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Fin du MICE… De quoi parle-t-on ?

« Meetings, Incentives, Conferencing, Exhibitions », la déclinaison de cet acronyme dit à elle seule le caractère contrasté des réalités qu'il recouvre. Il ne s'agit pourtant pas de considérer le concept de MICE comme inopérant : en dépit de la très grande diversité des événements dont on parle, ils font bel et bien partie d'un même écosystème dont les acteurs sont les entreprises clientes et un certain nombre de prestataires spécifiques : fournisseurs de lieux de travail et / ou de réception, catering / restauration a minima, et, très souvent, transport, hôtellerie, réceptifs, agences événementielles...Autre point commun : les destinations en sont friandes. Parce que ces événements sont pourvoyeurs de revenus pour un territoire. Parce qu'ils contribuent au rayonnement économique de celui-ci, avec, dans le meilleur des cas, du sens. Qu'un congrès international d'oncologie se tienne dans telle ville n'est pas anodin : ses laboratoires, son CHU, son université, la structure de promotion de son pôle d'excellence "Santé" en récolteront les bénéfices. De même qu'organiser sa convention à Toulouse, c'est, pour une licorne de l'aéronautique, se mettre un peu au niveau d'Airbus, au regard de ses collaborateurs comme à celui de ses investisseurs, clients, fournisseurs.Ce n'est pas un hasard si, à la faveur de la loi NOTRe de 2015 (nouvelle organisation territoriale de la République), redistribuant les compétences des pouvoirs locaux, le MICE s'est retrouvé non plus sous la tutelle municipale du Tourisme, mais sous celle, métropolitaine, de l'Attractivité, soit : à la rencontre du tourisme et de l'économie. D'ailleurs, le terme français pour désigner le MICE exprime clairement ce caractère hybride, fût-ce sous la forme d'un oxymore : "tourisme d'affaires".Discutable   Revenons à l'étude de GlobalData. Elle indique que le MICE "a été l'un des premiers types de tourisme à être touché par la propagation mondiale de COVID-19 et il pourrait être l'un des derniers à revenir pleinement" à son activité ante-crise. C'est indéniable. Les restrictions imposées aux événements de groupe - pas plus de 5.000 personnes, puis pas plus de 1.000, puis 500, puis 10, puis plus rien - l'ont frappé durement. Et l'on observe que ce déconfinement spécifique emprunte le chemin inverse de la mise en place des mesures sanitaires : long, lent, progressif, sinueux, n'échappant pas aux pas de côté, aux voies sans issue, aux retours en arrière.Mais lorsque Ralph Hollister, analyste des voyages et du tourisme chez GlobalData, poursuit en considérant qu'en dehors de ces restrictions, le MICE souffrira toujours de ce que "les entreprises de tous les secteurs chercheront des moyens de réduire leurs coûts dans les années à venir" et de "l'essor des logiciels de vidéoconférence tels que Zoom et Google Meet", c'est, de notre point de vue, plus discutable.Le premier facteur - l'argument financier - est, selon nous, sans intérêt. Oui, bien sûr, les coupes budgétaires vont être réelles et le MICE n'y échappera pas. Elles se feront moins drastiques à mesure que la situation économique s'améliorera, inutile de faire du MICE, en l'espèce, un cas à part. Beaucoup plus intéressant est le supposé impact des nouvelles technologies sur l'événement présentiel.Et c'est là que le manque de distinction entre types d'événements fait cruellement défaut. On peut effectivement imaginer que des séminaires de taille réduite, des conventions de dimensions modestes pourront se voir substitués par des réunions Zoom. Mais une grande partie de ces événements ne sont pas onéreux : une salle de réunion dans un Ibis Styles, un catering pour une dizaine de personnes, et autant de billets de train pour des trajets de moins de 200 km... C'est plus cher qu'un rendez-vous Microsoft Teams, évidemment, mais la valeur ajoutée d'une rencontre physique entre collaborateurs n'inciterait-elle pas une entreprise à faire l'effort financier afférent ? Nul, pour l'heure, ne peut le dire.

By |2020-07-27T15:22:21+00:00July 27th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Thieves Are Emptying ATMs Using a New Form of Jackpotting | WIRED

Black boxes, which mimic an ATM’s internal PC, can either be laptops or Raspberry or Arduino hardware that’s fairly easy to build, Oliveira said. Black boxes are one of four jackpotting techniques that Diebold Nixdorf describes here.In some cases, the attached devices connect directly to the cash dispenser and issue commands for it to spit out cash. The other form of black-box attack plugs into network cables and records cardholder information as it’s relayed back and forth between the ATM and the transaction center that processes the session. The attached device then changes authorized maximum withdrawal amounts or masquerades as the host system to allow the ATM to dispense large sums of money.The above-linked jackpotting brochure describes two other types of attacks. The first swaps out the legitimate hard drive with one created by the attackers. The other uses phishing attacks against bank employees. Once attackers obtain access inside the network of a financial institution, they issue commands that infect ATMs with malware that can be used to clean out the machines.Good News and Bad NewsThe new attack variation described by Diebold is both good and bad news for consumers. On the one hand, there’s no indication thieves are using their recently acquired software stack to steal card data. The bad news is that attackers appear to have their hands on proprietary software that makes attacks more effective. The recent increase in successful jackpotting ultimately results in higher fees, as financial institutions pass on the costs caused by the losses. Diebold has issued a variety of defenses that ATM owners can take to protect against the attacks.There’s little ATM users can do to prevent jackpotting. Still, it’s important to use only ATMs belonging to major banks and eschew those from mom-and-pop businesses. It’s also a good idea to shield the keyboard while entering PINs and to check bank statements each month in search of any unauthorized transactions.

By |2020-07-26T20:52:31+00:00July 26th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Pourquoi les smartphones détox arrivent au bon moment

« Des millions d’heures sont juste volées à la vie des gens ». Cette phrase, prononcée par Tristan Harris, ancien philosophe produit de Google chargé des stratégies de persuasion, a permis de sensibiliser l’opinion publique aux enjeux de l’économie de l’attention. Une logique économique qui incite les acteurs du numérique à concevoir des smartphones et des applications dont l’ergonomie et le design captivent notre attention à des fins commerciales et publicitaires. En réaction à ces manipulations par biais cognitifs devenues communes en matière de technologie, plusieurs entreprises ont créé des téléphones dits minimalistes qui nous rendraient l’ascendant sur ces outils qui aujourd’hui nous possèdent.Des smartphones pour jeunes hipsters ? Le Light Phone est probablement l’un des téléphones sobres les plus emblématiques. Sa première génération tablait sur une proposition radicale : on ne pouvait l’utiliser que pour téléphoner. A ce rythme là, autant acheter un Nokia 3310. Le Light Phone 2 a su proposer une alternative plus raisonnable. Avec une campagne de crowdfunding montée à 3 200 000€, le fabricant a pu commercialiser un produit qui fournit les fonctions régaliennes d’un téléphone moderne : appel, message, alarme, musique, carte avec GPS, météo... Aucun réseau social ni boite mail ne sont présents.En revanche, la marque a autorisé la présence de quelques applications type VTC afin de ne pas se positionner comme smartphone d’appoint. L’écran monochrome du Light Phone offre une autonomie de plusieurs jours et son poids de 38 grammes permet de contenir sa taille dans celle d’une carte de crédit. Pour autant, le prix, élevé à 320€, laisse dubitatif. Pour sept ou huit fois moins cher, on trouve un téléphone cellulaire aux caractéristiques identiques avec un parfum de nostalgie. Les smartphones minimalistes cibleraient-ils les nouvelles générations de jeunes hipsters citadins ?Un minimalisme rationnalisé Le principal concurrent du Light Phone se nomme le Blloc Phone. Son positionnement est moins radical et tente un compromis entre minimalisme et modernité. Si l’écran du téléphone est également monochrome pour gagner en autonomie, il est en revanche possible d’activer la couleur en passant le doigt sur un lecteur d’empreinte. Et contrairement au Light Phone, le Blloc autorise le téléchargement de toutes les applications. Pour éviter des effets de distraction, ces dernières sont parquées dans un système de tuile sans logo afin de limiter l’incitation.Si le prix reste élevé (360€), son ambition justifie davantage son coût. Le pari est en effet de proposer un produit qui trouve l’équilibre entre volonté de déconnexion et impératifs de la modernité. Là où le Light Phone se présente malgré lui comme un téléphone d’appoint, le Blloc propose un minimalisme rationalisé dont on peut faire usage comme d'un smartphone principal.Le bon vieux Nokia 3310 L’annonce en 2017 du retour du Nokia 3310 a permis de mesurer l’appétence des consommateurs pour un téléphone en plastique dont le seul argument de vente est la nostalgie des années 2000. Car si le 3310 a le mérite de cristalliser l’époque du langage SMS et du jeu Snake, il ne permet pas grand chose de plus que d’appeler et d’envoyer des messages. Le succès du nouveau 3310 est donc moins la quête d’un minimalisme numérique que le regret attendri d’un archétype du passé.Il convient donc de se demander si la tendance du minimalisme technologique ne serait pas la lubie de quelques privilégiés sensibilisés à la guerre de l’attention. Ceci étant dit, il ne faudrait pas non plus discréditer d’emblée des initiatives de sobriété numérique qui tentent de bousculer l’oligopole consolidé des GAFAM. Alors que les progrès en matière de technologie ne cessent de croitre en symétrie avec les syndromes d’anxiété et de FOMO (Fear Of Missing Out), les tentatives destinées à renverser l’assujettissement entre l’homme et l’objet sont plus que louables.

By |2020-07-26T20:52:03+00:00July 26th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Le premier hôtel spatial verra le jour en 2024

L’hôtel sera composé de 8 couchettes individuelles confortables. Dans son projet, Philippe Starck imagine une cabine moelleuse dotée d’un écran, de rangements, d’un lit rétractable et d’un système de communication vers la Terre. Sans oublier l’incontournable vue sur notre planète bleue. Si le point de vue ne les satisfait pas, les spatio-touristes pourront toujours se rendre dans le dôme, un espace entièrement vitré afin de profiter d’une vue à 360°.2024 l’Odyssée de l’espaceCes deux premiers modules devraient être arrimés à la Station Spatiale Internationale (ISS) dès 2024. Axiom prévoit d’organiser des programmes touristiques de 10 jours. Pour cela, elle s’est associée avec SpaceX afin de réaliser les navettes entre la Terre et l’espace. Le prix d’un tel ticket ? 55 millions de dollars.Le projet prévoit qu’à terme la station d’Axiom devienne autonome. Dans quelques années, l’ISS devenue obsolète, ne sera plus le centre névralgique de la recherche scientifique dans l’espace. La station spatiale d’Axiom se détachera ainsi progressivement de l’ISS pour devenir la première station spatiale privée.

By |2020-07-26T19:38:13+00:00July 26th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Pour le Pdg d’Airbnb “les voyages ont changé à jamais”

« Les voyages ont changé à jamais« , explique Brian Chesky, dont l’entreprise a subi des centaines de millions de pertes et a licencié un quart de son personnel à la suite de l’épidémie. « Le monde du voyage tel que nous le connaissions en janvier ne reviendra jamais ». Il explique qu’avec Zoom, « les réunions ont largement remplacé les voyages d’affaires, et les voyages de loisirs se sont déplacés des zones métropolitaines vers les zones rurales facilement accessibles. »« Les gens disent qu’ils veulent sortir de chez eux, quel que soit le pays dans lequel ils se trouvent« , indique le Pdg d’Airbnb. « Mais ils ne sont pas pour l’instant très à l’aise pour prendre l’avion. Ils veulent monter dans une voiture, et ils ne veulent pas voyager à plus d’un réservoir d’essence ».La pandémie a bouleversé l’activité principale de l’Airbnb, à savoir la location de maisons temporaires, « mais ces dernières semaines, la demande est revenue au même niveau que l’année dernière, même si les voyageurs ont des préférences de vacances différentes« , dit-il.« Ils cherchent à rester dans des maisons. C’est donc une surprise pour nous« , ajoute-t-il, dans l’interview récemment publiée sur le site américain de Yahoo finance.« Nous avons passé 12 ans à construire notre entreprise et en six semaines, nous en avons perdu environ 80%« , souligne t’il même s’il constate une reprise encourageante.La semaine dernière, Brian Chesky a envoyé un mémo à tous ses employés pour leur dire que l’entreprise a repris les démarches pour son introduction sur le marché boursier cette année, mais que « la décision sera finalement déterminée par les conditions du marché.« 

By |2020-07-26T19:37:22+00:00July 26th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Coinbase Processed $500,000 in Bitcoin Payments That Helped Ex-Nissan Chairman Flee Japan | News

In December, two Americans used a box to smuggle Ghosn out of the Asian country, where he was facing criminal charges for embezzlement and financial manipulation.The former executive, who denies any wrongdoing, now lives in Lebanon, which does not have extradition relations with Japan.According to a court filing, the money was allegedly sent via the U.S. crypto exchange over a four-month period by Ghosn’s son, Anthony, to an accomplice named Peter Taylor.In total, Taylor pocketed $1.36 million. He had earlier received $862,500 in a separate transfer, wired by Carlos himself, the July 22 filing states.Taylor worked with his father, Michael, a U.S. Army Special Forces veteran, to help Ghosn escape in what is thought to be a musical instrument box, and into private jet, to avoid facing financial charges.The Taylors’ are now seeking to be released on bail following their arrest in May, at Japan’s request. U.S. prosecutors opposed bail, saying the duo was a security flight risk, especially now that they “have access to Ghosn’s vast resources with which to flee.”Ghosn has promised to assist the people that helped him during his trying times in Japan, according to a recent TV interview, Reuters reported.Coinbase, which is eyeing a U.S. stock market listing this year, courted controversy recently with its cosing up to law enforcement – something that bitcoin fundamentalists may consider a betrayal of the top crypto’s foundational principles.The exchange has revealed that it is selling a blockchain tool that provides law enforcement agencies – the Drug Enforcement Agency (DEA) and the Internal Revenue Service (IRS) – with superior analytical capabilities.

By |2020-07-26T19:31:40+00:00July 26th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Apple promet une neutralité carbone totale en 2030 – MacBidouille.com

La société a annoncé un nouveau projet ambitieux. Elle cherche à avoir une neutralité carbone totale d'ici 2030, y compris dans le cadre de la production de ses produits vendus.Le challenge n'est pas simple. Il faut énormément d'énergie pour produire verre, aluminium (moins pour le recyclé qu'elle a aussi promis d'utiliser) et autres composants.Elle en a aussi profité pour annoncer que 80% des énergies renouvelables qu'elle injecte dans les réseaux électriques est issue de projets qu'elle a initiés.

By |2020-07-22T17:08:20+00:00July 22nd, 2020|Scoop.it|0 Comments

Expedia veut booster l’adoption des cryptomonnaies dans le Travel

Expedia noue un partenariat avec Travala.com, une plateforme de voyage qui accepte les paiements en cryptomonnaie, via sa filiale Expedia Partner Solutions. Désormais, grâce à l’intégration de l’API Rapid, plus de 700 000 hébergements du groupe Expedia sont disponibles à la réservation sur Travala.com. Le distributeur propose à ses clients d’effectuer leurs réservations dans plus de 30 cryptodevises, telles que le Bitcoin (BTC), Ethereum (ETH), Binance Coin (BNB) ou encore AVA, la cryptomonnaie développée par Travala.com.« Chez EPS, nous sommes passionnés par l’innovation et nous reconnaissons que le choix des réservations et des paiements continue d’évoluer dans un monde en mutation rapide. Notre objectif est d’aider Travala.com à développer son activité plus rapidement que jamais. Grâce à notre vaste offre de voyages, à l’assistance de nos partenaires et à notre technologie de pointe, nous sommes spécialisés dans l’aide aux partenaires comme Travala.com pour qu’ils puissent offrir des expériences fantastiques à leurs voyageurs », déclare Alfonso Paredes, VP senior du Groupe Expedia. De son côté, Travala souhaite apporter plus de flexibilité et de transparence aux paiements dans le domaine du voyage. En mai 2020, le distributeur a fusionné avec Travelbybit, l’un de ses concurrents pour créer l’une des plus grandes agences de voyages en ligne utilisatrice de cryptomonnaies.

By |2020-07-21T08:49:42+00:00July 21st, 2020|Scoop.it|0 Comments

Amazon accélère vers un monde sans caisses

Alors que le monde vit encore à l’heure du coronavirus, Amazon accélère son offensive pour créer un monde sans caissières. Mardi 14 juillet, l’entreprise a annoncé un « chariot express », le Dash Dart, capable d’identifier et de facturer lui-même les articles pris par le client. Ce dernier peut donc sortir du magasin sans faire la queue…La technologie utilisée est un mélange de capteurs et de caméras équipées de vision informatique, comme dans les voitures autonomes. Ce système est également installé sur les plafonds et les étagères des supérettes Amazon Go. Et, depuis le 11 mars, il est vendu par l’entreprise de Jeff Bezos aux distributeurs qui souhaitent eux aussi mettre en place des commerces sans caissières. « Cela change la donne », estime Max Hammond, analyste de l’institut d’études Gartner. Les observateurs du secteur sont enthousiastes : « Le confinement et les mesures de distanciation liées au Covid-19 ont installé dans nos esprits la notion de commerce sans contact et sans friction », affirme Andrew Lipsman, auteur pour le cabinet eMarketer d’un rapport sur ces tendances, paru en mai. L’analyste souligne aussi qu’Amazon Go, lancé en 2018, est en train de changer d’échelle, avec désormais vingt-sept boutiques aux Etats-Unis.« Nous n’avons pas de raison de retarder leur arrivée en France »Les magasins sans caissières d’Amazon ne sont pas encore présents sur le marché français. Pour le moment… « Nous n’avons pas de raison de retarder leur implantation en France, car ils sont plébiscités par la clientèle », a assuré, le 28 avril, le directeur d’Amazon France, Frédéric Duval, lors d’une audition sénatoriale organisée en pleine polémique sur les mesures sanitaires contre le Covid-19, sans toutefois « pouvoir donner de date précise ».

By |2020-07-21T08:49:30+00:00July 21st, 2020|Scoop.it|0 Comments

Uber acquiert Routematch et renforce sa stratégie MaaS

Le 16 juillet 2020, Uber a annoncé le rachat de l’éditeur de solutions logicielles pour les gestionnaires des transports en commun. Si le montant de la transaction n’a pas été précisé, Routematch emploie 170 personnes. « Cette acquisition combine l’expertise d’Uber en matière de technologies de mobilité mondiale à la demande avec les capacités éprouvées de Routematch dans les domaines du transport adapté, des paiements, des outils d’itinéraires fixes et des services de planification de voyage », est-il indiqué dans un communiqué de presse.La société américaine a mis au point une plateforme qui permet aux utilisateurs de planifier un trajet ou bien encore de suivre le paiement des usagers. Pour Uber, cette acquisition renforce sa position quant à son objectif de devenir une plateforme MaaS, rassemblant tous les acteurs de la mobilité urbaine sur une seule application.

By |2020-07-18T08:43:18+00:00July 18th, 2020|Scoop.it|0 Comments