Monthly Archives: May 2022

Le mal, en vente libre

Qu’il est délicieux ce moment de la révélation, celui où vous accédez à une compréhension du monde d’autant plus enthousiasmante qu’elle prend la forme de l’évidence, une vérité que vous connaissiez déjà sans le savoir pour autant. Etudiant, ce fut le cas avec la découverte de Bourdieu, et cette simple idée que le milieu social d’origine était un puissant déterminant. Depuis, j’ai pour livre de chevet (même si je ne l’ai lu qu’une fois) ‘’Les décisions absurdes’’ de Christian Morel, une trilogie qui nous apprend à nous méfier de ce qui semble logique, et nous encourage à faire des choix contre-intuitifs. Et bien avant-hier, j’ai eu cette sorte d’illumination en regardant le documentaire ‘’L’illusion verte’’, de Werner Boote et Kathrin Hartmann. Le film, sorti en salles il y a quelques mois, et disponible désormais en DVD, prend la forme d’une enquête à travers le monde pour déjouer les abus de ‘’greenwashing’’ par les multinationales, cette technique marketing qui consiste à habiller de vert n’importe quel produit pour le rendre plus consommable. Après être allés en Indonésie constater les ravages provoqués, sur la forêt tropicale, par l’exploitation de l’huile de palme, les deux réalisateurs se rendent à Austin, au Texas. Ils ont rendez-vous avec Raj Patel, économiste, professeur d’université, spécialiste des questions alimentaires. La discussion porte sur les étiquettes des produits dits durables, la difficulté à les lire, et les arbitrages auxquels sont incités les consommateurs : Tout revient à la décision individuelle de l'acheteur, mais ça ne devrait pas être le cas. C'est comme le café équitable : moi j'achète du café équitable parce qu'on me donne le choix entre ça et du café d'enflure, du café qui exploite les enfants. On n'en veut pas, on ne veut pas de produit exploiteur. Mais pourquoi est-ce une option ? Pourquoi doit-on choisir, choisir de ne pas exploiter les gens, choisir de ne pas tuer les dauphins ? Pourquoi ces choix existent-ils ? Pourquoi doit-on s'inquiéter de tout ça ? Pourquoi n'est-ce pas un principe de base légiféré pour éviter que ce soit un choix individuel ? La seule solution, c'est d'organiser tout ça. Ce n'est pas en faisant nos courses que nos choix deviendront des lois! Propos lumineux que ceux de Raj Patel, en ceci qu’ils éclairent une forme d’asservissement volontaire dont je n’avais pas pris conscience jusque-là. En tant que consommateur, heureux possesseur de la carte Waaoh !, je suis l’otage consentant d’une manipulation de la grande distribution et de ses principaux fournisseurs.  Faisons un tour au supermarché. Comme tous ceux de son espèce, celui de mon quartier a entamé, progressivement, sa mutation en accordant de plus en plus de place aux produits bio, au commerce équitable, aux emballages recyclables. C’est encore timide mais disons qu’il y a le choix. Je peux donc, comme l’explique le professeur d’Austin, choisir ce qui est bien plutôt que ce qui est mal. Mais je réalise à présent que le mal fait aussi partie du choix. Le mal ! Autrement dit, que des produits issus de l’exploitation des hommes ou de la nature, qui maltraitent les premiers et détruisent la seconde, sont en vente libre. A chaque individu en somme, de se débrouiller avec sa conscience : les grandes enseignes font de la place aux labels verts, elles peuvent donc se laver les mains de ce qu’elles proposent par ailleurs. Une façon de se défausser sur l’individu, de le rendre responsable du bien-être collectif, sans passer par le collectif. Ce constat renvoie à la réflexion sur l’utilité de l’écologie ‘’des petits pas’’, l’idée que si chacun fait un peu, la somme de ces petits gestes peut beaucoup pour la sauvegarde de l’environnement. En résumé, le choix qui nous est proposé d’acheter des produits équitables ou non équitables revient à nier la nécessité du politique. Or comme le dit Raj Patel, ‘’ce n’est pas en faisant nos courses que nos choix deviendront des lois’’.

By |2022-05-10T09:36:27+00:00May 10th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Hugging Face, la nouvelle licorne américaine créée par deux Français

Comme GitHub, Hugging Face a conçu une plateforme sur laquelle les développeurs publient et échangent des modèles en open source. GitHub l'a fait sur du code, Hugging Face le fait sur des technologies de machine learning . « C'est aujourd'hui la plateforme la plus utilisée au monde pour faire de l'intelligence artificielle », revendique Clément Delangue, fort de ses 10.000 entreprises présentes sur la plateforme et des plus de 100.000 modèles et 10.000 datasets échangés. GitHub convertit de plus en plus d'entreprises à l'open source Et comme GitHub, Hugging Face a adopté un modèle freemium, avec des fonctionnalités plus avancées pour les clients premium. Bloomberg, Pfizer, Roche, Renault… Ils sont aujourd'hui un millier à utiliser les services payants. Bloomberg utilise ainsi Hugging Face pour proposer des bases d'articles à partir de textes bruts. Renault s'en sert pour classer et aiguiller des messages de clients. « Ces entreprises ont une utilisation intensive de la plateforme, nous leur apportons la scalabilité, mais aussi plus de sécurité par rapport à leur propre système », ajoute Clément Delangue. Autre point fort de Hugging Face : il est largement utilisé par la communauté scientifique. Une communauté scientifique active La plateforme n'avait pas vraiment besoin d'argent frais. Selon ses fondateurs, la société n'avait pas encore puisé dans les 40 millions de dollars levés il y a un an ( pour une soixantaine de millions levés depuis sa création ). La levée de fonds devrait lui permettre d'accélérer encore son développement.

By |2022-05-09T16:27:55+00:00May 9th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Apple, Google, and Microsoft team up to support passwordless FIDO logins

In a joint effort, tech giants Apple, Google, and Microsoft announced Thursday morning that they have committed to building support for passwordless sign-in across all of the mobile, desktop, and browser platforms that they control in the coming year. Effectively, this means that passwordless authentication will come to all major device platforms in the not too distant future: Android and iOS mobile operating systems; Chrome, Edge, and Safari browsers; and the Windows and macOS desktop environments. “Just as we design our products to be intuitive and capable, we also design them to be private and secure,” said Kurt Knight, senior director of platform product marketing at Apple. “Working with the industry to establish new, more secure sign-in methods that offer better protection and eliminate the vulnerabilities of passwords is central to our commitment to building products that offer maximum security and a transparent user experience — all with the goal of keeping users’ personal information safe.” A representation of passwordless sign-in image: FIDO Alliance A passwordless login process will let users choose their phones as the main authentication device for apps, websites, and other digital services, as Google detailed in a blog post published Thursday. Unlocking the phone with whatever is set as the default action — entering a PIN, drawing a pattern, or using fingerprint unlock — will then be enough to sign in to web services without the need to ever enter a password, made possible through the use of a unique cryptographic token called a passkey that is shared between the phone and the website. By making logins contingent on a physical device, the idea is that users will simultaneously benefit from simplicity and security. Without a password, there will be no obligation to remember login details across services or compromise security by reusing the same password in multiple places. Equally, a passwordless system will make it much more difficult for hackers to compromise login details remotely since signing in requires access to a physical device; and, theoretically, phishing attacks where users are directed to a fake website for password capture will be much harder to mount. Vasu Jakkal, Microsoft’s vice president for security, compliance, identity, and privacy, emphasized the degree of compatibility across platforms. “With passkeys on your mobile device, you’re able to sign in to an app or service on nearly any device, regardless of the platform or browser the device is running,” Jakkal said in an emailed statement. “For example, users can sign-in on a Google Chrome browser that’s running on Microsoft Windows—using a passkey on an Apple device.” USERS WILL SIMULTANEOUSLY BENEFIT FROM SIMPLICITY AND SECURITY The cross-platform functionality is being made possible by a standard called FIDO, which uses the principles of public key cryptography to enable passwordless authentication and multi-factor authentication in a range of contexts. A user’s phone can store a unique FIDO-compliant passkey and will share it with a website for authentication only when the phone is unlocked. Per Google’s post, passkeys can also be easily synced to a new device from cloud backup in the event that a phone is lost. Though many popular applications already included support for FIDO authentication, initial sign-on has required the use of a password before FIDO can be configured — meaning that users were still vulnerable to phishing attacks that see passwords intercepted or stolen along the way. But the new procedures will do away with the initial requirement for a password, as Sampath Srinivas, product management director for secure authentication at Google and president of the FIDO Alliance, said in an email statement sent to The Verge. “This extended FIDO support being announced today will make it possible for websites to implement, for the first time, an end-to-end passwordless experience with phishing-resistant security,” said Srinivas. “This includes both the first sign-in to a website and repeat logins. When passkey support becomes available across the industry in 2022 and 2023, we’ll finally have the internet platform for a truly passwordless future.” So far, Apple, Google, and Microsoft have all said that they expect the new sign-in capabilities to become available across platforms in the next year, although a more specific roadmap has not been announced. Although the plot to kill the password has been underway for years, there are signs that, this time, it may have finally succeeded.

By |2022-05-09T15:51:59+00:00May 9th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Bitcoin : les prestataires de services comme Binance sont-ils sous contrôle ?

Ce 4 mai, la communauté française des investisseurs en cryptoactifs, comme le bitcoin, l'ether ou le BNB, s'est enthousiasmée en apprenant que la première plateforme d'échanges au monde, Binance, avait obtenu en France l'enregistrement de l'Autorité des marchés financiers (AMF) . Cet enregistrement, qui lui confère le statut légal de prestataire de services sur actifs numériques (PSAN), va lui permettre d'adresser expressément le marché français. Binance pourra ainsi diffuser des messages publicitaires comme des campagnes d'affichage dans la rue, en radio ou encore sur les réseaux sociaux. Sans enregistrement PSAN, les courtiers et intermédiaires en crypto étrangers ne peuvent compter que des clients français venus spontanément, sans que le prestataire n'ait fait la moindre démarche pour se mettre à leur portée. Deux échelons de PSAN Pour rappel, créé par la loi Pacte en mai 2019, le statut de PSAN a vocation à permettre aux personnes intéressées par l'achat de cryptoactifs d'identifier des acteurs fiables. L'enregistrement est en effet obligatoire dès lors que le prestataire propose un service de conservation d'actifs numériques, d'achat-vente contre une monnaie ayant cours légal (comme l'euro) ou contre d'autres actifs numériques, et, enfin, dès lors que le prestataire exploite une plateforme d'échanges (comme Binance). Dans cette entreprise de transparence, l'AMF alimente d'ailleurs une liste blanche des prestataires enregistrés ou agréés. Car, il n'existe pas un mais deux échelons de certification accessibles aux PSAN. « La différence entre enregistrement et agrément est un point très important. Nous constatons une certaine confusion entre les deux », déplore Stéphane Pontoizeau, directeur de la supervision des intermédiaires et infrastructures de marché à l'AMF.

By |2022-05-05T20:53:27+00:00May 5th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Google Travel ajoute des nouvelles fonctionnalités en prévision des vacances d’été

Alors que le tourisme reprend des couleurs sur une grande partie du globe, Google vient de dévoiler les nouvelles fonctionnalités de son service dédié au voyage afin de faciliter les réservations pour cet été. Les premières nouveautés concernent Google Flights. Une nouvelle fonctionnalité de suivi de prix a fait son apparition et permet, comme son nom l’indique, d’être informé d’une baisse ou d’une hausse de prix sur un trajet donné à une date donnée. Des notifications sont ainsi envoyées par e-mail à chaque fluctuation afin de réserver au bon moment. Les autres nouveautés concernent Google Explore. Le service qui permet de rechercher un lieu de séjour en fonction de ses critères se dote d’une nouvelle fonctionnalité « Explorer les environs ». En cliquant, l’internaute accède à des points d’intérêt accessibles en voiture ou en avion à quelques heures. Explore indique ensuite les principaux intérêts touristiques du lieu, les hôtels disponibles et la meilleure période pour s’y rendre en termes de météo. Enfin, un bouton permet désormais d’enregistrer ses adresses favorites en prévision d’un futur voyage.

By |2022-05-04T20:47:41+00:00May 4th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Bruno Ricard (366) : “Avec Made in Good nous voulons donner de la visibilité aux énergies et aux innovations positives”

Les éditeurs de la presse quotidienne régionale, qui sont les actionnaires de notre régie, ont accompagné comme nous la montée de l’intérêt de la société pour les sujets environnementaux et sociaux. La pandémie a mis en évidence leur rôle éminent de lien social, leur capacité à relayer les bonnes actions, accompagner des associations, le soutien aux « premières lignes » pendant le confinement. Ils ont multiplié les cagnottes solidaires, les plateformes pour les petits commerçants, pour les restaurateurs, pour venir en aide aux personnes isolées comme les personnes âgées. Ça a été un bouillonnement d’initiatives à impact social, et cela a probablement réveillé chez nous l’idée qu’il fallait que l’on donne plus de visibilité à ces actions. C’est ainsi qu’est née la démarche « Impact 2021 », dans une volonté de travailler de façon collective, et de fédérer l’ensemble des éditeurs.   Nous avons constitué un groupe pilote d’éditeurs, avec qui nous avons commandé un audit RSE complet de tous les groupes éditeurs. Positive Workplace a été sélectionné pour réaliser cet audit et bâtir un référentiel commun, une base commune, où les éditeurs pourraient échanger et se benchmarker. Au-delà de l’aspect environnemental, il était important d’avoir un spectre large, englober toute la RSE, parce que la raison d’être des journaux de PQR c’est d’avoir un impact sur leur territoire, dans l’éclairage qu’ils donnent sur la vie politique et économique locale. Ce travail a été réalisé sur 3 mois au premier semestre 2021 et représentait 82 jours d’audit. Et puisque l’on aime le challenge chez 366, nous sommes allés jusqu’à l’étape de la labellisation. Nous sommes depuis juin dernier la première régie labellisée RSE. CHAQUE DISPOSITIF PUBLICITAIRE QUE L’ON VEND AUJOURD’HUI PEUT ÊTRE APPRÉCIÉ DU POINT DE VUE DE SON BILAN CARBONE.

By |2022-05-04T12:24:59+00:00May 4th, 2022|Scoop.it|0 Comments

NFT : le « Bored Ape Yacht Club » vend des terrains dans le métavers pour 300 millions de dollars

Il n'y a pas que dans des arrondissements privilégiés de Paris ou face à la mer sur la Côte d'Azur que des terrains s'échangent des millions d'euros. Dans le monde virtuel aussi : le week-end dernier, Yuga Labs a lancé une vente de terrains liés à son nouveau projet de métavers , ces nouveaux univers virtuels et immersifs peuplés d'avatars en 3D. Il a récolté quelque 320 millions de dollars, du jamais-vu pour une transaction de ce type. « Ces terrains se sont vendus très vite, rappelant l'intérêt à la fois en termes de nombre de personnes et de montants engagés pour ce nouveau métavers. Ces parcelles permettront à chacun de leurs détenteurs de créer leurs propres univers : des jeux, des stades de sport, des salles de cinéma voire d'autres choses encore », souligne Thibault Genouville, consultant au Boston Consulting Group (BCG). « Yuga Labs dispose déjà d'une notoriété et d'une communauté bien établie dans le Web3. » Blockchain En effet, Yuga Labs n'en est pas à son coup d'essai dans la folie pour le virtuel : soutenu par de grands noms comme Andreessen Horowitz (qui investit massivement dans le Web3), Animoca Brands (connu pour son métavers The Sandbox et son jeu « Axie Infinity »), Coinbase (l'une des plus grosses plateformes d'échanges de cryptos), il est le studio à l'origine de la collection « Bored Ape Yacht Club », ces images de singes très connues, en NFT - des certificats numériques émis et échangeables grâce à une technologie de registre décentralisé (blockchain) qui en prouve la propriété.

By |2022-05-04T12:23:30+00:00May 4th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Reality Labs, le pari à 13 milliards de dollars de Mark Zuckerberg pour le métavers

« Je reconnais que construire, cela coûte cher » veut rassurer Mark Zuckerberg. Pour le patron de Meta, « cher », c'est 2,96 milliards de dollars. Ce qui justifie ce prix, à ses yeux, c'est la construction d'Horizon Worlds, son ambitieux métavers. Cette somme correspond à la perte enregistrée au premier trimestre 2022 par Reality Labs, l'entité du groupe montée pour ce projet, incluant également les casques de réalité virtuelle. Cette perte s'ajoute à un trou de 10 milliards en 2021. Mais, ce métavers, « c'est quelque chose qui n'a jamais été fait auparavant », poursuit le dirigeant, face à des investisseurs potentiellement impatients. Après la perte d'abonnés de Facebook au dernier trimestre 2021 - une première, qui a provoqué un cataclysme boursier -, tout ce qui intéresse désormais Mark Zuckerberg est d'assurer le futur du groupe. Un futur basé sur le métavers , cet univers virtuel persistant et connecté. Le dirigeant de 37 ans parie que c'est le futur des interactions sociales en ligne. Un pari sur l'avenir avec l'espoir qu'il assurera les revenus du groupe ces dix prochaines années. C'est « la seule chose dont Mark veut parler », affirme un ancien haut cadre de Facebook, cité par Business Insider, et qui a quitté récemment la direction du groupe. Mark Zuckerberg a prévenu. Il est prêt à dépenser des dizaines de milliards de dollars au cours de la décennie en cours, affirmant même que les revenus de Facebook, Instagram et WhatsApp serviront à financer les investissements dans Reality Labs. Quelques jours avant d'acter le virage stratégique de Facebook qui s'est renommé en Meta en octobre 2021 , le dirigeant avait annoncé avoir investi 10 milliards de dollars, en 2021, dans Reality Labs. 

By |2022-05-04T10:58:42+00:00May 4th, 2022|Scoop.it|0 Comments

L’essor du travail hybride gonfle les voiles d’Airbnb

Pour sortir de l'ornière où elle s'était enfoncée à cause de la pandémie, Airbnb a tout fait pour s'adapter aux besoins des travailleurs nomades. La plateforme a par exemple déployé une option permettant de tester la fiabilité du wifi dans les appartements ou les maisons sur la plateforme. Elle a aussi lancé un bouton « je suis flexible », qui apparaît sur la page d'accueil du site. Il permet aux travailleurs nomades qui ne savent pas où aller de trouver de l'inspiration. Ils peuvent ainsi travailler depuis une cabane, une ferme, une villa avec piscine… à des dates qui arrangent les propriétaires des lieux. DECRYPTAGE - Airbnb : un redémarrage et des défis Pour Airbnb, l'avantage est évident : cela permet « d'orienter la demande vers les lieux où nous avons de l'offre », a expliqué Brian Chesky dans une conférence avec des analystes. Depuis qu'il a été déployé il y a un peu plus d'un an, ce bouton a été utilisé plus de 2 milliards de fois, a-t-il noté.

By |2022-05-04T10:12:55+00:00May 4th, 2022|Scoop.it|0 Comments