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The 2022 Agenda: Doubling down on digital 

The rate of “digital upskilling”  is getting quicker. For example, as part of an “end to end digitalisation” project, Unilever is providing its marketers with tools and training in digital media and delivery to ensure knowledge isn’t confined to specialists. “All marketers need to really own and be digital, and not just do digital,” the FMCG company’s chief marketing and digital officer Conny Braams told us earlier this year. Unilever’s need is illustrative of many brands, large and small, addressing the requirements of the shifting landscape. For others, time and effort is also being invested in improving in-house capability to produce digital assets quicker and in brand tracking insight. For example, Britivic has setup a “centre of excellence” to share and enhance all things digital, from customer experience to the use of social media and creation of content. For most, digitalisation in 2022 will mean more money invested in digital media. Many direct to consumer brands are attributing success selling online to targeted digital ad spend. According to GroupM, the amount spent on advertising to support ecommerce will increase 66% in 2021, while Zenith predicts digital channels will amount to more than 60% of global adspend for the first time next year.

By |2021-12-30T10:10:38+00:00December 30th, 2021|Scoop.it|0 Comments

ManoMano : quand le bricolage devient un art de vivre…

+100% en 2020 Tous les voyants semblent au vert pour le leader européen du bricolage, de la maison, et du jardin en ligne. L’année dernière, sa croissance a atteint… 100%. Avec un volume d’affaires de 1,2 milliard d’euros et une progression de 140% de son offre BtoB ManoManoPro, la scale-up a déjà séduit plus de 7 millions de clients et son site attire 50 millions de visiteurs uniques par mois. « Notre activité est rentable en France pour la deuxième année consécutive et nous l’avons aussi été au niveau européen pour la première fois lors du pic de ventes de 2020 », se réjouissent ses deux fondateurs, Philippe de Chanville et Christian Raisson. La licorne, qui fédère plus de 3600 marchands et propose plus de 10 millions de références sur son site, enregistre déjà 40% de ses revenus en Allemagne, en Italie, en Espagne, en Belgique et au Royaume-Uni. Cette croissance à l’international est encore appelée à s’accélérer dans les toutes prochaines années. Un potentiel de progression énorme Durant la pandémie, de nombreux consommateurs ont pris goût au bricolage et des millions de personnes ont découvert qu’elles avaient la main verte. Si le déconfinement a permis à la plupart de ces amateurs de se rendre à nouveau dans les enseignes spécialisées comme Leroy Merlin, Castorama, Brico Dépôt, Jardiland ou Truffaut, beaucoup continuent de faire leurs achats sur la Toile. L’an dernier, l’e-commerce a progressé de 31% en Europe de l’ouest, selon les estimations de l’institut Forrester et les investisseurs ne semblent avoir aucun doute sur le potentiel de croissance de la start-up parisienne. « La pandémie a suscité un engouement international dans le secteur du bricolage, et nous pensons que cette tendance va s’inscrire dans la durée, juge Eric Jones, un associé de Dragoneer Investment Group. Les consommateurs du monde entier investissent de plus en plus dans leur maison et se tournent désormais vers les canaux en ligne pour la sélection, le prix et, surtout, le conseil. ManoMano est le leader du secteur sur ces trois critères, et aucune entreprise en Europe n’est mieux équipée pour aider les bricoleurs à réaliser leurs visions. » Avec sa valorisation de plus de 2,2 milliards d’euros, la toute nouvelle licorne française peut voir grand, très grand. Le marché mondial du bricolage et du jardinage représente près des 400 milliards d’euros et à peine 11% de cet imposant volume d’affaires est généré par les plateformes de vente en ligne. Le potentiel de croissance des e-commerçants spécialisés dans ce secteur est donc énorme. Les gestionnaires de fonds l’ont compris. La question aujourd’hui est de savoir quel sera le montant de la prochaine levée de liquidités de ManoMano. Les paris sont ouverts…

By |2021-12-27T23:36:00+00:00December 27th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Bill Gates : A Clean Industrial Revolution Is the Only Way to Hit Net Zero | WIRED

TO AVOID A climate disaster, the entire world needs to change the way it does business. It’s hard to overstate the extent of the shift that’s required. We need new ways to grow food, make things, move around, generate electricity, and heat and cool our buildings, all without releasing greenhouse gases. What the world needs right now is a new, clean industrial revolution, so we can reach net zero by 2050. That’s an ambitious goal, but it’s achievable. I think three things will happen in 2022 that will accelerate the essential shift to a clean economy. The first is that climate change will remain a high priority. This may seem like a no-brainer, but in fact it will represent a break from the past. After the 2008 recession, polls showed that climate change fell far down the list of priorities for voters around the world. In this crisis, though, climate change is not taking a back seat. Even in places devastated by the pandemic, young people, activists, shareholders, and employees will hold government and corporate leaders accountable for making real progress. Secondly, business and political leaders across the globe will respond to these demands with concrete plans to eliminate emissions. This too will be a break from the past, when governments and corporations could make gauzy, feel-good promises that didn’t actually do much to solve the problem. Those days are gone. In 2022 and beyond, companies will be given credit not just for investing in sustainability, but for making the right types of investments—especially those in clean technologies that reduce future emissions. Investors will accelerate the move away from technologies that contribute to climate change, building on a global trend that has seen private capital invest more and more in the energy transition, growing to $500 billion (£361 billion) in 2020. Investors will also increasingly reward companies that take courageous steps to fund technologies that we need to reach zero, but that haven’t been deployed yet—technologies like clean hydrogen, direct air capture, long-duration storage of electricity, and sustainable aviation fuels. These investments will be guided by better tools, such as the Emerging Climate Technology Framework developed by the nonprofit Carbon Disclosure Project (CDP), which measures the impact that today’s investments in clean energy will have on tomorrow’s emissions.

By |2021-12-27T23:24:18+00:00December 27th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Dans la Silicon Valley, la ruée des cerveaux vers les cryptos

La Californie connaît une nouvelle ruée vers l'or, mais numérique. Le « New York Times » se fait l'écho de la véritable fuite de cerveaux que subissent actuellement les géants de la tech comme Meta (Facebook), Google, Amazon, Apple et les autres. Ces grandes compagnies voient leurs ingénieurs et même certains de leurs dirigeants les quitter pour rejoindre les rangs des multiples start-up qui éclosent dans le secteur des cryptos. « Beaucoup quittent des postes confortables, parfois payés en millions de dollars annuels, pour saisir ce qu'ils considèrent comme une opportunité ne se présentant qu'une fois par génération avec les cryptos, une appellation qui regroupe à la fois les monnaies numériques, les NFT et tout ce qui a trait à la blockchain », décrit le journal new-yorkais. Parallèle historique avec la révolution Internet Le secteur n'attire pas seulement les talents, mais aussi les investissements : les start-up des cryptos ont vu affluer 28 milliards de dollars cette année, quatre fois plus qu'en 2020, dont 3 milliards rien que pour les NFT, qui sont en train de démocratiser la blockchain à toute une série de domaines, de l'art aux médias en passant par l'immobilier. « Au-delà de l'engouement spéculatif, certains des esprits les plus brillants de la tech y voient un moment unique de transformation majeure qui récompensera ceux qui l'auront saisi avant les autres », souligne le « New York Times ». Quatre chiffres pour comprendre comment les NFT dopent le marché de l'art contemporain Ils dressent ainsi un parallèle historique avec l'irruption de l'ordinateur personnel et d'Internet, d'abord tournés en dérision avant de bouleverser le monde et de produire une nouvelle génération de milliardaires. Beaucoup estiment que la blockchain pourra donner naissance à un Internet plus décentralisé, qui ne serait pas contrôlé par une poignée de géants. « Cela ressemble un peu aux années 1990 et à la naissance d'Internet. C'est aussi précoce, chaotique et rempli d'opportunités », témoigne Sridhar Ramaswamy, un ancien cadre de Google désormais à la tête de la start-up Neeva. Chez son ancien employeur, l'exode des talents est tel que le sujet s'est imposé comme l'une des priorités des réunions hebdomadaires du PDG de l'entreprise, Sundar Pichai, avec son état-major, révèle le « NYT ». Une première alerte avait sonné dès l'année dernière, quand l'un de ses vice-présidents, Surojit Chatterjee, avait quitté le groupe pour rejoindre la Bourse de cryptomonnaies Coinbase.

By |2021-12-27T23:21:31+00:00December 27th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Covid-19 : une entreprise suédoise créée une micro-puce pour avoir son passe sanitaire sous la peau

En Suède, une société de pointe a inventé un passe sanitaire à porter sous la peau. Pour les créateurs, le dispositif doit néanmoins rester facultatif Pourquoi s’embêter à sortir son téléphone ou son portefeuille pour valider son passe sanitaire ? Le concept étonnant de l’entreprise suédoise DSruptive Subdermals a récemment répondu à cette drôle de question. L’entreprise technologique a dévoilé un passe sanitaire à porter sous la peau, sous forme de micro-puce. « Je pense que cela fait partie de mon intégrité d’être pucée, de garder mes informations personnelles avec moi », explique une Stockholmoise qui utilise la puce sous-cutanée développée par la société. « Je veux toujours l’avoir à portée de main. Quand je lis ma puce, je fais simplement glisser mon téléphone sur la puce » et le passe apparaît à l’écran, explique Hannes Sjoblad, le patron de DSruptive Subdermal.

By |2021-12-25T17:43:12+00:00December 25th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Luxe : Hermès débordé par la copie numérique de son sac Birkin

L’enseigne de luxe Hermès vient de voir son sac emblématique Birkin être reproduit sous forme numérique et commercialisé par la technologie NFT (Non Fungible Token) sans son accord sous la dénomination MetaBirkins. Les ventes de ces sacs numériques ont été organisées sur la place de marché OpenSea, spécialisée dans les actifs gérés par blockchain. On trouve la vente de 100 unités de sacs MetaBirkins sur OpenSea. Cette vente a été initiée par l’artiste Mason Rotschild qui a réalisé cette série d’images de sac Hermès employant en particulier de la fausse fourrure. Mason Rotschild avait précédemment réalisé un sac « Baby Birkin ». La vente des 100 NFT s’est  opérée sans l’accord de la marque Hermès. Cité par le Financial Times, Hermès déclare d’ailleurs que « Hermès n’a pas autorisé ni consenti à la commercialisation ou à la création de notre sac Birkin par Mason Rothschild dans le métaverse ». La marque de luxe précise ne pas être encore entrée sur le marché du NFT car elle considère qu’elle souhaite valoriser « l’expression tangible des objets physiques fabriqués à la main ». Pour Hermès, il s’agit d’un vol de sa propriété intellectuelle. « Ces NFT enfreignent la propriété intellectuelle et les droits de marque d’Hermès et sont un exemple de faux produits Hermès dans le métaverse » ajoute la maison de luxe. L’artiste Mason Rotschild s’est vu lui-même être dépossédé de son idée puisque des copies numériques de ses propres créations inspirées par Hermès ont été mises à la vente sous forme de NFT.

By |2021-12-22T18:33:16+00:00December 22nd, 2021|Scoop.it|0 Comments

Un nouveau souffle venu du local

Le néo-localisme du XXI° siècle s’épanouit-il dans une forme de «co-local»… et se nourrit de la notion d’échanges vertueux : des savoirs, des biens, du temps. L’émergence de cette nouvelle tendance peut s’expliquer par un effet de double shutdown. D’abord le shutdown mental : trop de prêt-à-penser, prêt-à-consommer qui progressivement génère un rejet de la norme et du discours unilatéral pour s’ouvrir à des alternatives qui semblent plus proches et nous ressemblent davantage. Plusieurs marchés ont montré un nouveau possible depuis quelques années. C’est notamment le cas des indie brands en cosmétique, des crafts sur plusieurs marchés : la bière, les sardines, le lait… On voit aussi ce phénomène s’exprimer en influence à travers l’émergence de la micro-influence plus accessible, plus authentique et plurielle. Puis le shutdown sanitaire : le confinement remet en question les certitudes en termes de dépendance mondiale ignorée ou refoulée, et questionne l’autosuffisance territoriale comme jamais. Ces nouvelles approches « néo-localistes » ont l’avantage d’être à l’opposé du repli local. Elles sont possibles à l’inverse par l’ouverture aux autres, par la connexion distancielle. Ainsi le néo-localisme du XXI° siècle s’épanouit-il dans une forme de «co-local»… et se nourrit de la notion d’échanges vertueux : des savoirs, des biens, du temps. Il s’inscrit dans une dynamique plus sociétale de partage, de gestion des biens et des ressources, et surtout des compétences en commun pour favoriser une consommation plus raisonnée. Le digital prend ici tout son sens et joue un rôle majeur de rapprochement d’un local à un autre. On n’oppose plus local et général, on les fusionne et les possibles s’additionnent. Le néo-local reste à construire avec toutes les parties prenantes en rejet d’une autorité unique où les frontières sont plus ouvertes là où se trouvent les bonnes énergies; une forme de local humanisé et pas seulement géographique. Pour les marques, cela ouvre de nouvelle perspectives pour s’adapter à cette tendance. En partant de trois insights « anti shutdown », voici trois voies qui peuvent nourrir les messages d’intégration des dynamiques locales : • I° insight : je subis. La marque peut valoriser les initiatives et les talents locaux, •2° insight : je me sens isolé. La marque peut relier les consommateurs, • 3e insight : je ne vois pas de solution. La marque peut mettre en scène les nouveaux possibles.

By |2021-12-22T09:26:23+00:00December 22nd, 2021|Scoop.it|0 Comments

Transports : Le Grand Est va ouvrir des lignes ferroviaires franco-allemandes à la concurrence

6,4 millions de train-kilomètres par an D’une durée de 15 ans, le marché est divisé en deux lots, un au départ de Metz et un de l’Alsace, pour un volume d’exploitation évalué à 6,4 millions de train-kilomètres par an, dont deux tiers en territoire français. Il constitue une « première en France pour le transfrontalier », a souligné Jean Rottner, président (LR) du Conseil régional. Selon l’exécutif de la Région, ces lignes représentent un potentiel de développement aujourd’hui sous-utilisé par la SNCF. Le marché, qui inclut la reprise du personnel SNCF, sera ouvert à « tout opérateur, français, allemand ou autre », a ajouté David Valence, vice-président aux Transports, lors d’un point presse préalable mercredi. SUR LE MÊME SUJET SNCF : le ministre des Transports Jean-Baptiste Djebbari « espère » une fin de conflit « d’ici à la fin de la journée » Le ministre délégué aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari, a dit mercredi espérer une fin de conflit à la SNCF « d’ici à la fin de la journée », sur fond d’appels à la grève pour réclamer notamment des hausses de salaires. Selon David Valence et Evelyne Isinger, conseillère régionale déléguée aux mobilités transfrontalières, l’ouverture multipliera l’offre par deux à quatre selon les tronçons, en réponse à une « forte demande », et elle « la créera même » sur les lignes Metz-Trèves et Strasbourg-Karlsruhe, « qui passeront de zéro train en semaine à respectivement 8 et 17 allers-retours par jour ».

By |2021-12-20T21:43:15+00:00December 20th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Usbek & Rica – Après le Nutri-score, bientôt le « cyber-score » : « Facebook mériterait un beau rouge écarlate ! »

C’est un réflexe désormais bien ancré dans l’esprit de la plupart des consommateurs : consulter le Nutri-score des aliments qu’ils glissent dans leurs caddies pendant leurs courses. Le pari était pourtant loin d’être gagné pour ce système d’étiquetage professionnel, créé à l’initiative du gouvernement français en 2016 dans le cadre de la loi de modernisation du système de santé. Aujourd’hui dupliqué dans plusieurs pays européens et recommandé par l’Organisation mondiale de la santé, l’indice, né dans la douleur, continue d’être régulièrement critiqué par nombre de lobbyistes de l’agro-alimentaire. Pourtant, son efficacité est aujourd’hui largement démontrée : si nous sommes encore nombreux à fermer les yeux devant les couleurs très (très) chaudes s’affichant sur un paquet de granola, 94 % des Français se déclarent favorables à la présence du Nutri-score sur l’emballage des produits et 54 % déclarent avoir changé au moins une de leurs habitudes d’achat grâce à celui-ci. Face à un tel succès, le législateur souhaite désormais dupliquer le concept dans le champ de nos pratiques numériques, avec la mise en place d’un « cyber-score ». À l’origine de cette proposition de loi, qui permettrait aux usagers de connaître le degré de sécurité informatique d’une plateforme en ligne, on trouve le sénateur du Val-de-Marne Laurent Lafont (Union centriste). Interrogé par Sud-Ouest sur sa démarche, il explique avoir imaginé le cyber-score comme un outil qui « permettrait rapidement à quelqu’un, pas spécialiste des questions de sécurité informatique, de comprendre s’il est plus ou moins risqué d’utiliser tel outil ou tel autre. » D’après le sénateur, la loi ciblera essentiellement les opérateurs de plateformes en ligne proposant « un service de communication au public en ligne », soit les applications de visioconférence, les messageries ou encore les moteurs de recherche. Sont donc concernés en priorité Google, Zoom ou encore… Facebook. Le cyber-score devrait reposer sur le même système de coloration que son illustre modèle, mais on ignore encore quels seront les critères précis permettant de construire l’indice. Si le cyber-score doit entrer en vigueur en 2023, le texte de loi organisant ce nouveau système d’étiquetage est encore en cours d’élaboration au Parlement. Pour mieux cerner les enjeux entourant sa mise en place, nous sommes allés à la rencontre de Thomas Kerjean, CEO de Mailinblack, une start-up proposant une solution anti-spam et anti-virus qui protège entreprises et collectivités locales contre les cyberattaques.

By |2021-12-20T21:13:22+00:00December 20th, 2021|Scoop.it|0 Comments

The 2022 Agenda: It’s time for purpose 2.0

The purpose debate reached new heights this year when effectiveness expert and consultant Peter Field unveiled new research, which found well-executed brand purpose campaigns can drive above average business effects for brands compared to non-purpose cases. At the time Field noted there had been an “awful lot of vitriolic criticism” of purpose in marketing that is not entirely justified. Criticism then headed Field’s way, with Professor Byron Sharp, Marketing Week columnist Mark Ritson, and Richard Shotton, founder of behavioural science consultancy Astroten, all branding the research flawed. Critics dismissed the credibility of the research as it compares “strong” purpose campaigns with both weak and strong non-purpose campaigns combined. In response to the criticism, Field told Marketing Week: “It was perhaps inevitable that any study that dared to question the vocal criticism of brand purpose would provoke a hysterical response: positions had already been publicly stated and minds already made up. So I was expecting it and indeed predicted it – but what I wasn’t expecting was that some responses would be delivered before the presentation had even been made or the full findings revealed. But, clearly, for many people, this is an emotional issue, not a rational one.” FMCG giant Unilever is a long-time advocate of purpose and recently highlighted how having purpose at its core has helped it attract great talent. It also puts the success of brands such as Lifebuoy – €1bn brand and the “third most consumed brand in the world” – according to Unilever, squarely on the fact it is rooted in purpose. The key to successfully augmenting purpose, to Unilever at least, is to have it right at the core of an organisation with everyone from the C-suite down completely onboard. Purpose should also be about more than a box-ticking exercise or a chance to talk to consumers about the causes a brand supports or its stand on societal issues. It should be about the role a brand plays in people’s lives and why that matters. NatWest illustrated that earlier this year with the launch of its ‘Tomorrow Begins Today’ campaign, through which it aims to help customers can take control of their finances. With arguments for and against, it’s likely the purpose debate will become even more polarised in 2022.

By |2021-12-20T08:24:31+00:00December 20th, 2021|Scoop.it|0 Comments