Ethereum Community Gears up for the Long-Awaited London Fork Set to Go Live on August 5 –
The Ethereum community has been gearing up for the highly anticipated London Network Upgrade which should take place on August 5 around 9:00 a.m. (EDT). Node operators have been asked to upgrade their nodes as soon as possible, as the upgrade is scheduled to take place at block height 12,965,000. Ethereum Set to Fork on Thursday, Blockchain Will See 5 Improvements According to the countdown clock hosted on etherscan.io, the Ethereum (ETH) blockchain will be upgraded in the near future, on or around Thursday afternoon. Previously, Bitcoin.com News reported on the London upgrade on July 9, 2021, and at the time it was estimated block 12,965,000 would fall on or around August 4. The “London Mainnet Announcement” was revealed by Tim Beiko when the developer wrote a summary about the upgrade via the official Ethereum blog. With the countdown clock ticking down, the Ethereum fork should take place on Thursday on or around 9:00 a.m. (EDT), depending on how long it takes to process more than 5,000 ETH blocks. The London hard fork includes a total of five Ethereum Improvement Proposals (EIPs). The EIPs included in tomorrow upgrade include: EIP-1559: Fee market change for ETH 1.0 chain EIP-3198: BASEFEE opcode EIP-3529: Reduction in refunds EIP-3541: Reject new contracts starting with the 0xEF byte EIP-3554: Difficulty Bomb Delay to December 1st 2021
L’arrivée de Messi au PSG fait grimper la cryptomonnaie du club parisien
Il n'y a pas qu'aux abords du Parc des Princes que l'arrivée de Lionel Messi se fait ressentir chez les fans du PSG. Depuis les premières rumeurs sur la signature du joueur argentin à Paris , les échanges autour du jeton numérique développé par le PSG s'envolent. Le fan token «$PSG » est en hausse de plus de 150 % sur les 7 derniers jours, selon la plateforme Coingecko et s'approche des 50 euros l'unité. Le transfert de l'été fait ainsi grimper la capitalisation de la crypto monnaie du PSG à près de 144 millions d'euros et se hisse en tête des jetons numérique développés par les clubs de football, loin devant celui du FC Barcelone (66 millions d'euros) ou de la Juventus (33 millions d'euros). Le jeton $PSG occupe ainsi la 252e place au classement des plus importantes cryptomonnaies en circulation sur le marché. Droit de vote Pour lancer sa monnaie virtuelle, le club parisien s'est associé avec la start-up maltaise Chiliz qui a développé Socios.com, une plateforme basée sur la blockchain qui permet d'émettre des « fans tokens ». Le principe est de mettre en circulation des jetons émis par le club pour associer les supporters qui en détiennent à certaines décisions de la vie du club via une application mobile.Pas de quoi permettre de peser dans le choix des transferts ou dans la désignation des cadres dirigeants mais plutôt de voter par exemple pour la chanson diffusée après un but marqué à domicile ou pour le message qui figure sur le brassard du capitaine. Et plus un supporter détient de jetons, plus il détient de droit de vote. A partir de ces consultations et de leur ancienneté, les détenteurs de jetons peuvent ainsi gagner des « récompenses uniques, des marchandises exclusives et des expériences exceptionnelles ».
Rapport du GIEC : les nations insulaires appellent le monde à sauver leur avenir
Le Monde.fr - 1er site d’information sur l’actualité.Retrouvez ici une info de la thématique Planète du 10 août 2021 sur le sujet Rapport du GIEC : les nations insulaires appellent le monde à sauver leur avenir...
Climat : le cri de la science
En Occident comme ailleurs, nombre d'humains l'entendent sans l'écouter, ou mettent en doute les vérités les plus solides -l'efficacité de la vaccination comme le réchauffement climatique. Les experts sont devenus inaudibles, y compris quand le consensus est total. Y compris quand le GIEC prend la peine de passer en revue l'équivalent de 14.000 publications scientifiques et mobilise trois ans durant les experts de soixante pays. La vérité est que les projections alarmistes n'impriment plus. Elles sont tellement fréquentes qu'elles en deviennent banales. Les activistes le reconnaissent eux-mêmes : les citoyens ont tendance à fuir les oiseaux de malheur. Ils aspirent à entendre les histoires qui marchent, à connaître les pays et entreprises qui avancent. Comme le Royaume-Uni et la Suède, qui ont eu le courage d'imposer une taxe carbone élevée , et voient les comportements de leur population changer. Comme Orsted , cette compagnie pétrolière danoise qui a totalement abandonné les hydrocarbures pour produire des énergies vertes. Ces acteurs ont pour point commun de poursuivre une stratégie de long terme, parfois peu populaire, souvent douloureuse. Une stratégie qui manque à l'immense majorité des pays, le nôtre compris.
Opinion | “Finfluencers” ou la finance sous influence
Ils s’appellent Alessio Rastani, Robert Breedlove, Dan de Chartguys ou encore Krown’s crypto cave. Ils sévissent sur YouTube, Twitter, Instagram ou encore Tiktok. Ces "finfluenceurs" vous accompagnent dans la gestion de vos finances personnelles et, parfois même, dans votre initiation à l’investissement sur les marchés financiers. Ils ont généralement une spécialité : l’analyse technique, le marché actions ou encore les crypto-actifs. Leur audience ne fait que grandir. Démocratisation et accessibilité Le dernier sondage Audirep pour la Banque de France, en date de juillet 2020, a souligné un paradoxe : les Français sont une majorité (52 %) à s’intéresser à l’actualité et aux sujets financiers, mais ils sont pénalisés par des lacunes importantes dans leur éducation financière. Dit autrement, ils ne maîtrisent pas les connaissances financières de base. L’essor des finfluenceurs est donc a priori une bonne nouvelle. Ils contribuent à démocratiser les questions de finance personnelle et rendent accessible les sujets plus complexes, comme la blockchain et les crypto-actifs. Alors que les grands établissements financiers peinent à s’adresser aux 18-35 ans, les finfluenceurs ont réussi à capter leur attention en proposant un contenu parfaitement adapté – souvent court, toujours dynamique et généralement dénué de jargon financier – et en utilisant les canaux d’information auxquels ils ont le plus recours à savoir les réseaux sociaux. Aux États-Unis, 41 % de ceux appartenant à la Génération Z (ceux nés après 1995) ont déclaré avoir eu recours à Tiktok pour accéder à de l’information financière au cours du mois de décembre 2020, selon une étude publiée par Lending Tree en janvier 2021. Les jeunes plébiscitent les réseaux sociaux, car ils en maîtrisent les codes, et y trouvent des interlocuteurs qui savent s’adresser à eux simplement et sans jugement. Grandeur et décadence Les finfluenceurs sont souvent talentueux, parfois sans avoir eu d’expérience préalable en finance. Beaucoup sont des autodidactes. Ils savent également très bien monétiser leur audience. Mais tous ne sont pas fiables. Certains ne mettent pas en garde contre les risques inhérents aux investissements financiers. On pensera par exemple aux risques liés à l’effet de levier qui permet d’investir plus que ce qu’on a réellement en bourse, mais qui peut aussi entrainer des pertes massives en cas de retournement de marché.
Usbek & Rica – « Métavers » – Quand Zuckerberg rêve d’un monde 100 % Facebook
Cette « nouvelle réalité » correspondra-t-elle au futur de l’humanité ? Depuis l’émergence de ce concept dans les années 1990 (l’auteur Neal Stephenson avait été le premier à l’imaginer dans son roman Le Samouraï virtuel, sorti en 1992), certains y croient en tout cas dur comme fer. Comme nous vous le racontions au début de l’année dans cet article, dans les années 2000, le succès du monde virtuel de Second Life avait relancé l’idée d’un univers numérique parallèle au nôtre. La hype pour ce jeu avait cependant fini par s’évanouir au fil des années et, au tournant des années 2010, l’émergence des réseaux sociaux avait achevé de parasiter une bonne partie des imaginaires numériques les plus fous portés par l’humanité. Stories, scroll infini, notes vocales… L’avenir de la tech se résumait, ces dernières années, à ces « mises à jour ». À l’aube des années 2020, d’aucuns pensent donc qu’il est temps de relancer la machine à fantasmes. Ainsi de Tim Sweeney, le créateur du célèbre jeu Fortnite, qui avait, début 2020, permis au rappeur Travis Scott de donner un concert en exclusivité sur ce qu’il convient désormais d’appeler une plateforme à part entière, où l’on peut « rejoindre nos amis » comme on les rejoindrait dans un bar ou dans la rue. Sans compter la sortie imminente de Facebook Horizon, un projet de réseau social en réalité virtuelle porté par les équipes de Mark Zuckerberg, toujours en phase de test mais sur lequel l’entreprise semble très fortement miser. Confirmation justement apportée par le principal intéressé en cette fin juillet 2021 dans le cadre d’une interview accordée au média américain The Verge : du statut de « réseau social », le PDG de Facebook veut faire passer son entreprise à celui de « métavers ».
Hôtellerie : Apple intègrera bientôt les clés de chambre numérique
Voilà une nouvelle qui devrait simplifier la vie des éditeurs d’applications hôtelières et les hôteliers eux-mêmes. A l’automne, la version définitive d’iOS sera disponible pour les détenteurs d’iPhone. Dans cette nouvelle version du logiciel, l’application Wallet va évoluer : en alliant la technologie NFC (sans contact) à ce range documents numériques, les clients d’un hôtel pourront désormais y embarquer leur clé d’hôtel dans sa version numérique. Plus besoin pour eux de télécharger nécessairement une application pour y avoir accès. L’iPhone peut être verrouillé ou même éteint sans que cela n’entrave le processus. Si la version bêta d’iOS 15 est d’ores et déjà disponible, sa version définitive le sera à l’automne prochain.
A la découverte de téléphones « made in Rdc », dotés d’une technologie exclusive | CIO MAG
Okapi est une marque de téléphones créée par Jean Bele, chercheur en physique nucléaire à l’Université américaine Massachussetts Institute of Technologie (MIT). Cette marque propose des tablettes, kits oreillettes, chargeurs solaires et téléphones intelligents grâce à l’utilisation d’une technologie exclusive. (Cio mag) – Créée en 2019 par Jean Bele, chercheur en Physique nucléaire à l’Université américaine Massachussetts Institute of Technologie (MIT), la marque Okapi veut changer la donne du marché de la téléphonie mobile en République Démocratique du Congo. « Okapi est une marque nationale pour la République Démocratique du Congo qui fera la fierté de l’Afrique et développera davantage les capacités du continent en matière de production et de technologie. Elle vise également à créer de l’emploi en RDC », peut-on lire sur son portail. Des fonctionnalités uniques Okapi utilise une technologie exclusive et unique qui permet de fournir des fonctionnalités sur ses Smartphones au niveau de la résistance à la poussière, à l’eau, la reconnaissance faciale et la détection d’empreintes digitales. En 2019 après sa création, les téléphones de cette marque ont été commercialisés à Kinshasa, la capitale de la RDC et aux Etats-Unis pour « garantir ses performances et recueillir ainsi les commentaires des utilisateurs ». Une année plus tard, elle a présenté une série de téléphones intelligents de première génération, dont, les Smartphones, les tablettes, les kits oreillettes et les chargeurs solaires. Inspirée par Okapi, cet animal qu’on ne peut retrouver qu’en République Démocratique du Congo, cette marque est gérée par Ujengo Lab LLC, un incubateur et centre de développement des solutions technologiques. Ainsi, après ses premiers pas plutôt réussis sur le marché de la téléphonie mobile en République démocratique du Congo, cette marque projette améliorer son support et explorer les opportunités pour développer les capacités d’assemblage et de fabrication.
Nigéria : le eNaira annoncé pour octobre 2021 | CIO MAG
La Banque centrale du Nigéria (CBN) annonce pour le 1er octobre 2021, la phase pilote de la monnaie électronique du Nigéria, le eNaira, qu’elle émet. (CIO Mag) – Après moult tractations et pourparlers, le géant ouest-africain est prêt à lancer sa propre monnaie électronique. Elle sera la version numérique du Naira et permettra d’induire l’inclusion financière dans le pays. Ainsi, le eNaira va simplifier les paiements, faciliter le commerce transfrontalier, réduire les coûts des paiements internationaux et sécuriser les transactions. Lire aussi «« Nigéria : un projet de monnaie électronique en gestation Rappelons qu’en février dernier, la première puissance économique d’Afrique interdisait à ses banques et institutions financières de traiter ou de faciliter les transactions en crypto-monnaies à destination et en provenance de l’Afrique. Après quoi, le Directeur des technologies de l’information de la Banque centrale du Nigéria, Rakiya Mohammed, avait annoncé la naissance avant fin 2021, d’un projet de monnaie numérique. Ce qui vient d’être fait. Lire aussi «« Nigeria : cryptomonnaies interdites au secteur bancaire « uniquement » (Banque centrale) Le Nigéria s’arrime ainsi à la tendance internationale selon laquelle les Etats du monde commencent à émettre leur propre monnaie électronique. En Afrique, le Maroc, l’Afrique du Sud et l’Egypte l’ont déjà fait. C’est désormais au tour du Ghana d’y penser.