Le patron de Facebook était mardi soir face au Parlement européen. Ses promesses n’ont pas suffi à rassurer des députés européens très remontés contre son entreprise.

De la même manière qu’il avait présenté des excuses au Congrès américain, Mark Zuckerberg, le numéro un de Facebook, a fait acte de contrition, mardi soir, devant les députés européens. Face aux dérives récentes constatées sur les réseaux sociaux (« fake news », extrémisme, manipulation politique), il s’est dit « désolé » d’avoir commis « l’erreur » de ne « pas faire assez », au cours des toutes dernières années. « Cela va prendre du temps de résoudre » ces problèmes, a-t-il prévenu.

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