Jeff Bezos-Backed African App Chipper Cash Launching Crypto Trading After Raising $30 Million | News
Jeff Bezos-Backed Chipper Cash to Begin Offering Crypto Trading African cross-border payments startup Chipper Cash has raised $30 million in a Series B funding round. It was led by venture capital firm Ribbit Capital, with the participation of Bezos Expeditions, the personal VC fund of Amazon CEO Jeff Bezos. Founded in 2018 by Ugandan Ham Serunjogi and Ghanaian Maijid Moujaled, the San Francisco-based Chipper Cash offers fee-free mobile P2P payment services. The services are available in seven African countries: Ghana, Uganda, Nigeria, Tanzania, Rwanda, South Africa, and Kenya. The app allows users to send and receive money across Africa. “Enjoy free transfers and the lowest cross-border rates,” its website describes. The Chipper Cash platform has three million users and processes about 80,000 transactions daily on average. CEO Serunjogi said that in June the app reached a monthly payments value of $100 million. Chipper Cash plans to use the funds raised to provide additional products and services as well as expand into more countries. “On the product side, that entails offering more business payment solutions, crypto-currency trading options, and investment services,” Techcrunch reported Thursday and quoted Serunjogi as saying: We’ve had demand from our users to offer other value services … like purchasing cryptocurrency assets and making investments in stocks. Chipper Cash has already added on its website and app the option to buy and sell bitcoin in beta. Users can also invest in U.S. stocks through the app from Africa via a partnership with U.S. financial services company Drivewealth. The stock product will launch in Nigeria first and then expand to other countries, Serunjogi explained, adding that Nigerians will “have the option to buy fractional stocks — Tesla shares, Apple shares or Amazon shares and others — through our app.” Bezos is now the world’s richest person. Forbes reported in August that the Amazon CEO became the world’s first-ever person to amass a $200 billion fortune. Serunjogi believes that the backing of well-known investors such as Jeff Bezos benefits Africa as a whole. He opined: “It’s a big deal when a world class investor like Bezos or Ribbit goes out of their sweet spot to a new area where they previously haven’t done investments … Ultimately, the winner of those things happening is the African tech ecosystem overall, as it will bring more investment from firms of that caliber to African startups.”
Pourra-t-on bientôt manger du chocolat réunionnais ?
"On va produire du chocolat d’excellence ici pour la première fois", se réjouit Axel Boucher, producteur et membre de l’Association des Cacaoculteurs de La Réunion (ACR). Le producteur, qui pour l’instant dispose de deux hectares de cacao espère étendre sa surface de culture au fil du temps. On va démarrer progressivement, on espère aller jusqu’à 10, 20, peut-être même 30 hectares d’ici 2030. Axel Boucher, producteur de cacao "La première opération est d’aller cueillir les fruits sur les arbres, explique Frédéric Descroix, expert en cacao de l’ACR. Ces fruits doivent être cabossés dans la journée". Une fois cabossé, il faut retirer les fèves, qui suivront ensuite un procédé de fermentation. Fabriquer du chocolat péi Toute la difficulté réside dans la technique de transformation de la fève de chocolat au produit final. "Pour l’instant nous sommes toujours en phase d’expérimentation, précise Frédéric Descroix. Le cacao est une culture équatoriale, et les températures ici sont légèrement différentes de là-bas." Le climat de l’île demande donc à adapter les procédés de fabrications. L’association espère réussir à fabriquer du chocolat "de l’arbre à la tablette." Au lieu de vendre des fèves à des grands chocolatiers de l’Hexagone, on va fabriquer notre propre chocolat.
Dix annonceurs testent les premières campagnes publicitaires en TV segmentée
FranceTV Publicité, la régie publicitaire de France Télévisions, et Orange lancent les premières campagnes linéaires de publicité en TV segmentée. En novembre et décembre, 10 annonceurs diffusent, pour la première fois en France, une campagne publicitaire en TV segmentée sur les chaînes de France Télévisions, via les box d’Orange. C’est à dire que les films publicitaires diffusés à un moment donné sont différents selon le foyer de réception. Des annonceurs de premier plan Les annonceurs sont bien connus des Français. Il s’agit, par ordre alphabétique, de Carte Noire (Agence Dentsu), EDF (Havas Media), Engie (Blue 449), Harrys (OMD), Intermarché (Publicis), Orange Maison Protégée (Havas Media), PSA (Groupe M), Reckitt Benckiser Healthcare (Dentsu), Renault (OMD) et Sanofi (Groupe M). Ces premières campagnes grandeur nature s’inscrivent dans le cadre d’une phase pilote qui débute maintenant et se poursuivra jusqu’à la fin de 2020.
How Covid-19 has shaken-up L’Oréal’s digital plans
While Covid-19 might have accelerated digital transformation, L’Oréal has been on this journey for a number of years. That has included recruiting 3,000 digital experts across the group with the intention this would upskill current staff to think digital first. “Upskilling has been a very key part [of L’Oréal’s digital journey]. We are now a digital-first company building from the ground up. You have to be obsessed about measurement, excellence and communication,” she stated. Looking to the future, Rochet said the most important aspect of marketing will be “the construction of beauty and entertainment”. She explained: “Gaming and livestreaming are rewriting the world of beauty shopping from Gen Z and beyond. This is QVC on steroids, this is social commerce.” As part of this, the company is trying to appeal more to social media users. Just this month, it launched a digital-only make-up brand for consumers that could be used on Snapchat filters and TikTok.
Comment en finir avec l’étalement urbain
Qui n'a pas le souvenir d'un paysage ou d'un lieu de son enfance aujourd'hui méconnaissable ? Demandez aux habitants de Bruyères-sur-Oise, dans le Val-d'Oise. Ils vous répondront sûrement que, à la place de ce lotissement de soixante logements sorti de terre en 2014, il y avait autrefois un champ, situé en bordure de ville, sur lequel on cultivait des céréales. Des exemples comme celui-là, la France les collectionne. Chaque année, 20.000 hectares de terres agricoles, de prairies et de forêts sont remplacés par des résidences pavillonnaires, des centres commerciaux ou encore des routes. Si rien n'est fait, l'équivalent de la superficie du Luxembourg sera recouvert de béton et de bitume d'ici à 2030, dit un rapport de France Stratégie (2019), le think tank rattaché à Matignon. Pour l'heure, la France est artificialisée à 6,4 %, ce qui est, à population égale, 15 % de plus que l'Allemagne et 57 % plus que le Royaume-Uni, d'après les calculs du Réseau national des aménageurs. La faute, bien souvent, au développement des agglomérations urbaines dans leur périphérie rurale. Strasbourg en est une bonne illustration. La capitale alsacienne de 78,26 km2, à force de s'étaler depuis les années 1960, forme maintenant une aire urbaine de 339,64 km2. L'artificialisation des sols empêche la séquestration du CO2, ce gaz responsable du réchauffement de la planète. L'étalement urbain est lourd de répercussions sur l'environnement. Un million d'espèces animales et végétales sont menacées d'extinction dans le monde. La destruction de l'habitat des animaux et des végétaux y contribue beaucoup. A cet égard, la loi « biodiversité » de 2018 vise « zéro artificialisation nette » d'ici à 2050 . L'autre répercussion notable est climatique. L'artificialisation des sols empêche la séquestration du CO2, ce gaz responsable du réchauffement de la planète.
Automobile : Tesla enfin admis dans la cour des grands à Wall Street
Après plusieurs semaines plutôt calmes, le cours de l'action Tesla s'apprête à connaître ce mardi une nouvelle décharge d'adrénaline. La société qui gère les deux indices boursiers S & P 500 et Dow Jones a en effet annoncé lundi soir dans un communiqué que le constructeur californien de véhicules électriques allait rejoindre le mois prochain l'indice S & P 500, qui regroupe les 500 plus grandes entreprises de la place new-yorkaise. Dans la foulée, le cours de la société a bondi de 14 % cette nuit dans les échanges postérieurs à la clôture. L'inclusion dans le SP 500 va favoriser mécaniquement la hausse du cours de l'action : celle-ci va être systématiquement incluse dans de nombreux produits financiers qui suivent mécaniquement ses fluctuations, les ETF, ce qui va accroître la demande pour le titre. Cinq trimestres de suite dans le vert Cette décision était attendue depuis juillet dernier, lorsque Tesla a rempli le dernier critère qui lui faisait défaut pour intégrer le prestigieux indice : aligner quatre trimestres de profits consécutifs , ce que Tesla a réalisé pour la première fois cet été. Mais le nom de la société avait été absent des changements annoncés en septembre dans la composition de l'indice, ce qui avait surpris le marché et brièvement fait dégringoler l'action. L'annonce d'un cinquième trimestre bénéficiaire fin octobre a semble-t-il fini de convaincre les gestionnaires du S & P 500.
Les algorithmes peuvent-ils être « responsables » ?
Le déploiement massif de l’intelligence artificielle dans nos vies interroge sur son impact sur l’individu et la société en général. Face à des dérives avérées et prévisibles, les Etats tentent d’élaborer un cadre réglementaire. Dans le même temps, beaucoup de personnes, un peu partout sur la planète, contribuent à l’émergence de comités d’éthique permettant de guider les futures évolutions de l’intelligence artificielle et de ses composantes mais la question de la convergence d’intérêt reste complexe. Faire évoluer la régulation numérique et mettre en place une surveillance éthique est l’exemple moderne du tonneau des Danaïdes. Systèmes de décision automatiques : entre espoir et crainte Les systèmes de décision automatiques utilisant des techniques d’apprentissage statistique pour exploiter les données suscitent beaucoup d’espoirs et de craintes légitimes dans tous les secteurs d’activité (commerciales, judiciaires, administratives, économiques, industrielles, médicales, ...). Il n’est pas possible de s’en remettre exclusivement à la responsabilité des acteurs de ces changements pour éviter les dérapages, voire la banalisation d’usages abusifs de ces techniques. Les risques portent notamment sur les discriminations, sur l’arbitraire de décisions, sur la responsabilité, sur les dérives d’un développement uniquement guidé par les incroyables possibilités techniques, et sur les biais induits par les données qui conditionnent in fine les résultats des algorithmes. L’utilisation des algorithmes doit être transparente et éthique Comment protéger les personnes de décisions injustes qui les concernent directement ? A titre d’exemple, comment est déterminé votre score de crédit ? Juste par rapport à vous ou en considérant aussi ce qui se passe géographiquement autour de vous ? Une utilisation massive des algorithmes sans transparence ni éthique conduira à une ultra fragmentation de la société. Il est donc indispensable d’encadrer juridiquement les algorithmes et d’en développer qui soient éthiques, ce qu’ils ne sont pas par nature. Les data scientists portent la responsabilité de les rendre équitables. Données utilisées, mesures, résultats, tout doit être auditable et explicable. Cela conduira inéluctablement à de meilleurs algorithmes. Ethique numérique : les algorithmes en débats En 2017 la CNIL a lancé un débat sur le thème : « Ethique numérique : les algorithmes en débats » qui a donné lieu à la publication d’un rapport. En parallèle, une commission présidée par Cédric Villani a elle aussi publié un rapport dont l’objectif est de « donner du sens à l’Intelligence artificielle » (IA). Les deux rapports consacrent une large place aux questions éthiques soulevées par la généralisation de l’usage, au quotidien, de l’Intelligence Artificielle. La France n’est évidemment pas le seul pays à se mobiliser sur cette question et les initiatives sont nombreuses. Il faut s’interroger sur l’impact d’un usage généralisé conduisant à des décisions influençant la vie des personnes : accès à la banque, l’assurance, la santé, l’emploi, les applications en matière judiciaire ou de police... Nous voilà en 2020 sans avancée notable. Aborder sérieusement ces questions nécessite à la fois de sérieuses compétences techniques permettant de comprendre finement le fonctionnement des algorithmes, de garder un regard critique sur les discours et croyances, et enfin une expertise juridique, sociétale, politique et philosophique. Le défi est gigantesque mais atteignable si collectivement, nous nous en donnons les moyens.
Associer divertissement et vente en ligne, le nouvel e-commerce de L’Oréal
Le e-commerce est en forte croissance chez L’Oréal. Au 3ème trimestre, il pèse 24% du chiffre d’affaire, en augmentation de 62% par rapport à l’année 2019. Il s’agit à la fois des ventes sur les sites e-commerce de L’Oréal et d’une estimation des ventes sur les sites des distributeurs. L’Oréal a réalisé 7 milliards d’euros en tout de chiffre d’affaires entre le 1er juillet et le 30 septembre. Essayage virtuel et Live Streaming Afin de doper ses ventes, L’Oréal a fait feu de toutes les possibilités du digital durant la période. Qu’il s’agisse d’essayage virtuel de maquillage, de sessions de vente en live streaming ou de jeu vidéo, les canaux digitaux ouvrent de nouveaux horizons. Une nouvelle forme de commerce électronique émerge associant la vente et le divertissement. Cela inclut le live streaming, ainsi que le e-sport et le jeu vidéo. Un domaine baptisé « retail-tainment » par Lubomira Rochet, Chief Digital Officer qui s’est exprimée dans les colonnes du Wall Street Journal. L’usage des essais virtuels de maquillage en réalité augmentée a été multiplié par 5, indique la dirigeante. Le taux de conversion en ligne a triplé, les clientes passent plus de 7 minutes sur le service et essayent entre 20 et 30 nuances de maquillage avant d’acheter. L’Oréal a également eu recours aux sessions de Live streaming. La société a organisé 1000 sessions de diffusion en direct en cinq semaines au cours de l’été, attirant environ 80 millions de spectateurs en dehors de la Chine, pays où le live streaming est déjà populaire. Le jeu devient un nouveau canal marketing Les gens ont passé 45 minutes en moyenne devant ces présentations, avec des taux de conversion allant jusqu’à 11% et des paniers d’achat dépassant 95 dollars. L’Oréal ajoute une nouvelle corde à cet arc en proposant des looks numériques à utiliser dans les jeux vidéo. Les joueurs peuvent porter virtuellement des couleurs de cheveux et des maquillages virtuels créés par L’Oréal. Le jeu vidéo devient un nouveau canal marketing conclut Lubomira Rochet.
Maisons du Monde se dote d’une place de marché
L’enseigne Maisons du Monde va monter en puissance en e-commerce en ouvrant une place de marché. Maisons du Monde commercialise une gamme unique de meubles et d’objets de décoration, déclinés en différents styles. Avec la place de marché, 25 000 références additionnelles et qualitatives vont venir compléter l’univers de la maison et proposer une offre différenciante. La moitié des ventes réalisées grâce au digital La marketplace doit accélérer la digitalisation du Maisons du Monde qui réalise déjà 50% de ses ventes grâce au digital, que ce soit en e-commerce ou en click-in-store, avec un site recevant 10 millions de visiteurs uniques par mois. L’élargissement de l’offre proposée par la marketplace doit permettre à Maisons du Monde d’augmenter son audience, le trafic de son site internet et de faire progresser sa notoriété. Le site web maisonsdumonde.com doit devenir une marketplace sélective et inspirante, pour offrir plus de choix aux amateurs de décoration et d’ameublement. La marketplace sera basée sur la technologie Mirakl