Monthly Archives: September 2018

Facebook utilise le numéro de téléphone servant à sécuriser le compte à des fins publicitaires

Selon une étude, l'entreprise ne dit pas clairement aux utilisateurs quelles sont les données utilisées pour leur envoyer de la publicité.« Si c'est gratuit, c'est que vous êtes le produit ». Le slogan est bien connu dans le business des réseaux sociaux, et notamment chez le premier d'entre eux Facebook. Si l'accès est ainsi gratuit, une partie du modèle est en revanche basée sur les données personnelles des utilisateurs, qui sont exploitées à des fins publicitaires.On apprend désormais jusqu'où ce ciblage peut aller. Le réseau social a ainsi reconnu qu'il pouvait aussi se servir du numéro de téléphone fourni par les utilisateurs pour sécuriser leur compte à des fins publicitaires, confirmant partiellement les affirmations d'une étude universitaire.Carnet d'adressesOutre le numéro de téléphone, Facebook utilise aussi l'email de contact servant à recevoir des messages d'alerte si le réseau a détecté une activité suspecte, pour définir l'identité des utilisateurs.D'après l'étude, révélée cette semaine par le site spécialisé Gizmodo , sur « les sources d'information personnelles d'identification utilisées dans le ciblage publicitaire par Facebook », l'entreprise ne dit pas clairement aux utilisateurs quelles sont les données utilisées à des fins publicitaires et ne leur permet pas non plus de les « contrôler directement ».L'étude affirme que Facebook utilise aussi les contacts du carnet d'adresses du téléphone de l'usager (auquel le réseau social a accès après que l'utilisateur l'a autorisé à scanner ses contacts pour y trouver des « amis ») pour permettre aux annonceurs de cibler leurs messages, à l'insu des intéressés.Les quatre auteurs indiquent avoir vérifié toutes ces affirmations en faisant des tests. « Nos découvertes restent vraies, même quand on active les paramètres de confidentialité » au niveau maximum de protection, affirment-ils.

By |2018-09-28T08:06:24+00:00September 28th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Unilever pushes for more ‘progressive’ portrayals of people in advertising

Unilever is urging the marketing industry to show more “progressive” portrayals of people in ads after finding that while strides have been made to eliminate harmful and regressive stereotypes the industry is failing to show people in forward-looking roles.The call comes as Unilever looks to “supercharge” its Unstereotype initiative, which it launched in 2016 with the aim of eradicating stereotypes in advertising. Aline Santos, executive vice-president of global marketing and global head of diversity and inclusion at Unilever, believes the industry needs to “work harder” to be more representative.“Our industry has worked hard to remove harmful stereotypes and must continue to do so. But this agenda is about more than removing harmful stereotypes. We must work harder to be more representative and inclusive in our portrayals of all people, considering not only gender, but other dimensions such as race, class, language, sexuality,” she explains.

By |2018-09-27T16:00:19+00:00September 27th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Pour son 20e anniversaire, Google fait évoluer son moteur de recherche

Mais le coeur de son business model - et l'écrasante majorité de ses revenus - reste son moteur de recherche. Celui-ci détient toujours près de 90 % de parts de marché, Yahoo!, Microsoft (Bing) et Amazon se partageant les miettes.Google continue de recueillir les fruits d'un système qui a peu changé en vingt ans. « Il  fonctionne toujours sur les mêmes principes de base », a expliqué Ben Gomes, le vice-président de Google en charge de la recherche, lors d'une conférence organisée lundi à San Francisco.En son coeur, PageRank, la formule créée par les deux co-fondateurs de l'entreprise , qui mesure l'importance d'une page en fonction du nombre et de l'importance de liens externes qui pointent vers elle, est proche du système de citations dans la littérature scientifique.L'apparition de nouveaux portails, notamment des réseaux sociaux, a cependant changé la manière dont les internautes découvrent du contenu et la société de Mountain View doit s'adapter. Lundi, ses dirigeants ont annoncé plusieurs modifications, puisant leur inspiration dans des outils comme Snapchat, Instagram et Pinterest.Google veut désormais être plus proactif en recommandant des contenus même en l'absence de requêtes. Il veut aussi davantage personnaliser la sélection et mettre plus l'accent sur les contenus visuels.

By |2018-09-25T18:44:43+00:00September 25th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Facebook : les fondateurs et dirigeants d’Instagram démissionnent

Nouveau coup dur pour Facebook. Les deux fondateurs et dirigeants d'Instagram, l'application de partage de photos  rachetée par le plus grand réseau social du monde en 2012, ont annoncé leur démission et vont quitter l'entreprise « dans les semaines qui viennent ». Des sources proches des deux hommes évoquent des relations tendues avec Mark Zuckerberg.Kevin Systrom, directeur général d'Instagram, et Mike Krieger, directeur des affaires technologiques, ont informé lundi de leur décision le reste de l'équipe dirigeante ainsi que la maison mère d'Instagram, Facebook, mais sans donner d'explications,  a révélé le « New York Times » , avant que les deux fondateurs n'officialisent la nouvelle  dans un communiqué .« Nous souhaitons prendre un peu de temps pour explorer à nouveau notre curiosité et notre créativité », y écrit Kevin Systrom, qui évoque la nécessité, pour lui, de « prendre du recul » avant de lancer de nouveaux projets. De son côté, Facebook n'a pas encore commenté ces départs.Un Mark Zuckerberg trop présentSi les deux hommes ne donnent pas de raison claire de leur démission, plusieurs sources internes de Facebook ont évoqué  auprès de Bloomberg des relations devenues tendues avec Mark Zuckerberg. En cause, l'investissement croissant du patron de Facebook dans les affaires d'Instagram.

By |2018-09-25T09:28:12+00:00September 25th, 2018|Scoop.it|0 Comments

BlaBlaCar repart de l’avant et atteint la rentabilité

Après un passage à vide, BlaBlaCar est reparti de l'avant. Le leader du covoiturage suscitait depuis plusieurs mois  des inquiétudes sur sa capacité à résister à une concurrence qui s'est nettement durcie, inquiétudes alimentées par le silence de la jeune pousse sur l'évolution de son activité.Nicolas Brusson, le PDG, a décidé de dissiper les doutes. « Nous allons transporter plus de 50 millions de passagers cette année, indique-t-il dans un entretien aux « Echos ». Cela représente une croissance de 40 % par rapport à 2017. »Impact des grèves SNCF, mais pas seulementEt cette forte hausse n'est pas seulement due aux grèves SNCF du printemps, qui ont rabattu les clients du train  vers d'autres modes de transport , précise le dirigeant : « La France ne représente qu'un quart de notre activité passager. Et il y a certes eu sur ce marché un effet grève indéniable, mais pas si important que cela, car son impact a été limité dans le temps, alors que la croissance de l'activité s'est poursuivie cet été »

By |2018-09-25T09:27:27+00:00September 25th, 2018|Scoop.it|0 Comments

« La pub en ligne est devenue cannibale »

C'est l'histoire du verre à moitié vide ou à moitié plein : chacun choisi d'être cynique et résigné ou plus naïf et enthousiaste. Depuis début 2018, Google Chrome, qui d'après StatCounter est utilisé pour afficher environ 56% des pages web, veut débarrasser la Toile des sites remplis de publicités ou dégradés par des pubs détestables. Annoncée par Ryan Schoen, chef de produit Google, l'intention est concrétisée par l'intégration dans Chrome d'un bloqueur publicitaire qui s’attaque aux pop-up, aux vidéos en lecture automatique avec du son, aux pages plein écran ainsi qu’aux pubs avec compte à rebours. Bref tout ce qui ne correspond pas aux standards de la Coalition for Better Ads, le groupement international auquel Google vient d'adhérer. Réponse sérieuse appropriée ou leurre hypocrite inutile ? " Cela peut d'abord faire sourire car ce filtre ne va bloquer que 1% des pubs. Mais c'est la preuve d'un changement en marche. Google est la première plateforme publicitaire sur le Web, donc cette autorégulation est un énorme pas en avant ", tranche Laura Dornheim, docteur en informatique et chargée de communication de la société allemande Eyeo, qui édite Adblock Plus, premier bloqueur publicitaire au monde. D'après Deloitte, 31% des utilisateurs du web sollicitent un bloqueur de publicités dans le monde, ils sont même 45% concernant les millennials. Fin 2016, une étude de l'agence Fabernovel Data & Media " Adblock, enquête sur un détraqueur de performance digitale ", apportait son écot au débat sur les moyens de contourner l'Adblocking, qui finalement peut se révéler être un mal pour un bien pour l'industrie publicitaire. La pub n'a jamais eu une bonne image auprès du grand public. L'adblock rejette carrément aujourd'hui sa raison d'être, la faute au matraquage en ligne. L'industrie doit donc se réguler pour changer ses pratiques et montrer ses deux visages. Au printemps dernier, un projet participatif original sollicite cette remise en question. En octobre 2017, l’Office Hollandais des Fleurs transformait un adblock en bannière publicitaire originale, en l'occurrence un magnifique tableau floral artistique. " Chacun possède sa vision du web et c'est à nous de les aider à se rapprocher de cette idée qu'ils se font d'Internet. Adblock Plus est un outil de choix et de liberté ", estime Laura Dornheim. Avec Adblock Plus et Flattr, le service de micro-paiement en ligne, elle veut assainir la Toile.

By |2018-09-25T09:20:54+00:00September 25th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Lock-up, LBO, Down Round… Découvrez le glossaire de la levée de fonds – Maddyness – Le Magazine des Startups Françaises

Il fait le pari que sa vision soit la bonne et met rapidement la main au portefeuille avec une ambition : remettre l’entreprise à l’équilibre en 2019. Pour ce faire, Withings nouvelle génération se concentre sur trois produits : le pèse-personne, la montre et le capteur de sommeil. Trois produits qui « ouvrent de nombreuses possibilités d’accompagnement des utilisateurs ». Le premier produit développé par la société de nouveau indépendante, la montre connectée hybride multisport Steel HR Sport, a déjà trouvé le chemin des rayons, tandis que les stocks des produits encore brandés Nokia s’écoulent tranquillement à travers l’Europe mais également les États-Unis (qui représentent 35 à 40% du chiffre d’affaires de la société) ou encore l’Asie.« Produit, service, données » : le triptyque de la galaxie CarreelUn retour aux sources, qui n’était pas du tout prévu mais qui ne semble toutefois pas inquiéter ce serial entrepreneur à la tête d’une ribambelle de bambins premiers de la classe : « Je suis président de ces sociétés mais ce n’est pas moi qui les gère, et puis trois de ces quatre entreprises (Invoxia, Withings et Zoov) sont dans un rayon de 300 mètres à Issy Les Moulineaux, je peux donc y passer plusieurs fois par jour. » Si ces sociétés sont aussi proches géorgraphiquement, malgré qu’elle ne soit pas gérées par une même entité, c’est que l’ingénieur de formation souhaite encourager la fertilisation croisée. « Tous les collaborateurs de ces sociétés mangent à la même cantine, travaillent dans un même état d’esprit : offrir un service qu’elles améliorent sans cesse. Il y a une véritable spirale vertueuse dans ce triptyque « produit service données », qui fait que plus vous travaillez a améliorer le service, plus vous tirez partie des données et plus le système s’enrichit. »C’est aussi le cas de Zoov, le service de partage de vélos à assistance électrique, qui va être expérimenté sur le plateau de Saclay à la fin de l’année. « Zoov, ce n’est pas une entreprise de mécanique, ce n’est pas une entreprise de services qui ferait tous les types de services, c’est une entreprise orientée data qui va voir comment elle peut offrir le meilleur service possible dans ce domaine du vélo électrique partagé. » Fondée en 2017 avec Arnaud Le Rodallec et Amira Haberah, Zoov est une application de plus du modèle Carreel. « À l’origine, je travaillais dans les télécommunications, puis je me suis mis aux produits connectés dans la santé, avec en tête ce triptyque vertueux dont on a parlé plus tôt. Pour créer les autre sociétés, on on a cherché quels étaient les autres domaines dans lequel tirer partie des données pour offrir un meilleur service pouvait s’appliquer. On a tiré beaucoup de fils et la dernière idée (Zoov, donc) est venue lors d’une discussion sur la transformation des modalités de transport. »Spirale vertueuse, même mission et fertilisation croisée, Eric Carreel aurait-il créé une nouvelle forme de startup studio ? Il rit mais balaye rapidement l’idée. « Il n’y a pas de règle dans ma manière de créer des entreprises, hormis celle d’avoir des cofondateurs. Au démarrage, nous fonctionnons toujours sur fonds propres avant de boucler une levée pour accélérer, c’est aussi ce qui va se passer pour Zoov dans les prochaines semaines. »

By |2018-09-25T08:53:51+00:00September 25th, 2018|Scoop.it|0 Comments

How Alexa Could Fix the Microwave

Every microwave has different presets with different button combinations that do different things. It's more difficult than memorizing attack combos in Street Fighter II. No one should have to remember all that.If Amazon gets its new microwave right, it could really improve the experience. Instead of using those horrible button combos, we could begin to tell our microwave the gist of what we want it to do—"defrost two cups of frozen peas"—and let it do the heavy lifting. The company says that at launch, the microwave should be able to defrost several types of foods, like vegetables or chicken, by varying the microwave's power level, as well as adjust the cook time. It could mean a lot fewer undercooked potatoes and far less exploding tomato sauce in our future.Standard microwaves can't learn new tricks, but Alexa can. Amazon could continually refine the software with new foods, meaning a voice-connected microwave may actually get better over time. It'll be no time before Google introduces one of its own.Better Nuking AheadOf course, Amazon's microwave may not live up to its potential. We weren't all that impressed with GE’s Smart Countertop Microwave, which also comes with Alexa compatibility. In that device, Alexa doesn't actually vary the power level or do all that much.And talking to the microwave isn't always convenient. It takes less time to press the "add 30 seconds" button than to press the Alexa button, then ask Alexa to add 30 seconds. You can command Alexa to stop the microwave, but why would you do that when you could just push a button yourself? You have to open the door to get your food, after all.Then there are the privacy pitfalls. Do we really want Amazon to keep a detailed log of all our microwave use? Overzealous data logging is a problem with almost every new connected device—and a microwave might not benefit us enough to make the privacy tradeoff worth it.Amazon hopes the extremely low price will ward off those concerns. At $60, the AmazonBasics Microwave is nearly half the price of some competitors. That alone will convince some people to try it.

By |2018-09-24T21:43:24+00:00September 24th, 2018|Scoop.it|0 Comments

‘Maniac’ Is the Most Netflix-y Netflix Show Yet. In a Bad Way

So, yes: Maniac looks great. It will inspire a zillion frame-grabs and GIFs. But it doesn't inspire anything else. It's a show that wants you to think it has all sorts of ideas: About the rigors of mental illness; about the false escapism of addiction; about the increasing corporatization of our lives. But after several show-offy hours, Maniac doesn't reveal a single truth or idea that hasn't already been kicked around—with more honesty and heart—in movies like Eternal Sunshine of the Spotless Mind or Melancholia.Just as Maniac was hitting its low—in every way possible—with that dopey It’s a Wonderful Life one-liner, I wondered, "Who is this show for?" But the answer's obvious: It's for Netflix. Maniac will no doubt give the streamer a few weeks of Twitter buzz, maybe a few Emmy nominations—and yet another reason to brag about how it's figured out what TV should be. Don't fall for it. Maniac is an empty screen. If doesn't happen to you, there'll be be no difference in the world.

By |2018-09-24T21:41:59+00:00September 24th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Marketers’ dream of voice commerce is fading

The difficulties with voice assistants (and smart speakers in particular) are plentiful. Firstly, despite the ad campaigns, it is difficult to know the extent of their functionality without research or trial and error. And though natural language processing has massively improved, users still have to be savvy in the way they communicate with voice assistants.As a quote attributed to Brian Ferren goes: “Technology is stuff that doesn’t work yet.” The third party ‘skills’ (the voice version of apps) available through Alexa early on have been developed in a rush to test the possibilities of the tech and not always with the user in mind.The main issueBut these are not big problems for voice commerce. The main problem is the way that we like to shop. We like to see stuff before we buy it.Now, I know the Echo Show has a screen, and that voice assistants can be used on a smartphone, but the fundamental point of voice commerce is something that is swifter, more hands-free and more eyes-free than interacting with a screen.If you asked any ecommerce professional to name the most important feature of an ecommerce site, many would say product imagery. Helping online shoppers have confidence in what they are getting is a big part of converting visitors into sales. And that’s not just for fashion or furniture, imagery is important for online groceries, too. We may not need a HD image of our Findus Crispy Pancakes or the ability to rotate the image 360 degrees, but we certainly need an image of the packet for that instant recognition and reassurance: “Yes, those are the pancakes.”Even if we become accustomed to asking a voice assistant to add our favourite products to our basket, there are other issues that could make the experience seem redundant. For important and regular orders, consumers are perhaps more likely to set up a subscription with Amazon or direct with the brand in question – weekly dog food deliveries, for example.

By |2018-09-24T21:19:53+00:00September 24th, 2018|Scoop.it|0 Comments