Monthly Archives: April 2019

What Are Advertisers’ Challenges With Using First-Party Data? – eMarketer Trends, Forecasts & Statistics

In a survey of US digital marketers by Advertiser Perceptions and programmatic agency MightyHive, respondents said they were, on average, tapping into just 47% of their company’s first-party data potential.More than four in 10 respondents said they were tapping into 40% or less of their company’s first-party data potential, while one-fourth said they were tapping into more than 60% of their first-party data potential. Three in 10 respondents said they were taking advantage of 41% to 60% of their first-party data.

By |2019-04-23T06:04:08+00:00April 23rd, 2019|Scoop.it|0 Comments

Ecole 42 : entre scandale, harcèlements et arnaques financières, Mediapart révèle pourquoi le co-fondateur a démissionné

L'enquête publiée le 18 avril sur le site Mediapart révèle pourquoi le co-fondateur de l'Ecole 42, Nicolas Sadirac, a pris la porte en octobre 2018. S'il avait pu conserver son poste malgré la vidéo qui avait circulé sur les réseaux sociaux, d'autres faits révélés par Mediapart l'ont conduit à démissionner. Ces faits concernent pour la plupart des magouilles et arnaques financières qui auraient été mis en place pendant plusieurs années. Si l'on veut être précis, il faut se souvenir que l'Ecole 42 est une association sans but lucratif, presque totalement financée par Xavier Niel. Mediapart révèle que certaines surfacturations de biens (comme 200 000€ de chaises, par exemple), ont cependant eu lieu. Des versements en liquide assez douteux ont eux aussi été observés. En octobre 2018, et suite à ces faits on peut le soupçonner, Nicolas Sadirac aurait donc été invité à démissionner, et celui-ci aurait même accepté de renoncer à son solde tout compte, d'un montant de 86 000 €, si l'affaire n'était pas ébruitée. Mediapart ne s'arrête pas là cependant, puisqu'une question reste maintenant en suspens. Lors de la négociation de démission en effet, où Xavier Niel et Nicolas Sadirac étaient tout deux présents, Alexandre Carayon aurait été chargé de jouer le rôle d'intermédiaire. Alexandre Carayon n'est pas un anonyme puisqu'il a quant à lui intégré LREM (La République En Marche) en 2016. Ce dernier se serait alors vu confier la mission de récupérer l'ancien ordinateur de Nicolas Sadirac. Mediapart pose ainsi la question qui dérange :Qu’y avait-il de si important dans cet ordinateur exigeant qu’un conseiller officieux du chef de l’État s’occupe en personne d’aller le récupérer ? 

By |2019-04-23T06:02:18+00:00April 23rd, 2019|Scoop.it|0 Comments

Le SXO ou l’avènement du bon sens et de la patience

Le SXO est l’acronyme de Search eXperience Optimization. À la différence de son prédécesseur le SEO, ce dernier renverse la tendance qui était jusqu’à présent celle de la quête du meilleur référencement et se tourne désormais vers l’écoute des comportements utilisateurs pour en comprendre les requêtes.  Du SEO au SXO, le chemin vers une nouvelle expérience utilisateur Un bon référencement est devenu le levier incontournable pour la visibilité d’une entreprise mais ce dernier se réinvente et impose de remettre l’utilisateur au centre du dispositif pour lui proposer la meilleure expérience possible. Bien en amont de l'analyse de la requête et de ses différents mots clefs, il faut comprendre l’intention de recherche pour y répondre au mieux avec du contenu. Incontournable pour optimiser sa performance sur les moteurs de recherche, une expérience fluide et rapide sera valorisée par les algorithmes en fonction de la pertinence de votre réponse. Selon Myposeo, “le SEO rend les marques visibles quand le SXO les rend performantes en leur imposant de donner la bonne réponse à la requête”. Mais qu’est-ce qui se cache derrière les requêtes utilisateurs ? C’est tout l’enjeu de l’approche SXO, orientée utilisateur plutôt que moteur de recherches.

By |2019-04-23T05:49:07+00:00April 23rd, 2019|Scoop.it|0 Comments

Apple fait cavalier seul dans la Silicon Valley

Apple tape sur Google et Facebook Et pour bien faire comprendre sa différence, la marque n’hésite pas à taper sur les autres géants américains, dont Google et Facebook, rattrapés l’an dernier par de nombreux scandales autour de l’exploitation et de la sécurité des données personnelles de leurs utilisateurs. Certes, tous ont besoin de cette data pour exister et proposer des expériences personnalisées à leurs clients, mais l’usage qu’ils en font est très différent d’une firme à l’autre.  Sans jamais les citer Devant le congrès américain, mais aussi en octobre à Bruxelles lors du discours d’ouverture de la Conférence Internationale de la protection des données et de la vie privée de la Commission européenne, Tim Cook a prononcé un discours à charge. Sans jamais citer ni Facebook ni Google, il a taclé ces entreprises qui font de nos data des « armes commerciales massives », tout en saluant l’adoption du RGPD. D’ailleurs, la marque n’a pas attendu que le Congrès américain lui impose, comme ce sera le cas pour les entreprises de la Silicon Valley au 1er janvier 2020, de divulguer le pourquoi du comment de la collecte des données personnelles de leurs utilisateurs.  Facilité? On peut toutefois reprocher à Apple une certaine facilité. En effet, son business model repose sur la vente de ses produits et services, quand les revenus de Google et Facebook sont quasi uniquement générés par l’exploitation massive de la donnée personnelle en vue d’écouler de la façon la plus affinitaire possible leur inventaire publicitaire. On parle ici de recettes astronomiques : 89 milliards de dollars pour Facebook et 138 milliards pour Google.  Chez Apple, le produit ce n’est pas l’utilisateur Cette petite phrase est récurrente dans le discours actuel d’Apple. Au CES en janvier dernier, le géant américain s’est d’ailleurs offert une affiche en face du salon en remplaçant « Las Vegas » par « iPhone » dans la célèbre réplique du film Very Bad Trip, « Ce qui se passe dans ton iPhone, reste dans ton iPhone ». Mais derrière le discours et les bonnes intentions, qu’en est-il réellement ? Apple a besoin de la donnée pour désigner ses produits et services, même s’ils font de réels efforts pour en limiter la captation et l’anonymisent au maximum. La marque n’est d’ailleurs pas exempte de reproche ni infaillible. En Chine, elle se conforme à la réglementation nationale, autorisant indirectement le gouvernement à récupérer la donnée de ses utilisateurs chinois. Money is Money. Récemment, sa nouvelle fonctionnalité Facetime permettant des discussions de groupes a été victime d’une brèche de sécurité.

By |2019-04-22T08:42:49+00:00April 22nd, 2019|Scoop.it|0 Comments

Référendum sur la privatisation d’ADP : les coulisses d’une opération politique inédite

Tout a commencé il y a un mois. Une interruption de séance lors de la deuxième lecture de la loi Pacte à l’Assemblée nationale. Valérie Rabault, la patronne du groupe socialiste, papote avec une députée des Républicains. Elles sont affligées par la tournure du débat, se désolent de la future privatisation d’Aéroports de Paris. Les deux femmes se rendent compte qu’à part chez les « marcheurs », l’opposition dans toutes ses couleurs est opposée à cette mesure. « Il faut faire quelque chose. Essayons le RIP », glisse la socialiste à sa voisine. Le RIP ? Le référendum d’initiative partagée, permis par Nicolas Sarkozy en 2008, nécessite qu’un cinquième des parlementaires soutiennent une même proposition pouvant être soumise aux Français si, en plus, un dixième du corps électoral (4,5 à 4,6 millions de personnes) le veut.

By |2019-04-22T08:38:11+00:00April 22nd, 2019|Scoop.it|0 Comments

PREMIERE. Un prototype de coeur entier imprimé en 3D

Une équipe israélienne a réalisé la première impression 3D d'un coeur avec ses vaisseaux sanguins, à partir de cellules provenant d'un patient. Une avancée "majeure" selon elle dans le traitement des maladies cardiovasculaires et la prévention du rejet des greffes cardiaques. Ces travaux sont publiés dans la revue Advanced Science.Objectif : traiter les patients en attente de greffe de coeur"Nous imprimons un coeur entier qui est complètement biocompatible avec le patient et ne provoquera pas de réponse immunitaire", a souligné le professeur Tal Dvir, qui a dirigé les recherches conjointement avec le Dr Assaf Shapira, de la faculté de sciences de la vie de l'université de Tel-Aviv. L'objectif est de réparer le coeur des personnes en insuffisance cardiaque terminale, qui n'ont pour l'instant pas d'autre option que la transplantation cardiaque. Mais en raison du nombre limité de donneurs, de nombreux malades meurent avant la transplantation. Et quand ils peuvent en bénéficier, ils sont souvent victimes d'un rejet de la greffe.

By |2019-04-22T08:37:20+00:00April 22nd, 2019|Scoop.it|0 Comments

Doctolib : OPA sur la santé

Forcément, la réflexion de Cédric O a été de courte durée. Quand il a fallu trouver où le tout nouveau secrétaire d’Etat au Numérique allait faire sa première sortie publique devant les caméras, le nom de Doctolib s’est aussitôt imposé. Le site de prise de rendez- vous médicaux en ligne répond à toutes les conditions pour attirer un ministre : il vient d’être valorisé 1 milliard d’euros, chose rarissime dans ce milieu lors de l’entrée au capital d’un fonds d’investissement américain ; il touche à la santé, sujet essentiel ; il répond à tous les codes de la start-up, plateaux de jeunes développeurs derrière leur écran, table de ping-pong, frigos remplis… et bien sûr discours messianique. Il fallait voir, ce 3 avril au matin, Cédric O tutoyer et donner du « Stan » au patron et cofondateur de Doctolib, Stanislas Niox-Château (renseignement pris, ils ne s’étaient vus qu’une fois auparavant) et opiner du chef en écoutant le sabir très Silicon Valley du maître des lieux : « Il est essentiel que les entrepreneurs veuillent changer le monde. »

By |2019-04-22T08:11:18+00:00April 22nd, 2019|Scoop.it|0 Comments

Après HotelTonight et Oyo, Airbnb investit dans Lyric

Encore une opération de croissance externe ! Cette fois, Airbnb vient de mener un tour de table de 160 millions de dollars (142 millions d’euros) pour la start-up américaine Lyric. Parmi les autres investisseurs qui ont participé au financement figurent Tishman Speyer, RXR Realty, Obvious Ventures, SineWave et Dick Costolo (ex-patron de Twitter).Basée à San Francisco comme Airbnb, Lyric est spécialisée dans la location courte durée d’appartements de luxe. La start-up loue des logements urbains, les rénove pour les arrimer à ses standards, puis les gère en leur ajoutant des services hôteliers. A l’image de Onefinestay, racheté par AccorHotels pour 148 millions d’euros, c’est donc un modèle d’hébergements hybrides. Et ce, pour des clients exigeants, en quête de services personnalisés. A titre d’exemple, un loft pour 6 personnes à Chicago, au mois d’août, est facturé 957 euros les deux nuits.Améliorer sa réputationLyric est encore en phase de décollage, avec seulement 400 unités aux Etats-Unis qui arborent sa marque, distribuées sur Hotels.com, Expedia ou encore Airbnb, mais aussi en direct. La start-up développe sa propre technologie, et décroche des permis de location à court terme pour éviter de se mettre les autorités à dos. D’ailleurs, la jeune entreprise pourrait aider Airbnb à améliorer sa réputation dans les grandes villes, estime l’agence Bloomberg.Airbnb a décidément la fièvre acheteuse. En 2017, le géant de la location saisonnière a acquis une start-up pour cibler les voyageurs handicapés et la plate-forme canadienne de location de résidences Luxury Retreats. En mars 2019, Airbnb a acheté la plate-forme de réservations hôtelières de dernière minute HotelTonight. Plus récemment, le groupe californien a pris une participation dans Oyo, une start-up indienne spécialisée dans la réservation d’hôtels économiques. Autant de briques d’hébergement pour converger vers une solution de voyage de bout en bout, comprenant l’hébergement, les activités et – demain – le vol. Pour mémoire, Airbnb a annoncé le recrutement d’un expert de l’aérien en la personne de Fred Reid, qui a travaillé au sein de compagnies pendant 20 ans.

By |2019-04-19T15:43:32+00:00April 19th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Hôtellerie : l’analyse des ventes en ligne confirme l’emprise de Booking et Expedia

L'étude révèle une hausse de 46,7 % de la distribution en ligne sur cette même période et confirme la forte dépendance des hôtels aux OTA. En 2018, 71 % des ventes d’hôtels indépendants ont été réalisées par des agences de voyages en ligne. D-Edge rapporte que Booking Holdings détient 68 % des parts de marché des OTA sur la même année. Malgré une perte de 6,4 % des parts de marché sur les 5 dernières années au profit des OTA, les ventes directes constituent le deuxième canal le plus performant pour les hôteliers (20,9 %). Le rapport souligne également que, pour la première fois en 5 ans, les ventes directes ont enregistré une croissance entre 2017 et 2018. D-Edge suggère ainsi aux hôteliers d’évaluer trimestriellement les parts de marché de leurs canaux de distribution afin de maintenir une distribution mixte, plus saine et rentable.

By |2019-04-19T15:42:28+00:00April 19th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Pinterest, une licorne pas comme les autres

Pas encore rentable, Pinterest vend des publicités aux PME, grandes marques et annonceurs. Mais les analystes estiment que la firme pourrait faire mieux et aller plus loin, étant donné son environnement très visuel et propice aux comportements d'achats. Depuis quatre ans, il est ainsi possible d'y acheter des produits directement en cliquant sur certaines photos. Mais la société ne prélève pas de commission sur la transaction.« Ne nous comparez pas à un média social ou un moteur de recherche »Reste que la défiance actuelle à l'encontre des plates-formes « sociales », Facebook en tête, joue pour Pinterest qui met justement l'accent sur sa différence. Tout particulièrement sur la question de la rétention des utilisateurs et tous les moyens mis en oeuvre par ses concurrents pour doper le temps passé par ces derniers sur leur plate-forme.« Notre objectif réel n'est pas de vous « garder » en ligne, notre but est que vous fassiez quelque chose de nouveau en ligne », a affirmé, Ben Silbermann à « CNN » le mois dernier. Pinterest ne sert pas à « projeter une image ou devenir célèbre », a-t-il précisé.

By |2019-04-19T09:01:23+00:00April 19th, 2019|Scoop.it|0 Comments