Monthly Archives: February 2019

With HQ2, New York and Amazon Played a Zero Sum Game—And Everyone Lost

With the rise of anti-plutocratic populism, Amazon is the first major casualty of what is sure to be an escalating conflict. Its decision to terminate its planned expansion in the Queens neighborhood of Long Island City will be bad for New York City, bad for Amazon, and not so great for a national economic system that will need all of the investment and innovation it can get in the years ahead. Everyone will survive, but this surge of economic NIMBY-ism will make no one richer, no one more economically secure, and will not advance the vital cause of expanding opportunities and meeting the needs of neighborhoods and communities that require more—and not less—investment.The decision by Amazon to discontinue its plans was the product of months of building opposition from a loose coalition of New Yorkers, including a state senator who was appointed to the commission that could have thwarted Amazon’s expansion, labor leaders demanding a more receptive approach to the unionizing of Amazon workers, and, of course, new elected congressmember Alexandria Ocasio-Cortez, who tweeted triumphantly, “Anything is possible: today was the day a group of dedicated, everyday New Yorkers & their neighbors defeated Amazon’s corporate greed, its worker exploitation, and the power of the richest man in the world.”As many have now noted, Amazon should have been prepared for the rough-and-tumble world of New York politics, and the company was not. In New York, nothing is easy when it comes to cobbling together constituencies that speak with the cacophony of many voices. Brad Stone, one of the leading Amazon watchers, observed that in deciding not to engage in the nitty-gritty of city politics, Amazon’s CEO, Jeff Bezos, did what he always does when faced with resistance—by “belligerently confronting opposition he views as unfair or unjust.” Rather than wooing New York, Bezos responded with an all too New York F-you.

By |2019-02-19T19:04:31+00:00February 19th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Cette nuit en Asie : Quand Alibaba crée une appli à la gloire de Xi Jinping

L'appli a été développée par le géant Alibaba. Plus précisément, c'est une équipe dédiée aux projets spéciaux du leader chinois du e-commerce, connue sous le nom de « Business Unit Projets Y », qui assure le développement et la maintenance de l'appli, a révélé l'agence Reuters.Alibaba, dont on sait officiellement depuis l'automne dernier que le fondateur et président Jack Ma est membre du Parti communiste, n'a pas souhaité s'exprimer sur le sujet. Mais les liens entre le groupe privé et l'appli de propagande sont nombreux. Un utilisateur de l'application de messagerie DingTalk d'Alibaba peut utiliser directement ses identifiants pour se connecter à Xuexi Qiangguo. Une offre d'emploi pour Xuexi Qiangguo a également été publiée sur le site internet d'Alibaba.La popularité de l'application peut être attribuée aux directives émises par les autorités locales et les universités qui ont obligé les membres du Parti communiste à la télécharger. Une jeune fonctionnaire de Pékin, comptant parmi les quelque 90 millions membres du Parti communiste chinois, confirme aux Echos avoir reçu l'ordre de son unité de travail de télécharger l'application pour mieux étudier la pensée de Xi Jinping.

By |2019-02-19T18:44:44+00:00February 19th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Apple cherche à tourner la page du luxe

Après avoir réuni sous la même entité tout le retail d'Apple (distribution physique et en ligne), qui pèse environ un tiers des revenus, Angela Ahrendts a repensé le concept de la vente, rendant invisible toute référence au paiement, convertissant les vendeurs en conseillers branchés et transformant les magasins en véritables lieux d'échange et d'apprentissage, avec des sessions de formation gratuites et ouvertes à tous.« Elle a réussi à implanter Apple dans tous les endroits iconiques de la planète, avec des emplacements exceptionnels, qui ont permis de faire briller la marque », complète Carolina Milanesi, analyste chez Creative Strategies. Les Apple Store, dont le nombre a augmenté de 25 % en cinq ans avec 506 magasins, sont même devenus de véritables attractions touristiques.Montres Hermès, enceintes DevialetLa transformation des boutiques, plus élégantes, plus ouvertes mais aussi plus luxueuses, a accompagné la montée en gamme progressive de la marque à la pomme. En magasin, ordinateurs et tablettes côtoient les montres connectées réalisées avec Hermès et les enceintes sophistiquées du français Devialet. Depuis 2017 et le lancement de l'iPhone X, Apple a allègrement franchi le seuil des 1.000 euros pour ses mobiles - le modèle le plus cher est facturé 1.659 euros - et fait basculer par la même occasion  l'univers du smartphone dans le luxe .Faut-il voir dans le départ d'Angela Ahrendts une remise en cause de la stratégie commerciale et, donc, de la distribution ? Pour certains analystes, les codes du luxe importés dans les magasins ont pu favoriser une relative désaffection des consommateurs, alors que les derniers iPhone Xs et Xs Max peinent à trouver leur public.Pour d'autres, Apple est surtout victime de la saturation globale du marché, et notamment de la chute des ventes en Chine. L'industrie vient d'ailleurs d'enregistrer sa  deuxième année de baisse d'affilée des ventes. « Apple n'est pas le seul à être monté en gamme. Huawei et Samsung l'ont imité », rappelle Carolina Milanesi.En se séparant de sa commerciale star, la firme à la pomme tourne en tout cas une page de son histoire. « Angela Ahrendts a fait le job. Le réseau de distribution a été remodelé, et sa remplaçante n'aura plus qu'à consolider le parc existant », estime Benoit Flamant, directeur de l'investissement digital chez Finaltis.

By |2019-02-19T18:09:50+00:00February 19th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Nike lance des baskets connectées auto-laçantes

Dans les faits ces chaussures intègrent une structure de tiges entourant le pied, actionnées par un petit moteur. La batterie de ce système se recharge par induction, en déposant ces souliers high-tech sur un tapis de chargement.Via une application ou simplement en appuyant sur les boutons apposés sur les côtés des chaussures, le propriétaire peut adapter le serrage en fonction de la dilatation du pied. Une option qui, selon Nike, permet aux joueurs de basket-ball de s'adapter à différentes situations comme l'échauffement, le jeu, ou l'attente sur le banc.Intérêt du grand publicUne technologie tournée vers les sportifs de haut niveau qui a d'ailleurs été portée par plusieurs joueurs du championnat de basket-ball américain (NBA) ces dernières semaines. Mais selon le « Parisien », les Adapt BB attirent aussi le grand public. Les premiers modèles mis sur le marché sont déjà proposés sur les sites de reventes en ligne à un prix presque doublé.Un engouement prometteur pour ce marché à venir des chaussures connectées qui ne manquera pas d'attirer les convoitises des rivaux de Nike. L'allemand Puma a d'ores et déjà prévu de sortir ses propres baskets auto-laçantes dans les mois à venir.

By |2019-02-19T18:09:06+00:00February 19th, 2019|Scoop.it|0 Comments

UP Magazine – Améliorer l’humain n’est pas sans risques pour la société

Aujourd'hui, les nouvelles technologies d'amélioration de l'humain sont principalement utilisées de manière réparatrice suite à un accident, une maladie ou un handicap de naissance. Une récente étude américaine, menée par Debra Whitman et publiée dans la revue Scientific American, démontre d'ailleurs que ces technologies réparatrices sont très bien acceptées par la population : 95% des sondés soutiennent une application réparatrice physique et 88% une application réparatrice cognitive. Toutefois, ce pourcentage chute à 35% lorsque l'on parle d'application qui vise à augmenter une capacité physique ou cognitive dans un simple but de performance. Pourquoi ? « On touche ici à l'essence de l'homme et une avalanche de questions éthiques en découle », explique Daphné Bavelier, professeure à la Section de psychologie de la Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation (FPSE) de l'UNIGE. C'est pourquoi une équipe internationale de chercheurs, mandatée par le World Economic Forum (WEF), s'est penchée sur les paramètres à prendre en compte lors du développement et de la distribution de ces nouvelles technologies d'amélioration de l'humain, afin de garantir une société équitable et le bien-être de la collectivité. Le bien-être conçu comme autonomie, compétence et relations socialesSouvent résumé aux indices économiques, le bien-être dépasse la notion d'argent une fois les besoins primaires satisfaits. La théorie de l'auto-détermination divise le bien-être en trois composantes principales : l'autonomie, soit la capacité à prendre soi-même ses décisions ; la compétence, être capable d'agir et de contribuer à la société ; les rapports sociaux, le tissu de relations sur lesquelles on peut compter. « Nous nous sommes interrogés sur l'impact individuel et collectif des technologies de l'augmentation de l'humain selon ces trois composantes, afin de mettre en garde les gouvernements contre les dérives possibles d'une utilisation libre de ces avancées scientifiques », résume Julian Savulescu, professeur au Centre de pratiques éthiques de l'Université d'Oxford. L'autonomie est définie par la capacité à prendre ses décisions sans être sous la contrainte d'une autre personne. Un individu peut donc choisir de subir une augmentation de ses facultés ou non. « Mais rapidement, il peut y avoir des dérives. Si un pilote militaire se fait améliorer la vision, il est possible que cette amélioration de l'acuité visuelle devienne obligatoire pour faire ce métier, illustre Daphné Bavelier. Dès lors, une personne qui souhaite devenir pilote sans pour autant se faire opérer se ferait d'office écarter de la profession. » Autre exemple : « Si les parents pouvaient choisir certaines caractéristiques de leur bébé, comme la force musculaire, la couleur des yeux ou l'intelligence, cela pourrait avoir de graves répercussions sur la diversité humaine, explique Simone Schürle, professeure au Département des sciences de la santé et des technologies de l'EPF Zurich. Certaines tendances pourraient favoriser des caractères particuliers, tandis que d'autres pourraient disparaître, réduisant la variabilité génétique. » Pourtant, chaque groupe de parents ne choisirait que les traits d'un seul bébé. « Chaque manipulation d'individu entraine des conséquences sur la collectivité », martèle Daphné Bavelier. Il en va de même pour les compétences. Comment faire si certaines personnes ont les moyens d'acheter de nouvelles compétences alors que d'autres non ? Comment les sociétés peuvent-elles rester compétitives si de tels avantages se marchandent ? Comment rivaliser contre des personnes augmentées ? « Le sport, via le dopage, est un excellent exemple de l'impact de l'augmentation d'un individu sur le collectif, explique Julian Savulescu. En prenant une substance qui améliore ses résultats, un athlète pousse d'autre à l'imiter, dans un souci de performance. Cela exige de nouvelles approches. La question clé n'est peut-être pas celle de l'efficacité des règlements, mais plutôt celle d'une nouvelle transparence qui permettrait à tout le monde d'accepter ou de refuser des améliorations, mais d'être ouvert à ce sujet et de tenir compte de l'utilisation dans les résultats.»

By |2019-02-19T17:59:41+00:00February 19th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Le marché des passerelles de l’Internet des objets va croître de près de 20% par an d’ici à 2022 – L’Embarqué

Selon la société d’études VDC, le marché des passerelles de l’Internet des objets, estimé à 1,3 milliard de dollars en 2017, a progressé l’année dernière à hauteur de 1,5 milliard de dollars, un montant dont plus de la moitié a été généré par les ventes de produits durcis ou renforcés contre les conditions environnementales. La croissance du marché ne devrait pas se démentir à moyen terme, VDC tablant sur une progression moyenne de 19,4% par an entre 2017 et 2022 (à hauteur de 3,2 milliards de dollars cette année-là).

By |2019-02-19T17:52:36+00:00February 19th, 2019|Scoop.it|0 Comments

The Presidential Daily Brief for February 19, 2019

The Middle Kingdom will launch solar farms into orbit within a decade to harness a steady supply of solar energy that would be beamed back to Earth, according to the state-backed Science and Technology Daily. Small tests of the technology will begin in 2021, with a megawatt-level facility planned by 2030 and a gigawatt-level station by 2050.Is China winning the space race? It has an $8 billion annual budget for space exploration — second only to the U.S. — and reportedly plans to 3D print the first lunar base.

By |2019-02-19T17:51:43+00:00February 19th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Another ‘Satoshi’ Steps Out of the Woodwork, Calls Craig Wright a Liar

It is difficult to figure out why someone would claim to be Satoshi without having the smoking gun that proves they are the creator of Bitcoin. Nevertheless, there’s been a number of self-professed Satoshis, but all of them have yet to convince the greater community. Craig Wright is probably the most famous of them all but news.Bitcoin.com has reported on various individuals who wholeheartedly believe they were involved with the creation of Bitcoin.Recently, the notorious Wright has been writing memoirs about his experience in the early days when he allegedly invented the protocol. One specific post called “Careful what you wish for…” is one of the most telling tales he’s written in a while and the post caught a lot of flak from the community. Most of the antagonism towards it was because Wright stated he was Satoshi but also declared he does not have to prove it. Wright has also been criticized for speaking negatively about Ross Ulbricht, the Silk Road, Julian Assange, and Wikileaks..After the post was published, readers noticed another person in the essay’s comment section calling Wright a liar and claiming to be Satoshi Nakamoto.“Liar — You, Dr. Craig Wright never had any digital key to sign, and no single proof of his claims — He could not even transact one bitcoin from my whale wallet,” explains the individual who believes he is Satoshi. “He did create an altcoin, BSV, then begged to convert bitcoin core into his crapcoin — Come on, you have nothing. You do not even know how I composed the genesis block and what I coded inside additionally.”The commenter continues:Yes, I do remember You, when You did try to trick me and ask me for a subkey. (Well, that was a dead end, I was warned by Hal about you.) Yes, I do remember our little IRC chat. And Your addiction to the dark world and the flattering of ego.PGP Key 0x5EC948A1The person also remarks by saying that when he digitally signs, he will show the world a registered, notary depot of his scientific paper (before the publication date on the internet) and the contents of the genesis block. Furthermore, the commenter left behind his Twitter handle @realsatoshin where he’s been telling people he is Satoshi for quite some time. The individual has 2,800 followers has tweeted publicly over 1,700 times. Many of the tweets declare he is the real Satoshi and explain that he will present himself in seven years. In the comment to Craig Wright, the person leaves the PGP key 0x5EC948A1 and explains that it was signed by Gavin and others in that time.

By |2019-02-19T17:47:18+00:00February 19th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Air France mise sur la biométrie et le digital

Après l'aéroport d'Atlanta et Delta, c'est au tour de Air France de tester le billet biométrique. Le passager est invité à enregistrer son passeport biométrique sur les bornes à l'aéroport ou dans l'application Air France. La carte d'embarquement distribuée contiendra ainsi toutes les données du voyageur et il suffira à ce dernier de la scanner à chaque passage de sécurité. Un automate s'occupera ensuite d'identifier la personne en croisant les informations du passeport biométrique et la personne prise en photo/filmée. Ce nouveau service est disponible lors de la dépose des bagages et l'embarquement du vol. En parallèle, la compagnie aérienne a annoncé que 100% de sa flotte serait équipée en Wi-Fi d'ici à 2020, contre 21 avions long-courrier. Ainsi, les voyageurs d'affaires pourront avoir accès à leurs messageries types Whatsapp, Messenger ou bien encore WeChat.

By |2019-02-19T17:40:36+00:00February 19th, 2019|Scoop.it|0 Comments

En France, les maires de campagne s’allient à Airbnb

15 000 communes françaises de moins de de 2 000 habitants, dépourvues d’offre hôtelière, figurent désormais sur la carte des voyageurs avec Airbnb, assure le géant américain. L’Association des Maires Ruraux de France (AMRF) et la plate-forme de locations saisonnières s’allient pour soutenir cette dynamique favorable à « une dispersion du tourisme au bénéfice de tous », ajoute un communiqué de la plate-forme. Dans plusieurs départements ruraux, le nombre de voyageurs sur Airbnb a connu une progression spectaculaire entre 2016 et 2018 : le Puy-de-Dôme a enregistré un bond de de 160%, la Corrèze de 200%.

By |2019-02-19T17:40:10+00:00February 19th, 2019|Scoop.it|0 Comments