Monthly Archives: February 2020

Pourquoi Ikea se convertit à la viande sans viande

Une démarche globale plus « verte »Cette nouvelle tendance de consommation a déjà séduit les petits et grands de l'agroalimentaire, mais c'est la première fois qu'une entreprise qui n'appartient pas directement au secteur de l'alimentation se lance dans l'aventure des similis carnés.« Nous constatons une demande croissante de nos clients pour avoir accès à des options alimentaires plus durables et nous voulons répondre à ce besoin. Notre ambition est de fournir une alimentation plus saine et plus écologique sans compromettre le goût et la texture », a expliqué Michael La Cour, directeur général du département alimentation chez Ikea, cité dans un communiqué.Les ingrédients cachés de la viande végétaleSelon l'entreprise, l'alternative végétale de la boulette de viande aura une empreinte écologique 96 % moindre que sa version traditionnelle. Ikea a aussi annoncé qu'il ne développerait plus de nouveaux produits à base de viande. Et que sa carte serait modifiée d'ici 2022 pour inclure au moins 20 % de mets végétariens.Pour Ikea, cette démarche participe d'une dynamique plus globale, à savoir repenser son modèle commercial pour qu'il coïncide mieux avec des ambitions écologiques. L'année dernière, Ikea a même prouvé que croissance et écologie n'étaient pas incompatibles.Alors que les ventes ont augmenté de 6,5 % comparées à l'exercice précédent, les émissions de la chaîne de production ont diminué de 4,3 %. Grâce notamment à une forte augmentation de l'utilisation des énergies renouvelables dans la fabrication des produits, mais aussi à l'amélioration significative « de l'efficacité énergétique de la gamme d'éclairage et d'appareils électroménagers ».

By |2020-02-28T10:26:10+00:00February 28th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Revolut signe la plus grosse levée de fonds de la fintech européenne

Nikolay Storonsky a fondé Revolut en 2015. (Kimberly White/Getty Images for TechCrunch/AFP)Revolut n'est pas seulement douée pour attirer les clients. Elle sait aussi séduire les investisseurs : la néobanque britannique, qui n'a pas encore fêté ses 5 ans, a annoncé ce mardi avoir levé 500 millions de dollars (460 millions d'euros), un nouveau record pour une fintech européenne.Revolut avait déjà  levé 250 millions de dollars en 2018 auprès de plusieurs fonds, notamment le fonds russe DST Global. Cette fois, c'est le fonds américain TCV qui a mené le tour de table avec plusieurs autres investisseurs (DST Global, Lakestar…) valorisant la fintech de Nikolay Storonsky aux alentours de 5,5 milliards de dollars. Lors de la levée de fonds de 2018, l'entreprise était valorisée 1,7 milliard de dollars.Rentabilité et offres payantesRevolut, qui compte 2.150 salariés, a connu une croissance stratosphérique à l'image des autres acteurs du secteur (N26, Monzo…). La fintech, qui aime se comparer à un « Amazon de la banque », a développé de nombreux services : transfert d'argent instantané, paiement multi-devises et, plus récemment, achat et vente de cryptomonnaies, trading, assurances (notamment pour les voyages)… Avec la licence bancaire obtenue en 2018 en Lituanie, et celle d'établissement de paiement au Royaume-Uni, elle a développé de nouveaux produits comme les crédits à la consommation. Revolut travaille d'ailleurs sur d'autres offres de crédit, qui pourraient éventuellement aller jusqu'au prêt immobilier… « Leur capacité à innover est leur principal atout », explique Julien Maldonato, associé conseil Innovation chez Deloitte.

By |2020-02-26T16:15:04+00:00February 26th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Shopify Joins Libra While Quitter Vodafone Advertises Bitcoin on Facebook

Vodafone left Libra to focus on M-Pesa, its own digital payments platform. Launched in 2007 by its Kenyan associate Safaricom, M-Pesa has established itself as the leading mobile money service in Africa. It now has 37 million active users in seven countries in the region, who carried out over 11 billion transactions in 2019. But it does not support Bitcoin, not yet.Swimming Against the Current, Shopify Bets on LibraNot everyone is leaving Libra, though. In fact, the majority of founding members are still on board. The updated list published recently by the Telegraph features the names of companies from various sectors including Facebook’s subsidiary Calibra, crypto firms Coinbase, Anchorage, Bison Trails, Xapo Holdings, and also Uber, Lyft, Spotify, Farfetch, Payu, Iliad, Andreessen Horowitz, Breakthrough Initiatives, Ribbit Capital, Thrive Capital, Union Square Ventures, Creative Destruction Lab, Kiva, and even NGOs like Mercy Corps and Women’s World Banking.Shopify, the Canadian e-commerce platform, became the latest enthusiast to join the club. The company, which offers services and solutions for over a million small merchants and online retailers, announced its decision to become a member on Feb. 21, pledging to invest $10 million in the project. “We spend a lot of our time thinking about how to make commerce better in parts of the world where money and banking could be far better,” Shopify stated in a blog post, adding: “As a member of the Libra Association, we will work collectively to build a payment network that makes money easier to access and supports merchants and consumers everywhere.”Having announced it last June, it remains unclear whether Facebook will be able to launch Libra in the first half of 2020, as initially planned, or even by the end of this year. Both Facebook founder Mark Zuckerberg and the head of Calibra David Marcus have already answered questions in the United States Congress about the social media giant’s plans for the project, in an effort to alleviate concerns expressed by policy makers who fear Libra could undermine the U.S. dollar and challenge its supremacy as a global currency.Antitrust regulators in Europe have been investigating the project as well. A new memo issued by the Vice-President of the European Commission (EC) Valdis Dombrovskis reveals Brussels is unhappy that the available information on Libra “lacks detail” and even after additional questions were sent to the association, it “remains insufficient for determining the precise nature of Libra” and its relation with existing EU law. “Libra is still a project, and thereby a moving target,” Dombrovskis notes and reminds about the Dec. 5 joint statement of the Commission and the Council of the European Union recognizing the risks raised by stablecoins and the need for regulation and oversight. The EC is currently gathering feedback from citizens and organizations to establish a regulatory framework, one of the goals of which is to “harness the potential opportunities that crypto-assets may offer.”JP Morgan Recognizes Maturing Crypto Market but Sees Focus Shifting Towards StablecoinsIn its annual report on blockchain and cryptocurrency developments, JP Morgan Chase acknowledges that the crypto market continues to mature but notes that the characteristic volatility of cryptocurrencies remains an impediment to broader adoption. One that has also “led focus towards stablecoins.” The multinational investment bank, which issued its own digital coin representing fiat currency to facilitate payments between clients, believes that stablecoins have the potential to grow substantially in global transactions, despite certain challenges with operating such payment systems. The authors of the study point out:While the world is ready for private money in our view, rapid adoption and scale are hindered by the underlying technology and the need for substantial regulatory oversight.JPMC also notes that financial inclusion is one of the motivations behind Libra and that if the unbanked consumers were to drive the growth of the cryptocurrency, the project would be more about peer-to-peer payments and could support a significant share of global transactions. Currently, the global economic activity is far more concentrated among countries with higher levels of inclusion, according to data from the World Bank quoted in the report. For a stablecoin like Libra to succeed, the bank elaborates, it would require a few changes to its design such as “some short-term liquidity facilities, a source of

By |2020-02-26T14:19:13+00:00February 26th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Forte progression du e-commerce chez L’Oréal

Le e-commerce progresse de façon spectaculaire chez L’Oréal avec une croissance de +52,4% entre 2018 et 2019. La vente en ligne représente 15,6% du chiffre d’affaires du leader mondial des cosmétiques. Le chiffre d’affaires atteint 29,8 milliards d’euros, publié le 6 février.Ce chiffre d’affaires en e-commerce comprend les ventes réalisées sur les sites e-commerce possédés en propre par L’Oréal et l’estimation du chiffre d’affaires réalisé par ses marques lors des ventes sur les sites e-commerce de ses distributeurs. Les ventes en e-commerce sont en croissance dans tous les domaines, les produits grand public, la cosmétique active, les produits professionnels et le luxe. Dans la division L’Oréal luxe, le e-commerce dépasse désormais les 20% du chiffre d’affaires.Explication de ces bons résultats de L’Oréal : les dépenses en publicité, en promotion et en marketing pèsent 9,2 milliards d’euros. C’est près de 1 tiers du chiffre d’affaires du groupe. Comparativement, les frais de recherche et innovation qui préparent les futurs produits du groupe sont 10 fois moins importants que ces coûts de publicité à 985 millions d’euros. Le résultat d’exploitation de L’Oréal atteint 5,5 milliards d’euros.

By |2020-02-26T14:14:09+00:00February 26th, 2020|Scoop.it|0 Comments

WhatsApp rejoint le club très fermé des services à 2 milliards d’utilisateurs

C'est un club très « sélect » dont les membres se comptent sur les doigts d'une main. Et WhatsApp en fait désormais partie. Ce mercredi, le service de messagerie a annoncé qu'il comptait désormais 2 milliards d'utilisateurs actifs mensuels  ; soit un bon de 500 millions d'usagers en deux ans (+33 %). Dans le monde, seuls YouTube et Facebook boxent dans la même catégorie.WhatsApp fait justement partie de l'écosystème Facebook, au même titre que Messenger ou Instagram. En 2014, la firme de Menlo Park avait racheté la messagerie pour près de 22 milliards de dollars. Soit l'acquisition la plus importante dans l'histoire du groupe de Mark Zuckerberg.WhatsApp : comment Google s'est fait doubler par FacebookDans les années à venir, WhatsApp va continuer à fonctionner de manière très indépendante des autres services, a soutenu, ce mercredi, Will Cathcart le patron de la messagerie, auprès du « Wall Street Journal ».  Une affirmation qui intervient alors même que le groupe de Mark Zuckerberg planche pourtant sur un projet intitulé « Whatsabook »  ; celui-ci vise à rendre interopérable les messageries de Messenger, Instagram et WhatsApp.Facebook unifie ses systèmes de paiementTraduction, un utilisateur d'Instagram pourra communiquer directement avec une connaissance sur WhatsApp. Un chantier sur lequel les régulateurs ont les yeux rivés et qui est loin d'avoir reçu leur feu vert, en raison notamment du danger de propagation des « fake news » et autres contenus problématiques.

By |2020-02-26T14:07:38+00:00February 26th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Interfaces vocales : pas encore prêtes pour un usage de masse pour Nestlé

En pratique, l’usage business du vocal est encore peu développé. Aux Etats Unis, seulement 10% à 15% des gens qui possèdent une enceinte connectée l’utilisent pour ajouter des produits à leur liste de courses ou faire du réachat. « En termes de business, c’est encore limité. Les gens l’utilisent surtout pour la radio, la météo ou la musique » confirme Thomas Husson, analyste pour le cabinet Forrester Research.Bien qu’il y ait très peu d’interactions et d’impact business pour le moment, Samuel Baroukh est convaincu que les interfaces vocales vont décoller car l’interaction est particulièrement fluide. Et surtout parce que les assistants vocaux sont désormais  intégrés dans tous les smartphones. Il suffit de dire « Hey Google » pour entrer en contact avec un service vocal ou un chatbot.Nestlé a démarré tôt sur les voice botsNestlé est pourtant parti tôt dans le domaine vocal. En France, l’industriel de l’alimentaire s’est engagé il y a 2 ans dans le développement d’ « Emile et 1 recette », une application d’accompagnement pour la réalisation de recettes culinaires. Mais à ce jour, Nestlé France ne pousse pas cette application. Bien qu’opérationnelle, elle demeure au stade du test and learn. Nestlé France ne revendique que quelques dizaines de milliers d’usages par mois sur « Emile et 1 recette ». C’est beaucoup moins que l’usage d’une application vocale de FAQ également mise en place sur le web par Nestlé afin de guider le consommateur. Elle fait l’objet de plusieurs centaines de milliers de requêtes par mois. « Sur des sujets comme le FAQ ou on est proche d’un usage déjà existant, on améliore une expérience déjà présente » explique le responsable.Le vocal est une réinvention de l’interface homme machineLa conception d’interfaces vocales avancées demande une nouvelle expertise. « Emile et 1 recette » a été lancé au départ sur la messagerie instantanée Messenger de Facebook, dans une logique de chatbot. L’année suivante, il a été lancé sur Google Assistant, sur une logique de voice bot. C’est une réinvention de l’interface homme machine, avec une volonté d’apporter plus de fluidité.En pratique, les concepteurs d’interfaces doivent se plier aux contraintes de chaque plateforme vocale. Chacune a sa propre façon d’opérer. « C’est très cadré, et votre créativité se trouve vite réduite » avertit Samuel Baroukh. « Quand vous avez envie d’afficher une recette sur un bot, il y a un seul format. Vous avez un visuel, il est standardisé. Vous avez ou pas la possibilité d’afficher un lien pour faire un lien sortant » ajoute-t-il.Obligé de tromper l’assistant vocalDans le design d’expérience, il faut trouver l’équilibre entre le besoin d’expérience, l’attente du consommateur et ce que la plateforme permet de réaliser. « Quand vous êtes dans une aide vocale à une préparation culinaire, vous avez besoin que l’assistant vous énonce la prochaine étape, une fois que vous avez réalisé la précédente. C’est le consommateur qui donne le déclenchement parce que l’on est tous plus ou moins rapide pour éplucher une carotte. Si vous vous limitez à l’utilisation standard de l’assistant vocal, il va comprendre que la conversation est terminée, puisqu’il a donné sa dernière instruction. Nous avons été obligés de truquer l’assistant, en utilisant des pauses sonores inaudibles qui permettent de maintenir une conversation et une activation de l’assistant pour que au moment où l’utilisateur lui dise suivant, il soit toujours actif, en veille et qu’il puisse reprendre le contexte et continuer la recette » détaille-t-il.

By |2020-02-25T09:23:59+00:00February 25th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Mark Ritson: Commercial TV’s decline is faster than we thought

The best place to look for evidence of its proximity is in the work of Ebiquity. Sandwiched between the overstated futurology of digital mavens and the smooth empirical defensiveness of traditional TV companies, Ebiquity repeatedly and correctly suggested that TV remained the superior advertising medium.Its 2019 publication ‘TV at the Tipping Point’ made headlines not just because Ebiquity suggested that TV’s seemingly eternal superiority was beginning to fade, but because it came from a company that had been so bullish, and so on the money, about TV’s positive prospects in the past.In a new report, ‘Mind the Gap’, Ebiquity has another year of data to add to its initial modelling. Its researchers aren’t just certain that TV is approaching a tipping point, they now admit they underestimated it last year.The new data suggests there will be a slight increase in the number of people aged over 55 that linear TV advertising will impact in 2022 (versus what was delivered in 2018). But in younger demographics that impact has begun to decline more dramatically than Ebiquity initially projected.The same ad shown on linear TV in 2018 will impact around 60% fewer teenagers, 50% fewer 18- to 24-year-olds and a third fewer 35- to 44-year-olds by the year 2022.Chart: EbiquityIn a more fluid, efficient marketplace, supply and demand would kick in to stabilise things. TV’s lessened linear reach would be offset by lower spot prices, enabling advertisers to spend the same money to acquire more TV advertising and thus reach the same giant slice of the British market. But it is not that simple.There are limits to the amount of advertising inventory available. TV companies have also proven remarkably intransigent at reducing prices. And, finally, there is a growing proportion of various target markets that are simply not reachable with traditional linear TV advertising at all anymore.Before this starts sounding like another fatalistic fluff piece about TV, let’s pause and pour some empirical cold water onto the death trope. We are still talking about the middle of the new decade before things change significantly for linear TV advertising. For most marketing managers, the only focus should be financial year 2020-21. For that time span, TV remains the predominant source of video for most target markets, if you can afford to advertise there.Quoting directly from the Ebiquity report is useful at this point. Despite all the depressing data within it, Ebiquity concludes that TV “remains the best option for brands to build mass audiences at scale. TV continues to hold the crown as the primary driver of ROI”.

By |2020-02-25T09:23:37+00:00February 25th, 2020|Scoop.it|0 Comments

WhatsApp rejoint le club très fermé des services à 2 milliards d’utilisateurs

WhatsApp fait justement partie de l'écosystème Facebook, au même titre que Messenger ou Instagram. En 2014, la firme de Menlo Park avait racheté la messagerie pour près de 22 milliards de dollars. Soit l'acquisition la plus importante dans l'histoire du groupe de Mark Zuckerberg.WhatsApp : comment Google s'est fait doubler par FacebookDans les années à venir, WhatsApp va continuer à fonctionner de manière très indépendante des autres services, a soutenu, ce mercredi, Will Cathcart le patron de la messagerie, auprès du « Wall Street Journal ».  Une affirmation qui intervient alors même que le groupe de Mark Zuckerberg planche pourtant sur un projet intitulé « Whatsabook »  ; celui-ci vise à rendre interopérable les messageries de Messenger, Instagram et WhatsApp.Facebook unifie ses systèmes de paiementTraduction, un utilisateur d'Instagram pourra communiquer directement avec une connaissance sur WhatsApp. Un chantier sur lequel les régulateurs ont les yeux rivés et qui est loin d'avoir reçu leur feu vert, en raison notamment du danger de propagation des « fake news » et autres contenus problématiques.Toujours pas de publicité« WhatsApp est le meilleur pour les communications privées », a également assuré Will Cathcart qui a précisé qu'il s'agissait du « bon modèle » pour les services de messagerie. Dès 2016, le groupe avait annoncé qu'il allait chiffrer de bout en bout toutes les communications de ses utilisateurs.Ce qui n'a pas empêché ensuite les deux co-fondateurs de WhatsApp, Brian Acton et Jan Koum, de quitter l'Empire Facebook (en 2017 puis 2018) pour des désaccords avec Mark Zuckerberg concernant l'utilisation des données personnelles de leurs utilisateurs. Alors même que le multimilliardaire de 35 ans leur avait promis l'indépendance totale de leur service au moment du rachat.

By |2020-02-23T14:59:01+00:00February 23rd, 2020|Scoop.it|0 Comments

La CNIL propose son outil CookieViz en version 2.0 – 

La CNIL a mis en ligne la version beta 2.0 de son outil CookieViz, qui permet de suivre en temps réel les suivis dont vous êtes l'objet lors de vos navigations internet.Il suffit de rentrer une adresse de site dans le navigateur intégré pour voir apparaître tous les liens créés par le site avec des entités disséminées sur la toile.C'est intéressant, très intéressant.Il y a une version Mac mais attention, la CNIL n'étant pas un développeur identifié il faudra, pour lancer le logiciel faire un clic droit ou sélectionner ouvrir avant de valider l'avertissement.

By |2020-02-23T14:58:40+00:00February 23rd, 2020|Scoop.it|0 Comments

La CNIL propose son outil CookieViz en version 2.0 – 

La CNIL a mis en ligne la version beta 2.0 de son outil CookieViz, qui permet de suivre en temps réel les suivis dont vous êtes l'objet lors de vos navigations internet.Il suffit de rentrer une adresse de site dans le navigateur intégré pour voir apparaître tous les liens créés par le site avec des entités disséminées sur la toile.C'est intéressant, très intéressant.Il y a une version Mac mais attention, la CNIL n'étant pas un développeur identifié il faudra, pour lancer le logiciel faire un clic droit ou sélectionner ouvrir avant de valider l'avertissement.

By |2020-02-23T14:58:14+00:00February 23rd, 2020|Scoop.it|0 Comments