Data doesn’t dictate trends, humans do
Big data supplies us with numbers and percentages. It won’t tell us that we are emerging from a near-death experience, if not our own death, then the death of friends, relatives and strangers, bundled daily as cases and counts. Yes, we knew abstractly we weren’t going to live forever, but now we really know it. We’ve watched time turn chunky and formless, like a big dumb cloud, or a page in a tablet whose lines have dissolved. The internet, on which many people grew over-dependent during Covid, is itself a mortality delivery device, reminding us daily of the birth and unrecalled death of millions of headlines, stories, controversies and ideas, along with our memories of them. Planning things, anticipating things? Both gone. The sexiest shampoos and moisturisers distilled from the cruel giggles of pufferfish, the face masks made from pulverised fire ants. What’s the use of any of that stuff when facemasks make everyone who’s shopping in the supermarket look like a bandaged anteater? My point is that Covid and its aftermath will continue driving a profound change in consumer habits and consumption. Brands, their roles, and what they now need to bring to the table, must respond to that change. As everyone knows, successful branding isn’t about words, or meaning, or cute animals, it’s how a pillow, a ketchup, or a soft drink makes us feel. And with apologies to big data, feelings are not facts. Big data, after all, predicted that Hillary Clinton would be elected president in 2016, whereas the small data my team and I picked up on again and again in the months before the election indicated the exact opposite. After our small data research detected profound and detailed insights about B2B customers in the wake of Covid, Maersk, the world’s largest shipping company (and a highly data-driven enterprise) shifted direction and ultimately witnessed more than a 300% increase in its share price. Still, here’s a data point that’s undeniable: I’m a college dropout. Instead of following my schoolmates to university, I was hired after high school by Lego, whose R&D department I had been advising since I was 12. Years later, Lego admitted it didn’t hire me because I was clever or blonde or smiley – that hurt. No, they wanted to connect with their core customers and as a 12-year-old Danish kid I fit the bill perfectly. Which is why when Mark Ritson accuses me of catastrophising Covid and its aftermath, I found myself transported back to high school, and a world of scornful teachers surrounded by reams of graphs and data. I was reminded why, at 19, I decided that living in the real world would be more appealing and instructive than trendspotting from behind a lectern. My advice to Ritson is to pick up a plastic drinking straw and inhale a few lung-fuls of evidence from a world that’s made up of real human beings, not notches on a graph. After all, when creating brand loyalty, isn’t our biggest challenge to break down, wring out and bring words to love itself? You can search for “love” in a thesaurus, map it out on a spreadsheet, study its definitions in a textbook – or you can venture out into the world and find your own answer. If nothing else, along the way you’ll be given a series of glimpses into what the men and women who pay our salaries actually think and feel.
Les cryptomonnaies dans le collimateur des lois anti-blanchiment de Bruxelles
Deux dispositions inscrites dans le règlement inquiètent particulièrement les professionnels des cryptomonnaies. La première, c'est l'obligation pour les prestataires de services sur les actifs numériques (PSAN) établis dans l'Union de collecter et vérifier les informations personnelles du destinataire et du bénéficiaire de tous les transferts de cryptos qui transitent par leur plateforme, quel qu'en soit le montant. La cryptosphère dénonce un « deux poids deux mesures » Dans la cryptosphère, on dénonce une inégalité de traitement. « Au sein de l'UE, seuls les virements bancaires de plus de 1.000 euros sont surveillés », explique Elias Bourran, avocat expert du droit de la blockchain et des crypto-actifs. « Ici, la Commission veut se débarrasser de cette limite pour les cryptomonnaies et imposer aux PSAN de collecter des informations pour tous les montants. Cela revient à imposer plus d'obligations aux PSAN qu'aux banques traditionnelles », détaille-t-il. Cryptomonnaies : le projet européen de réglementation met le secteur en émoi Certains eurodéputés justifient cette mesure au nom de la lutte contre le « smurfing ». Une pratique qui consiste à scinder un transfert important en plusieurs petites sommes pour passer sous les radars des régulateurs. La très grande volatilité des cryptomonnaies rendrait par ailleurs caduc tout seuil de signalement, explique-t-on du côté de Bruxelles. Les portefeuilles non hébergés, un « trou béant » dans la régulation La seconde mesure qui inquiète les acteurs de la blockchain concerne les portefeuilles non-hébergés. Ce type de portefeuille permet à l'utilisateur de conserver lui-même sa clé privée, sans intermédiaire. De nombreux particuliers préfèrent stocker leurs tokens sur ces portefeuilles non-hébergés de peur que leurs actifs ne soient volés par des hackers, saisis par les plateformes d'échange ou bien bloqués en cas de changement brutal de législation. Royaume-Uni : le marché du bitcoin suspendu au verdict du régulateur Selon le législateur européen, ces portefeuilles non-hébergés sont « un trou béant dans la réglementation ». Car contrairement aux portefeuilles abrités sur des plateformes comme Coinhouse , il n'est pas nécessaire de fournir des justificatifs d'identité pour ouvrir et utiliser un portefeuille non-hébergé. Et c'est ce qui gêne le législateur européen, qui souhaite que chaque PSAN collecte et vérifie les informations sur l'identité du donneur d'ordre et du bénéficiaire de tous les transferts de cryptos impliquant des portefeuilles non-hébergés transitant par sa plateforme. « Les portefeuilles non-hébergés ont besoin d'être identifiés, de la même manière que vous devez vous identifier lorsque vous déposez de l'argent sur un compte en banque », a fait valoir sur Twitter l'eurodéputé néerlandais Paul Tang (Alliance socialiste et démocrate).
Anne Hidalgo veut rendre Paris piétonnier lors des JO
Paris, comme Lyon ou encore Bordeaux, saute à pieds joints dans le tourisme durable. La Ville Lumière l’avait martelé en 2021, aspirant à devenir la capitale « mondiale » du tourisme durable. La maire Anne Hidalgo compte utiliser les Jeux Olympiques d’été de 2024 comme vitrine d’une telle ambition. C’est ce que nous a confié le patron d’un groupe hôtelier, qui a pu consulter un document confidentiel sur un projet « vert » prévu pendant l’événement, soit du 26 juillet au 11 août 2024. Vers des embouteillages de vélos ? « Anne Hidalgo souhaite que Paris soit réservé aux piétons et aux vélos pendant toute la durée des JO », assure cet hôtelier très bien implanté dans la région parisienne. « C’est une folie. Nous sortons de deux années de crise, et on veut ainsi nous mettre des bâtons dans les roues… Avec des acteurs du tourisme, nous allons organiser des barrages routiers pour dissuader le conseil de Paris de voter cette mesure absurde », menace le PDG. Anne Hidalgo a toutefois prévu des dérogations « fantaisistes » pour la circulation routière, croit savoir le patron hôtelier. « Il est question de permettre la circulation des voitures, des bus et des camions de 6h à 7h du matin et de 19h à 20h… pour les seuls athlètes, le staff des JO, les riverains et les commerçants. Pour ceux qui travaillent dans Paris et les touristes, les transports publics seront gratuits. Et la ville mettra gratuitement à disposition des vélos. A la place d’embouteillages de voitures, nous aurons des embouteillages de vélos ! Encore un truc de bobos qui veulent du beau. » Des vélos gratuits revendus aux enchères Si le projet de fermeture du tout-Paris aux véhicules est voté, Paris devrait lancer un appel d’offres pour la commande de 250 000 vélos et tuk-tuks estampillés « AH JO 2024 », qui seront revendus aux enchères à l’issue des JO. Les bénéfices devraient permettre de financer l’aménagement de panneaux solaires et d’un récupérateur d’eaux de pluie sur le parvis de l’Hôtel de Ville. Source : ville de Paris Contactée par L’Echo touristique, la ville de Paris se refuse à tout commentaire. Quant à Jean-François Rial, le président de l’Office du tourisme et des congrès de Paris (OTCP), il n’avait pas retourné notre appel lors de la mise en ligne de notre article. Le projet de la candidate à la présidentielle s’inscrit dans le cadre du Plan vélo 2021-2026 pour le Grand Paris. Ce programme, consultable en ligne, prévoit 250 millions d’euros d’investissement. Objectif : développer des infrastructures cyclables et des places de stationnement, mais aussi créer une « zone apaisée » dans le centre de Paris. La Ville revendique plus de 1000 kilomètres d’aménagements cyclables. Et la mairie comme l’OTCP considèrent que la filière touristique doit « montrer la voie » dans la transition écologique. « Ils ont un petit vélo dans la tête », raille l’hôtelier, furibond, qui ne perd toutefois pas son sens de l’humour.
NFTs Are Hot. So Is Their Effect on the Earth’s Climate | WIRED
For digital artists, the attraction of blockchain is a new model of ownership. Crypto art is no more secure from copycats than anything else posted on the internet; a person could easily record a video or screenshot an image and proudly display the replica on their desktop. But with an NFT, the owner buys a verified token providing digital evidence that the art is theirs—a bit like an artist’s signature. The idea is to offer some semblance of the authenticity that is naturally bestowed on physical art. After all, most people would say that a perfect copy of a Mondrian abstract painted on your garage door is not the same as the one created by the artist. Why couldn’t the same be true for a .CAS file? A bonus of the model is that ownership can be extended to resales of that token, allowing artists to continue receiving a cut. “We have to change our existing habits. So how can we build new platforms that are unsustainable?” MEMO AKTEN, TECHNOLOGY ARTIST The trade-off is that this model consumes lots of energy. The major marketplaces for NFT art, which include MakersPlace, Nifty Gateway, and SuperRare, conduct their sales through Ethereum, which maintains a secure record of cryptocurrency and NFT transactions through a process called mining. The system is similar to the one that verifies Bitcoin, involving a network of computers that use advanced cryptography to decide whether transactions are valid—and in doing so uses energy on the scale of a small country. How exactly that energy use translates to carbon emissions is a hotly contested subject. Some estimates suggest as much as 70 percent of mining operations may be powered by clean sources. But that number fluctuates seasonally, and in a global energy grid that mostly runs on fossil fuels, critics say energy use is energy use. Some mining hotspots popular because of cheap hydropower, such as Missoula, Montana, have banned new operations over concerns that even “clean” mining would push neighboring energy users to dirtier energy sources. Ethereum’s developers have planned a shift to a less carbon-intensive form of security, called proof-of-stake, via a blueprint called Ethereum 2.0. But this has been in the works for years, and there is no clear deadline for the switch. “If you look at how much energy we are going to spend in the meantime, it’s ridiculous,” says Fanny Lakoubay, a crypto art collector and adviser. Ethereum became the platform of choice for digital art sales because it was designed to handle digital transactions that go beyond cryptocurrency, using a system called smart contracts. And as the second-largest blockchain platform after Bitcoin, it was known to be fairly reliable, with an established community of developers. There are alternative blockchains, some of them already using proof-of-stake, but they are perceived as less established—and perhaps less permanent, Lakoubay explains. That makes them less appealing to art buyers who want their claims to very expensive things etched in digital stone. Until recently, the NFT art world hadn’t given energy use that much thought, Lakoubay says, because the community of artists and collectors was tiny. Digital art sales weren’t driving the computers that ran Ethereum; that was due to other things, like cryptocurrency speculation. Lakoubay has been happy to see the recent growing interest in crypto art. But it was also a little bit scary. “I’ve been advising collectors to not be too crazy right now,” she says. “It’s definitely not the art market that’s driving the prices.”
Selon un rapport accablant, « seul 1% des entreprises présente un plan de transition énergétique crédible »
L’urgence climatique, la crise sanitaire et les considérations environnementales mettent plus que jamais le tissu entrepreneurial sous pression. Dans une société aux ressources énergétiques limitées, la bonne santé des activités économiques semble dépendre de plus en plus d’une gestion intelligente de ces dernières. Une situation qui a naturellement imposé l’environnement comme une dimension essentielle de performance et de pérennité des entreprises. Le ton est donné mais les actions restent à être menées. Il est temps de (re)mettre la transition énergétique au sommet de sa stratégie et d’en faire plus qu’un simple exercice de communication. Pour faire face aux profondes perturbations technologiques, politiques, économiques et sociales qui vont inévitablement se produire, les entreprises doivent acquérir une connaissance approfondie des questions énergétiques et climatiques qui s’appliquent à leurs propres modèles d’entreprise. Un effort gagnant gagnant. Pour le portefeuille et pour l’image de marque. Un rapport au vitriol Dès lors, on pourrait penser que la machine est lancée. Mais au diable les belles promesses formulées lors, notamment, de la COP26 de novembre dernier, voir à l’occasion de lors de la signature des accords de Paris. Un nouveau rapport du CDP révèle que la majorité des entreprises demeurent timorées quant à leurs plans de transition énergétique. Intitulé « les entreprises sont elles transparentes au sujet de leur transition énergétique ? », cette étude dresse un classement des industries les plus impliquées en la matière. Elle formule également des scores environnementaux très scrutés par les gestionnaires d’actifs et d’autres investisseurs qui l’utilisent pour « verdir » leurs portefeuilles.
Ces traders qui font fortune sur les NFT
Le marché des NFT, ces actifs uniques dont la propriété et la traçabilité sont assurées par une blockchain, est un véritable bestiaire numérique, où les investisseurs achètent des singes , des canards, des chats , des pingouins, ou encore des chauves-souris - tous virtuels. Chaque crypto collection est déclinée en plusieurs milliers de personnages dont les caractéristiques (couleur, forme, habits…) varient de manière aléatoire. Ce sont ces collections qui concentrent l'essentiel des volumes des NFT et des profits pour les traders les plus habiles. Ils parviennent à identifier quels seront les actifs les plus rentables, comme leurs homologues des marchés traditionnels le font sur les actions. Une minorité y parvient, et empoche des sommes considérables à la clé. Sur OpenSea, la principale plateforme de NFT, 12.000 investisseurs-traders expérimentés (3,6 % des intervenants) se sont approprié près de 600 millions de dollars de profits en seulement six mois l'an dernier, selon une étude (1). Ils ont empoché la moitié des bénéfices réalisés. Parmi les investisseurs à succès emblématiques sur les NFT figurent des anciens sportifs comme Jake Paul, ancien boxeur et collectionneur passionné, des stars des réseaux sociaux comme les youtubeurs Richard Bengston ou Scotty Sire, d'anciens financiers comme Jordan Belfort, le loup de Wall Street, et des personnalités du monde des cryptos comme le trader Michael Novogratz. Son nouveau fonds, spécialisé sur les NFT, a levé 325 millions de dollars. 9 % des investisseurs institutionnels clients de Goldman Sachs interrogés en mars ont manifesté leur intérêt pour cette nouvelle classe d'actifs du secteur des cryptos.
StackinSat lance un plan épargne bitcoin pour les entreprises
PARTAGER SIGNALER UNE ERREUR ENREGISTRER PDF / EXPORTER « Le bitcoin est l’un des rares actifs déflationnistes, puisqu’il n’y en aura jamais plus de 21 millions » . « C’est une réserve de valeur » . Il suffit de parler quelques minutes avec Jonathan Herscovici, cofondateur de StackinSat, pour comprendre que l’entrepreneur est convaincu du futur florissant offert par le bitcoin. Et pourquoi il a concentré les efforts du courtier français sur cette cyrptomonnaie et pas une autre. Et enfin pourquoi il se démène pour vulgariser l’écosystème autour du bitcoin à l’image de l’événement Surfin’ Bitcoin à Biarritz les 25-26 et 27 août prochains. Lancée en octobre 2020, StackinSat propose un Plan Épargne Bitcoin, un service permettant d’acheter progressivement des sastochis, des fragments de bitcoins, à intervalles réguliers, à la semaine ou au mois, à partir de 10 euros. 11 000 utilisateurs particuliers – plutôt autour de 40 ans – ont franchi le pas. Ils placeraient en moyenne près de 2800 euros par an – moitié en achats récurrents, l’autre en dépenses ponctuelles. Un placement pour amoindrir les effets de l’inflation ? Désormais ce sont les entreprises qui sont ciblées. Les produits de placement de trésorerie d’entreprise en France sont rares et surtout peu performants (en moyenne 0,5% / an). StackinSat a donc décidé de préempter ce marché avec le bitcoin. Et on ne plus simplement : en dupliquant son modèle originel mais en l’orientant vers les entreprises. Ce plan épargne bitcoin est baptisé PEB Pro. Ce placement financier est accessible avec un versement initial d’un minimum de 1000 euros. Mais quel intérêt les entreprises auraient-elles à passer à l’acte ? « Toutes les entreprises ont de la trésorerie dormante, qu’elles ont accumulé avec la crise sanitaire, qui peut représenter entre 5 et 10% de la trésorerie totale. On leur propose d’allouer une partie de cette trésorerie, qui ne servira pas à court terme pour l’exploitation, dans une épargne innovante » , assure Jonathan Herscovici. Le dirigeant mise sur la conjoncture et l’inflation galopante pour faire valoir le bien-fondé de sa solution. L’invasion Russe en Ukraine a provoqué en 4 semaines une très forte augmentation des prix de l’énergie et des matières premières. L’inflation a battu des records historiques en zone Euro avec plus 6% en février, soit son plus haut niveau depuis 25 ans, selon Eurostat. « Si vous aviez 100 000 euros de trésorerie en 2017, avec l’inflation passée, selon les calculs de INSEE, l’impact sur la trésorerie est une perte de pouvoir d’achat de 6% aujourd’hui en 2022. Si on simule une inflation de 5% sur les 5 prochaines années, on arriverait à une baisse de 27% soit une perte de pouvoir d’achat de près 30 000 euros en 2027 » , prend-il comme exemple. Selon lui, le bitcoin, avec des versements réguliers échelonnés, prend alors tout son intérêt en tant que valeur refuge d’épargne. Pour convaincre les sceptiques, StackinSat a développé un simulateur d’inflation qui permet de visualiser la baisse du pouvoir d’achat dans le futur.
Volvo: Car brands must acknowledge they are ‘part of the problem’ on climate change
“Car manufacturers, including Volvo Cars, have been fuelling the crisis for a century,” one tweet from the Volvo account read. Volvo aims to be all-electric by 2030 and carbon neutral by 2040, and to reach these goals Volvo will need petrol-accustomed consumers’ support. Melillo Shaw said Volvo considers it to be its responsibility to educate consumers on the topic. Volvo eyes DTC promise as electric sales grow Volvo works to ensure consumers feel comfortable about “the change that is inevitably coming” on the shift to electric vehicles, she said. The company’s principle about transparency extends to how it sells its electric cars. “Understanding the total cost of ownership has been a key focus for us so that people, as they’re making that decision, understand it is a different model, it is a different way of owning a car and running a car,” she explained. Transparency in communicating on issues of sustainability is important internally as well as externally, Pilgrim’s Food Masters innovation and sustainability director, Dawn Spencer, added. Spencer said the food manufacturing company, which includes brands like Richmonds and Fridge Raiders, has weaved the principle of sustainability through its entire business. Pilgrim’s has a team set up to deliver its corporate strategic agenda around sustainability, as well as cross-functional teams that can put resources wherever they are needed across the whole business. A driving force behind the creation of this team structure was the need for effective communication, Spencer said. As well as internal stakeholders and shareholders, Pilgrim’s must communicate its sustainability goals to retailers too. Pilgrim’s has been sharing success stories to bring along stakeholders on the issue of sustainability. Spencer acknowledged that sustainability discussions can become complex, but the company takes care to share its success stories in a “really digestible and really easy to understand” way. For Volvo’s Melillo Shaw, what works internally is a good sign for what works externally. If you can’t convince internal stakeholders, you probably can’t convince the general public. ‘No finish line for sustainability’ The journey to tackle the climate crisis is something of a “marathon”, said Pilgrim’s Spencer. “There’s probably no finish line for sustainability.” Agreeing, Melillo Shaw said for individuals within the business, sustainability targets of 2030 and 2040 can feel a long time away. It’s important to identify more tangible steps for employees to take to make them feel like they’re part of the company’s long-term goals on sustainability, she added. One example was an idea that came from within the team to replace some paper documents with an app. While this is a relatively small step, it’s one that means those within the business can have a tangible role in the company’s sustainability goals. Action on sustainability and driving profit are not always seen as compatible goals. But Spencer argued there are business case wins. Sometimes brands need to focus on smaller wins as well.
Crypto Goes to War in Ukraine | WIRED
“I can do only two things in my life—crypto and aviation,” he says. He chose the former, determining that the best way to serve his country was to supply it with funds via digital currencies. Not long after the invasion, he set up a DAO. That’s a decentralized autonomous organization, an entity whose trustworthiness can be verified by the reliable blockchain ledger. Vasylchuk partnered with the Ministry of Digital Transformation of Ukraine and a currency exchange called FTX to set up a system for the government to accept crypto currency directly from donors. So far the fund has taken in more than $65 million, which has been distributed between the country’s defense efforts and humanitarian aid. The effort is one of several using blockchain-based technologies to help Ukraine and its people during these nightmare weeks. Some have even dubbed this conflict the Crypto War. It’s unlikely that those who have lost homes or loved ones would agree that crypto is the headline here. But the chaos of war often gives rise to alternative economies; in this case it’s not so much a black market (such as the one that helped rebuild the Japanese economy post–World War II), but one that rests on the unique virtues of crypto. Apparently Ukrainian president Volodymyr Zelensky recognizes this, as just this month he signed legislation that blessed key activities in the crypto sector, like currency exchanges and bank integration for crypto companies. While the spoils of crypto are often enjoyed by privileged investors eyeing Lambos, the technology seems almost custom-made to surmount the challenges of a beleaguered Ukraine. “A bitcoin transaction takes 10, 20, 30 minutes versus a wire transfer that might take two or three days, and you can’t be sure of that—by then [the Russians] might have bombed a national bank,” says Illia Polosukhin, a cofounder of the blockchain company Near. Polosukhin is also one of the instigators of a DAO called Unchain, which has so far taken in $7 million for aid. In addition, these crypto funds accept donations anonymously, which is particularly advantageous for any potential givers with ties to Russia, whose leader is known to hold grudges. Finally, the idea of using crypto in this way is just plain attractive to those sitting on huge piles of bitcoin, ether, or other coins with insanely high values. But maybe the most significant aspect of wartime crypto in Ukraine is how private currencies are nudging their way into everyday commerce. Because the banking system is shaky in Ukraine, some suppliers receiving coins aren’t interested in making the exchange from cryptocurrency into fiat. “It’s not clear what the exchange rate will be between US dollars and hryvnia [the national currency], and so having coins in crypto is beneficial,” says Polosukhin. Crypto might be particularly precious for those fleeing the country, who don’t want to travel with cash, or simply can’t get it from their bank accounts. For people remaining in the country, Polusukhn says, Unchain is working on the equivalent of a crypto ATM card, where people can buy supplies using their digital wallets. Both Vasylchuk and Polosukhin, who is currently running his company from Lisbon, think that crypto will be essential in restoring their battered homeland. “We need to stop the war and rebuild this country,” says Polusukhn. “The crypto world will play a huge part in that—there are no banks in some places anymore!” The cryptocurrency movement to date has been plagued by the blatant greed of many of its adherents, with looney fluctuations in value discouraging its acceptance as a legitimate alternative to traditional economic tools. Even Ethereum inventor Vitalik Buterin is troubled by this. “The peril is you have these $3 million monkeys, and it becomes a different kind of gambling,” he told Time magazine. But behind the devastation of the Russian invasion, there’s evidence of how blockchain-based alternatives might justify some of the exhausting hype. Some investors are already celebrating this: In a recent letter to shareholders, Larry Fink, the CEO of the BlackRock hedge fund, touted the war’s “potential impact on accelerating digital currencies.” Vasylchuk sees the crisis not as a turning point but an acceleration of the inevitable. “Crypto was not underground before,” he says. “We just lost the restrictions.” Before we celebrate the future, though, let’s hope for peace in Ukraine—a respite that, all too sadly, bitcoin can’t buy.
GDPR : L’hospitalité des marques fait loi en Europe.
Selon une étude récente de la Commission Européenne(3), 72% des Européens s’inquiètent en effet de laisser trop de données personnelles aux entreprises, souvent à leur insu, et surtout de ne pas en recevoir de réelle contrepartie. D’ailleurs, la connaissance plus précise du client semble ne faciliter en rien la capacité de l’entreprise à mieux cibler ses offres : selon tous les indicateurs(4), le taux d’ouverture des mails diminue alors que les désabonnements (opt-out) augmentent, ce qui fragilise largement la rentabilité des investissements lourds consentis dans le CRM.
Accueillir un consommateur “libre” est sans doute une perspective qui effraie bon nombre de marques, tant elle ont été construites sur la notion d’un marketing manipulateur et insidieux, capable d’influencer jusqu’aux émotions pour enfermer les clients dans un tunnel de vente dont la seule issue est l’achat du produit. Avec la GDPR, ce n’est plus le produit qu’il va falloir vendre, c’est la marque qui doit apprendre à se faire acheter. Et pour cela, il va falloir qu’elle se montre hospitalière vis à vis de ses clients : bienveillante, humaine et proche.
Ce serait peine perdue pour les marques que de se contenter de « mettre en conformité » leur bases de données tout en espérant garder les mêmes pratiques relationnelles. Car la GDPR est d’abord une invitation à renverser ses pratiques relationnelles pour faire montre d’hospitalité vis à vis de ses clients ; et c’est ce renversement d’attitude qui est lui même porteur de croissance pour les marques. Avec la GDPR, l’hospitalité ouvre pour les marques de nouvelles perspectives de croissance.