Monthly Archives: September 2019

Le géant américain du conseil a annoncé jeudi l'ouverture de son tout premier magasin de détail, appelé Modern Retail Collective, au Mall of America de Minneapolis. McKinsey prévoit d'exploiter ce magasin, qui fera office de laboratoire des tendances, pendant au moins un an.   Là où l'on ne l'attend pas. Le prestigieux cabinet de conseil McKinsey a révélé jeudi ouvrir son tout premier magasin dans le « Mall of America », l'un des plus grands centres commerciaux des Etats-Unis, situé à Minneapolis. Véritable laboratoire de vente au détail, à la place de l'ancien Abercrombie & Fitch, le magasin proposera un éventail de différentes marques en cosmétiques et sous-vêtements. Ces marques tourneront au fur et à mesure mais on sait déjà que les bijoux Kendra Scott, les soutiens-gorge ThirdLove ou les cosmétiques Elevé seront vendus dans l'enseigne. Le roulement est prévu tous les deux à trois mois. L'objectif est de tester les tendances et les nouvelles technologies auprès des clients, comme l'achat en cryptomonnaie ou les miroirs « intelligents ». Pour les bijoux Kendra Scott par exemple, il sera possible d'essayer différentes pierres sur un bracelet et voir à quoi ressemblerait le produit dans différentes configurations. Pas de loyer à payer « Compte tenu de la rapidité avec laquelle la technologie et l'analyse changent, nous ne pouvons vraiment pas rester à l'avant-garde des tendances sans nous salir les mains », a commenté Praveen Adhi, un associé chez McKinsey, auprès du Financial Times.  Les partenaires de McKinsey pour tester les technologies sont Microsoft mais aussi RetailNext et Zebra Technologies. Bien que la marque McKinsey soit invisible dans le magasin, la société recueillera des données qui l'aideront à conseiller ses clients. McKinsey ne s'attend en effet pas à tirer profit de cette entreprise, baptisée Modern Retail Collective. Au lieu de cela, il espère que les données tirées du projet l'aideront à mieux comprendre ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas dans le commerce de détail, et donc à améliorer la qualité des recommandations adressées aux clients. Mall of America ne facturera pas de loyer à McKinsey pour cet espace. Les revenus générés par le magasin iront directement aux détaillants, qui paieront des frais pour compenser certains des coûts de McKinsey.

Un véritable marathon. En une heure et demie, Amazon a présenté plus d'une douzaine de  nouveaux produits  dans ses locaux de Seattle, mercredi, donnant le tournis aux journalistes et aux analystes présents dans la salle. Paire de lunettes, écouteurs sans fils, bague, mais aussi déclinaisons de son enceinte Echo sous de multiples formats, micro-ondes intelligent et même « tracker » d'animaux…Cet inventaire à la Prévert vise à alimenter la grande machine commerciale du géant de la distribution en ligne en étendant l'emprise de son assistant vocal Alexa. Les troupes de Jeff Bezos multiplient les déclinaisons d'Alexa − à la maison, en déplacement, dans la voiture… « Alexa bénéficie des mêmes effets de réseau que Facebook ou Twitter. Plus le nombre d'appareils qui y sont connectés est important, plus Alexa devient utile », analyse Geoff Blaber, vice-président du cabinet CCS Insight.Audace et nouveautésPremier étage de la fusée dévoilée mercredi : le lancement de trois « wearables », ces accessoires informatiques portés à même le corps. Les Echo Buds, une paire d'écouteurs sans fils à 129 dollars, permettront de communiquer des instructions vocales à Alexa mais aussi aux assistants de Google et d'Apple. Amazon veut se distinguer des AirPod d'Apple − qui détiennent 50 % de parts de marché, selon IDC − avec un prix inférieur et une technologie d'annulation de bruit ambiant inexistante chez la marque à la pomme.La société de Jeff Bezos fait aussi des paris audacieux en dévoilant des lunettes et une bague intégrant des microphones permettant de communiquer avec Alexa, deux produits expérimentaux qui ne seront disponibles qu'en quantité limitée et sur invitation. Contrairement à Google, Snap ou Microsoft, les « Frames » n'intègrent pas de caméra ni d'écran pour le moment, la société préférant se concentrer sur son point fort, la voix.

Au début de l’été 2019, Oney Bank nouait un partenariat avec le voyagiste Go & Live permettant aux voyageurs de payer leur séjour linguistique réservé sur la plateforme en plusieurs fois. « La collaboration avec Go & Live marque une nouvelle étape dans notre positionnement sur la verticale Travel et souligne l’engagement RSE de Oney Bank », rapporte Corinne Hochart, Directrice France Oney Bank. « En tant que levier d’activité pour les professionnels du voyage et générateur de flexibilité pour les voyageurs, il y a fort à parier que le paiement fractionné devienne rapidement un standard dans l’industrie du Travel ». En dehors du secteur, l’acteur bancaire constate que 59 % des Français utilisent le paiement fractionné une fois par an et que le service joue un rôle décisif dans l’acte d’achat pour un consommateur sur deux.Sur la verticale Voyage, la responsable du marché France indique que son service « 3x 4x Oney » permet de gonfler le montant du panier moyen de +10 % à + 20 %. Et contrairement à d’autres segments comme le Retail dans lequel le paiement fractionné est proposé dès 40 euros d’achats, le paiement fractionné de Oney Bank est le plus souvent disponible dans le Travel pour des paniers compris entre 500 € et 1500 €. Logique si l’on compare la fréquence d’achat d’un voyage à celle d’un produit de grande consommation.

C'est une victoire pour Google. Et une défaite pour la CNIL française. Mardi matin, la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) a tranché définitivement une question cruciale relative au « droit à l'oubli ». Il restera limité au territoire de l'Union européenne et ne s'appliquera pas au monde entier, comme le demandait la France.Vous avez consulté tous vos articles offertsAbonnez-vous dès maintenant

Facebook a annoncé lundi avoir acheté une start-up cherchant à rendre possible le contrôle d’ordinateurs ou d’autres appareils directement à l’aide du cerveau, et non plus d’une souris ou d’un mouvement de doigt.Avec cette acquisition de CTRL-labs, le réseau social renforce son ambition de créer un lien direct entre le cerveau humain et les machines.La start-up intégrera un laboratoire du géant technologique, le Facebook Reality Labs, a déclaré Andrew Bosworth, responsable au sein du département chargé de la réalité augmentée chez Facebook. Il s’agit ainsi d’accélérer le développement de cette technologie et de la rendre accessible plus rapidement pour le grand public, a-t-il précisé.

I really like the simplicity of the Smile Classic, but there is one major drawback: It prints absolutely every image you shoot. There's no screen, no preview. Printing everything, even the images you dislike, will make the Smile Classic more expensive over time. This also affects battery life, which Kodak claims will print 35 images per charge.A Go-Anywhere PrinterThe print you get from the Smile Classic isn't a Polaroid-style print with the puffy edges. Zink cameras and printers like the Smile Classic produce more traditional prints, like what you'd get from a professional printer (but without the professional quality). The Smile Classic churns out sticky-backed 3.25-inch x 4.5-inch images with a quarter-inch white border.The prints are larger than all the other Zink cameras and printers we've tested, which all print smaller, rectangular 2- x 3-inch images. The larger size gives prints more life, and the border makes them feel more like a proper photo than an instant print.That said, Zink isn't the highest-quality printing. In fact, it's nowhere near the quality of what you can get from printing machines at your local drugstore. But it's in your hand seconds after you press the shutter on the Smile Classic, something your local drugstore will never manage to do.I did find the results of the Smile Classic to be the best of any Zink printer I've tested. The tonal range is good, and colors render reasonably close to true. The noticeable improvement in the Smile Classic comes at the dark end of the tonal range, a place the Zink printing technology struggles. You still won't get a deep, rich black, but to my eye these images are closer. I encountered some strong banding, or rough edges between similar colors. This happens sometimes in scenes like a sunset, where the line between red and orange is speckled rather than smoothly transitioning from one to the next.The Classic holds 10 of the new, larger Zink papers, and the refill packs are small enough that you can throw a few in your pocket and you'll hardly notice them.Printing From Your PhoneThe Kodak Classic app for iOS and Android turns the Smile Classic into an instant printer. Connect your phone to the Classic via Bluetooth and you can print any image on your device. For the sample images in the section above, I transferred photos from a full-frame DSLR to my phone and then printed them.

C'est le plus vieux voyagiste du monde, mais aussi l'un des plus grands, qui disparaît.  Thomas Cook, s'est déclaré en faillite , très tôt lundi, après avoir échoué au cours du week-end  à trouver les fonds nécessaires pour assurer sa survie . Une faillite qui ouvre potentiellement une belle pagaille : il faut désormais rapatrier les 600.000 vacanciers qui lui avaient fait confiance et sont éparpillés dans le monde entier. Rien que pour les 150.000 Britanniques, l'autorité de l'aviation civile a aussitôt déclenché, outre Manche, le plus vaste plan de rapatriement jamais lancé par le Royaume-Uni en temps de paix.Le voyagiste britannique né il y a 178 ans était plombé par une  dette colossale (1,7 milliard de livres), affaibli par la concurrence des sites Web de voyages à bas prix et affecté par la frilosité des touristes britanniques inquiets du Brexit. Il enchaînait depuis un an les avertissements sur résultats. Il avait cru trouver une bouffée d'oxygène en juillet avec un accord entre son actionnaire à 18%, le chinois Fosun (par ailleurs maison-mère du Club Med), mais aussi ses banques et ses créanciers sur un plan de sauvetage à 900 millions de livres  prévoyant un échange de dette contre actions. Mais les créanciers lui ont demandé la semaine dernière de trouver 200 millions de livres (227 millions d'euros) de financement supplémentaire pour que ce plan de sauvetage soit validé. En vain.

Coca-Cola is launching a marketing campaign that aims to remind people its bottles are recyclable and encourage them to recycle.The campaign, titled ‘Round in Circles’ and created by agency Recipe, will appear in print and outdoor, with a focus on transport hubs. Launched to coincide with Recycle Now’s Recycle Week, it will also see the Coca-Cola London Eye turned green.The creative features a range of Coca-Cola brands and weaves information into circular artwork. This is meant to demonstrate the company’s commitment to helping develop a circular economy.Kris Robbens, marketing director at Coca-Cola Great Britain, says: “As well as taking action to make our packaging as sustainable as possible, it’s important that we use our marketing and communications to encourage more people to recycle our bottles after they have enjoyed the drink. They are more likely to do this if they know they can be turned into new bottles again.“Across all our brands we want to use more recycled material in all our packaging, however that requires more of it to be collected so that it can be reused to make new bottles.”

Le Continent africain commence à s’emparer de la technologie des chaînes de blocs pour accélérer son développement dans tous les secteurs de l’économie, de la finance, de l’immobilier et du droit des affaires. Les start-up spécialisées dans la blockchain et les cryptomonnaies, qu’elles soient d’origine africaines ou pas, constituent un vivier d’innovation sans précédent.Par Charles de Laubier« La technologie blockchain peut d’ores et déjà apporter un certain nombre de solutions pour de nombreux cas d’usage : gouvernance et identité, cadastre et agriculture ou bâtiment, médicaments contrefaits, traçage des aides, traçabilité de la filière bois, recettes fiscales, protection de la propriété intellectuelle, échange d’électricité en peer-to-peer, … », ont expliqué le Medef International et Lex4, les organisateurs d’un séminaire qui s’est tenu le 10 juillet 2019 dans les locaux à Paris de la banque publique française d’investissement Bpifrance. « La blockchain constitue une révolution majeure de la technologie ; elle est en train de ‘disrupter’ et ‘booster’ énormément des pratiques dans presque tous les secteurs d’activités », explique à CIO Mag le jeune entrepreneur ivoirien Achille Agbe, directeur général de Lex4.com, une plateforme éditée par la société Lexafrika pour accompagner juridiquement les entreprises