Monthly Archives: September 2019

European Countries Step Up Response to Facebook’s Libra

A Wake-Up Call and ECB’s Project RevivedFacebook’s proposed Libra digital currency has given governments worldwide a run for their money. European Central Bank board member Benoit Coeure calls Libra “a wake-up call,” after discussing it at last week’s meeting of eurozone finance ministers in Helsinki. Amid concerns over a sovereign threat, 26 regulators worldwide, including the Bank of England and the U.S. Federal Reserve, reportedly met with representatives of Libra in Basel on Monday to discuss the scope and design of Libra.Coeure told the press Friday that Libra had revived efforts of an ECB-backed project for real-time payments in the eurozone, the Target Instant Payment Settlement (TIPS). The project could allow consumers to use electronic cash, directly deposited at the ECB without the need for bank accounts, financial intermediaries or clearing counterparties. Just like with Facebook’s plans, financial intermediaries will be unnecessary in this new ECB system. “TIPS offers final and irrevocable settlement of instant payments in euro, at any time of day and on any day of the year,” the ECB described.The project was launched last year and could last months or even years, Coeure revealed, adding that the technical feasibility remains to be seen and opposition from banks is likely. In addition, “We also need to step up our thinking on a central bank digital currency,” he suggested. France’s Finance Minister Bruno Le Maire said last week that the European Union should create a common set of rules for cryptocurrencies to counter the risks posed by Libra.Strong Opposition by France and GermanyFrance and Germany have reportedly agreed to block Libra due to the risks the digital currency could pose to their financial sectors, the French finance ministry said. The two countries jointly issued a statement Friday, stating:France and Germany consider that the Libra project, as set out in Facebook’s blueprint, fails to convince that those risks will be properly addressed … We believe that no private entity can claim monetary power, which is inherent to the sovereignty of nations.

By |2019-09-17T07:51:46+00:00September 17th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Communication responsable : quelle opinion publique derrière toute…

En plein dans le mille d’un monde citoyen et politique en impératif de réactions sur la situation environnementale catastrophique, L’Observatoire du Goodvertising dévoile les résultats d’une nouvelle enquête Viavoice pour The Good Company et Goodeed. Que pensent vraiment les Français de la com/pub responsable ? La publicité peut-elle être porteuse de changements positifs sur le plan social et environnemental ? Réponses chiffrées  et enseignements.Des citoyens enjoués mais pas dupesQuitte à parler, autant  que ce soit pour véhiculer des valeurs responsables, que les engagement soient tenus ou non. C’est l’opinion de 83% des Français qui estiment que la communication « for good » est une bonne chose contre 84% qui pensent que c’est même un rôle à tenir pour les marques et entreprises. En termes de leviers de conversion l’effet n’est pas le même : loin d'être uniquement communicationnels, ces derniers relèvent de l'action mais également des conceptions de société. En effet les consommateurs se montrent sceptiques et attendent au delà du discours des vraies preuves : seuls 23% des Français estiment que la communication « for good » correspond à la réalité de ce que font les entreprises et les marques et la moitié des Français (49%) estiment qu’il s’agit le plus souvent de « greenwashing ».Dommage, car au delà d’une meilleure image de marque, ce sont des fidèles que les entreprises gagneraient : 77% des français se  disent plus enclins à acheter produits et services de marques qui tiennent leurs engagements. Autant de raisons que de tromperiesPour l'image  (62%), par intérêt business (53%), parce que c’est « cool » (34%), par  nécessité parce qu’il existe des défis gigantesques à relever (27%), pour se donner bonne conscience (26%), par conviction parce qu’elles veulent agir positivement et faire progresser le bien commun (23%) ou seulement par cynisme parce qu’elles on des choses à cacher sous l’apparence des bons sentiments (13%) : les entreprises ont selon les Français toutes une (bonne) raison de s’engager. Pour le meilleur comme pour le pire. Une présence irrégulière Pour près d’une Français sur deux, on ne voit pas assez de communication éthique. Et quand bien même il y a communication, les hygiaphones manquent à l’appel. 64% des sondés pensent que la communication de ces sujets doit se faire haut  et fort en tapant du pied. Responsable et  éthique d’accord, mais sur quels aspects ? Pour 39% des français, la communication « for good »  se résume principalement au faire savoir des actions entrepreneuriales en faveur de l’économie, du social ou de l’environnement. Un autre 39% tranche pour les engagements économiques, sociaux ou environnementales  qui existent en dehors de l’entreprise (soutenir une ONG etc). Enfin, 28% pensent qu’il s’agit d’abord d’intentions pas d’actions. Ce que l’on en retient Au regard de l'ampleur de la défiance (49%) face à la sincérité des communications menées, les discours de preuve et d'authenticité sont attendus prioritairement.  Le discours de preuve portera par exemple sur la prise en compte de critères sociaux, économiques et environnementaux dans l'élaboration des produits ou services propres à la marque. Il doit refléter les valeurs de production.  La communication "for good" doit refléter la réalité de l'engagement de la marque, être au service de son action et non de son intention.Rassurer les foulesEn termes purement socio démographiques, apparaissent relativement peu de clivages entre les publics qui adhèrent pleinement à la communication "for good", les bienveillants à convaincre et les dissidents. Prévalent des nuances mais non des clivages et il n'est donc pas véritablement permis de parler d'une "sociologie spécifique" des bienveillants ou des dissidents.C'est en revanche sur la vision de leur propre avenir que les deux populations se distinguent très nettement : les dissidents expriment une préoccupation très forte quant à leur futur, lorsque les publics plus acquis affichent un niveau de confiance plus élevé. Comme l’explique Laurent Semmel et François Miquet-Marty de Viavoice, cela correspond à une tendance de société souvent observée par Viavoice. Les études menées auprès des donneurs de sang sur les leviers de passage à l'acte, montrent par exemple qu'un donneur de sang se distingue du reste de la population non pas sur des critères socio démographiques, mais de vision personnelle : un donneur s'estime plus chanceux, plus heureux, plus confiant que le reste des Français et il est donc plus enclin à donner.

By |2019-09-17T07:39:22+00:00September 17th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Artificial Intelligence Confronts a ‘Reproducibility’ Crisis | WIRED

Even the big industrial labs, with the resources to design the largest, most complex systems, have signaled alarm. When Facebook attempted to replicate AlphaGo, the system developed by Alphabet’s DeepMind to master the ancient game of Go, the researchers appeared exhausted by the task. The vast computational requirements—millions of experiments running on thousands of devices over days—combined with unavailable code, made the system “very difficult, if not impossible, to reproduce, study, improve upon, and extend,” they wrote in a paper published in May. (The Facebook team ultimately succeeded.)The AI2 research proposes a solution to that problem. The idea is to provide more data about the experiments that took place. You can still report the best model you obtained after, say, 100 experiments—the result that might be declared “state of the art”—but you also would report the range of performance you would expect if you only had the budget to try it 10 times, or just once.The point of reproducibility, according to Dodge, isn’t to replicate the results exactly. That would be nearly impossible given the natural randomness in neural networks and variations in hardware and code. Instead, the idea is to offer a road map to reach the same conclusions as the original research, especially when that involves deciding which machine-learning system is best for a particular task.

By |2019-09-17T07:36:02+00:00September 17th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Netflix-Canal+ : mariage de raison

Netflix n'a, à première vue, guère besoin de s'appuyer sur Canal+. Capable de séduire sans intermédiaire des dizaines de millions d'abonnés dans le monde, l'américain qui produit ses propres séries a prouvé la pertinence de son modèle d'intégration verticale poussée à l'extrême. Et pourtant, il a décidé de s'appuyer sur un acteur du PAF aux allures de concurrent direct. Si Reed Hastings a pactisé avec Vincent Bolloré, c'est que cette alliance peut être bénéfique pour les deux parties. Après s'être allié avec les opérateurs télécoms, le californien peut espérer toucher ainsi encore plus d'abonnés en s'associant avec un spécialiste de la télévision payante qui doit l'aider à séduire et à fidéliser des abonnés de plus en plus volatils. Confronté à l'émergence de nouveaux rivaux comme Amazon, Apple ou Disney qui parient eux aussi sur les séries,  Netflix a besoin de continuer de croître . Et en promettant à ses clients qu'ils paieront moins cher et bénéficieront d'une offre plus simple que s'ils s'abonnaient directement à une multitude d'offres,  Canal + se réinvente en tant qu'agrégateur .A l'image d'un Amazon qui plus tôt cette année a noué un partenariat avec Monoprix, dans bien des secteurs, les pères de la révolution numérique reconnaissent que l'union peut encore faire la force. Le digital a poussé les entreprises à miser sur des verticales, à devenir très fortes dans un métier puis à tirer parti de leur puissance en mondialisant leur offre. Cette stratégie efficace se heurte toutefois à deux limites. La première est que même si la stratégie peut être dirigée depuis un siège social américain, il faut ensuite disposer dans chaque pays d'équipes capables d'adapter l'offre et de stimuler la demande. Les vieilles multinationales ont mis des décennies à tisser une telle toile. Même les start-up qui vont vite manquent de temps. La seconde est que dans ce monde plein de spécialistes monothématiques, la vie des consommateurs se complexifie. Dans l'audiovisuel il faut ainsi s'abonner à de plus en plus de services pour pouvoir suivre le football ou toutes les séries. Pareil dans l'ecommerce ou le tourisme. Il y a, de ce fait, à nouveau la place pour des acteurs plus locaux capables d'agréger bien des services.  Reste à voir comment ces nouveaux alliés de circonstance se partageront les marges. 

By |2019-09-17T07:26:33+00:00September 17th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Blockchain, crise de la pub, quête de sens : les ingrédients de la mayonnaise WhatRocks

Annonceurs comme éditeurs ont besoin de restaurer l'image de la publicité digitale. Elle s'est insuffisamment auto-régulée aux yeux de la société, ouvrant la porte à la généralisation des ad blockers et au durcissement des lois sur les données personnelles. Restaurer le contrat social de la publicité digitale passe par une solution sociale. Il s'agit de donner une utilité sociale aux investissements publicitaires". Le projet de pub responsable de la Fondation suisse* de Njara Zafimehy a pris vie le 10 septembre dernier, avec un pilote mené par Nestlé et L'Oréal, sous la houlette de Publicis Média. Elise Ducret, la CMO de L'Oréal a choisi pour ce pilote une nouvelle marque.  La Provençale est une marque 100 % bio, packaging compris. WhatRocks permet à L’Oréal de rendre ses investissements publicitaires  encore plus responsables. Le communiqué qui annonce l'opération est intitulé "ad tech for good" (qui rappelle l'autre action phare du groupe Publicis, act for good, de Carrefour), et parle de "performance responsable". La publicité ne doit pas seulement être performante, mais aussi apporter des solutions.

By |2019-09-16T14:39:55+00:00September 16th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Government Hates Crypto Because It Empowers the People, Not Because It’s Used for Crime

MIT is conducting an internal review of the Epstein matter, which could be connected to donations from such influential tech-savvy billionaires as Bill Gates. The school has a history of taking underhanded jabs at disruptive and subversive tech like Bitcoin, and remaining tellingly silent when human rights activists are put on the spit of government persecution, or when ties with brutal, U.S.-supported dictatorial regimes like Saudi Arabia are concerned. In a joint-authored MIT Media Lab-connected piece published to The Atlantic in 2016, the writers state:The [bitcoin] cryptocurrency is a powerful tool for early adopters and middle-class entrepreneurs, but it may not provide the opportunities in the developing world that its advocates claim.That’s fair enough, and at face value a pretty innocuous and possibly substantial claim. But the Bitcoin critical hint-drops continue throughout the piece, suggesting to readers that they “dig into the ways mobile money is embedded in new, networked systems of control and value enclosure, as opposed to being a purely grassroots phenomenon for social inclusion.”Tellingly, the url for the piece includes the word “hype” and the original title, prior to being edited, was “The New Bitcoin Myth.” For anyone that can read between the lines here, The Atlantic piece is an attempted attack on the utility of crypto and its revolutionary potential, coming from a massively government-funded university. According to a 2017 letter from MIT president L. Rafael Reif:Congress will shape the final terms. But because we rely on federal funding for 66% of our campus research support, we must take this “blueprint” seriously, for both what it says and what it signals.

By |2019-09-15T15:04:26+00:00September 15th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Distrust of the Bolivar Prompts Venezuelans to Seek Sound Money

“This situation is caused by high levels of exposure inflation, which causes rapid loss of consumer purchasing power — In the face of this reality Bitcoin Cash emerges as a necessary alternative, at a time when the country opens the doors to the legalization of cryptocurrencies, an option that would allow supporting the wages and economic assets of the citizens of this country,” the report details. Additionally, out of the first 100 people surveyed, 68% did not know of the existence of cryptocurrencies, while 32% felt they did. A staggering 88% of respondents replied that they do not trust the bolivar. “Last year the government printed new cash money — This year nobody can use it or accept it because of inflation and low salaries,” she explained. Sofia also spoke about some pictures she shared of Venezuelans waiting as long as six hours to withdraw 20,000 bolivares cash ($0.94). “The banks have limited the people with restricted amounts by day and they do not have enough printed money to deliver to people, so the lines are huge and people waste a lot of time there,” Sofia, said, adding:They want this money to pay for bus tickets or sell to miners or the mafia — The mafia will pay you 100% value of cash money — Cash money is scarce.In Venezuela, gold dealers from the mines run rampant in congested areas like shopping centers. Sofia said there are a lot of gold dealers and they are “everywhere and they have the control of the authorities and cash money.” After hearing about the gold dealers, news.Bitcoin.com asked the Ryver group community manager why her team thinks most Venezuelans are not getting exposure to digital currencies.

By |2019-09-15T15:03:11+00:00September 15th, 2019|Scoop.it|0 Comments

La loi mobilités cale face au tout-voiture

La France a longtemps été droguée aux nouveaux grands projets (contournements routiers, autoroutes, et surtout TGV). Ce fut parfois un moyen de désenclaver certains territoires, mais cela a surtout entraîné de nouveaux déplacements toujours plus rapides et lointains, au détriment des transports du quotidien domicile-travail. La Cour des comptes dénonce ainsi la priorité donnée au TGV, qui a englouti beaucoup d’argent pour des liaisons où la grande vitesse n’est pas nécessairement pertinente. Bonne nouvelle, la LOM prend le contrepied de cette stratégie : la France va désormais essentiellement rénover l’existant et prioriser « les trajets du quotidien ». Une décision saluée par les acteurs, d’autant qu’il y aura plus d’argent que précédemment (13,4 milliards d’euros entre 2019 et 2023 contre 9,8 entre 2014 et 2018), et qu’il sera surtout fléché vers le ferroviaire (51 %, contre 39 % pour la route, assure le gouvernement). Une vingtaine de nouveaux tronçons routiers seront tout de même construits au nom du désenclavement, comme le contournement de Rouen ou l’autoroute qui relie Toulouse à Castres.Reste « qu’il ne faut pas forcément opposer trajets du quotidien et nouvelles infrastructures. Nous manquons par exemple d’étoiles ferroviaires autour des métropoles. Sans nouvelles infrastructures, il faudra continuer de passer par le centre pour aller de banlieue à banlieue en transports en commun… ou alors continuer de prendre sa voiture », regrette Bruno Gazeau. « Par ailleurs, avoir étendu la compétence mobilité partout sur le territoire est une très bonne chose pour les territoires ruraux. Mais si dans le même temps on supprime les petites lignes de train, ça n’aura aucun sens », poursuit-il. La loi ne prévoit pas de supprimer ces lignes, comme le rapport Spinetta le proposait. Mais dans un contexte où l’exécutif cherche à baisser les dépenses publiques, la tentation de fermer les petites lignes n’a probablement pas totalement disparu.Enfin, les débats ne sont pas encore tranchés sur la façon de financer ces infrastructures. « Il manquait 300 millions d’euros par an pour les financer, et c’est pour ça que la loi a bloqué cet été au Sénat et qu’elle traîne à être adoptée », décrypte un acteur du dossier. Pour trouver ces 300 millions d’euros supplémentaires, le gouvernement a consenti à deux efforts. L’Assemblée nationale a ainsi voté une taxe sur l’aérien (elle rapportera 180 millions d’euros par an), et le gouvernement a annoncé une réduction de deux centimes d’euros par litre de l’avantage fiscal sur le gazole pour les poids lourds (140 millions d’euros par an). Les carburants pour les simples consommateurs ne bougeront pas, contexte gilets jaunes oblige. L’augmentation de la taxe carbone sur les carburants du quotidien est-elle donc enterrée à jamais ? Pour qu’elle soit audible, il faudrait que les recettes de la taxe soient fléchées vers les transports en commun, estiment la plupart des acteurs de la mobilité. Et pas vers le budget général de l’Etat, comme actuellement.

By |2019-09-15T12:51:26+00:00September 15th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Quel RGPD pour l’IA ?

Après des années de stagnation, le marché de l’intelligence artificielle (IA) explose et il ne se passe pas de jours sans que l’on annonce de nouvelles applications. Dans ce domaine, la Chine semble en pole position. Mais, ses avancées,notamment dans la reconnaissance faciale, inquiètent. Avec sa surveillance des réseaux sociaux, c’est un des piliers majeurs de son programme de «crédit social» visant à établir une culture de l’intégrité.A l’opposé d’une telle surveillance, l’Union européenne a institué le Règlement général sur la protection des données personnelles (RGPD) le 25 mai 2018. Des études montrent que cette institution n’est pas toujours comprise par ceux-là mêmes qu’elle veut protéger contre une utilisation abusive de leurs données personnelles. Néanmoins, après un an de mise en œuvre, le bilan n’est pas si négatif. Google a été condamné à verser une amende de 50 millions d’euros du fait de ses infractions à la nouvelle réglementation. Par ailleurs, à ce jour, près de 145.000 plaintes ont été déposées auprès de la CNIL.Dès lors, compte tenu de ces évolutions, la question s’est posée de savoir s’il ne convenait pas d’élargir le domaine de la protection des données personnelles à l’IA et de réglementer l’usage des algorithmes nécessaires à son fonctionnement.C’est dans ce sens que le Parlement européen a adopté une résolution le 12 février dernier et qu’un projet de directive sur «les implications éthiques et humaines de l’intelligence artificielle» est à l’étude. Porté par la nouvelle présidente de la Commission européenne, Ursula von der Luyden, ce projet est en quelque sorte la contrepartie du volontarisme dont veut faire preuve la Commission pour contribuer à l’essor de l’IA dans l’Union européenne. Mais qu’en est-il exactement ? Que veut-on précisément réglementer ? Autrement dit, de quoi a-t-on peur ?Peur de l'IAPersonne ne peut vraiment le nier, mais sous cette question, inévitablement, coule une représentation allégorique de l’IA. Difficile, en effet, d’oublier les images futures qu’en donnent des films comme Matrix avec La Matrice ou comme l’Odyssée de l’espace avec Hal. Rares sont les anticipations comme celle de la trilogie de Robert Sawyer avec Webmind qui en font un allié puissant de l’humanité. La plupart du temps, celle-ci est mise en péril par une intelligence artificielle dont elle a perdu le contrôle.A tel point que pour éviter d’en arriver là, il ne manque pas de responsables prêts à tout, y compris à mettre fin, drastiquement, à toute expérience pouvant conduire à l’émergence d’une singularité, autrement dit, d’une IA, autonome et consciente.Car c’est bien de cela, dont il s’agit. Et c’est pour cela que depuis plus de 30 ans des investisseurs privés et l’Etat américain soutiennent, en toute discrétion, une entreprise comme Cycorp, créée en 1984, par Doug Lenat et dont le siège social se trouve à Austin, au Texas.

By |2019-09-13T20:15:36+00:00September 13th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Exclusif : Afrimarket placée en liquidation judiciaire, les raisons d’un échec, Actu

La plateforme d'e-commerce française qui opère en Afrique de l'Ouest n'a pas résisté à la puissance financière de Jumia. Après huit mois d'audit, les deux fonds en lice pour y investir 20 millions d'euros se sont retirés.Au pays des start-up, l'histoire ne se termine pas toujours bien… Dernier exemple en date avec la demande de mise en liquidation judiciaire effectuée par Afrimarket auprès du tribunal de commerce de Paris. Une décision qui s'est imposée aux fondateurs Rania Belkahia et Jeremy Stoss après que ses nouveaux investisseurs potentiels ne finissent par se retirer du processus de levée de fonds fin juillet dernier.La start-up parisienne qui opère l'une des toutes premières places de marché e-commerce en Afrique de l'Ouest voulait réunir des capitaux frais pour nourrir sa croissance et se donner une chance de résister au géant  Jumia qui a levé près de 200 millions de dollars lors de son introduction au New York Stock Exchange en avril dernier, explique aux Echos Rania Belkahia : « Dans le courant de l'année dernière, nous avons commencé à chercher des investisseurs pour un tour de table de 20 millions d'euros et nous sommes entrés en discussions avec plusieurs fonds. Nous étions en due-dil (process d'audit pré-levée) avec plusieurs acteurs. Deux d'entre eux se sont positionnés dans la dernière ligne droite, mais nous ont lâché au milieu de l'été. Le principe d'une start-up est que si on ne la finance pas, elle s'arrête. »

By |2019-09-13T20:15:07+00:00September 13th, 2019|Scoop.it|0 Comments