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Pourquoi Frédéric Oudéa, patron de la Société Générale s’est mis au…

Lors d’une conférence de presse en ligne, Frédéric Oudéa, le Directeur Général de la Société Générale a expliqué qu’il prenait des cours de python, un des langages informatiques utilisés par les data scientists... Dans sa lignée, les PDG vont-ils devoir se mettre à coder s’ils veulent mener à bien la transformation digitale de leur entreprise ?“Je considère que j’ai un rôle à jouer en tant que CEO : je dois montrer l’exemple” expliquait Frédéric Oudéa, en réponse aux questions de Gilles Babinet au sujet de la transformation de la Société Générale… Un devoir d’exemplarité qui a conduit ce polytechnicien de formation à reprendre des cours, afin d’apprendre à coder en python. Le dirigeant du groupe bancaire le reconnaît lui-même : “je ne serai jamais un très grand joueur de python, mais le but n’est pas que je le devienne. Le but, c’est que je comprenne ce que ça veut dire, par rapport à ce que je faisais il y a trente ans en matière de code”.Ce virage tech, impulsé par le DG - qui supervise d’ailleurs désormais en direct l’informatique dans le cadre de la nouvelle organisation du groupe - doit désormais se déployer dans toute l’entreprise. “La vraie concurrence de demain, elle est plutôt dans les GAFAM ou peut-être un jours dans les Ant Financial [le groupe financier chinois issu d’Alibaba] de ce monde, qui ont des capacités d’investissement considérables” estime le dirigeant. “Pas de sujet tabou”Pour réagir à cette nouvelle concurrence, le groupe entend donc devenir plus agile et accélérer dans l’innovation. “On essaye d’aller le plus vite possible, sans sujet tabou. Nous sommes prêts à accepter intellectuellement - nous l’avons fait depuis plus de dix ans maintenant - le fait qu’il y a de nouveaux business models”. Et de citer les exemples de sa filiale Boursorama (2,5 millions de clients en 2020, avec l’objectif d’atteindre entre 4 et 5 millions en 2025) ou de Shine, fintech française acquise en juin 2020, positionnée sur le marché des professionnels, destinée à devenir “le Boursorama des pros dans cinq ans”.La démarche de transformation du groupe est pourtant loin d’être nouvelle. Depuis plusieurs années, la Société Générale multiplie en effet les initiatives : formations, recrutements, acquisitions de fintech (Shine, Treezor, Lumo, Fiduceo), développement de startups en interne (Moonshot, Prismea, Forge…), investissements en direct dans des startups ou via des fonds d’investissement… Sans oublier les investissements dans le numérique : 4,4 milliards d’euros étaient consacrés à l’informatique en 2020.Une révolution culturelle “C’est un engagement dans la durée. Nous avons la conviction que cette trajectoire de transformation ne peut pas se faire en deux ou trois trimestres : elle exige beaucoup de cohérence dans la durée”. Mais au-delà des investissements dans les infrastructures et l’innovation, “comment faire afin que tout le monde bascule dans ce nouveau monde, dans cette nouvelle manière de penser la façon de servir les clients et de fonctionner en interne ?” se demande Frédéric Oudéa.Pour lui, le changement à opérer est autant technologique que culturel. Il doit débuter au plus haut niveau de l’organisation : “l’informatique et cette nouvelle culture sont au coeur du succès futur, donc je m’en occupe très en direct [...] Je dois montrer qu’on peut tous basculer dans ce monde.” Après les “learning expeditions” dans la Silicon Valley, l’Open Innovation et la collaboration avec les startups, l’apprentissage du code sera-t-il la nouvelle case à cocher dans les grands groupes en voie de transformation ? Pourquoi s'y résoudre seulement maintenant ? N'est-ce pas finalement une initiative, déjà has been? Un conseil, démarrez directement sur Python 2 ou 3, de préférence 3... Les versions précédentes son

By |2020-11-02T13:44:37+00:00November 2nd, 2020|Scoop.it|0 Comments

Some Covid Survivors Have Antibodies That Attack the Body, not Virus – The New York Times

Some survivors of Covid-19 carry worrying signs that their immune system has turned on the body, reminiscent of potentially debilitating diseases like lupus and rheumatoid arthritis, a new study has found.At some point, the body’s defense system in these patients shifted into attacking itself, rather than the virus, the study suggests. The patients are producing molecules called “autoantibodies” that target genetic material from human cells, instead of from the virus.This misguided immune response may exacerbate severe Covid-19. It may also explain why so-called “long haulers” have lingering problems months after their initial illness has resolved and the virus is gone from their bodies.The findings carry important implications for treatment: Using existing tests that can detect autoantibodies, doctors could identify patients who might benefit from treatments used for lupus and rheumatoid arthritis. There is no cure for these diseases, but some treatments decrease the frequency and severity of flare-ups.“It’s possible that you could hit the appropriate patients harder with some of these more aggressive drugs and expect better outcomes,” said Matthew Woodruff, an immunologist at Emory University in Atlanta and lead author of the work.

By |2020-11-02T13:24:24+00:00November 2nd, 2020|Scoop.it|0 Comments

Les Gafa affichent une santé insolente

Renforcés par une pandémie de Covid-19 qui rend leurs produits et services essentiels pour travailler, consommer et se divertir chez soi, Amazon, Apple, Alphabet et Facebook continuent de grossir à un rythme qui contraste avec le reste de l'économie. Les bons résultats trimestriels publiés mercredi par les quatre géants de la côte Ouest montrent que les critiques croissantes et la menace d'une régulation plus stricte n'ont, pour le moment, pas d'impact sur leur puissance. Collectivement, les quatre mastodontes ont généré 228 milliards de dollars de recettes et 38 milliards de bénéfices entre juillet et septembre.Les chiffres d'Amazon donnent le tournis : en un an, les revenus de la firme de Seattle ont augmenté de 37 % pour atteindre 96 milliards de dollars et son bénéfice a triplé, dépassant les 6 milliards. Le géant de l'e-commerce, qui a besoin de plus en plus de travailleurs dans ses entrepôts pour faire face à la demande , a embauché 375.000 employés supplémentaires en un an. Ses effectifs dépassent désormais 1,1 million de personnes dans le monde et il vient d'annoncer le recrutement de 200.000 salariés supplémentaires, dont la moitié permanents et l'autre saisonnière.

By |2020-10-30T22:47:46+00:00October 30th, 2020|Scoop.it|0 Comments

En 2020, Voyageurs du Monde anticipe une chute d’activité de 75%

Comme pour les autres, la pandémie de la Covid-19 a « extrêmement perturbé » l’activité de Voyageurs du Monde pendant le premier semestre de l’exercice 2020. En effet, « alors que les départs acquis pour l’année 2020 au 15 mars (qui représentaient 55% du chiffre d’affaires de 2019) étaient en progression de près de 10%, la crise sanitaire a inversé complètement la tendance favorable qui se dessinait », analyse le voyagiste.Le premier semestre a connu une évolution contrastée en termes de départs, avec un premier trimestre (du 1er janvier au 15 mars) très satisfaisant et un second trimestre sans aucun départ (période de confinement et de fermeture des frontières). Dans ces conditions, Voyageurs du Monde enregistre un chiffre d’affaires de 75,4 millions d’euros, en baisse de 58,6%. Sa perte nette triple dans le même temps.75% des billets remboursés par les compagniesParallèlement, le groupe a continué de prendre des dispositions visant à assurer sa pérennité. Activité partielle, Prêt garanti par l’Etat (30 millions d’euros), … « les charges d’exploitation ont baissé de 37% et baisseront proportionnellement davantage sur la totalité de l’exercice », explique-t-il. Par ailleurs, les entreprises du groupe » ont également veillé à réduire « leurs risques liés aux dépôts de liquidités chez des tiers ». Ainsi, Voyageurs du Monde a été remboursé par les compagnies aériennes de « près de 75% des billets émis, payés et non opérés en raison de la crise sanitaire ». Un solde négocié sous forme d’avoisr. L’EBITDA du groupe, au premier semestre 2020, s’élève à -9,9 millions d’euros.Pour la totalité de l’exercice 2020, « les départs de fin d’année étant extrêmement limités », Voyageurs du Monde s’est fixé pour objectif d’atteindre le chiffre d’affaires de 119 millions d’euros (-75%) pour les départs prévus à ce jour jusqu’à la fin de l’année, « avec un fort impact sur les résultats ». En atteignant cet objectif, l’EBITDA de l’exercice devrait se solder par un déficit de l’ordre de 17 millions d’euros.

By |2020-10-30T22:40:54+00:00October 30th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Pal-V Liberty : la voiture volante européenne homologuée sur route

Bien qu’elle ne soit pas encore certifiée par l’autorité européenne de l’aviation civile (EASA), la voiture néerlandaise Pal-V Liberty vient d’être homologuée sur route. Après une série de tests comprenant la tenue de route, freinage ou bien encore émissions sonores, la Pal-V Liberty est désormais autorisée à circuler sur les routes européennes. Selon nos confrères d’Aeronewstv.com, cette voiture biplace est composée de 3 roues, roule avec un carburant Super Sans Plomb et pèse 660kg à vide. Sur route, sa vitesse maximale est de 160 km/h. Avec un plein elle peut parcourir environ 1 300 km. En vol, son autonomie est divisée par trois, environ 400 km. Sa particularité ? Dotée d’un rotor principal et d’une hélice à l’arrière qui se déploient, elle n’a besoin que de 300 mètres pour décoller et 30 mètres pour atterrir. Son entrée en service et son déploiement sont prévus d’ici à 2022 pour un prix de base de 300 000 euros.

By |2020-10-30T22:40:13+00:00October 30th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Google VS Apple : la guerre des moteurs de recherche est déclarée

Si Google et Apple entretiennent une relation très privilégiée, il semblerait que Apple souhaite prendre ses distances. En effet, à l’occasion de la présentation du nouveau système iOS 14, la firme à la pomme a dévoilé une technologie de moteur de recherche. Baptisée Spotlight, elle fait remonter les résultats d’Apple en priorités, contre ceux de Google.Pour les professionnels, et notamment pour les acteurs du tourisme, ce  moteur de recherche ouvre la voie à une nouvelle offre publicitaire. Les annonceurs pourront ainsi choisir entre les deux géants californiens, en fonction de leur cible et du prix (?). Pour rappel, Google était jusqu’alors le moteur de recherche par défaut du navigateur Apple Safari, moyennant un versement annuel compris entre 8 et 12 milliards de dollars. En Europe, Google détient 93% des parts du marché de la recherche en ligne et 97% pour la recherche sur mobile.

By |2020-10-30T22:39:52+00:00October 30th, 2020|Scoop.it|0 Comments

L’Île Maurice crée un visa pour les télétravailleurs

L’Île Maurice introduit un nouveau visa dit « premium’ valable sur une longue durée et renouvelable afin d’inciter les télétravailleurs à travailler depuis la destination. Qui n’a jamais rêvé de travailler depuis son hôtel ou la plage avec vue sur la mer ? Afin de relancer son économie et séduire de nouveau les voyageurs, l’Île Maurice annonce la création d’un nouveau visa Premium pour encourager les séjours longue durée et notamment le télétravail. « Les normes et protocoles sanitaires les plus élevés seront maintenus pour assurer la sécurité sanitaire des visiteurs ainsi que des locaux et pour faire en sorte que Maurice reste une destination sûre. Cette mesure peut être une aide essentielle pour le maintien du tourisme, qui est en proie à des perturbations au niveau mondial suite à la pandémie de Covid-19. Il s’agit d’une opportunité pour les opérateurs du secteur touristique mauricien de proposer des formules innovantes pour attirer les visiteurs longues durées et les adeptes de télétravail », est-il indiqué à travers un communiqué. Sont éligibles à ce nouveau visa : – Les touristes habituels qui avaient prévu de prendre leur retraite et d’émigrer à Maurice avant la pandémie du Covid-19.– Les retraités– Les investisseurs et les professionnels qui souhaitent venir avec leur famille et travailler à distance depuis l’île Maurice.– Les visiteurs qui ont des enfants qui étudient à l’île Maurice.

By |2020-10-27T22:37:36+00:00October 27th, 2020|Scoop.it|0 Comments

TaData pose la première pierre de la monétisation des données en France

TaData est la première plateforme française proposant un service de monétisation des données personnelles. Destinée au 15-25 ans, elle repose sur un système d’équité, profitant autant aux annonceurs qu’aux utilisateurs. Alors qu’elle vient d’être reconnue conforme au RGPD par la CNIL, la société ambitionne de redistribuer 100 000 euros aux membres de sa communauté au cours des 6 prochains mois. Laurent Pomies, Cofondateur de TaData, nous parle de ses ambitions.Quelle est la raison d’être de votre service de monétisation des données personnelles ?Laurent Pomies, Cofondateur de TaDataNous sommes partis d’un constat. Dans le système actuel, la data vaut de l’or. Pourtant, beaucoup d’entreprises l’utilisent à l’insu des utilisateurs qui la produise. C’est la première fois dans l’Histoire que des personnes qui produisent une matière première ne sont pas rétribués.Le principe repose sur trois valeurs. La première est le volontariat. Nous ne captons aucune autre donnée que celles fournies par l’utilisateur. Autre valeur, celle de la transparence. L’utilisateur sait lorsqu’un annonceur utilise ses données et à quelle fin. Enfin, nous insistons sur le principe d’équité. Une partie de la valeur générée par les données est rétribuée à l’utilisateur. Pour toutes ces raisons, nous parlons de data durable.Pourquoi cibler uniquement les 15-25 ans ?La plateforme repose sur le concept de « small money ». En partageant ses données, il est possible de gagner de 5 à 20 euros par mois. Le principe n’est pas de devenir riche mais d’obtenir un peu d’argent de poche, ce qui intéresse davantage les jeunes que les quinquas. Le cofondateur de TaData et moi-même maîtrisons bien cette cible car nous avons tous les deux travaillé dans l’enseignement supérieur pendant plusieurs années. Pour le moment, nous travaillons avec des écoles supérieures, des organismes bancaires, des opérateurs de téléphonie et des entreprises de la grande distribution qui s’intéressent à cette cible. Si la plateforme fonctionne bien, nous envisagerons d’élargir la tranche d’âge.@TaDataA quelles données ont accès les annonceurs ?L’utilisateur reçoit des questionnaires thématiques tous les 15 jours. Cela permet d’obtenir toutes sortes d’informations : A-t-il des projets de voyages ? Chez quel opérateur téléphonique est-il ? Quelle est sa marque de smartphone préférée ? Il est possible de co-construire ces questionnaires avec les marques afin d’obtenir un niveau plus poussé de détails. Les annonceurs définissent les profils qui les intéressent et nous leur fournissons une liste avec les coordonnées des utilisateurs. Ils en font ensuite ce qu’ils veulent. L’utilisateur lui, est tenu au courant de l’utilisation de ses informations. L’intérêt pour les annonceurs est double, ils peuvent acquérir de potentiels clients captifs, intéressants et ciblés et travailler leur image en participant à une économie équitable.Si je sais que je vais sans doute être contactée par une marque car elle a eu accès à mon profil, ne pensez-vous pas que cela peut compromettre l’effet de surprise ?Je pense que les utilisateurs de la plateforme cherchent à recevoir des publicités personnalisées. Même si je sais à l’avance que je vais être contacté, si c’est un produit qui m’intéresse et qui correspond à mes besoins, je vais adhérer au message. Tout le monde est gagnant du moment que l’honnêteté est au rendez-vous.Comment est calculée la rétribution des utilisateurs ?Tout dépend du montant du lead livré. Dans ce montant, nous retirons les frais d’acquisition et de fonctionnement et le reste revient à l’utilisateur. Plus un annonceur demandera un niveau de détails, plus le lead sera cher, plus l’utilisateur sera rétribué. Tout est calculé proportionnellement.La question de la monétisation des données n’est pas nouvelle. Pourquoi avez-vous réussi là où beaucoup ont échoué ?Je pense que nous avons réussi car nous avons osé. Nous avons créé un système qui n’existait pas jusqu’à présent. Forcément la plateforme fait polémique, mais nous avons pris le temps de sécuriser les choses juridiquement avant tout. Lorsque nous sommes allés voir Yannick Padova, ancien secrétaire général de la CNIL, il y a deux ans, il nous a dit que le projet s’inscrivait bien dans la législation en place. Peut-être que d’autres ont été plus frileux sur le plan juridique. La question de la monétisation des données est au cœur de discussions au sein du Comité européen de la protection des données. Nous participons d’ailleurs aux travaux sur ce thème. Dans quelques années, il ne sera plus possible d’utiliser une donnée sans rétribuer son créateur. Et nous serons fiers d’avoir été précurseur.

By |2020-10-27T22:36:04+00:00October 27th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Greenpeace propose un ISF climatique contre l’empreinte carbone des…

" Plus on est riche, plus on consomme, plus on pollue" déclare le rapport de Greenpeace France. Et les plus riches, éligibles à l'impôt de solidarité sur la fortune -ISF- jusqu'en 2017, pollueraient beaucoup d'après les analyses de l’ONG. Selon ce rapport, intitulé « l'argent sale du capital », les 1% les plus aisés ont une empreinte carbone 66 fois plus élevée que les 10% les plus pauvres. Des résultats auxquels on pouvait s’attendre, mais qui n’en laissent pas moins un gout amer dans la bouche. Pourtant, il ne s’agit ici que de l’impact de la consommation de ces ménages sur les émissions de CO2. Pas la peine d'en faire les gros titres : les ménages les plus aisés ont souvent plusieurs voitures, voyagent régulièrement, ont des maisons plus grandes -et souvent plusieurs- dont la construction a émis énormément de GES, etc. Mais si l’on regarde du côté de leur patrimoine, les chiffres sont encore plus éloquents affirme Greenpeace. L’ONG a calculé dans son rapport que les Français assujettis à l’impôt de solidarité sur la fortune -remplacé en 2018 par l’IFI, l’impôt sur la fortune immobilière- représentaient un tiers des émissions de gaz à effet de serre associées au patrimoine financier de… l’ensemble des Français. Sur l'ensemble des émissions de gaz à effet de serre liées au patrimoine financier, presque 33% seraient causées par les patrimoines soumis à l'ISF en 2017. Ces émissions représentent un équivalent de 97 millions de tonnes par an en CO2. En comparaison, 1 tonne de CO2 équivaut au volume d'un bus à deux étages ou encore d'une piscine carré avec 8,12 mètres de côté.

By |2020-10-26T07:57:40+00:00October 26th, 2020|Scoop.it|0 Comments

SpaceX va implanter en Gironde deux stations pour l’Internet haut débit

SpaceX, via la société Tibro France, est autorisée à installer trois stations au sol pour déployer de l’Internet haut débit par satellite. Et deux d’entre elles sont situées en Gironde, à Villenave d’Ornon et Belin-BelietL’Arcep (l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes), le gendarme français des télécoms, vient de publier, en catimini, sans communiqué de presse, l’autorisation d’utilisation de fréquences radioélectriques à la société Tibro France pour trois stations terriennes associées au satellite Steam-2B. 

By |2020-10-24T13:31:49+00:00October 24th, 2020|Scoop.it|0 Comments