faire sortir cette entreprise par le haut : le long courrier. Et en 2003, c’est ma rencontre avec Marc Rochet - je ne l’aurais pas fait tout seul car je ne connaissais pas le long courrier. On crée Air Caraïbes (dont Marc Rochet est toujours le directeur général, ndr)  et on démarre en 2003 les liaisons entre Paris et Point-à-Pitre et Fort-de-France. On a d’abord loué un, puis deux, puis trois avions, puis on a commencé à en acheter. Aujourd’hui, nous possédons neuf avions long courrier et trois avions régionaux qui desservent l’arc antillais de Cayenne jusqu’à Cuba, donc les Antilles françaises mais aussi Haïti et Saint-Domingue, par exemple. Et il y a 5 ans, suite à l’échec de notre rachat de Corsair, les syndicats n’ayant pas suivi, on a créé French Bee pour relier, d’abord, la Réunion où le marché ne proposait que des tarifs élevés. On a développé le marché, pris des parts de marché. Ca a été une bonne chose pour les voyageurs puisque les compagnies présentes à l'époque - Air France, Air Austral et Corsair - ont dû à leur tour baisser leurs tarifs : c’est la loi du commerce. Et deux ans plus tard, en 2018, on ouvre notre deuxième ligne sur Tahiti, dont la proposition commerciale était comparable à celle de la Réunion avant l’arrivée de French Bee. Notre liaison vers Tahiti se fait via San Francisco, ce qui nous a permis de mettre le pied sur le sol américain, en cohérence avec nos ambitions. On a équilibré nos comptes et on gagne même de l’argent sur la Réunion. 

By |2021-11-07T18:30:17+00:00November 7th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Proshares Bitcoin Strategy ETF Debut Captures Close to $1 Billion in Volume – Markets and Prices

The first bitcoin exchange-traded fund (ETF) launched in the United States and smashed records on Tuesday, capturing close to $1 billion in total volume. Eric Balchunas, the senior ETF analyst for Bloomberg said that the Proshares Bitcoin Strategy ETF (BITO) definitely “defied expectations.” Proshares Bitcoin ETF Commands Serious Volume Proshares Bitcoin Strategy exchange-traded fund (BITO) did well on its first day, as it closed the day at 4:00 p.m. (EDT) at $41.94 per unit. Meanwhile, the price of bitcoin (BTC) soared on Tuesday, tapping a high of $64,367 on the crypto exchange Bitstamp fifteen minutes after the closing bell on Wall Street. Proshares Bitcoin Strategy ETF (BITO) chart for October 19, 2021, the ETF’s first day of trading. As the ETF shares swapped hands on the New York Stock Exchange (NYSE), BITO reached a daily high of over $42. Bloomberg Intelligence analyst James Seyffart tweeted at the end of the day: “Looks like the final tally is gonna be right around ~$990 million in trading for BITO on its first day trading.” Eric Balchunas, the senior ETF analyst for Bloomberg, also tweeted about the action the Proshares Bitcoin Strategy ETF saw on Tuesday. “BITO just about $1 [billion] in total volume today (curr $993m but trades still trickling in),” Balchunas said. “Easily the biggest Day One of any ETF in terms of ‘natural’ volume. It also traded more than 99.5% of all ETFs ([including] some big [ones] like DIA, ARKK, SLV). It [definitely] defied our expectations.” The analyst added: If we don’t exclude ETFs where their Day One volume was literally one pre-planned giant investor or BYOA (not natural), it still ranks #2 overall. Here’s that list. The reason some of these shouldn’t be included IMO is they don’t really represent grassroots interest.

By |2021-11-07T17:50:10+00:00November 7th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Près d’une voiture sur cinq vendues en Europe est désormais électrique

La course engagée entre Tesla et Volkswagen explique sans doute en partie le bond observé en Allemagne ces derniers mois. Avec ses douze marques (dont Volkswagen, Audi, Skoda, Seat, Porsche), le géant allemand écrase désormais la concurrence sur le Vieux Continent, où il a vendu 202.000 voitures 100 % électriques entre janvier et septembre. Devant Stellantis (Peugeot, Citroën, DS, Opel, Fiat) et ses 118.000 ventes, et devant Tesla (112.500 ventes). La Tesla Model 3 n'en a pas moins été le modèle 100 % électrique le plus vendu sur neuf mois (99.000 ventes), devant la VW ID3 (52.000) et la Renault ZOE (44.600). Le modèle phare de la firme américaine a même été le véhicule le plus vendu en Europe en septembre toutes motorisations confondues, a relevé le cabinet Jato. Une performance, même si elle reflète en réalité un rattrapage après les piètres ventes de Tesla en juillet et août sur le Vieux Continent.

By |2021-11-04T08:32:59+00:00November 4th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Tesla veut fournir de l’électricité aux habitants du Texas

C’est la belle histoire de 2021, l’idylle entre Elon Musk et le Texas. À la fin de l’année précédente, le milliardaire avait admis avoir déménagé dans l’État du Sud. Une relation intéressée, les taxes et les prix sont moindres, mais c’est aussi une façon de se rapprocher de ses enfants. SpaceX y développe ses fusées, et ports spatiaux et Tesla construit une gigafactory près d’Austin. Maintenant, Elon Musk veut vendre de l’électricité à ses voisins. Le magazine Texas Monthly, qui suggère à Elon Musk de renommer son entreprise Texla, a révélé qu’une demande a été déposée mi-août par Tesla Energy Ventures auprès de la Commission des services publics de l’État pour vendre de l’électricité aux particuliers. DANS LA MÊME CATÉGORIE Micron annonce son plan d’investissement sur les dix prochaines années L’électricité au Texas, un marché dérégulé Les détails de la requête n’ont pas encore été dévoilés, mais l’aventure doit être menée par Ana Stewart, directrice des échanges de crédits réglementaires de Tesla. Elle est connue pour avoir fait gagner des milliards à l’entreprise sur les marchés carbone depuis 2017. Elle est désignée comme présidente de Tesla Energy Ventures. La filiale devrait proposer un service huppé pour se faire une place sur un marché déréguler où se bousculent déjà 120 concurrents. L’entreprise va tout d’abord tenter de séduire ceux qui ont déjà goûté à un produit Tesla, via des messages sur les sites et applications de l'entreprise. Parmi les offres attendues : proposer aux propriétaires de panneaux solaires de gagner de l’argent en partageant le surplus d’énergie sur le réseau. D’après les données fédérales, en juin 2021, les Texans produisaient l’équivalent d’un gigawatt d’électricité grâce à l'énergie solaire. Une chance, Tesla Energy Ventures en vend également.

By |2021-10-24T16:04:52+00:00October 24th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Maurice sort de la liste grise des paradis fiscaux de l’Europe 

La crise sanitaire et le placement de l’île Maurice sur la liste grise des GAFI (Groupe d’action financière, chargé de contrôler les pays impliqués dans le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme) étaient les sujets d’inquiétude de l’exécutif. Jeudi à 20h, le Premier ministre, Pravind Jugnauth, est intervenu à la télévision pour annoncer la bonne nouvelle : "L’île Maurice est sortie de la liste grise", titre L’Express de Maurice. Les réformes, exigées par l’Union européenne, ont été effectuées. Ce travail pour une transparence « totale » du système bancaire va se poursuivre afin de protéger : "Le système financier et commercial ", précise Le Mauricien. "Maurice respecte 39 des 40 recommandations du GAFI"   Pour la majorité des Mauriciens, cette information est anecdotique, mais le monde des affaires était, lui, suspendu à cette décision. Les principaux acteurs médiatiques de la Finance ont partagé leur satisfaction. "Nous étions confiants de ce dénouement, car depuis début 2020, le gouvernement, le régulateur et les opérateurs du secteur des services financiers ont collaboré de manière exemplaire ", confie Samade Jhummun, CEO de Mauritius Finance, dans un communiqué, écrit Défimédia. Une joie partagée par le président de Mauritius Finance, Mahesh Doorgakant : "Aujourd’hui, Maurice respecte 39 des 40 recommandations du GAFI en la matière, selon le dernier rapport de l’ESAAMLG. C’est un meilleur score comparé à des pays comme Singapour, le Royaume Uni, les États-Unis et même certains États membres de l’Union Européenne et du GAFI".

By |2021-10-24T08:01:21+00:00October 24th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Bitcoin Smashes Through All-Time High Surpassing $66,000 per Unit – Markets and Prices

The spot price of bitcoin smashed through the leading crypto asset’s all-time high (ATH) surpassing $66,000 per unit after the first bitcoin exchange-traded fund (ETF) was launched in the United States. The last time bitcoin touched an ATH six months ago on April 14, 2021, the price tapped $64,804 per unit. Bitcoin Records New All-Time Price High The fiat value of bitcoin (BTC), measured in U.S. dollars, has reached an all-time high. The price has touched $66,299 per unit on Bitstamp, surpassing the digital asset’s ATH captured six months ago. At press time, there’s $39.6 billion in trade volume dedicated to bitcoin (BTC) trading. Bitcoin’s market cap is $1.223 trillion and it is the sixth most valuable asset on the planet today. Bitcoin’s ATH follows the launch of the Proshares Bitcoin Strategy ETF (BITO) that was listed on October 19, 2021. The bitcoin exchange-traded fund is the first ETF ever to be approved in the United States and it’s based on bitcoin futures markets. BTC tapped an all-time high on Wednesday at $66,299 per unit. Bitcoin’s greatest pair today is tether (USDT) commanding 59.97% of all BTC trades. This is followed by USD (14.99%), BUSD (4.61%), JPY (3.33%), EUR (3.20%), KRW (2.27%), and AUD (2.16%). The top exchanges today include Coinbase, FTX, Bitfinex, Bitstamp, and Kraken, respectively. Coinbase commands 20.25% of the BTC volume today and FTX captures 14.68%. Year-to-date, bitcoin (BTC) is up 456% in value and during the last 30 days, BTC has risen 37.8%. At current prices, bitcoin dominance is currently at 45.4% and ethereum (ETH) dominance is about 17.3%. Only 12 cryptocurrencies have outperformed BTC’s seven-day gains. Crypto assets like OKB, MATIC, and ZEC have seen gains above 19% this past week. Bitcoin’s hashrate has been hovering around 140 exahash per second and the network’s next mining difficulty change is 12 days away

By |2021-10-24T07:52:31+00:00October 24th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Leroy Merlin déploie un dispositif d’ampleur inédite de live shopping

Chaque mois d’octobre, Leroy Merlin organise la Fête des Projets qui est l’un de ses plus gros temps forts commerciaux. L’événement associe les animations en magasin, les promotions et les offres à petits prix. L’opération cible les bricoleurs débutants ou chevronnés, qui vont réaliser des travaux en gros œuvre ou un simple coup de frais de leur intérieur. A partir du 21 octobre, Leroy Merlin en place un dispositif de live shopping avec Caast TV afin de faire connaitre cette opération plus largement. L’enseigne a déjà eu l’occasion de collaborer avec ce prestataire, mais c’est la première fois que le dispositif atteint cette envergure. Du 21 octobre au 2 novembre, une dizaine de sessions de live shopping seront organisés. Il seront visionnables directement sur le site de Leroy Merlin, animés par les représentants des marques et des collaborateurs Leroy Merlin, ils proposeront aux clients d’assister à la présentation en direct de différents produits de grandes marques, telles que Ryobi, Syntilor,  Dumawall, Bosh ou Gardena. Le live shopping est un canal de vente qui permet à des marques et des enseignes de présenter et vendre un produit à travers la démonstration en direct et en vidéo par un intervenant, un influenceur, un employé, un client passionné. Le client peut poser ses questions en direct comme s’il était dans un point de vente physique, afin d’obtenir les infos nécessaires et visualiser le produit sous toutes ses coutures. Il peut ensuite l’ajouter en un clic à son panier.

By |2021-10-21T08:59:51+00:00October 21st, 2021|Scoop.it|0 Comments