Monthly Archives: January 2020

CES Las Vegas : Wello présente son vélo cargo Family

WELLO SÉDUIT LES ÉTATS-UNIS AVEC SON VÉHICULE CONNECTÉNe passant pas inaperçu au CES Las Vegas, le Family de Wello a attiré l’œil de Russell Holly, de Windows Central. Il a d’ailleurs indiqué sur son compte Twitter qu’il n’a pas été autorisé à piloter le véhicule en dehors du salon, mais que le Wello semble plutôt génial. Le Consumer Electronics Show, plus grand salon mondial de l’électronique, devrait donc offrir un véritable coup de boost à cette pépite réunionnaise. WELLO : LES DÉBUTS À L’ÎLE DE LA RÉUNIONLes tout premiers modèles de Wello ont été créés à La Réunion par des personnes en difficultés. Ces entrepreneurs ont fait l’acquisition de compétences techniques à travers un chantier d’insertion. Fin 2014, le projet est retenu par le Ministère des Outre-Mer parmi 300 propositions. En 2015, il reçoit le soutien de BPI France. Aujourd’hui, une vingtaine de véhicules ont déjà été commandés, à destination des entreprises et des collectivités souhaitant miser sur des véhicules plus propres. À terme, Wello pourrait être accessible au grand public via un système de vélos en libre-service. D’ailleurs, le véhicule sera proposé à la vente dès cette année.

By |2020-01-14T12:28:41+00:00January 14th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Cookies empoisonnés

Cookies empoisonnésLa CNIL veut pousser les entreprises à laisser plus facilement le choix aux consommateurs de refuser l'utilisation de leurs données sur internet. Que se passera-t-il si les Français prennent massivement l'habitude de répondre non, de refuser l'accès à leurs données ? Affiner les messages publicitaires à l'aide des data n'est pas uniquement de la manipulation, c'est aussi potentiellement une incitation à acheter des produits qui correspondant à notre profil. Pour un vendeur d'articles de bricolages, ne pas avoir de cookies cela veut aussi dire que le client entrant dans son magasin ne pourra pas recevoir de propositions sur son smartphone, ou échanger avec sa marque préférée sur Snapchat. Pas sûr que le consommateur veuille en être privé. Pour la presse, à l'heure où les ventes de journaux papiers s'effondrent, cela signifie qu'il n'est plus possible de savoir quels articles sont lus entre un décryptage intelligent et une information brute. Sans données, les publicités n'ont plus le même prix, seul l'abonnement permettra de lire la presse. Et il y a fort à parier que les Gafa, non soumis au RGPD hors d'Europe auront la puissance de feu pour trouver des solutions pour continuer à inonder le public de publicités.

By |2020-01-14T10:58:21+00:00January 14th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Comprendre le monde des machines et parler leur langage : une…

Ingénieur formé au MIT, designer primé et leader inspirant, John Maeda CXO Publicis Sapient, nommé par Esquire comme l'une des " 75 personnes les plus influentes du 21e siècle " nous rappelle ici que la technologie est bien au croisement de l’art, du design et de l’individu comme il l'avait écrit en 2010. Et nous engage à comprendre le monde des machines afin d'évoluer dans cet environnement qui change déjà profondément nos vies.En 2010, je m’étais risqué à faire des prédictions pour 2020. À l’époque, j’avais écrit : “en 2020, la technologie sera au croisement de l’art, du design et de l’individu. Les produits seront conçus à la main et avec soin, par des gens en qui nous aurons confiance. Ils refléteront les imperfections et la diversité qui font toute la richesse du monde physique”. Dix ans plus tard, après avoir vécu l’essor des médias sociaux, mes vœux pour 2020 restent les mêmes. À l’ère de l’Intelligence Artificielle (IA) et du Machine Learning, revenir à l’essentiel, à ce qui est important pour nous en tant qu’êtres humains, implique de bien faire la distinction entre les effets d’annonce et la réalité de ces domaines. C’est seulement en comprenant ce que les GAFAM et autres acteurs de la tech font en coulisse que les entreprises pourront s’adapter aux réels changements déjà à l’œuvre. Dans cette démarche, j’y vois une opportunité : celle de rétablir l’équilibre entre l’homme et la technologie. 

By |2020-01-14T10:54:11+00:00January 14th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Les centres commerciaux développent la mixité d’usages

Alors que la part des loisirs et du Food and Beverage continue de croître avec toujours plus de nouveaux concepts et un surcroît d’innovation dans les nouveaux projets de centres commerciaux pour rester en phase avec l’appétence des visiteurs pour l’expérientiel et l’émotionnel, de nouveaux usages entrent en force dans les grands lieux de commerce. L’hôtellerie en est un, comme c’est, entre autre, le cas dans le M Avenue de Marrakech ou à Londres, dans les centres commerciaux Westfield. La multiplication des espaces de santé et de bien-être en est un autre. Unibail-Rodamco-Westfield va très loin dans ce sens dans ses centres commerciaux américains en proposant non seulement des centres de fitness et de yoga mais également des centres d’épanouissement personnel, des espaces de méditation et de cryogénie et même un centre « Urgent Care », l’équivalent de nos SOS Médecins. Vanke Times Center à Pékin, un complexe de 47 000 m2 de commerce, bureaux, logements, espaces d’exposition, a prévu sur un étage un jardin de méditation avec forêt de bambous. Dans le complexe commercial, de bureaux et de logements Funan à Singapour on trouve une piste cyclable indoor. Dans son centre Espaço Guimaraes, au Portugal, Klépierre a ouvert un hôpital de 4 000 m2 en partenariat avec Trofa Saude Group, principal groupe de santé portugais. Ouvert 7/7, il profite de l’attractivité du centre. Le co-working fait également son entrée en force dans les malls. Unibail-Rodamco-Westfield teste des espaces de co-working en partenariat avec GGP alors que le Westfield Center sur Market Street à San Francisco accueille un nouveau locataire, la société de co-working Bespoke et que WeWork s’est installé dans le Fulton Center de New-York. Commerce et régénération urbaineAvec Westfield Stratford City, le groupe a été pionnier dans cette nouvelle stratégie de densification des lieux de destination en ajoutant au commerce, des espaces de bureaux, des logements, des hôtels et la mixité d’usages. Le groupe Unibail-Rodamco-Westfield continue sur cette lancée à Hambourg avec le projet Westfield Hamburg Überseequartier, qui va créer tout un quartier sur un espace gagné sur le port avec terminal de croisière, hôtels, commerces, bureaux, logements. Le groupe Apsys veut créer à Bordeaux St Jean, un quartier urbain idéal c’est-à-dire « mixte, inclusif, vivant, vertueux » entre la gare et la Garonne. Le groupe Hines avec Cherrywood Town Centre Dublin (le plus grand projet de développement urbain en Irlande) créera un nouveau quartier autour d’offres de restauration, de commerces, de loisirs et de logements. « La ville de Dublin a soutenu le projet et a été partie prenante dans les infrastructures », explique Lars Uber, Chief Executive for the European Region, Hines. Les 26 000 m2 de surfaces commerciales dans la gare d’Austerlitz s’inscrivent dans un projet de redynamisation de quartier confié à Altarea Cogedim. « Le commerce ne cesse de se ré-inventer. On est à un moment où le champ des possibles n’a jamais été aussi ouvert et où toutes les expérimentations et synergies sont imaginables et concevables », conclut Nathalie Depetro.

By |2020-01-14T10:52:48+00:00January 14th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Artificial Intelligence Makes Bad Medicine Even Worse | WIRED

AI systems like the one from Google promise to combine humans and machines in order to facilitate cancer diagnosis, but they also have the potential to worsen pre-existing problems such as overtesting, overdiagnosis, and overtreatment. It’s not even clear whether the improvements in false-positive and false-negative rates reported this month would apply in real-world settings. The Google study found that AI performed better than radiologists who were not specifically trained in examining mammograms. Would it come out on top against a team of more specialized experts? It’s hard to say without a trial. Furthermore, most of the images assessed in the study were created with imaging devices made by a single company. It remains to be seen whether these results would generalize to images from other machines.The problem goes beyond just breast-cancer screening. Part of the appeal of AI is that it can scan through reams of familiar data, and pick out variables that we never realized were important. In principle, that power could help us to diagnose any early-stage disease, in the same way the subtle squiggles of a seismograph can give us early warnings of an earthquake. (AI helps there, too, by the way.) But sometimes those hidden variables really aren’t important. For instance, your data set might be drawing from a cancer screening clinic that is only open for lung cancer tests on Fridays. As a result, an AI algorithm could decide that scans taken on Fridays are more likely to be lung cancer. That trivial relationship would then get baked into the formula for making further diagnoses.

By |2020-01-13T22:47:22+00:00January 13th, 2020|Scoop.it|0 Comments

The A.I. Helping You Keep an Eye on Mom … While Guarding Her Privacy

As you approach middle age, a new reality is likely to set in: caring for an aging adult. Becoming a caregiver — whether it’s for a parent, older relative or spouse — impacts a quarter of Americans between the ages of 45 and 64, according to Pew Research Center. But many in this demographic also have jobs, children and myriad other responsibilities. It’s a difficult balance, but artificial intelligence (AI) is being designed to make it easier — and protect privacy too.A new home security system, Cherry Home, created by startup Cherry Labs, aims to alleviate some of this stress via a real-time video stream of an elderly person in their home. The system, backed by GSR Ventures, uses vision sensors and microphones to detect and track the person’s movements, providing caregivers with round-the-clock livestream monitoring. But it’s not only about having the ability to check in anytime. The system can also detect and send alerts when something’s not quite right. It’s the first AI smart home monitoring system that detects movement and patterns, rather than faces alone, making it easier to care for elders remotely through livestream monitoring. But this 24/7 surveillance system is, says Cherry Labs, less creepy than it sounds. The video, watched on a computer or phone, doesn’t actually show the person being monitored — the camera identifies people by their face, length of their limbs, clothing color and their gait or posture. On screen, all viewers see is a stick figure, or virtual “skeleton,” which maintains a level of privacy for the person needing assistance.         When a change in behavior occurs, the caregiver is sent an alert.Each year, one in four Americans aged 65 and older has a fall — they’re the leading cause of fatal injury in older adults, according to the National Council on Aging. Cherry Home’s algorithm can detect a situational anomaly like a fall and sends an alert to the caregiver via text message, Facebook Messenger or WhatsApp. The system can also detect changes in activity patterns like sleep disruptions or more frequent trips to the bathroom, which can be indicative of larger health concerns.

By |2020-01-13T22:09:38+00:00January 13th, 2020|Scoop.it|0 Comments

CES 2020 : un Français obtient un stand grâce à une pomme de terre connectée

Pour le créateur de l'objet, affiché au prix modique de 34 dollars, il s'agit surtout de pointer du doigt les excès du plus grand salon de high-tech au monde. Moyennant un chèque de 1 000 dollars et en remplissant un simple formulaire, Nicolas Baldeck a pu apporter aux yeux du monde de la tech son produit étrange et plutôt bancal. « J'ai simplement expliqué en quoi POTATO était un objet connecté doublé d'un assistant personnel, à même de recourir à la fois à l'intelligence artificielle et au cloud », raconte-t-il à BFM. Chaque année, le CES nous habitue aussi bien à des merveilles de technologie qu'à des choses plus insolites ou anodines, voire à n'importe quel objet, meuble ou vêtement du moment qu'il est « connecté ». Parmi eux, la pomme de terre connectée est loin d'être la plus absurde…

By |2020-01-13T18:12:23+00:00January 13th, 2020|Scoop.it|0 Comments

La technologie et la data, meilleurs alliés du #BienConsommer ?

Des premières initiatives dont l’exploitation est prometteuse Revenons-en au Bien-Consommer : la sécurisation de la chaîne de données doit permettre aux consommateurs d’obtenir plus de transparence et de pouvoir se fier à l’étiquetage des produits. Les marques qui peuvent raconter - et prouver- aux consommateurs la (belle) histoire de la provenance de leurs produits bénéficieront d'un avantage concurrentiel fort. Le consommateur y perçoit de la valeur qu’il est prêt à payer.L'exemple de Certified OriginsPour illustrer ces tendances, citons l’exemple de Certified Origins : cette huile d’olive italienne a exploité la technologie afin de distinguer ses produits de ceux de ses concurrents, toujours plus nombreux et moins qualitatifs. Une application permettait au consommateur final de suivre le parcours du produit depuis les champs d’oliviers jusqu’à la bouteille. Faire la preuve de la provenance, appuyé par la technologie blockchain, ajoute de la valeur à ce type de marchés pour lesquels les consommateurs sont prêts à récompenser les marques pour leur pedigree, leur qualité et leur transparence. Aux Pays Bas, l’enseigne Albert Heijn a proposé, en collaboration avec la marque de jus de fruits Louis Dreyfus, d’accéder à l’information d’origine des oranges via un scan produit mais aussi  de pouvoir contacter directement les cultivateursUne information en bonne intelligenceL’information de la provenance de l’orange ne présente pas un niveau de complexité élevé, ce qui n’est pas le cas d’autres produits. Par exemple, si un consommateur souhaite suivre le parcours d’un steak de bœuf et s’assurer qu’il n’a pas été contaminé par un virus, cela impliquerait de maîtriser l’ensemble de la chaîne de transformation du produit. Dans ce cas précis, au-delà même de digitaliser les informations, de mettre en place une architecture Open Data et de s’appuyer sur la blockchain, l’enjeu est de transformer les process de production industrielle afin que le référent produit soit homogène et identique tout au long de sa préparation. Cela implique une collaboration de l’ensemble des acteurs et une entente sur les besoins technologiques et sur la définition des priorités pour satisfaire le consommateur final et relancer la confiance et la croissance.

By |2020-01-13T09:35:47+00:00January 13th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Funeral Tech Startups Expand Your Posthumous Possibilities | WIRED

"Your funeral director won't tell you a green burial will save you two-thirds of the cost, or that the expensive shiny brass coffin handles you paid extra for will be thrown in a tub and sold as scrap metal," says Derrick Grant, founder of cost-friendly funeral company Willow. "The average family falls into £1,600 debt to cover funeral costs, often taking payday loans to cover the expense."He argues that people who have to organize funerals are often pressured into making decisions in a short space of time, when there is often no one to turn to for support. Many end up with a bog-standard coffin and service alongside a massive bill.But money isn’t the only issue. Burials and cremation harm the environment, as toxic chemicals from both processes seep into the air and soil. Funeral Consumers Alliance figures show that 246,240 tons of carbon dioxide are released each year due to cremation, which is the equivalent of 41,040 cars' emissions.Instead of buying an expensive wooden casket that won't decompose until at least 50 years after the burial, you can buy a cardboard one from $95 and reduce carbon emissions by up to 50 percent.For more extreme burials, US startup Recompose plans to offers hexagonal compost bins where bodies will be deposited to create “soil” that families can take home from 2021. A company called Eternal Reefs offers to send your ashes into the depths of the ocean in a biodegradable "reef ball" complete with a plaque to help preserve the seas.If having a suit made of mushrooms decompose your body or a wicker basket casket don't appeal, why not shoot your ashes into space? A small company based in Houston called Celestis will do just that.Canadian actor James Doohan, who played Scotty in the original Star Trek franchise, is among the company's more famous passengers, which take your mortal remains into deep space or just to the moon. But even in death there are no guarantees. Scotty's ashes failed to reach outer space three times in a row and had to be recovered from a hillside in New Mexico after a series of rockets failed and exploded. This did little to dissuade the hundreds of people who signed up to take a ride on subsequent flights—all aboard a SpaceX craft.The fact is, more people than ever before are being inspired by celebrities to decide how to make their mark after death. The 3D printing company that made the elaborate personalized urn for music legend Prince, has a large customer base of disappointed people looking to "upgrade" their urns and make a statement on behalf of quirky relatives. Prince's number, shaped like his iconic Minnesota residence in Paisley Park and sporting the artist’s giant purple symbol—which once was his legal name—certainly catches the eye. From $2,500 (£2,100), you can order your own urn from anywhere in the world and get an artist from Foreverence to design it to your wishes.Pete Saari, founder of the company, says there is "enormous appetite" from people who contact his team years before they die to order urns shaped like classic cars, rocket ships or a favorite animal. He says the funeral industry rejects innovation and technology "almost out of hand" because they have a templated list of products and services, and they don't like people that are trying to go outside of that. "Now there are better technologies out there to help provide something really meaningful," Saari says.Is there anything his team won't create? The answer is mostly—yes. "In the life of our company in the last five years, I think we've rejected something twice, where we said, You know what? No, thanks."

By |2020-01-13T09:34:39+00:00January 13th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Magasins connectés : l’union phygitale de la brique et du clic 2/2

Les murs ont tremblé mais le toit n’est pas tombé avec l’avènement du e-commerce. Les magasins physiques ont toujours la cote avec les consommateurs. Ils entreprennent même de se réinventer avec l’appui du digital pour des expériences clients augmentées. État des lieux en boutiques, 2/2 Le trafic sur le point de vente est un sujet crucial où les outils digitaux peuvent apporter une véritable amélioration et surtout gommer les points de friction qui rebutent les consommateurs lorsqu’ils se rendent en magasin. L’un d’entre eux est le paiement des marchandises à la caisse. Mal conçu, il peut impacter à terme la fréquentation du lieu de vente. Bien conçu, il peut alors faire substantiellement augmenter le montant du panier d’achat moyen. En Chine, Alibaba a récemment lancé un tout nouveau réseau de distribution de produits frais. Baptisées Hema Fresh, les boutiques physiques sont un concentré de technologies digitale qui gèrent les stocks pour éviter toute rupture, préparent automatiquement les produits sélectionnés et permettent même de payer par reconnaissance faciale ! Le phygital dans tous ses états Ce magasin plus « intelligent » est véritablement une voie dans laquelle s’engouffrent actuellement nombre d’acteurs de la distribution. Dans cette version digitalement augmentée, on y trouve des chariots connectés, des écrans tactiles publicitaires personnalisables, des applications de réalité augmentée, etc. En 2018, Zara s’est livré à une expérience digitale inspirante dans 120 de ses magasins à travers le monde entier. L’enseigne espagnole a lancé une nouvelle collection griffée de manière digitalisée. Pour la découvrir, les clients téléchargent une application de réalité augmentée. Laquelle leur permet alors de visualiser la ligne de vêtements à l’intérieur des magasins comme en vitrines, sur les boîtes de livraison ou directement sur l’e-shop de la marque. Ensuite, ils peuvent vivre 12 expériences dynamiques différentes où des mannequins hologrammes défilent, posent, parlent et dansent. Pour finir, les clients peuvent acheter les articles via l’application Zara AR.

By |2020-01-09T22:26:24+00:00January 9th, 2020|Scoop.it|0 Comments