Monthly Archives: September 2022

Crypto : Ethereum réussit sa transition énergétique

Le monde des cryptomonnaies a retenu son souffle. Le jeudi 15 septembre, Ethereum, la 2e plus importante blockchain au monde derrière Bitcoin, a terminé une mise à jour technique très attendue. « Et nous avons réussi ! », a tweeté jeudi matin Vitalik Buterin, cofondateur et figure tutélaire de cette blockchain. Signe de la confiance en la réussite de l'opération, les grandes plateformes d'échanges de cryptos comme Binance, Coinbase ou Bitpanda ont annoncé la reprise des échanges reposant sur Ethereum, après les avoir gelés. Baptisée « The Merge » (la fusion en français), cette opération consistait à changer la méthode de validation des transactions sur la blockchain. Une transition de la preuve de travail, où de nombreux ordinateurs sont en compétition pour valider les transactions, vers la preuve d'enjeu, où sont tirés au sort des valideurs volontaires contre un certain nombre d'ethers (la cryptomonnaie native d'Ethereum). Préparée de longue date, « The Merge » doit considérablement réduire la consommation d'énergie de la plateforme, une des critiques récurrentes sur son fonctionnement. Selon l'Ethereum Fondation, « The Merge » doit même réduire sa consommation de 99,95 %, soit 0,2 % de la consommation mondiale d'électricité.

By |2022-09-17T12:42:51+00:00September 17th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Javier Delgado (Mirai) : “Le métavers et la réalité virtuelle représentent l’avenir de la vente hôtelière” –

Nous continuons d’améliorer notre produit et nous avons récemment fait l’acquisition d’une société de call center nommée Mexia afin de proposer du service vente et après-vente en direct. Ensuite, chez Mirai, nous pensons que le métavers et la réalité virtuelle représentent l’avenir de la vente hôtelière. Notre objectif est de réfléchir à la création de solutions pour aider les hôteliers à utiliser ces technologies. J’imagine notamment un outil qui leur permet de valoriser une chambre ou un établissement en proposant des expériences immersives. Pour moi, cela représente l’avenir et ce sera un véritable atout dans la vente.

By |2022-09-17T10:33:05+00:00September 17th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Le train illimité à 9 euros en Allemagne est-il une réussite ?

Le 31 août à minuit, le ticket de transport à 9 euros par mois, valable pour tous les réseaux de transports en commun locaux et régionaux du pays1, a disparu de l’offre des distributeurs de tickets allemands, après trois mois d’une expérience unique qui n’a pas fini de faire parler d’elle. Succès ou échec ? Faut-il la poursuivre ? Et si oui, sous quelle forme ? Telles sont les questions qui animent désormais le débat public sur les transports. Bien que le ministre des Finances ait expliqué qu’un système gratuit ou presque de transports publics n’était pas finançable, le chancelier Olaf Scholz a tout de même jugé que « c’était l’une des meilleures idées que nous ayons eues ». La réussite a été au rendez-vous sur deux points. D’abord, l’offre d’un ticket pas cher et unique pour toute l’Allemagne a montré qu’il était possible d’attirer rapidement un grand nombre de citoyens vers un moyen de transport écologique. Le ticket à 9 euros a été acheté à 57 millions d’exemplaires. Il a aussi bénéficié à 10 millions d’Allemands détenant déjà un abonnement ferroviaire avant que l’opération ne soit lancée en juin. Il a ensuite permis de braquer les projecteurs sur la situation difficile des réseaux de transports publics en Allemagne, car l’engouement a entraîné des trains encombrés et des retards. Ces difficultés préexistaient à la quasi-gratuité de cet été, mais l’opération a accéléré la prise de conscience des différences entre les villes et les campagnes en la matière et du volume d’investissements à réaliser pour que le système fonctionne. Le ticket à 9 euros a à la fois rencontré une large adhésion des usagers, dont 88 % se sont déclarés satisfaits de l’expérience estivale, et déclenché une vaste discussion sur l’état des transports en commun, leur développement, ainsi que leur rôle moteur sur le plan social et écologique. Pour le reste, le vrai bilan est à venir. Des premiers éléments chiffrés ont été récoltés par Deutsche Bahn et la Fédération des régies de transport (VDV) qui ont, entre autres, interviewé 78 000 usagers. Selon Oliver Wolff, secrétaire général du VDV, l’opération a permis une hausse du trafic de 25 %, le tout en attirant de nouveaux clients : « Un voyageur sur cinq n’utilisait pratiquement pas auparavant les transports en commun. Et un tiers de nos clients réguliers ont effectué des trajets en dehors de la zone de validité de leur abonnement habituel. » Moins de CO2, mais à quel prix ? Autre question majeure autour de l’opération : son effet sur le recul de la voiture. L’actuelle coalition au pouvoir souhaite faire monter la part des transports publics dans le transport des voyageurs à 38 % en 2030. En 2021, était de 6,1 % pour le train et de 4,5 % pour le bus. Pour 69 % des personnes interrogées par la VDV, la première motivation d’achat a été le prix, et, pour 43 % d’entre elles, la volonté de ne pas se déplacer en voiture. Lors de cette opération, qui a coûté 2,5 milliards d’euros à l’Etat fédéral, le VDV évalue à 10 % les trajets effectués en remplacement d’un trajet en voiture. Enfin, la quantité de gaz à effet de serre économisée aurait été de 1,8 million de tonnes de CO2. C’est à peu près le même effet que si la vitesse avait été limitée pendant un an à 130 km/h sur les autoroutes allemandes. Ces chiffres ronflants, provenant d’entreprises pas forcément désintéressées, sont cependant à prendre avec des pincettes. « Interroger et observer le comportement de mobilité n’est pas trivial. Chaque méthodologie a ses faiblesses », tempère Mark Andor, directeur de recherche à l’Institut Leibnitz RWI de recherches économiques(Essen). Analysant lui aussi les données récoltées, il estime par exemple que les économies de CO2 réalisées sont bien moindres, entre 200 000 et 700 000 tonnes. Le chiffre réel est important, car il permet de juger de la pertinence de la mesure sur le plan écologique. Si l’on admet le chiffre de 1,8 million, la tonne de CO2 évitée grâce à cette mesure aurait coûté presque 1 400 euros d’argent public. A titre de comparaison, la tonne de CO2 vaut actuellement 70 euros sur le marché européen du carbone.

By |2022-09-14T21:35:48+00:00September 14th, 2022|Scoop.it|0 Comments

La SNCF va lancer un “train de fonction” pour la clientèle corporate

Après avoir récompensé des entreprises comme Q Energy, la Caisse des Dépôts ou bien encore CCS (centre de conseil et de service), filiale Crédit Mutuel, Alain Krakovitch a annoncé une nouvelle offre pour les entreprises. Le groupe SNCF va ainsi mettre en service un « train de fonction » que les entreprises pourront offrir en 2024 à leurs collaborateurs et venant remplacer la voiture de fonction. Un concept d’offre qui permettrait de « répondre aux enjeux du développement durable, tout en procurant des avantages comparables à la voiture de fonction », a déclaré Alain Krakovitch. « Aujourd’hui il y a plus de 2 millions de voitures de fonction en France et de nombreux collaborateurs n’en ont au final pas besoin ou ne l’ont pas demandé », ajoute-t-il lors de la soirée des Grands Prix de l’Ecomobilité. Le Président de TGV-Intercité envisage une offre de bout en bout qui permettrait, « probablement dans le cadre du crédit mobilité », d’allier transports-publics, mobilités douces et location de voiture. « Je trouve intéressant de réfléchir à une alternative que l’on pourrait proposer aux entreprises qui souhaiteraient elles-mêmes pouvoir proposer à leurs cadres supérieurs d’autres solutions répondant mieux aux aspirations grandissantes d’une mobilité plus éco-responsable », explique-t-il.

By |2022-09-14T21:32:34+00:00September 14th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Android : Google perd son recours contre la justice européenne

C'est une défaite pour Google et un soulagement pour Margrethe Vestager, la commissaire à la Concurrence. Le tribunal de justice de l'Union européenne (TJUE) a confirmé ce mercredi matin, « dans une large mesure », la décision de Bruxelles qui, en 2018, avait condamné le géant américain à 4,3 milliards d'euros d'amende pour abus de position dominante avec Android, son système d'exploitation qui fait tourner 8 smartphones sur 10 dans le monde. A l'époque, Google avait été accusé d'obliger les fabricants de smartphones à pré-installer d'office certains de ses services (comme Search ou son navigateur Chrome) pour pouvoir accéder en échange à son magasin d'applications, le Play Store. Autre grief, l'impossibilité pour les fabricants de vendre des modèles tournant avec des versions d'Android non agréées par Google, ou embarquant des moteurs de recherche concurrents. Selon la Commission européenne, ces comportements permettaient à Google de renforcer sa position dominante sur le marché du « search » et de la publicité numérique. L'exécutif avait frappé fort, en infligeant la plus forte amende jamais imposée en Europe par une autorité de la concurrence.

By |2022-09-14T21:24:06+00:00September 14th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Bye bye les folies de l’acquisition, concentrons-nous sur nos clients ! (Axel Détours, Captain Wallet)

C'est le CRM et c'est un véritable problème, car c’est le parent pauvre des directions marketing qui préfèrent dépenser la majorité de leur argent en acquisition. C’est une aberration. Les marques sont assises sur une mine d'or, elles ont des millions de contacts en base et se contentent pour la plupart de dépenser des dizaines de milliers d’euros pour une vague de SMS de 160 caractères. Aujourd’hui, alors que la crise contracte les budgets, il faudrait peut-être ralentir cette course folle au nouveau client dont seulement quelques pourcent atterrissent sur la page de destination, et plutôt investir dans son CRM, financièrement et humainement. Les marques ont dépensé des millions dans des systèmes à la Salesforce dont elles n'utilisent que 1% des fonctionnalités !

By |2022-09-12T17:29:01+00:00September 12th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Usbek & Rica – On a visité la plus grande ferme verticale de France

À Château-Thierry, dans l’Aisne, la société Jungle fait pousser basilic, moutarde et autres plantes aromatiques dans des chambres de plusieurs mètres de hauteur, grâce à un ingénieux système d’agriculture verticale. Un modèle efficace et économe en eau, mais aussi très énergivore. Pablo Maillé - 9 septembre 2022 Un tapis roulant installé à hauteur de bassin, de vastes tambours de convoyeur et quelques silhouettes en blouse blanche, charlottes visées sur la tête. Le tout sous un plafond de 12 mètres de hauteur, situé entre une entreprise de logistique et une société de location de chapiteaux, dans un vaste hangar de la zone industrielle de Château-Thierry (Aisne), charmante commune de 15 000 habitants traversée par la Marne, ancienne cité médiévale où naquit naguère un certain Jean de la Fontaine. À première vue, on ne saurait dire qui, du Lièvre ou de la Tortue, symbolise le mieux la trajectoire de Jungle. Ni tout à fait usine ni tout à fait laboratoire, cette start-up pas comme les autres a d’abord été pensée comme une ferme. Plus exactement une ferme verticale, dont elle revendique aujourd’hui le titre de « plus grande de France, et l’une des plus grandes d’Europe ». Depuis sa création au Portugal en 2016, la société a fait croître à grande vitesse son premier site hexagonal, passé d’une demi-douzaine de salariés en 2019 à près d’une quarantaine, trois ans plus tard. La recette de ce succès réside dans un concept simple mais très en vogue, décliné aux quatre coins du monde depuis sa théorisation en 1999 par le microbiologiste Dickson Despommier : celui d’agriculture verticale. Soit le fait de cultiver des produits alimentaires en grande quantité grâce à des structures placées les unes au-dessus des autres, et non directement depuis la terre. À partir d’un savant mélange de substrats, de vermiculites et, en l’occurrence, de lumière artificielle. 310 mètres carrés de culture TENTE TA CHANCE DE VIVRE CETTE EXPÉRIENCE UNIQUE 🎟 Wasabi, basilic, moutarde… Dans cette jungle qui n'a de « sauvage » que le slogan, les plantes récoltées sont essentiellement aromatiques et cosmétiques. « Tout ça est envoyé à Monoprix, Intermarché, Grand Frais et depuis peu Carrefour », débite à toute vitesse le co-fondateur Gilles Dreyfus, 39 ans, teint bronzé, grands yeux clairs, barbe mi-longue et sarouel jusqu’au bout des pattes. Tout en nous guidant à travers les allées de sa propriété, cet ex-financier, qui dit avoir été frappé par la grâce en 2015 à la lecture d’un article du Financial Times sur le sujet, poursuit doctement ses explications : une fois disposées dans de petits pots, les micro-pousses passent 3 à 6 jours dans le noir intégral d'une pièce humide, où n'entre que le personnel autorisé. Puis direction leurs « chambres », où elles sont exposées à des rayons UV et arrosées par le dessous, depuis un logiciel dédié. En tout, douze espèces cohabitent dans six chambres différentes, pour un total de 310 mètres carrés de culture.  Les conditions - température, humidité, circulation de l'air - sont alors ajustées à la virgule près, notamment grâce à des sondes de conductivité électrique chargées de mesurer les nutriments absorbés. Et si Jungle ne peut prétendre à l’étiquette bio (le label européen étant réservé à la production en sol), aucun produit phytosanitaire - ni pesticide, ni herbicide, ni fongicide - n’est utilisé. Le tapis roulant de la ferme verticale de Jungle © Pablo Maillé pour Usbek & Rica Singularité du projet porté par Gilles Dreyfus et son compère Nicolas Séguy, désormais directeur du site, le duo ne vise pas tant l’agriculture urbaine – souvent désignée comme la principale bénéficiaire de ce mouvement hétéroclite – que l’agriculture conventionnelle. « Je respecte le modèle de l’agriculture urbaine mais soyons réalistes, il ne va pas permettre de nourrir tout le monde. Notre ambition est autre, elle est industrielle, assume Gilles Dreyfus en humant quelques tiges de ciboulette. Je sais que ce mot a une connotation péjorative, mais moi, je crois en une agriculture industrielle à la fois durable et rentable. » Pour ce faire, le chef d’entreprise a une idée en tête : que les plus grandes coopératives agricoles françaises et internationales fassent elles-mêmes installer des petites fermes verticales sur leurs exploitations. Naturellement, la réplique se fera à partir du prototype Jungle, qui proposerait aux agriculteurs intéressés des modules de formation de 3 à 6 mois, puis un suivi régulier sur place. « De toute façon, ils auront de plus en plus de problèmes de récolte à cause du réchauffement climatique, donc ils seront obligés de bouger », anticipe Gilles Dreyfus. Parmi les 20 plus grandes coopératives agricoles françaises, la moitié serait « intéressée » et « les premiers contrats arrivent bientôt », promet l’entrepreneur. Qui précise aussitôt que son intention n’est pas de « remplacer » l’agriculture traditionnelle, mais de « faire avancer la complémentarité des modèles ».

By |2022-09-12T16:48:43+00:00September 12th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Une filiale de La Poste propriétaire d’une place de marché de produits frais

Pourdebon est une place de marché du circuit-court alimentaire. Elle vient de passer sous le contrôle à 100% de GeoPost/DPDgroup, filiale de La Poste. Pourdebon.com permet aux consommateurs de commander des produits frais comme au marché, directement auprès de producteurs et d’artisans partout en France. Une startup de l’alimentaire lancée en 2016 Chronopost a accompagné le lancement de la société en 2016 avec une prise de participation minoritaire au capital. GeoPost/DPDgroup prend désormais le contrôle de Pourdebon.com et poursuit ainsi son développement dans le secteur alimentaire. Aujourd’hui, la plateforme Pourdebon.com propose 17 000 produits frais de 550 producteurs et artisans français. L’expédition des produits frais et périssables a lieu partout en France en moins de 24 heures La plateforme supprime tout intermédiaire, et veut recréer un lien direct entre le producteur et le consommateur. Pourdebon.com gère la commande de bout en bout, en proposant une livraison express, en frais et à domicile. Pour l’agriculteur, Pourdebon.com est une solution e-commerce clé en main sans abonnement, qui lui permet de mettre en valeur sa démarche, développer son chiffre d’affaires en vendant au juste prix, et assurer l’expédition de ses produits frais et périssables partout en France en moins de 24 heures. La prise de contrôle par GeoPost/DPDgroup est saluée par Nicolas Machard, Directeur Général de Pourdebon.com. « Cela va permettre à Pourdebon.com d’améliorer sa notoriété et de soutenir toujours plus de producteurs en proposant leurs produits frais de grande qualité à plus de consommateurs » se réjouit-il. « Cela va nous permettre aussi de développer plein de nouvelles fonctionnalités, à commencer par une plateforme ‘B to B’ dédiée aux professionnels de la restauration et de l’épicerie » ajoute-t-il. Danone s’appuie sur Chronofresh pour livrer de nouveaux distributeurs en e-commerce Je lis la suite sur La Revue du Digital Nouvelle étape dans le développement dans le e-commerce alimentaire « Notre prise de contrôle de Pourdebon.com est une nouvelle étape dans notre stratégie de développement sur le marché du e-commerce alimentaire » explique Yves Delmas, Directeur général de GeoPost/DPDgroup. La société avait acquis epicery.com il y a un an. « Après l’acquisition de epicery.com, nous poursuivons notre développement sur ce segment en forte croissance et avec un grand potentiel » poursuit-il. « Pourdebon.com met en contact direct le consommateur avec les producteurs et artisans français. Il pourra renforcer les synergies avec  notre filiale Chronofresh » termine-t-il. Le 19 juillet 2022, GeoPost/DPDgroup a racheté 51,11% du capital de Pourdebon à Webedia Depuis le lancement en 2016, GeoPost/DPDgroup détenait, via Chronopost, une participation minoritaire de Pourdebon.com. Le 19 juillet 2022, GeoPost/DPDgroup a racheté 51,11% du capital de Pourdebon.com, qui étaient détenus par Webedia, prenant ainsi le contrôle de la startup. Webedia est une entreprise qui détient en France des sites web comme AlloCiné, Jeuxvideo.com, Puremedias, Purepeople, Pureshopping, Purebreak, Terrafemina, 750g et easyVoyage. GeoPost/DPDgroup détient désormais 100% du capital. Nicolas Machard, co-fondateur de la startup, reste Directeur Général de Pourdebon.com. GeoPost/DPDgroup possède une spécialisation dans la livraison alimentaire grâce à Stuart qui opère de la course urbaine en France, en Espagne, au Royaume-Uni, en Italie, en Pologne et au Portugal. Il propose une offre de livraison sous température contrôlée avec SEUR Frío en Espagne depuis 2002, avec Chronofresh en France depuis 2015 et avec DPD fresh en Belgique en 2020. La solution epicery dédiée aux commerces de quartier Depuis septembre 2021, l’intégration de la start-up epicery par GeoPost/DPDgroup permet également de commander des produits frais auprès des commerçants de quartier, dans plusieurs villes de France. Les offres proposées par Pourdebon.com et epicery sont complémentaires. Elles peuvent cohabiter, epicery permet de digitaliser les commerçants et artisans de produits alimentaires de centre-ville, et livrer les habitants, quand Pourdebon.com digitalise les agriculteurs et producteurs locaux et livre leurs produits frais partout en France. L’alimentaire est la catégorie de biens dont la fréquence d’achat en ligne a le plus augmenté en 2021 Geopost/DPDgroup estime que le marché de l’alimentaire est en forte expansion. Les achats de biens alimentaires en ligne ont connu une croissance régulière dans les dernières années et ont fortement augmenté avec l’apparition de la pandémie de Covid-19. « C’est la catégorie de biens dont la fréquence d’achat en ligne a le plus augmenté en 2021 avec +11 points en Europe et +8 points en France par rapport à 2019 » selon GeoPost/DPDgroup. L’entreprise souligne que de nouvelles tendances ont émergé, comme la demande de produits bio, plus de transparence, une attente des consommateurs pour un commerce responsable et une volonté grandissante de consommer des produits accessibles en circuits courts. DPDgroup est un réseau international de livraison de colis. Il souhaite être un acteur de référence de la livraison durable et un catalyseur de l’accélération du e-commerce. DPDgroup livre chaque jour 8,4 millions de colis dans le monde à travers les marques DPD, Chronopost, SEUR, BRT et Jadlog. DPDgroup est le réseau de livraison de colis de GeoPost. GeoPost a réalisé un chiffre d’affaires de 14,7 milliards d’euros en 2021. GeoPost est une société holding détenue par le groupe La Poste.

By |2022-09-10T16:35:48+00:00September 10th, 2022|Scoop.it|0 Comments

LinkedIn, la plateforme qui permet de romancer son parcours professionnel

Mentir sur son CV… Depuis la nuit des temps, romancer son parcours professionnel est un passage presque obligé pour tous les candidats qui cherchent à se distancer de la concurrence. Hier, il s’agissait d’étoffer son curriculum vitae et aujourd’hui sa page LinkedIn, mais la logique reste la même. Et Dieu sait – en l’occurrence Olivier Dussopt – que les exemples sont légion : bidouiller des périodes d’activité pas tout à fait exactes, s’inventer une foule de hobbies plus valorisants les uns que les autres – comme donner bénévolement 52h de son temps hebdomadaire à des associations,  renseigner l’obtention d’un diplôme alors même que vous ne l’avez jamais obtenu – pensez à rendre votre mémoire ou thèse en temps et en heure ! – ou encore spécifier un niveau bilingue en anglais complétement bidon… Autant d’exemples qui nous révèlent finalement que « vous êtes un être humain et, c’est un paradoxe, cela est plutôt rassurant, plutôt normal. Pas trop de culpabilité à avoir donc… », comme l’explique Gilles Payet, formateur et professeur à la Skema Business School, sur… sa page LinkedIn justement.   Le royaume du faux Au dernier décompte, le réseau social se vantait d’habriter 850 millions de comptes individuels. Des chiffres qui ne cessent de grandir et qui ne font que conforter sa place de leader dans le champ des réseaux sociaux professionnels. Cependant, à moins qu’un utilisateur ne prenne le temps de remplir un formulaire identifiant certaines informations fausses ou inexactes sur un compte fallacieux, il est presque impossible pour la plateforme de déterminer si ces profils contiennent de fausses allégations sur le niveau d’éducation et/ou professionnel de leurs utilisateurs. Selon une enquête commanditée par LendEDU, 34 % des profils LinkedIn contiendraient des informations inexactes ou trompeuses. De quoi laisser penser que sur les 66% restants, beaucoup n’ont tout simplement pas oser l’avouer – oui nous sommes pessi… réalistes –. Sur les 1 252 personnes interrogées, 64 % ont ainsi répondu qu’elles ne renseignaient que des activités qu’elles avaient réellement effectuées, là où 23 % ont répondu que leur page contenait « quelques mensonges » et 11 % que leur profil était « presque entièrement constitué de choses que je n’ai jamais faites ».

By |2022-09-10T16:29:56+00:00September 10th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Olivia Grégoire : ses priorités dévoilées aux décideurs du tourisme

La ministre déléguée au Tourisme compte poursuivre le travail de concertation instaurée avec succès pendant la pandémie. « Le comité de filière tourisme sera relancé d’ici quelques semaines », a-t-elle ajouté. « Vous serez informés et conviés. » La préparation de la Coupe du monde de rugby 2023 et des Jeux Olympiques 2024 comptera parmi les thèmes à l’ordre du jour. Pour mémoire, le comité de filière tourisme a été créé en 2019 pour faciliter la coconstruction des politiques touristiques entre professionnels et pouvoirs publics. C’était sous l’impulsion de « l’excellent » Jean-Baptiste Lemoyne, a souligné Olivia Grégoire, en parlant de son prédécesseur. Devenir n°1 des recettes mondiales S’agissant de la destination France, l’enjeu est double. C’est d’abord de rester la première destination mondiale en nombre de visiteurs, alors que d’autres pays comme l’Arabie Saoudite tentent de prendre la France de vitesse. Il s’agit aussi d’effectuer « une montée en gamme et en compétences », afin d’aller chercher « une première place » au chapitre des recettes. Première place occupée aujourd’hui par les Etats-Unis. « Devenir la première puissance économique mondiale, grâce au tourisme, c’est possible. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour vous accompagner dans cette montée qualitative. » Plan de com’ sur les métiers Sa feuille de route s’inscrit dans le cadre du plan de relance du tourisme annoncé par Jean Castex, dans lequel « la reconquête des talents » représente un pilier. A l’heure de la reprise se pose le problème du manque d’attractivité du secteur et de la pénurie de personnel. Mardi 13 septembre débutera justement une campagne nationale de communication qui mettra l’accent sur les métiers du tourisme, sous l’impulsion de Bercy, en collaboration avec Monemploitourisme.fr. Objectif : « mettre l’accent sur la beauté, la pérennité et l’attractivité des métiers du tourisme ».

By |2022-09-10T14:43:55+00:00September 10th, 2022|Scoop.it|0 Comments