Monthly Archives: October 2017

La photo comme moyen de fidéliser les voyageurs et d’augmenter ses revenus

La société Share & Print Studio met à disposition une plateforme qui permet aux voyageurs d’imprimer leurs photos sur un livre aux couleurs d’une marque. Pour inciter les clients à en profiter, elle utilise un système de reconnaissance faciale. Share & Print Studio est une plateforme en mode SaaS proposée aux entreprises en marque blanche. Elle permet aux clients d’une marque de gérer, éditer et imprimer leurs photos. « Dans le Tourisme, la photographie est incontournable. C’est pourquoi nous sommes en discussion avec des acteurs du secteur », explique Guillaume Charles, DG de Share & Print Studio. Le principe est simple, mais il répond à un vrai besoin des voyageurs. « Maintenant que nous prenons nos photos de manière digitale, nous ne les voyons plus. Pourtant, il y a un intérêt pour la matérialisation de la photo numérique depuis quelques années », continue t-il. La société propose donc aux acteurs du Tourisme, comme les clubs de vacances, les croisiéristes, les stations de ski ou encore les parcs d’attraction, de proposer l’édition de leurs photos sur un livre à leurs couleurs. Ils peuvent choisir de le proposer gratuitement et ainsi fidéliser les clients ou le proposer à l’achat et ainsi s’assurer un revenu supplémentaire. « Nous sommes en discussion avec un croisiériste qui s’est rendu compte que ce marché de la photo lui échappait. La plateforme est un moyen d’apporter un service en plus », ajoute Guillaume Charles.

By |2017-10-17T19:11:20+00:00October 17th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Why AI Is Happening Now – eMarketer

While computer scientists have been touting artificial intelligence (AI) for more than half a century, the technology is just starting to reveal its potential. In spite of the hype, machine learning, deep learning, computer vision and natural language processing have quietly become entrenched in many people’s daily routines. These innovations have brought with them new abilities to automate tasks, analyze data and connect dots, according to the eMarketer’s latest report, “Artificial Intelligence for Marketers 2018: Finding Value Beyond the Hype.” (Subscribers to eMarketer PRO can access the report here. Nonsubscribers can purchase the report here.) Without even realizing it, people have become accustomed to interacting with AI. “When you use Facebook or Google or Apple, you’re using it,” said Karim Sanjabi, executive director of cognitive solutions at independent media agency Crossmedia. “It’s recommending your picture, it’s reading your email and giving you relevant ads back against that in Gmail. You probably interact with AI 30 or 40 times a day and may not know it.” Investment and interest in AI remains high, though large-scale adoption is happening more slowly. Still, many companies have ambitious plans for AI systems and are looking to them to improve their business operations.

By |2017-10-17T19:10:56+00:00October 17th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Netflix accélère encore dans la bataille des contenus originaux

Le service de vidéo à la demande dépensera entre 7 et 8 milliards de dollars pour ses créations originales en 2018. Il va notamment produire 80 films. Les fans se frottent déjà les mains. Le 27 octobre, la saison 2 de «Stranger Things» revient en exclusivité sur Netflix. Produite par le service de vidéo à la demande, cette série de science-fiction avait fait sensation lors de sa diffusion à l'été 2016. Ce qui avait valu, quelques mois plus tard, à la série d'être nominée... à 18 reprises aux Emmy Awards ! Après «House Of Cards», «Orange is the New Black», «Narcos» ou «Master of None», l'enthousiasme suscité par la création des frères Duffer illustre le savoir-faire de Netflix en matière de création originale. Il faut dire que l'entreprise fondée par Reed Hastings, qui a dépassé la barre des 100 millions d'abonnés dans le monde, se donne les moyens de ses ambitions. En 2016, elle a déboursé 6 milliards de dollars pour ses créations originales.

By |2017-10-17T19:08:42+00:00October 17th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Google is essentially building an anti-Amazon alliance, and Target is the latest to join

Google and the country’s biggest brick-and-mortar retailers have one main problem in common: Amazon. Now both sides are acting like they are serious about working together to do something about it. On Thursday, Target and Google announced that they are expanding what was a years-old delivery partnership from a small experiment in a handful of cities to the entire continental U.S. The expansion will allow Target to become a retail partner in Google’s voice-shopping initiative, which lets owners of the Google Home “smart” speaker order items through voice commands like owners of the Echo can do from Amazon. The announcement comes seven weeks after Walmart inked a similar deal with Google to offer hundreds of thousands of products through the service. Other big-box retailers like Home Depot are also on board. Voice commerce was the core of these recent announcements, and it may someday become popular for types of shopping like reordering household staples. But that’s not what is most interesting here to me. Instead, it’s the promise that Target is also beginning to work with Google “to create innovative digital experiences using ... other cutting-edge technologies to elevate Target’s strength in style areas such as home, apparel and beauty.” “Target ​and ​Google ​teams ​are ​working ​on ... building ​experiences ​that digitally ​replicate ​the ​joy ​of ​shopping ​a ​Target ​store ​to ​discover ​stylish ​and ​affordable ​products,” Target’s digital chief ​Mike ​McNamara said in a press release.

By |2017-10-16T09:00:56+00:00October 16th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Jean-Pierre Corniou : «L’automobile n’est plus une solution pour les villes»

Êtes-vous surpris par cette annonce soudaine ? Pas du tout ! Elle s'inscrit dans la suite logique du « plan climat », présenté en juillet par le gouvernement, qui vise notamment à mettre fin à la vente des voitures à essence et diesel d'ici à 2040. Surtout, l'interdiction des véhicules thermiques va dans le sens de l'histoire. Des villes comme Copenhague au Danemark, et Stockholm en Suède, ont déjà pris des mesures en ce sens. L'on sait aussi que plus de 60 % des Parisiens ne possèdent pas de voitures. Cette mesure n'est-elle pas injuste pour les habitants de banlieue, parfois obligés de rouler dans Paris ? Bien sûr, cela peut poser un problème pour certains d'entre eux, en particulier les plus modestes. Seulement, il reste un peu plus de douze ans aux automobilistes pour s'y préparer et passer à l'électrique, notamment. C'est un délai plutôt raisonnable.

By |2017-10-16T09:00:48+00:00October 16th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Whole Foods Price Cuts Appear to Be Drawing Shoppers

Amazon’s widely reported price cuts at its newly acquired Whole Foods unit appear to be driving foot traffic to the store—and away from some competitors. A study by data intelligence firm Thasos found that foot traffic to Whole Foods rose in the wake of the acquisition and price reductions. It also found that the closer a retailer was to a Whole Foods, the more likely it was to lose shoppers to the chain. Specialty grocery retailer Trader Joe’s and organic grocery chain Sprouts Farmers Market saw the highest rates of decline in foot traffic in the first weeks after the acquisition and price cuts were announced. Thasos analyzed foot traffic at Whole Foods stores as well as competitors located within a 20-mile radius of those stores, including supermarket chains, warehouse stores and mass retailers. It examined data over the course of four weeks: one week prior to the price reductions, and the three weeks immediately after.

By |2017-10-12T22:34:04+00:00October 12th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Voitures polluantes : la course contre la montre des villes européennes

Les unes après les autres, les capitales multiplient les mesures pour améliorer la qualité de l’air. L’achat de véhicules électriques est encouragé. Croisera-t-on encore des voitures non électriques à Paris en 2030 ? La question se pose alors que la maire de la capitale a annoncé ce jeudi se fixer pour objectif la fin des véhicules à essence en 2030. Une première dans l'Hexagone. Alors que la pollution de l'air, liée en partie à la circulation automobile, est responsable de la mort de 500.000 personnes par an en Europe et que les principaux constructeurs automobiles se lancent à toute allure dans la course à la voiture électrique , les grandes municipalités européennes ne sont pas en reste. Chacune leur tour, elles n'hésitent pas à annoncer des mesures draconiennes contre l'automobile, devançant parfois les objectifs fixés par les gouvernements. De Paris à Madrid en passant par Oslo, tour d'horizon - non exhaustif - des mesures prises récemment contre les véhicules polluants. 1) Paris se fixe une « trajectoire » Après la fin des voitures diesel, fixée en 2024, Paris s'attaque aux voitures à essence en 2030. La proposition, qui sera débattue au Conseil de Paris en novembre, n'a pas manqué de faire réagir l'opposition à la maire socialiste, Anne Hidalgo. La municipalité s'est cependant empressée de préciser qu'il ne s'agissait pas d'une « interdiction » mais d'une « trajectoire » à suivre. La Ville de Paris, qui a fait de la réduction du trafic routier une priorité, se veut pionnière en la matière en France. Début juillet, le ministre de l'Environnement Nicolas Hulot s'est engagé sur « la fin de la vente » des voitures thermiques (diesel et essence) d'ici à 2040 , citant l'exemple du constructeur Volvo, dont tous les véhicules seront équipés d'un moteur électrique à partir de 2019 . 2) En Grande-Bretagne, Oxford tient la corde Les débats sur la pollution de l'air et la circulation sont anciens à Londres, qui a mis en place un péage urbain en 2005. Elu en 2016, le maire, Sadiq Khan, a pris plusieurs mesures en faveur de l'environnement. A partir du 23 octobre, les véhicules polluants circulant dans le centre-ville aux heures de pointe devront s'acquitter d'une taxe . La municipalité compte aller plus loin à partir d'avril 2019, dans le cadre du programme « The Ultra Low Emission Zone ».

By |2017-10-12T21:55:30+00:00October 12th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Dove, de la «vraie beauté des femmes» aux accusations de racisme

Les internautes exercent une véritable vigie sur les contenus postés sur les réseaux sociaux : les bonnes comme les mauvaises initiatives ne tardent pas à être pointées du doigt. La marque française Dove, propriété du groupe néerlandais Unilever, a pu s’en rendre compte ce week-end, lorsqu’une publicité faisant la promotion d’un gel douche, initialement publiée sur la page Facebook de Dove aux Etats-Unis, a été taxée de racisme. Dans cette courte vidéo désormais supprimée, une femme noire enlève un tee-shirt pour laisser apparaître une femme blanche, qui enlève à son tour son tee-shirt pour dévoiler une troisième femme typée asiatique. Outrés par une capture d’écran montrant simplement les deux premières femmes, les internautes ont massivement réagi sur les réseaux sociaux, lançant sur Twitter le hashtag #BoycottDove.

By |2017-10-10T21:17:47+00:00October 10th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Tim Cook : “Le code informatique est plus important que l’anglais”

Avant de se rendre à l'Élysée pour parler fiscalité et développement numérique, le numéro un d'Apple a visité plusieurs start-up françaises. Le 9 octobre 2017, Tim Cook, le patron d'Apple, visite l'entreprise normande Eldim, à Hérouville-Saint-Clair (Calvados), près de Caen, avec son PDG Thierry Leroux. La société fournit une technologie de reconnaissance faciale au géant amricain pour son nouvel iPhone X. Il avait effectué son tout premier voyage officiel en France en février dernier. Passé par Marseille et Paris, Tim Cook avait alors visité plusieurs Apple Stores, et rencontré notamment le photographe-star d'Instagram Jean-Claude Luong, alias Fotomaniak, ou encore le styliste de haute couture Julien Fournié. Huit mois plus tard, le numéro un d'Apple est déjà de retour. Il était près de Caen, ce lundi matin, dans les locaux d'Eldim, une start-up spécialisée dans l'analyse de la réflection de la lumière.

By |2017-10-10T21:06:19+00:00October 10th, 2017|Scoop.it|0 Comments

How Cryptocurrencies Became the World’s Most Expensive Joke

Japan’s Monacoin, which features a cartoon meme cat, has a market cap of $26 million at the time of writing (it’s been as high as $43 million in the past). And then there’s Pepe Cash and PepeCoin (with the currency ticker MEME), both of which are based on the cartoon Pepe the Frog, a meme that has separately been linked to the alt-right movement — these have market caps of roughly $9 million and $4 million, respectively. Insane Coin, which started “as a complete and utter joke,” says developer Dave Adsett, is now hoping to reclaim a serious image with educational and business services as well as physical stores accepting the digital currency. The total value of all the Insane in existence is around $1 million. ALL THE MONEY BEING THROWN AROUND AT USELESS CURRENCIES DISTRACTS FROM THE IMPORTANT DEVELOPMENT OF BLOCKCHAIN TECHNOLOGY. For Palmer, now a product manager in San Francisco, it’s a symptom of a big bubble in the marketplace. Dogecoin’s success “was kind of terrifying, because it just further reinforced the point of the joke that people were willing to throw money at something that ridiculous,” he says. “I think what’s driving a lot of it is greed.” Palmer didn’t keep any of the currency himself and stopped active involvement with the Dogecoin community in 2015. Plus, he says, all the money being thrown around at useless currencies distracts from the important development of blockchain technology — infrastructures of secure, distributed ledgers that can support record keeping and transactional systems, kinda like an internet for value — that underlies cryptocurrencies. Palmer draws an analogy to the late-’90s dot-com bubble that placed unreasonable valuations on web-based companies, despite the technologies behind the internet being worthy of genuine excitement. Not everyone agrees with Palmer’s analysis. “I just see [joke tokens] as an indicator of mainstream adoption being right around the corner,” says a co-developer of a FUCK (Finally Usable Crypto Karma) token who goes only by Shwifteey. FUCK, which has a market cap of around $1 million, is “far from” a joke, Shwifteey insists, but it is instead a way to tip fellow social media users. Of course, joke coins have not completely taken over the cryptocurrency space. Several hundred coins and tokens with multimillion-dollar market caps are listed on major exchanges, with many startups offering Initial Coin Offerings (ICOs) as a way to crowd-fund tens of millions of dollars from crypto-enthusiasts (though Palmer estimates that “probably 95 percent” of these are as useless as a meme). With leading digital currencies like Bitcoin, Ether and Litecoin all boasting a total market cap of several billion dollars, only Dogecoin counts among the major players — for now. “It’s crazy to say, but $10 million is absolutely tiny” in the marketplace where new coins, sometimes even hyped by celebrities, can race to nine-figure valuations in a matter of hours, says Palmer. And maybe that is as much an indicator of a crypto-bubble as the million-dollar memes.

By |2017-10-10T20:12:56+00:00October 10th, 2017|Scoop.it|0 Comments