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Dfinity, la crypto à 100 milliards de dollars qui veut bousculer les Gafam

Dfinity veut créer une blockchain infinie « avec la puissance, la vitesse et la taille d'Internet », en bousculant les Gafam. Les marchés des cryptos lui prédisent une capitalisation de 100 milliards de dollars. Son cours s'établit mardi à 480 dollars (395 euros) en hausse de 45 %. Lire plus tard Marchés financiers Partager Commenter ICP ou Internet Computer, la crypto de Dfinity s'envole pour sa première cotation sur Coinbase (Piotr Swat/Shutterstock) Par Nessim Aït-Kacimi Publié le 10 mai 2021 à 17:01Mis à jour le 11 mai 2021 à 12:00 Dfinity, dernier compétiteur à se lancer à l'assaut des cryptos, n'ambitionne rien moins que de lancer une blockchain infinie et sans limites « avec la puissance, la vitesse et la taille d'internet ». La cotation de la crypto de Dfinity (« ICP » ou « Internet Computer ») a débuté sur Coinbase Pro (la plateforme de Coinbase dédiée aux professionnels). Son cours a bondi jusqu'à 480 dollars (395 euros) en hausse de 45 %. Il revient à 403 dollars (333 euros) en fin de matinée mardi, soit un gain de 24 %. Près de 117.000 cryptos ont été échangées en 24 heures. Andreessen Horowitz, l'investisseur la Silicon Valley qui soutient financièrement Dfinity, avait été aussi un des premiers investisseurs de Coinbase . Dfinity et les GAFAM Dfinity serait la véritable devise innovante dont internet a rêvé . Bénéficiant de soutiens importants (financiers, humains, technologiques), ce projet mûrit depuis plus de 4 ans et il se lance en pleine euphorie du marché des cryptos . Les marchés lui prédisent un grand succès et une capitalisation à plus de 100 milliards de dollars. Ses technologies qualifiées « d'ordinateur d'internet » doivent lui permettre de profiter de l'essor des nouvelles applications (finance décentralisée sans intermédiaires…). Ce sont les GAFAM qui sont dans le collimateur de Dfinity. Son « web 3.0 » se veut un futur concurrent des géants d'internet. Son initiative pourrait ainsi inciter certains comme Google à se lancer, eux aussi, dans la mêlée. Baisses du bitcoin et ether Mardi, les cryptos connaissaient une correction généralisée. L'ether cède 4,2 % à 3.939 dollars (3.246 euros). Dfinity se veut une version plus simple et rapide que la blockchain Ethereum. Le bitcoin perd 4,5 % à 55.590 dollars (45.785 euros). L'économie mondiale et internet restent bien assez vastes pour permettre à de nombreuses cryptos d'exister et de prospérer sans nécessairement se cannibaliser. Même le dogecoin (stable) est parvenu au 4e rang mondial en moins de 4 mois, au prix de quelques secousses et d'une forte volatilité , provoquées par son gourou Elon Musk. Monopoles attaqués Après avoir été à leur origine des monopoles peu contestés dans leur secteur respectif, le bitcoin et l'ether sont rattrapés par la vague d'innovations du monde des cryptos qu'ils ont contribué à propager. Lancés respectivement en 2009 et 2015, les deux cryptos s'approprient encore 63 % du marché mondial mais la concurrence se fait plus pressante.

By |2021-05-11T14:07:11+00:00May 11th, 2021|Scoop.it|0 Comments

AXA Climate et Fabernovel se sont associés pour lancer (F)ACT

Puisque le « passage à l’action » semble être le motto de cette année riche en urgences comme en solutions, pourquoi ne pas lui dédier un programme concret permettant sa mise en pratique ? Parce que « pour changer, il s’agit d’abord de comprendre, puis d’agir », AXA Climate et Fabernovel se sont associés pour lancer (F)ACT, le programme d’innovation corporate autour de l’urgence climatique. Simple, efficace, nécessaire et bienvenue : (F)ACT est une solution permettant de former les dirigeants aux enjeux de la transition durable et leur permettre de passer à l’action. S’adressant en particulier aux décisionnaires au sein des DSI d’entreprises et d’institutions qui se posent la question de leur impact climatique sans toujours savoir concrètement par où commencer, ce programme en deux actes promet un échange constructif qui nous charme.  Lors de l’ACT I, les participants auront l’occasion de comprendre et décortiquer les grands enjeux du sujet, à travers une table ronde d’experts, et l’accès à du contenu e-learning sous forme de courtes vidéos thématiques. L’ACT II, quant à lui, sera dédié à la mise en mouvement, avec des ateliers d’intelligence collective où les participants pourront partager leurs bonnes pratiques entre pairs, et co-construire un livrable utile et activable, avec lequel ils pourront repartir. La première édition aura lieu les 8 et 9 juin prochains sur le thème de la sobriété numérique, et plus précisément sur la gestion durable du parc informatique. FACT : le numérique représente 4% des émissions de CO2 dans le monde, principalement dû à la fabrication des appareils informatiques. ACT : les entreprises peuvent jouer un rôle essentiel dans la réduction de ces émissions, en revoyant leurs besoins et en optimisant leur matériel informatique. 

By |2021-05-11T13:07:22+00:00May 11th, 2021|Scoop.it|0 Comments

‘Direct selling is more relevant than ever’: Avon on attracting a new generation

Think of Avon now and you’ll likely think of the brand’s ‘Avon ladies’, pushing the brand’s products on its behalf in return for a cut of the sale. But with ecommerce having sky rocketed through the Covid-19 pandemic and consumers able to buy from a multitude of large and small beauty brands at the click of a button, direct selling might seem a little outdated. PUBLICITÉ However, according to Avon’s chief commercial marketing officer, Alex Long, the business model continues to make sense for the brand. “We think it’s honestly more relevant and more vibrant than ever,” Long tells Marketing Week. “Look at all of the big trends that you see in the marketplace today around entrepreneurial culture, people setting up their own businesses, the trend in media towards micro influencers. All of these are what direct selling has been doing for years.” We’re really conscious that there’s a generation of women who may not be as aware of the Avon story, or may see it in a particular way. And some of them haven’t really had an opportunity to work with brands. Alex Long, Avon Direct selling data from around the world “absolutely backs that up”, Long adds. In 2019, direct selling was a $180.5bn industry worldwide, encompassing 119.9 million independent representatives, according to the World Federation of Direct Selling Associations. In Europe alone, industry sales hit $37.9bn. However, while Germany and France rank among the top 10 markets for direct selling, the UK does not. And over the year ending December 2018, Avon’s last financial results filed with Companies House, turnover relating to underlying UK direct selling activities fell from £210.4m to £182.1m, which the business attributed to a -17.6% reduction in its number of UK representatives. Long acknowledges that there are limitations of the model in terms of reach, also noting that while Avon’s awareness across its mature markets such as the UK and US is very high, the brand has become “a little tired”. This is in direct contrast to Avon’s perception in newer markets like South Africa, he says, where the brand is considered “young and trendy”. In 2018, Avon was voted “coolest makeup brand” as part of South Africa’s Sunday Times Next Generation Awards, for example. To help counter this problem and increase the brand’s market penetration in the UK, Avon is hoping to recruit a younger generation of digital-savvy representatives to reach a new cohort of consumers.

By |2021-05-10T09:12:34+00:00May 10th, 2021|Scoop.it|0 Comments

What’s Google Floc? And How Does It Affect Your Privacy? | WIRED

Google wants FLoC to replace the traditional way of tracking people on the internet: Cookies. These little bits of text and code are stored on your computer or phone by your browser, and help websites figure out if you've visited before, what your site preferences are, where in the world you're based, and more. They can be helpful for both websites and their visitors, but they're also heavily used by advertisers and data brokers to build up patterns of our browsing history. As Google points out, cookie tracking has become more and more invasive. Embedded, far-reaching trackers known as third-party cookies keep tabs on users as they move across multiple websites, while advertisers also use an invasive technique called fingerprinting to know who you are even with anti-tracking measures turned on (through your use of fonts, or your computer's ID, your connected Bluetooth devices or other means). Companies including Apple are already fighting back against this kind of tracking, primarily by simply blocking it altogether without the express permission of users (Apple is taking a similar approach with apps). Google would prefer to continue to allow targeted advertising while keeping users anonymous, and wants to replace cookies with FLoC by 2022—but the idea has been met with a wave of opposition from other parties. Bennett Cyphers of the Electronic Frontier Foundation admits the need to do away with cookies, but calls FLoC a "terrible idea" that's just as bad. "The technology will avoid the privacy risks of third-party cookies, but it will create new ones in the process," writes Cyphers. "It may also exacerbate many of the worst non-privacy problems with behavioral ads, including discrimination and predatory targeting." The EFF—and many others—would rather do away with targeted advertising altogether. In other words, online advertisers don't know anything about your preferences or habits, and everybody sees the same ads as they browse around the internet. Fundamentally, the argument goes, any kind of targeting is both invasive and discriminatory.

By |2021-05-09T21:03:31+00:00May 9th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Le gouvernement crée une Agence de l’Innovation pour les Transports

Jean-Baptiste Djebbari, ministre délégué chargé des Transports, a annoncé la création de l’Agence de l’Innovation pour les Transports (AIT). Elle sera opérationnelle d’ici l’été 2021. Afin de développer les transports de demain, le ministre chargé des Transports a souhaité que l’administration joue pleinement son rôle de précurseur et d’accompagnement des acteurs du secteur. C’est pourquoi une Agence de l’Innovation pour les Transports va être créée pour être opérationnelle d’ici l’été 2021. Le but de cette agence est de renforcer les liens entre les services du Ministère des Transports et les acteurs de l’innovation : instituts de recherche, startups, incubateurs, grands groupes, industriels, PME et ETI, financeurs de l’innovation. Elle coordonnera les actions de soutien à l’innovation entre les services du Ministère, participera à l’identification, la modélisation et le référencement d’innovations et accompagnera leur passage à l’échelle dans les territoires. « Face aux enjeux liés aux changements climatiques, à la révolution digitale et au besoin d’offrir de nouveaux services de transports adaptés à nos territoires, les transports doivent se réinventer. », déclare le gouvernement. Pourtant, la réglementation est encore lourde et les procédures administratives complexes. Cette nouvelle entité permettre de palier aux difficultés d’accès aux territoires d’expérimentation.

By |2021-05-06T15:49:16+00:00May 6th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Climat : l’Allemagne revoit ses ambitions à la hausse

Cinq d'avance sur les échéances Le projet de loi qualifié « d'ambitieux » par le ministre des Finances, Olaf Scholz, sera présenté la semaine prochaine par le gouvernement. « Chaque génération prend maintenant ses responsabilités », a assuré le ministre, qui est également tête de liste SPD pour les élections de septembre prochain. L'accord avance de cinq ans les échéances. Il prévoit une réduction de 88 % des gaz à effet de serre en 2040 et la « neutralité » climatique en 2045. Accélérer les renouvelables La ministre de l'Environnement, Svenja Schulze (SPD), assure que ces nouveaux objectifs font l'unanimité au sein du gouvernement. Toutes les aspérités n'ont pas pour autant été entièrement gommées au sein de la coalition qui avait accouché de son plan dans la douleur en 2019. Alors que l'implantation des éoliennes fait toujours débat outre-Rhin, le nouveau plan doit notamment accélérer le développement des énergies renouvelables. Un autre point reste litigieux dans un pays où l'énergie est chère : l'évolution du prix du C02 sur l'essence et le fioul domestique. Un plan à décliner avec l'industrie Des discussions sont encore en cours avec les différents secteurs concernés, a précisé Olaf Scholz. La fédération allemande du patronat, le BDI, avait appelé le gouvernement à prendre le temps d'un débat parlementaire malgré les élections prochaines. « Les objectifs politiques doivent être définis par le pouvoir législatif et non par les ministères ou les tribunaux », écrit le BDI. Déjà très remontées contre les projets législatifs européens en préparation à Bruxelles , les fédérations allemandes de l'automobile et de la machine-outil sont elles aussi inquiètes. La réduction des émissions « n'est pas une question d'interdiction mais d'innovation et d'investissement », plaide Thilo Brodtmann, vice-président de la fédération allemande de la machine-outil. Pour investir, « l'essentiel, ce sont les moyens concrets et les échéances et non les objectifs globaux », assure pour sa part Hildegard Müller, la présidente de la fédération automobile.

By |2021-05-05T16:58:32+00:00May 5th, 2021|Scoop.it|0 Comments

“Le Train”, la nouvelle compagnie française de TGV en France

Baptisée « Le Train », elle veut exploiter des trains à grande vitesse fin 2022 en Nouvelle Aquitaine, entre Arcachon, Bordeaux, Angoulême et Poitiers. « Il s’agit de la création d’un nouvel opérateur ferroviaire en France, le premier opérateur à grande vitesse privé. C’est un projet issu des territoires », a expliqué à l’AFP le dirigeant de « Le Train », Alain Getraud. Il reste « beaucoup de place » sur la ligne nouvelle Sud Europe Atlantique (Tours-Bordeaux) ouverte en 2017, où la SNCF exploite surtout des trains Paris-Bordeaux, a-t-il noté. D’où cette idée d’un nouvel entrant « axé sur du trafic intrarégional ou interrégional » et qui proposera « de la cadence ». « Le Train » envisage un certain nombre de relations sur un axe principal Arcachon-Bordeaux-Angoulême-Poitiers-La Rochelle, avec des prolongements le week-end jusqu’à Nantes et Rennes, selon les notifications publiées mercredi sur le site de l’Autorité de régulation des transports (ART). « Le Train » aura une dizaine de rames Sur le même sujet Anko Van der Werff, l’ancien PDG d’Avianca,… Avr 29, 2021 Transport : Toulouse bientôt à 3h10 de Paris grâce à la LGV Avr 29, 2021 Blablacar relance ses autocars le 12 mai Avr 29, 2021 Le service devrait commencer le 11 décembre 2022 selon ces notifications. Un objectif qui dépendra beaucoup de l’évolution de la situation sanitaire, a relevé Alain Getraud. La compagnie envisage d’utiliser « une dizaine » de rames à grande vitesse de 350 places (ce qui correspond plus ou moins à la capacité des rames à un niveau d’origine de la SNCF), « assez classiques ». Alain Getraud n’a pas souhaité s’étendre à ce stade sur la façon dont « Le Train » se les procurera. Basée à l’Isle-d’Espagnac près d’Angoulême, la compagnie a été créée en février 2020 à l’initiative de l’industriel charentais Tony Bonifaci, dirigeant notamment de la Société nouvelle de travaux publics et de génie civil (SNGC). Seules les compagnies italienne Trenitalia et espagnole Renfe avaient jusqu’à présent annoncé leur intention d’entrer sur le marché français de la grande vitesse, désormais libéralisé, respectivement sur Paris-Lyon-Milan et Lyon-Marseille. Articles similaires

By |2021-05-01T12:46:04+00:00May 1st, 2021|Scoop.it|0 Comments

Airbnb : deux youtubeurs parviennent à mettre en location une maison de poupée

Pour mettre en place le piège, les deux acolytes britanniques se sont rendus chez la conceptrice de maison de poupée Emma Waddell afin de prendre des photos les plus crédibles possible. Plusieurs éléments ont été glissés dans le décor permettant de détecter la supercherie : une bouteille d’eau, une carte de paiement, etc. Malgré ces éléments, Airbnb a publié l’annonce, montrant que les contrôles ne sont pas toujours réalisés. Des internautes se sont également fait piéger et ont demandé plus d’informations sur le logement. Pour aller jusqu’au bout de l’expérience, les deux jeunes hommes ont laissé deux personnes réserver une nuit dans ce faux logement. Comme Airbnb, les clients n’ont visiblement pas vérifié les photos. A leur arrivée, ils les ont informés de la supercherie et leur ont offert une nuit dans un « vrai » hôtel.

By |2021-04-30T16:42:44+00:00April 30th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Les entrepreneurs africains vont-ils lever des fonds grâce à la cryptomonnaie ? | CIO MAG

Les entrepreneurs africains sont résilients face à la crise. Mais surtout, ils multiplient les canaux d’investissements en modernisant les techniques d’autofinancement nommées Bootstrapping. Le risque est certes plus élevé mais les opportunités se multiplient. (Cio Mag) – Emerging Valley à peine conclu qu’il est déjà temps de tracer les perspectives pour les mois à venir. Et la tendance est nette : «Il y a eu une baisse nette des montants investis: 1,42 milliard contre 2 entre 2019 et 2020», indique Cyril Collon – General Partner du cabinet Partech Africa. Si l’impact de la crise sanitaire est indéniable, tout n’est pas négatif. Loin s’en faut. «Nous avons constaté un retour en force de l’amorçage démontrant la solidité des startups du continent passant de 250 à 359 en un an», relativise le coéquipier de Tidjane Deme. Si la résilience est le maître mot des années 2020-2021, il ne faudra pas non plus oublier les différentes initiatives mises en place par les diasporas qui constituent des réseaux d’investissements qui tendent à devenir davantage robustes. Il faut dire qu’ils sont bien aidés par la technologie. «Les deals sont conclus plus rapidement à distance par les fonds américains ou chinois qui n’ont plus à se déplacer », indique la co-fondatrice du fonds Outlierz Ventures, Kenza Lahlou. La cryptomonnaie : un véritable recours ? C’est la révélation économique de ces dernières années sur le continent. La cryptomonnaie finance les projets entrepreneuriaux. Et à ce jeu, c’est le Nigeria qui tire son épingle. Le pays est même en tête du classement mondial concernant le nombre de détenteurs de cryptomonnaies. Selon les données de Statista, ce sont près de 400 millions de transactions qui ont été effectuées par ce canal au Nigeria. Tola Fadugbagbe est un de ces entrepreneurs qui a trouvé son salut grâce à cette innovation. «Je suis en train de construire une grande ferme en vue d’une exploitation. J’avais fait de longues recherches auparavant. Depuis, je me suis renseigné puis j’ai démarré mes premiers investissements avec 100-200 US Dollars», se souvient-il. Les ICO ont le vent en poupe Le phénomène est bien connu des entreprises. Les ICO sont ces levées de fonds réalisées avec de la cryptomonnaie. L’entreprise émet alors des tokens que les investisseurs achètent. C’est ce procédé qu’a utilisé la messagerie Telegram qui a réalisé 500 millions de dollars en pré-vente. Ce mode de financement a dépassé les 6 milliards de dollars ces dernières années selon Statista. Pour l’heure, il est cependant bien compliqué de déterminer la proportion d’entreprises africaines qui ont recours à ce type de financement à l’exception du Nigeria. Mais c’est pour l’heure aux Etats-Unis et en Chine où le procédé est le plus utilisé par les entreprises. La sécurité pose question Pour les entreprises, les enjeux de sécurité sont cruciaux. «L’objectif est de faire en sorte qu’aucune entité étrangère ne puisse avoir accès au compte de cryptomonnaie. Plusieurs verrous sont à poser avec des codes spécifiques», expliquent les spécialistes des entreprises Ledger et Fireblocks. Ces entreprises, dont le chiffre d’affaires dépasse les 100 millions de dollars annuel, se montrent très confiantes sur l’avenir des cryptomonnaies en Afrique. Celles-ci favorisent l’intégration monétaire pour les ménages et entreprises, servant de rempart contre l’hyperinflation constatée dans de nombreux pays dont le Nigeria ou encore le Zimbabwe. Enfin, la stabilité de sa valeur est sujette à beaucoup de débats. Preuve en est avec le Bitcoin qui a dévissé de 10% en un week-end en raison des différentes mesures prises à son égard récemment par la Turquie et la Chine. Celui-ci s’établit désormais à 55 000€. L’investissement n’est jamais, encore faut-il le rappeler, un long fleuve tranquille et c’est sur la durée qu’il faut miser pour espérer atteindre un retour sur investissement acceptable relatif aux objectifs fixés.

By |2021-04-28T17:49:00+00:00April 28th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Kenya : « Fursa », une voie électronique d’opportunités financières pour la jeunesse | CIO MAG

Pour faire « progresser l’inclusion financière » des jeunes, Telkom Kenya, une entreprise de télécommunications locale, et le Conseil kényan de la jeunesse, une agence gouvernementale, ont signé un accord de création d’une plateforme de décaissement de fonds. (Cio Mag) – Dénommé « Fursa », le dispositif  annoncé le 14 avril 2021, vise à permettre un décaissement de manière pratique, plus rapide, sûre et opportune pour les jeunes kényans. Il sera personnalisé pour contenir des capacités supplémentaires telles qu’un système de gestion de membres, l’épargne, les investissements, le rapprochement financier, le tableau d’expérience pour l’appariement des emplois, l’e-learning et le développement des compétences expérientielles. Avec l’ambition d’accélérer l’économie vers le cash lite, Mugo Kibati, le PDG du groupe Telkom Kenya, pense qu’il est possible de faire plus pour faire progresser l’inclusion financière des jeunes. Selon lui, la poursuite de la numérisation et des investissements dans l’écosystème de l’argent mobile aidera à résoudre une crise qui s’est encore aggravée pendant la pandémie. Un défi, qu’il compte relever avec Fursa. L’entreprise de télécommunications se chargera d’installer le portefeuille et d’offrir une assistance sur l’opérationnalisation, la maintenance, les mises à jour, les services professionnels, le soutien au produits, l’infrastructure, les services de soins, la surveillance, la disponibilité et les performances. D’après Sasaka Telewa, le directeur général du Conseil national de la jeunesse du Kenya, ce portefeuille est une ouverture d’opportunités pour les jeunes. « Loin de développer des programmes conjoints et d’inciter les jeunes à adopter la technologie et les programmes d’entrepreneuriat, d’emploi et d’engagement des jeunes, c’est une énorme opportunité de soutenir les efforts du gouvernement à l’échelle nationale pour fournir un filet financier et de sécurité dans la pandémie en train de se dissiper », a t-il déclaré, reprit par des sources locales. Dans une publication de 2017, le  Financial Sector Deepening (FSD), un organisme indépendant dédié à la réalisation d’un système financier inclusif Kenya estimait que 23% des jeunes de 18-25 ans sont exclus des services financiers  et n’ont pas accès à des financements qui leur conviennent.

By |2021-04-28T17:47:57+00:00April 28th, 2021|Scoop.it|0 Comments