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US Government Auctioning off Bitcoins Worth $37 Million in 2 Weeks

The auction is divided into four series. Series A consists of five blocks of 500 BTC per block, Series B has 10 blocks of 100 BTC each, Series C has 10 blocks of 50 BTC each, and Series D has one block of 40.54069820 BTC. Bidders cannot view other bids and cannot change their bids once submitted. At the current rate, the BTC up for auction is worth more than $37,436,660.How to Participate in the US Government’s AuctionTo be eligible to bid in the auction, interested bidders must register with the USMS and submit all required documents with deposits. Registration opened on Feb. 3 and will close on Feb. 12. The winning bidder’s deposit will be retained by the USMS and credited towards the purchase price. The deposits of other bidders will be returned to the original accounts from which they were received.The online auction will take place on Feb. 18 from 8 a.m. to 2 p.m. EST. Bids must be an all-cash offer in U.S. dollars. The announcement details:The USMS will endeavor to notify the winning bidder(s) by 5:00 PM EST on Tuesday, February 18, 2020.However, the government agency warned that “the number of bids received and the complexity of the review process may require additional review time.” The winning bidder must wire purchase funds to the agency by 2:00 p.m. EST on Wednesday, Feb. 19. Failing to do so will disqualify the bidder and another winning bidder will be selected.Four series of BTC to be auctioned off by the USMS.Seized BTC From Various CasesThe USMS also explained on its website where these digital assets came from, stating:These bitcoins were forfeited in various federal criminal, civil and administrative cases.These cases involved the Drug Enforcement Administration (DEA), the Internal Revenue Service (IRS), the Federal Bureau of Investigation (FBI), the Homeland Security Investigations (HSI) and the Customs and Border Protection (USCBP). Some of them were named, such as the U.S. v. Tyler Lee Ward (Case No. 18-cr-438), U.S. v. Ryan Farace (Case No. 18-cr-00018), U.S. v. Matthew Lee Yensan (Case No. 17-cr-00303), U.S. v. Alexandre Cazes (Case No. 17-cv-00967), and U.S. v. Ronald L. Wheeler, III (Case No. 17-cr-377).

By |2020-02-05T15:20:16+00:00February 5th, 2020|Scoop.it|0 Comments

D2C Shopping Gains a Significant, Dedicated Audience – eMarketer Trends, Forecasts & Statistics

The rise of digitally native, direct-to-consumer (D2C) businesses is one of the most transformative movements shaping the ecommerce landscape. In the coming years, many consumers intend to make a significant percentage of purchases with D2C brands, but there may be a ceiling.An October 2019 Diffusion study conducted by YouGov asked US internet users how much they expect to purchase from D2C companies in the next five years. More than one in five respondents said they plan to make 40% or more of their purchases from D2C companies.

By |2020-02-05T15:14:16+00:00February 5th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Consommer moins pour vivre plus ? Citoyens responsables au garde à…

Le message commence à faire son chemin : la santé  ne se résume pas à l’accumulation de produits ultra marquetés, et le retour aux choses simples, et saines, s’impose de pair avec un désir flagrant et tous sujets confondus d’authenticité, de retour au « vrai ». En témoignent les marchés les plus impactés par des baisses volume : le maquillage (-5%), les alcools (-6,4%), la viande (-4%), les surgelés (-3,3%), l’hygiène bébé (-7,5%) : en somme, du superflu..  Quand la loi s'en mêle Et si les citoyens se mobilisent d'eux mêmes, les politiques aident aussi. 2019 est la première année de mise en application de la loi Egalim qui a eu un impact négatif sur les achats alimentaires (6 articles en moins achetés en promo par foyer) et les dépenses réalisées sous promotion, en baisse de 6%. Le pouvoir d’achat moyen augmentant, de plus en plus de repas sont pris en dehors du domicile (+8,5%). Les foyers français sont désormais 29% à se faire livrer plus ou moins régulièrement des repas à domicile.

By |2020-02-05T05:40:14+00:00February 5th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Ces marques françaises qui réinventent leur fabrication

Devenir engagé à un niveau social et environnemental pose forcément la question d’améliorer la fabrication et la distribution de ses services et produits. A l’occasion de la sortie de l’étude « 50 expériences inspirantes pour aller vers l’éco-responsabilité », Laetitia Faure, fondatrice du bureau de tendances en communication Urban Sublime, donne des exemples concrets d’entreprises qui ont su réinventer leur modèles.    80% des consommateurs français ont le sentiment que le commerce génère trop de pollution (Havas Paris Shopper, 2019). La population est à la fois en demande de transparence sur l’origine des produits mais aussi sur les méthodes de fabrication avec des actions concrètes et vérifiables. Conditions de travail des prestataires mais aussi distances de fabrication, sourcing des matériaux, surproduction, déchets, empreinte carbone : toutes ces questions doivent être posées et optimisées. Les entreprises capables d’établir un constat, d’imposer de nouvelles règles dans les usines et de trouver de multiples initiatives tangibles feront la différence.Créer de nouveaux circuits A titre d’exemple, la jeune pousse Corail, marque de chaussures fabriquées à partir de bouteilles en plastique repêchées dans la Méditerranées sur les côtes marseillaises.

By |2020-02-05T05:33:55+00:00February 5th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Brands urged to do more to prove their social contribution

Advertising’s social contribution is becoming an increasingly important driver of positive public sentiment towards advertising. However, one in five people still view its impact on society in a negative way and the genuineness of brands’s ‘commitment’ (or perceived commitment) to tackling some of society’s big challenges rightly remains under the microscope.This is according to the Advertising Association’s (AA) Advertising Pays 8 (AP8) report. It estimates £1bn worth of media supports advertising that makes a social contribution each year (out of the almost £25bn expected to be spent this year on advertising), while the UK ad industry spends around £75m worth of pro bono hours on this type of work.Yet in spite of all this investment, the public would like to see brands do a better job.The top three areas Brits would like to see reflected more in advertising are mental health (63%), the environment (59%) and domestic violence/abuse (58%). Other areas include homelessness/poverty (55%), promoting healthy lifestyle (52%) and animal welfare (51%), while racial diversity (42%), gender/sexuality (33%) and religion (18%) rank lowest.Of the 40% of people who view advertising as making a positive social contribution, ‘promoting a more harmonious society’ (14%) is the most significant driver of positive public perception. Yet this is the type of social benefit least encountered by consumers (25%).The public most often encounter advertising that raises awareness or money for good causes (45%). This is followed by ads that encourage individuals to seek help or make changes (31%), promote products/services that are good for the society/planet (30%), and brings people together around important cultural events/messages (30%).

By |2020-02-03T16:38:21+00:00February 3rd, 2020|Scoop.it|0 Comments

Apple surprend les marchés en publiant des résultats records

La fête n'est pas terminée. Les marchés ont salué les résultats du premier trimestre d'Apple, publiés mardi. Le titre , qui avait déjà tiré Wall Street et terminé en forte hausse en fin de journée, gagnait encore plus de 2 % dans les échanges après-Bourse. Les investisseurs semblent donc rassurés, après avoir craint de voir Apple - dont la capitalisation boursière a été doublée l'an dernier  - rentrer dans le rang. Apple a publié un chiffre d'affaires en hausse de 8,9 % sur un an, à 91,8 milliards de dollars. Un nouveau record en la matière. Le groupe a aussi augmenté ses profits pour la première fois depuis un an et demi, établissant là aussi un nouveau record, à 22,2 milliards. Le bénéfice par action ressort à 4,99 dollars, quand les analystes attendaient 4,54 dollars. Regain d'intérêt pour l'iPhoneLa nouvelle gamme d'iPhone, avec la sortie d'un iPhone 11 à l'automne, au prix moins élevé que ses prédécesseurs, a redonné un coup de fouet au produit phare d'Apple (plus de la moitié du chiffre d'affaires du groupe). Les ventes du téléphone ont atteint près de 56 milliards de dollars sur le trimestre, en hausse de 7,6 % sur un an, alors que les analystes misaient sur des ventes stables. Et Apple continue de bénéficier de la bonne santé des autres produits , qui ont pris le relais de l'iPhone. Les revenus de l'activité « wearables », qui comprend notamment les casques et écouteurs, les iPod et les montres connectées, ont bondi de 36 % sur la période. La stratégie d'Apple sur les services semble, elle, enfin tenir ses promesses. Là également, la marque a battu des records, avec un chiffre d'affaires de 12,7 milliards de dollars sur ce segment, en hausse de 17 %. Le lancement d'une carte de crédit et du service de streaming vidéo Apple TV +  ont contribué à doper la catégorie, tandis que le streaming musical et iCloud continuent de battre des records de revenus. 

By |2020-01-29T08:43:53+00:00January 29th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Une colère verte couve en Amazon…

Plus de 350 employés du géant américain critiquent, dans une lettre ouverte, la politique environnementale de leur employeur.L’initiative est courageuse et louable. Plus de 350 salariés d’Amazon ont publié une lettre ouverte dans laquelle ils critiquent la politique environnementale de leur employeur. Réunis au sein d’un comité baptisé « Amazon Employees for Climate Justice » (AECJ), ces collaborateurs prennent le risque d’être licenciés car leur action va à l’encontre du règlement intérieur mis en place par le leader du commerce en ligne.« En tant que travailleurs d'Amazon, nous sommes responsables non seulement du succès de l'entreprise mais aussi de son impact, souligne Sarah Tracy, une ingénieure spécialisée dans le développement des logiciels. Il est de notre responsabilité morale de nous exprimer et les changements apportés à la politique de communication (du groupe) nous empêchent d'exercer cette responsabilité. Ce n'est pas le moment de faire taire les employés, surtout lorsque le climat représente une menace sans précédent pour l'humanité ».La répression s’organise Au mois de septembre juste après que plusieurs de ses salariés aient annoncé leur intention de participer à une manifestation en faveur de la lutte pour la protection du climat, le géant américain a modifié son règlement intérieur. Auparavant, les employés devaient recevoir l'approbation par courriel d'un vice-président senior de l'entreprise s'ils souhaitaient parler à la presse. Aujourd’hui, ils doivent obtenir l’accord d’un supérieur après avoir rempli un formulaire sur la page intranet de l'entreprise. Cette requête doit obligatoirement contenir une « justification commerciale » pour être approuvée. Un concept pour le moins nébuleux qui prohibe, de fait, toutes les critiques envers son employeur.La colère au grand jour Loin de museler les salariés, cette décision les a, au contraire, poussés à révéler leur colère au grand jour. 357 personnes ont déjà publié des commentaires peu flatteurs sur le site Medium. « Les données scientifiques sur le changement climatique sont claires, juge Amelia Graham-McCann, Business Analyst sur la plateforme de vente en ligne. Il est inadmissible qu'Amazon continue à aider l'industrie pétrolière et gazière à extraire des combustibles fossiles tout en essayant de faire taire les employés qui s'expriment ». Michael Sokolov ne dit rien d’autre. « Amazon a un impact important sur l’économie mondiale, reconnaît cet ingénieur. Attendre des employés qu'ils gardent le silence est vraiment excessif et je suis fier de saisir cette occasion pour démontrer mon refus de me conformer  à cette directive ».

By |2020-01-28T22:57:39+00:00January 28th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Autopartage : WeShare de Volkswagen arrive à Paris

Le constructeur automobile Volkswagen annonce que son service d’autopartage WeShare sera déployée à Paris dans le courant de l’année 2020 ainsi que dans plusieurs grandes villes européennes.Testé avec succès à Berlin, WeShare a su séduire de nombreux usagers. « Au cours des six derniers mois, la flotte WeShare de Berlin a effectué plus de 3 millions de kilomètres, ce qui correspond à une moyenne de quatre à cinq trajets par véhicule et par jour » indique le constructeur allemand. Avec Paris dans le courant de l’année, WeShare va également lancer ses voitures électriques dans plusieurs grandes villes européennes comme Prague, Hambourg, Madrid, Budapest, Munich et Milan. Seuls des véhicules électriques seront disponibles en libre-service, il s’agira de Skoda Citigo e iV à Prague et Budapest alors que les Parisiens auront à leur disposition des e-Up!, e-Golf mais aussi des ID.3.

By |2020-01-28T22:52:24+00:00January 28th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Systèmes aériens sans pilote : les drones au service de l’agriculture malgache

UTILISER LES DRONES POUR TRANSFORMER L’AGRICULTURE AFRICAINELes systèmes aériens sans pilote (UAS) jouent un rôle de plus en plus répandu dans l’agriculture de précision. La technologie fournit aux agriculteurs des données en temps quasi réel sur leurs terres, leurs cultures et leur bétail. Cela les aide à maximiser l’efficacité des intrants, à réduire les impacts environnementaux et à optimiser la qualité des produits. Pour ouvrir ces opportunités aux agriculteurs de Madagascar, « transformer l’agriculture africaine : Les yeux dans le ciel, les technologies intelligentes sur le terrain », un projet financé par le CTA, a offert aux représentants de Farming & Technology for Africa (FTA) et d’un réseau d’ONG, connu sous le nom de BIMTT, une formation pour mener des opérations de drones. BIMTT est particulièrement intéressé par l’adoption de la technologie dans le contexte des droits fonciers, tandis que FTA a l’intention d’utiliser des drones pour le développement de la foresterie et du reboisement. UN PROGRAMME DE FORMATION SUR LES DRONESAfin de répondre à des demandes de formation spécifiques et d’accroître la portée du projet, le CTA a engagé Global Partners – une entreprise qui développe des solutions numériques pour l’agriculture, l’urbanisme et la conservation de la biodiversité – pour dispenser une formation à une équipe de Madagascar en octobre 2019. Composé de chercheurs, d’analystes SIG, d’opérateurs de drones certifiés et d’agronomes, Global Partners a développé l’un des rares programmes de formation sur les drones en Afrique et a formé des chercheurs, des étudiants et des jeunes entrepreneurs.

By |2020-01-28T22:51:26+00:00January 28th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Brazil’s Big Agricultural Strategy: Pesticides

Since 2013, Brazil has been thought to be the world’s biggest consumer of pesticides, but there are many ways to measure that. “In terms of sales value, Brazil is, by far, the leader of this ranking,” says Alan Tygel, coordinator of the Permanent Campaign Against Pesticides and for Life, an advocacy network composed of more than 100 Brazilian organizations standing up for agroecology in Brazil. “In terms of quantity, Brazil is probably also the champion, although there is no reliable data from the [United] States, its biggest ‘rival’ in the pesticide race.”Bolsonaro has scoffed at the notion that such chemicals are poison, and said “it’s impossible to feed the world without pesticides.” While the formerly ruling Workers’ Party supported agribusinesses, Tygel says, they also paid attention to agroecology. Now that’s changed. “All the policies built to promote agroecology and family agriculture are being destroyed,” he says.Outside of Brazil, the use of pesticides has declined slightly in recent years, according to U.N. data. In 2012, the worldwide average was 5.9 pounds of pesticide per acre of cropland, and in 2017 that was down to 5.7. At the end of the month, the EU’s ban of chlorpyrifos, which has been shown to harm developing human brains, will come into effect. But in Brazil, that political will doesn’t seem to exist.“The idea is to convince the population that pesticides are not poison,” says Antonio Andrioli, professor of agroecology and sustainable rural development at the Federal University of the Southern Frontier in Paraná. He says schools and universities may soon be forbidden to use the term “agro-toxic” for pesticides and replace it with “phytosanitary defensive.” Brazil’s Minister of Agriculture Tereza Cristina argues that the release of new pesticides will benefit the environment, as they’re likely to be more efficient and thus used in smaller quantities.Another contingent in favor of pesticides: agrochemical and pharmaceutical transnationals with interests in Brazil, like Bayer-Monsanto, Dow, DuPont and Syngenta. Such companies, along with advocates for pesticide use, have long argued that chemicals are essential to produce enough food for humanity — and with agriculture largely blamed for unprecedented clearing of the rainforest, land yield could be a key concern in years to come. But the companies’ motives aren’t pure either, says Andrioli: “Farmers have become dependent on these companies thanks to the consolidation of transgenic seeds, which are directly tied to the use of pesticides.”

By |2020-01-28T22:50:16+00:00January 28th, 2020|Scoop.it|0 Comments