Monthly Archives: July 2019

Environnement : jusqu’où les vacanciers sont-ils prêts à aller ? –

Les questions liées à l’environnement poussent-elles les vacanciers à changer leurs habitudes ? Le cabinet Protourisme a décidé de mettre les pieds dans le plats, en posant directement la question aux principaux intéressés. Car si le sujet est dans désormais dans toutes les têtes, le passage à l’acte n’est pas encore systématique… Loin de là. 72,9% des personnes sondées indiquent en effet que les questions liées à l’environnement n’ont rien changé à leurs habitudes. A l’inverse, 27,1% déclarent avoir modifié leurs projets de vacances en raison des questions environnementales. Comment ? D’abord en changeant de mode de transport : 56,1% (parmi les 27,1%) ont ainsi décidé de renoncer à prendre l’avion, 61,7% ont choisi d’opter pour le train et/oule covoiturage. Autre alternative : partir moins loin. C’est le choix effectué par 61% des répondants, quand 44,1% renoncent à partir à l’étranger. Mais c’est surtout du côté de l’hébergement et des activités que les vacanciers envisagent de faire des efforts : 71,2% décident d’opter pour un hébergement écologique, et 84% prévoient d’effectuer des activités peu impactantes pour l’environnement.200 000 vacanciers ont renoncé à prendre l’avionLes partants à l’étranger sont seulement 30% à fin juin pour juillet/août contre un tiers qui envisageait de partir en avril, soit 900 000 de moins, analyse le cabinet Protourisme. Et 200 000 vacanciers ont renoncé à prendre l’avion, faisant ainsi écho à la montée en puissance du « flightshame ».Au global, 15% des vacanciers disent renoncer à prendre l’avion (56,1% des 27,1%), 17% privilégient le train, 16% partent moins loin, 12% renoncent à partir à l’étranger, rapporte le cabinet Protourisme. 19% privilégient des hébergements écologiques (campings, labels…), et 23% choisissent des activités peu impactantes pour l’environnement.Dans quelle mesure l’engagement des opérateurs dans une démarche environnementale est-il un critère de décision entrant dans le choix des vacances ? Cela peut jouer pour 59,2% des voyageurs, mais 40,8% disent ne pas y être sensibles.Dans quelle mesure, enfin, les vacanciers sont-ils prêts à mettre la main au porte-monnaie pour des vacances éco-responsables ? 70% avouent ne pas être disposés à débourser beaucoup plus pour des vacances éco-responsables. Mais plus d’un quart des personnes sondées se disent prêtes à payer entre 5 et 10% de plus, et plus de 5% sont d’accord pour payer plus de 10%.

By |2019-07-16T10:26:42+00:00July 16th, 2019|Scoop.it|0 Comments

On TikTok, Teens Meme Life360, the Safety App Ruining Their Summer

Apps like Life360 can give kids and parents a sense of security, but they also raise questions about privacy and children’s autonomy. And on TikTok, teenagers are discussing and debating them. Videos with the hashtag #Life360 have been viewed there over 13 million times. In some of the most popular clips, teens share with each other strategies for circumventing the app, usually by turning off various phone settings. Other videos are less practical and serve more as a form of venting. In one recording with more than 30,000 likes, a photo of Life360’s founder and CEO Chris Hulls appears onscreen, while a rap song with the lyrics “Snitch, snitch, the snitch, the snitch, snitch” plays.“I think it’s completely unfair and detrimental to teenagers if their parents use this app on them regularly,” said a 16-year-old boy from Texas who, like all the young people in this story, was contacted via social media and requested anonymity to talk freely about his family. “I spend most of my time texting my parents about what’s going on rather than spending time with my friends.”Other teens are more understanding of their parents’ use of the app but think Life360 is too invasive. “If I am going a little over the speed limit on the freeway just to keep up with traffic, my parents freak out,” said a 16-year-old girl from California. “I understand where my parents are coming from, but I believe that the app has too many features that make it over the top.”Life360 COO David Rice argues that these teenagers represent a vocal minority. “Teens who take issue with Life360 are often the loudest, but in reality a vast majority of teens are OK with location sharing,” he said in an email. The practice has “become the new norm for today's digitally native families.”It’s true that not every young person resents constantly sharing their whereabouts with their parents. “Using the app makes me feel kind of safe, honestly,” said a 21-year-old woman from California. “And, like, me and my younger brother don’t lie to our parents, so if they call after checking the app, we always say where we are, but it’s just there for them to have it just in case we don’t call and check in.”There isn’t one correct way to parent, and tools like Life360 can make the often difficult process of raising a teenager easier. Adults today are often already more active in managing their kids’ lives, even while researchers have found that adolescents are having less sex, attending fewer parties, and abstaining in greater numbers from drugs and alcohol than previous generations.But location-sharing apps also provoke thorny questions about how much privacy children and young adults are entitled to. “Our legal system gives strong deference to parental freedoms and parental rights,” said Stacy Steinberg, a professor at the University of Florida Law School and the director of its Center on Children and Families. (There are at least some regulations to protect children’s personal information from corporations, like the Children's Online Privacy Protection Act of 1998, and Life360’s policies state that it doesn't use data from kids under 13 for marketing or advertising.)Even if it's totally legal for a parent to track their children, some experts have urged parents to consider how they go about it and the impact it could have on their teen's trust or their ability to practice independence. “[My parents] sometimes don’t let me do the simplest things, such as stopping to get ice cream on my own or stopping by friends’ houses to stay hello,” said an 18-year-old girl from Florida. “Before Life360, I’d do harmless things like these without letting my parents know, but now they have access to my every step.” Life360 can also add unnecessary stress; one teen asked WIRED to end an interview early because just talking about the app caused them anxiety.

By |2019-07-16T10:21:29+00:00July 16th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Facebook : vers une amende record de 5 milliards de dollars – Sud Ouest.fr

Le réseau social est dans la tourmente à cause de sa gestion des données personnelles des utilisateurs. Facebook va devoir verser une amende record de 5 milliards de dollars infligée par un régulateur américain pour les manquements du premier réseau social au monde en matière de protection des données personnelles, affirment plusieurs médias vendredi.L’accord à l’amiable, dont aucun détail n’a filtré, devrait aussi comporter des restrictions sur la façon dont Facebook utilise les données personnelles. C’est ce qu’indique le Wall Street Journal, qui a le premier fait état de la décision du régulateur.Le ministère de la Justice doit encore donner son feu vert à cet accord, adopté par les commissaires de l’agence de régulation fédérale (FTC) par 3 voix contre 2, indique le quotidien des affaires, citant une source proche du dossier.2,7 milliards d’utilisateurs La Bourse a applaudi des deux mains : l’action a atteint son niveau le plus haut de l’année pour finir à près de 205 dollars. Les investisseurs estiment sans doute que les restrictions ne seront pas trop sévères, comme semble l’indiquer l’opposition de deux commissaires démocrates à la décision alors que les trois républicains ont voté pour. Les données personnelles de ses plus de 2,7 milliards d’utilisateurs actifs mensuels sont le bien le plus précieux de Facebook, qui les collecte et les exploite pour en tirer d’immenses revenus publicitaires grâce à un ciblage très affiné. Mais c’est à cause de la façon dont ces données sont utilisées que le réseau social se trouve depuis deux ans dans la tourmente et fait face à une grave crise de confiance.

By |2019-07-15T15:40:49+00:00July 15th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Apple serait prête à investir 15 millions de dollars par épisode de série TV – MacBidouille.com

Apple a un retard considérable sur Netflix et Amazon dans le domaine de la distribution de contenu. Elle tente de refaire son retard ou tout du moins pour le début d'exister en ayant débauché nombre de pointures et en investissant massivement. Il lui faut des contenus exclusifs et elle veut y mettre le paquet. Elle s'apprêterait à financer à la hauteur de 15 millions de dollars des épisodes de séries.C'est la fourchette haute que Netflix investit.Le premier contenu exclusif (hors le stupide karaoké) sera une série post apocalyptique après une infection virale majeure qui a tué l'essentiel de la population.

By |2019-07-15T15:39:18+00:00July 15th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Mayotte : Au comité du tourisme, certains se la coulent douce

« L’île accueille en moyenne moins de 28 touristes par jour » ; «la part du tourisme d’agrément a décliné » indique le rapport rendu public le 11 juillet dernier. Si le travail de promotion des atouts de Mayotte pourrait être amélioré, il apparaît  toutefois  injuste de faire porter au Comité Départemental du Tourisme de Mayotte (CDTM) la pleine responsabilité d’un tourisme quasi inexistant.  Ce n’est pas de sa faute s’il en coûte deux fois plus cher d’aller à Mayotte qu’à la Réunion.  On y travaille… pas tropLe CDTM est sévèrement indexé  sur la gestion de son personnel. Les juges ont noté que les horaires de travail sont loin d’être respectés : « Alors que le personnel administratif du siège est censé être en poste du lundi au jeudi de 8 h 00 à 12 h 00 et de 13 h 00 à 17 h 00, il a été observé à plusieurs reprises que des mêmes agents ne reprennent le travail qu’à 14 h 00 et le quittent entre 16 h 00 et 16 h30 ". Les hôtesses d’accueil censées être en faction à l’aéroport à chaque arrivée d’avion ne sont souvent pas là. Sur le personnel employé au nettoyage surtout,  la chambre a calculé que trois agents employés à temps plein nettoient 32 m2 à l’heure au siège Place de la République, et 2 m2 à l’heure à l’aéroport. « D’après les normes communément admises dans le secteur des entreprises de nettoyage, une personne peut s’occuper du nettoyage de 130 à 230 m² de bureau à l’heure. Les locaux de l’aéroport nécessiteraient l’équivalent de 35 minutes par jour ».D’autres abus à corrigerEnfin le rapport détaille les jours fériés et les ponts entre les jours fériés et les week-ends, qui ajoutent jusqu’à 10 jours de vacances par an. Il y a aussi des suppléments familiaux injustifiés, des frais de voyages discutables. Tout cela c’est de l’argent public, la Chambre des Comptes demande au CTM de mieux le gérer. « Il appartient au CDTM de poursuivre ses efforts de gestion pour devenir un acteur incontournable en matière de tourisme » conclut le rapport de la CRC.

By |2019-07-15T15:38:03+00:00July 15th, 2019|Scoop.it|0 Comments

L’agriculture intensive menace de plus en plus la sécurité alimentaire

C’est une double dynamique dangereuse dans laquelle s’enfonce l’agriculture mondiale. D’un côté, les cultures sont de plus en plus dépendantes des insectes pollinisateurs pour pousser. De l’autre, ces mêmes cultures font appel à des pratiques qui affaiblissent les populations de pollinisateurs dont elles dépendent. C’est la conclusion d’une étude publiée le 10 juillet dans la revue scientifique Global Change Biology.L’équipe internationale de chercheurs à l’origine de cette publication, mêlant universités et centres de recherche argentins, nord-américains, européens, chilien et coréen, explique avoir étudié l’évolution des plantes cultivées à l’échelle mondiale, régionale et nationale entre 1961 et 2016, à partir des données de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). En un demi-siècle, les surfaces cultivées ont globalement augmenté de 40,6 %, écrivent-ils. Mais alors que les plantes ne dépendant pas de pollinisateurs n’ont augmenté en surface que de 17,3 %, les cultures dépendant de pollinisateurs ont explosé de 136,9 %. Cette forte croissance a fait passer les plantes dépendantes des pollinisateurs d’un cinquième des surfaces cultivées dans le monde en 1961 à près d’un tiers aujourd’hui.Monoculture contre diversité agricole Problème : dans le même temps, la diversité des cultures n’a, elle, que très peu augmenté (20 %). Or, cette diversité est primordiale pour assurer la bonne santé des insectes pollinisateurs, et donc la pérennité des récoltes qui en dépendent, expliquent les chercheurs. Autrement dit, la tendance à privilégier les vastes champs en monoculture réduit la nourriture disponible pour les insectes pollinisateurs et fait chuter leur population. D’autres pratiques liées à l’agriculture industrielle nuisent à l’environnement et aux pollinisateurs, comme la fragmentation et la disparition de leur habitat, ainsi que l’utilisation d’herbicides et de pesticides, rappelle l'étude.« Si la tendance actuelle d’une agriculture de plus en plus dépendante des pollinisateurs se poursuit, il y aura une augmentation mondiale des besoins de pollinisation et un risque que celle-ci vienne à manquer à cause de la réduction de la biodiversité, elle-même conséquence d’une agriculture moins diversifiée », résument les scientifiques.

By |2019-07-15T15:08:55+00:00July 15th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Bitcoin Slumps After Trump Slams Cryptocurrencies – July 15, 2019

Following President Trump’s criticism late last week, the most valuable virtual currency fell up to 15 percent over the weekend, while Ethereum and Litecoin dipped even more sharply, by 23 and 17 percent, respectively. Trump took aim at Libra, Facebook’s proposed virtual currency, tweeting Thursday that cryptocurrencies “are not money” and they “facilitate unlawful behavior.” Still, Bitcoin is up more than 160 percent from the beginning of 2019.Why does it matter? Trump’s critique may have actually been a crucial moment for cryptocurrencies because it showed they’ve become a significant part of the public conversation, analysts say.

By |2019-07-15T15:08:41+00:00July 15th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Mayotte : Au comité du tourisme, certains se la coulent douce

« L’île accueille en moyenne moins de 28 touristes par jour » ; «la part du tourisme d’agrément a décliné » indique le rapport rendu public le 11 juillet dernier. Si le travail de promotion des atouts de Mayotte pourrait être amélioré, il apparaît  toutefois  injuste de faire porter au Comité Départemental du Tourisme de Mayotte (CDTM) la pleine responsabilité d’un tourisme quasi inexistant.  Ce n’est pas de sa faute s’il en coûte deux fois plus cher d’aller à Mayotte qu’à la Réunion.  On y travaille… pas tropLe CDTM est sévèrement indexé  sur la gestion de son personnel. Les juges ont noté que les horaires de travail sont loin d’être respectés : « Alors que le personnel administratif du siège est censé être en poste du lundi au jeudi de 8 h 00 à 12 h 00 et de 13 h 00 à 17 h 00, il a été observé à plusieurs reprises que des mêmes agents ne reprennent le travail qu’à 14 h 00 et le quittent entre 16 h 00 et 16 h30 ". Les hôtesses d’accueil censées être en faction à l’aéroport à chaque arrivée d’avion ne sont souvent pas là. Sur le personnel employé au nettoyage surtout,  la chambre a calculé que trois agents employés à temps plein nettoient 32 m2 à l’heure au siège Place de la République, et 2 m2 à l’heure à l’aéroport. « D’après les normes communément admises dans le secteur des entreprises de nettoyage, une personne peut s’occuper du nettoyage de 130 à 230 m² de bureau à l’heure. Les locaux de l’aéroport nécessiteraient l’équivalent de 35 minutes par jour ».D’autres abus à corrigerEnfin le rapport détaille les jours fériés et les ponts entre les jours fériés et les week-ends, qui ajoutent jusqu’à 10 jours de vacances par an. Il y a aussi des suppléments familiaux injustifiés, des frais de voyages discutables. Tout cela c’est de l’argent public, la Chambre des Comptes demande au CTM de mieux le gérer. « Il appartient au CDTM de poursuivre ses efforts de gestion pour devenir un acteur incontournable en matière de tourisme » conclut le rapport de la CRC.

By |2019-07-15T14:17:32+00:00July 15th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Walmart’s e-commerce business on track to lose over $1 billion

Walmart’s attempt to catch up with Amazon comes at a huge cost — and it’s stirring up hard feelings within the company.While Walmart has been making investments — like buying Jet.com for $3.3 billion — to try to compete with Jeff Bezos’ behemoth, it’s been a drag on the big-box business’ profitability. So much so that Walmart is now projecting losses of over $1 billion for its U.S. e-commerce division, helmed by Marc Lore, this year, on sales of between $21 billion and $22 billion, according to a report by Vox, citing discussions with multiple sources familiar with those financials.Walmart didn’t immediately respond to CNBC’s request for comment on this story.Frustration has been growing within Walmart as these losses on Lore’s team mount, the report said. And now the company is reportedly pressuring Lore’s team to sell off some of the digitally native brands it’s acquired in an attempt to amass more inventory and gain the expertise of younger, e-commerce leaders. Citing discussions with people familiar, Vox said Walmart has discussed in recent months selling menswear brand Bonobos and women’s clothing retailer Modcloth.Walmart will reportedly likely sell ModCloth this year, for less than its purchase price. It reportedly still plans to hang onto Bonobos.Vox reported Bonobos, Modcloth and plus-sized fashion brand Eloquii — which it bought last year — are still unprofitable.And the report said Walmart won’t make any more acquisitions of digitally native brands for at least the next year, citing three sources, “barring an incredible acquisition opportunity that is just too good to pass up.” Instead, it said the retailer will lean more into incubating its own brands, like it did in creating mattress brand Allswell.Walmart had previously said it anticipated losses stemming from its e-commerce operations would increase in 2019.The company also recently announced a major overhaul at Jet, taking steps to more fully integrate the e-commerce platform into its own business. As part of the changes, Jet president Simon Belsham is expected to leave the company in August, with that role dissolving entirely.Meanwhile, tensions have reportedly been rising between Lore and the CEO of Walmart U.S., Greg Foran, who runs the retailer’s bricks-and-mortar stores.Foran would like for Walmart to put more resources toward cutting prices of items, not building digital brands, Vox reported. The report said Foran is also increasingly frustrated that Lore is getting credit for growing Walmart’s online grocery business, which is really more reliant on stores.This all calls into question just how much longer Lore will be at Walmart.

By |2019-07-15T14:15:41+00:00July 15th, 2019|Scoop.it|0 Comments

The Cryptocurrency Rush Transforming Old Swiss Gold Mines

THE SMALL VILLAGE of Gondo, high in the Alps on the Simplon Pass between Switzerland and Italy, traces its origins to the 17th-century gold mines of Kaspar Stockalper. It was a boom town, but when the mines closed in the late 1800s, the town went into a long decline; today it has around 50 full-time residents. But a few years ago Gondo began to attract a new kind of prospector—cryptocurrency miners attracted by the mountain town's cool temperatures and cheap hydroelectric power.The first miners to arrive were a group of young Swiss businessmen whose company, Alpine Tech, built a window­less bunker fitted out with 900 graphics cards (GPUs) to "mine" cryptocurrencies including bitcoin and ethereum. These and other digital currencies require massive computational power to verify blockchain transactions, so they reward people who provide that power with newly minted coins. Although still based in Gondo, Alpine Tech now operates mining facilities across Europe.Last year, Italian photographer Claudio Cerasoli made a series of visits to Gondo to document Alpine Tech's operations, as well as the remnants of the town's old gold mines. "From the beginning, I was fascinated by the similar terminology used in cryptocurrency and gold mining," Cerasoli says. "In both cases, despite the sophisticated technologies involved, there are small-scale, artisanal tech­niques to discover."The Alpine Tech team invited Cerasoli to photograph the racks of graphics cards in their underground concrete bunker, which is cooled by a dozen plastic tubes that pump 30,000 cubic meters of chilled air into the space every hour. Mining cryptocurrency is extremely energy intensive; an online tool built by University of Cambridge researchers estimates that the annual worldwide energy consumption of bitcoin alone equals that of Switzerland—the country that, coincidentally, has become something of a cryptocurrency hotbed.For his series The Gold of Gondo, Cerasoli juxtaposes photographs of blockchain computing with images of abandoned gold mines, prompting viewers to wonder what, in a hundred years, will remain of Alpine Tech's bitcoin boom. "Both gold miners in the past and these modern miners are motivated by the desire to discover a new world," Cerasoli says. "And they both had to create innovative ways to achieve their purpose."For now, at least, the cryptocurrency gold rush is on.

By |2019-07-15T13:55:32+00:00July 15th, 2019|Scoop.it|0 Comments