L’urgence climatique, la crise sanitaire et les considérations environnementales mettent plus que jamais le tissu entrepreneurial sous pression. Dans une société aux ressources énergétiques limitées, la bonne santé des activités économiques semble dépendre de plus en plus d’une gestion intelligente de ces dernières. Une situation qui a naturellement imposé l’environnement comme une dimension essentielle de performance et de pérennité des entreprises.

Le ton est donné mais les actions restent à être menées. Il est temps de (re)mettre la transition énergétique au sommet de sa stratégie et d’en faire plus qu’un simple exercice de communication. Pour faire face aux profondes perturbations technologiques, politiques, économiques et sociales qui vont inévitablement se produire, les entreprises doivent acquérir une connaissance approfondie des questions énergétiques et climatiques qui s’appliquent à leurs propres modèles d’entreprise. Un effort gagnant gagnant. Pour le portefeuille et pour l’image de marque.

 

Un rapport au vitriol
Dès lors, on pourrait penser que la machine est lancée. Mais au diable les belles promesses formulées lors, notamment, de la COP26 de novembre dernier, voir à l’occasion de lors de la signature des accords de Paris. Un nouveau rapport du CDP révèle que la majorité des entreprises demeurent timorées quant à leurs plans de transition énergétique. Intitulé « les entreprises sont elles transparentes au sujet de leur transition énergétique ? », cette étude dresse un classement des industries les plus impliquées en la matière. Elle formule également des scores environnementaux très scrutés par les gestionnaires d’actifs et d’autres investisseurs qui l’utilisent pour « verdir » leurs portefeuilles.

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