Monthly Archives: October 2020

Comment Peugeot réinvente son parcours client

- Donner le choix aux clients  Pendant le confinement, Peugeot a pensé l'e-commerce comme un canal exclusif de vente. Au sortir de la crise, c'est le travail inverse qui se fait en se posant la question de l’intégration de ce canal dans un nouveau parcours qui est à la fois physique et digital et qui n’est désormais plus du tout exclusif. En ligne avec la stratégie de la marque, le « Power of Choice », qui laisse le choix à l’utilisateur en fonction de son besoin. « Cela a donné naissance à de nouveaux services connexes notamment pour les clients qui souhaitent rester tranquillement chez eux et entamer un processus d'achat. Nous nous sommes beaucoup focalisés sur l’adaptation de l’acte d’achat en digital. Il reste désormais la question de la création de l’expérience du pré-achat et post-achat sur ce même canal », ajoute François Marmousez. De même, si le client ne va pas au bout du processus d'achat sur le site, il faut qu’il retrouve la même expérience dans les points de vente. En ce sens, le projet Customer First, piloté par François Marmousez, vise à créer un lien fort entre l'e-commerce et le monde physique. L’objectif étant de capitaliser sur toutes les actions réalisées en amont sur le digital pour pouvoir les réutiliser en concession et faire du processus d’achat une expérience sans couture. - Un parcours digital toujours plus complet La capacité du e-commerce à créer un relationnel fort avec des clients beaucoup plus volatiles est un point crucial auquel Peugeot prête particulièrement attention. « Sans construire une expérience client cohérente, le client va juste acheter son véhicule en ligne et ne va plus avoir d’attachement à la marque »,  affirme François Marmousez. Des chantiers sont en cours pour nourrir davantage le « Power of Choice » et créer des expériences singulières. Parmi eux, une collaboration avec Google où les équipes Peugeot ont recherché des données codifiées sur les nouvelles attentes clients. C’est le "test drive" à la maison qui a émergé. Aujourd’hui en phase de test, ce projet pourrait permettre d'injecter cette expérience directement dans le parcours d’achat digital. Face à l’accélération de la transformation provoquée par la crise, Peugeot s’adapte ainsi de différentes manières et réinvente son parcours client : de la phase de découverte du véhicule en passant par la vente en ligne jusqu’à la livraison. 

By |2020-10-24T13:25:47+00:00October 24th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Consommation de cannabis : 3,24 milliards d’euros partiront en fumée en 2020

Le cannabis est la drogue la plus consommée dans le monde et son usage ne cesse d'augmenter. Alors qu'en France, possession comme consommation d'herbe sont interdites, rien ne semble décourager les fumeurs .Selon Newsweed, qui se présente comme le premier magazine français sur l'actualité mondiale et légale du cannabis , la dépense des Français en cannabis à l'année culminera en 2020 à 3,24 milliards d'euros. Sont comptabilisés le trafic avec échanges monétaires, mais aussi l'autoculture, et les dons qui en découlent occasionnellement. Les deux tiers de ce marché concernent l'herbe, et le reste, la résine.Pour Aurélien Bernard, fondateur de Newsweed, « c'est la première fois que le marché est monétisé de cette façon, nous avons pris en compte les prix des points de ventes physiques, tels que constatés par notre équipe, et ceux en ligne, sur le darkweb et les messageries cryptées comme Telegram ou WhatsApp ». Selon le magazine spécialisé, il faut compter en moyenne 10 euros le gramme de « beuh », 5 euros le gramme de résine et 40 euros le gramme de concentrés.

By |2020-10-20T07:38:44+00:00October 20th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Des éoliennes penchées en pleine mer

L’énergéticien allemand EnBW teste une nouvelle technologie qui pourrait révolutionner le secteur de l’éolien offshore.  Des éoliennes à têtes penchées qui résisteraient à toutes les tempêtes du monde...La structure semble fragile pour ne pas dire bancale. Les deux turbines disposées en biais sont fixées à une fondation flottante semi-submergée reliée par six câbles à des ancres sur le fond marin. Pendant deux mois, Nezzy tourne au grès du vent dans la baie de Greiswald, une lagune au sud de la mer Baltique dans le Land de Mecklembourg-Poméranie-Occidentale en Allemagne. Ce prototype, à une échelle de 1 :10, culmine à dix-huit mètres. Sa « grande sœur » devrait donc faire 180 mètres de haut, soit plus de trois fois et demie la taille de l’Arc de Triomphe. Cette technologie pourrait révolutionner l’éolien offshore.Système flottant parfaitement adapté à des profondeurs de 50 à 80 mètres Jusqu’aujourd’hui les éoliennes en mer sont ancrées sur le fond marin de façon fixe limitant les profondeurs d'eau maximales à 50 mètres. Des systèmes flottants existent déjà mais ils sont généralement installés sur des fonds situés au minimum à 80 mètres au-dessous de la surface car, même si cela peut paraître surprenant, les lests qui sont fixés sur les câbles d’ancrage doivent être plus lourds à faible profondeur. « Notre système a l’avantage d’être parfaitement adapté à des profondeurs comprises entre 50 et 80 mètres, là où les autres technologies ne fonctionnent pas, vante Klaus Ulrich Drechsel, le chef d’équipe chez l’énergéticien allemand EnBW dans le domaine du génie civil et de l’énergie éolienne offshore. Nezzy peut toutefois est installé sur des fonds compris entre 35 et 300 mètres. »

By |2020-10-20T07:30:17+00:00October 20th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Vinted : comment une anecdote est devenue un modèle de consommation

je pense que la seconde main pourrait à l’avenir avoir une influence significative sur le concept de la mode. Je ne sais pas si je verrai un jour un monde où tout le monde échangera ses vêtements et où aucun nouvel article ne sera fabriqué. Il est peu probable que cela devienne la réalité.Mais il semble que notre société veuille enfin adopter une approche plus mature quant à ce que nous consommons et à la manière dont nous consommons. Je suis heureux de voir que de plus en plus de gens se sentent responsables des articles qu'ils possèdent. Cela signifie qu’ils ont commencé à voir les choses dans leur ensemble, à se demander "est-ce que j'en réellement besoin ?”, quel est l'impact sur l'environnement, etc... Les consommateurs éduqués pourraient influencer massivement de nombreuses entreprises et les obliger à s'adapter aux nouvelles normes

By |2020-10-20T07:25:51+00:00October 20th, 2020|Scoop.it|0 Comments

La plateforme de mode Zalando proposera un scanner corporel mobile à ses clientes

Zalando, plateforme de e-commerce spécialisée dans la mode, fait l’ acquisition de la société  zurichoise Fision qui développe un outil de scanning corporel.  « La taille et l’ajustement sont les principaux défis à résoudre dans la mode » rappelle Zalendo.Usage de la vision par ordinateurEn utilisant la technologie de vision par ordinateur,  l’application de numérisation corporelle et le vestiaire virtuel de Fision aident les consommateurs à voir comment un vêtement s’adapterait à leur corps. Zalendo travaille depuis 4 ans au moyen de trouver la bonne taille du premier coupTrouver du premier coup la bonne coupe qui convient aux clientes est un défi auquel Zalando travaille depuis 4 ans. La mesure des tailles varie selon les régions, les catégories de produits et les marques, ce qui crée de la confusion et génère trop de retours de produits par les clientes.Actuellement, Zalando s’appuie sur l’historique des achats et des retours produits de chaque cliente  et fournit des conseils de taille sur 50% de tous les articles commandés. La technologie de scanning corporel doit permettre de passer à la vitesse supérieure. Zalando croit dans la technologie de pointe pour résoudre les problèmes les plus urgents de ses clientes.

By |2020-10-20T07:16:59+00:00October 20th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Carrefour propose une évaluation nutritionnelle personnalisée à ses clients en e-commerce alimentaire

L’utilisateur renseigne dans son espace client sur carrefour.fr un questionnaire de personnalisation. Il accède ensuite à une information individualisée sur les produits vendus sur le site, basée sur ses données de sexe, d’âge, de ses habitudes alimentaires et de ses objectifs nutritionnels, qu’il s’agisse d’aliments à privilégier ou à éviter. Il peut ainsi renseigner s’il est végétarien, végétalien, méditerranéen, s’il mange du porc, etc. S’il privilégie des aliments bio, selon leur apport en protéines, en fibres ou s’il veut éviter le gluten, les fruits à coque, le lait, les crustacés, etc.Une note sur 100 pour chaque produitLe score personnalisé Innit s’affiche sur chaque page produit. Il prend la forme d’une notation synthétique du produit sur 100 ou d’une mention « à éviter ». Plus le score est élevé, plus le produit est adapté au client. Cela doit permettre ainsi d’évaluer en un coup d’œil la qualité nutritionnelle globale d’un produit selon les caractéristiques et les attentes de chacun. Cette expérience est disponible sur toutes les gammes de produits alimentaires, des marque Carrefour et des marques nationales, vendues sur carrefour.fr, en drive ou en livraison à domicile. L’évaluation Innit repose sur l’analyse des informations nutritionnelles publiques et obligatoires sur l’ensemble des emballages des produits alimentaires. La méthodologie du score a été validée par le comité scientifique d’Innit, composé des professeurs Patrick Serog, Christophe Dupont et David Khayat. Les utilisateurs peuvent désactiver leur score personnalisé Innit à tout moment, modifier ou supprimer définitivement leurs paramètres client, qui restent anonymes et ne sont utilisés qu’aux fins de ce service. Le projet mené avec Innit est piloté par Amélie Oudéa-Castéra, directrice Exécutive E-commerce, Data et Transformation Digitale du groupe Carrefour.Une application mobile utilisable en rayonsOn relève que par ailleurs Innit propose un service d’évaluation de certains produits en rayons via le mobile. Carrefour n’évoque pas cet usage mais en septembre 2019, la marque de riz Uncle Ben’s de Mars Food s’associait ainsi à Innit, pour lancer une application mobile permettant aux consommateurs de pointer leur téléphone vers les packages et les présentoirs de vente d’Uncle Ben’s Ready Rice aux États-Unis pour découvrir du contenu dynamique alimenté par Innit, y compris des recettes avec des listes d’ingrédients, des conseils nutritionnels et des vidéos étape par étape pour simplifier la cuisine.La reconnaissance d’image permet d’évaluer les produits en rayonsLa solution mobile utilise la technologie de reconnaissance visuelle Google Lens afin de connecter des informations numériques à des produits physiques. L’expérience proposée par Innit va plus loin avec des recommandations personnalisées en fonction des préférences et des besoins alimentaires du consommateur, ses allergies, ses problèmes de santé. Innit annonçait calculer un score personnalisé pour chaque produit, en fonction de son adéquation pour l’utilisateur, afin de l’aider à faire des choix sains et à trouver les meilleurs produits. Enfin, Innit suggère des repas qui peuvent être construits autour du produit, ainsi que des instructions de cuisson guidées pour y arriver.

By |2020-10-20T07:16:12+00:00October 20th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Auchan vend ses activités chinoises à Alibaba et quitte la Chine

SunArt a été vendue pour environ 3 milliards d’euros. Le distributeur français, qui a débuté un plan de « redressement » en 2019, juge le marché chinois « inspirant » mais « très spécifique ».Auchan quitte l’empire du Milieu : le distributeur français a annoncé, lundi 19 octobre, la cession de sa filiale chinoise SunArt au géant du e-commerce Alibaba pour quelque trois milliards d’euros.« Trois ans après la signature d’une alliance » avec Alibaba et après avoir « conjointement constaté la spécificité du marché chinois, Auchan Retail a accepté la proposition faite par Alibaba de rachat de la totalité de sa participation dans SunArt (484 hypermarchés, 150 000 collaborateurs, leader en part de marché alimentaire en Chine) », a expliqué le groupe français dans un communiqué.« Par cette opération et son retrait de Chine, Auchan Retail réaffirme sa volonté d’accélérer le déploiement de son projet d’entreprise Auchan 2022 sur ses implantations actuelles », ajoute-t-il, en soulignant que « par cette cession d’un montant d’environ trois milliards d’euros, il disposera ainsi des moyens financiers pour se désendetter », pour saisir de nouvelles opportunités et « se développer dans de nouveaux pays ».Article réservé à nos abonnés Lire aussi Distribution : en Chine, les étrangers font les frais d’un marché en plein chambardement« Depuis vingt ans, en lien étroit avec nos partenaires locaux Ruentex et Alibaba et grâce à l’engagement de nos équipes chinoises, nous avons accompagné le développement de nos activités dans ce pays. Marché inspirant, il n’en reste pas moins très spécifique » et « Alibaba nous est apparu comme le plus à même de faire grandir SunArt », a affirmé Edgard Bonte, président d’Auchan Retail, cité dans le communiqué. « L’opération se fait au prix équivalent de 8,10 dollars de Hongkong par action et fera l’objet d’une offre publique d’achat sur cette base », a précisé Auchan.SunArt avait été créée par Auchan en 2000 avec Ruentex Group et ils avaient été rejoints par Alibaba en 2017. Auchan détenait un peu plus de 36 % et avait le contrôle de l’entreprise.« Il est apparu au cours d’une revue stratégique que si le groupe voulait accélérer et apporter davantage à SunArt, cela passait par une intégration, notamment technologique, plus importante dans l’écosystème Alibaba », a souligné auprès de l’Agence France-Presse (AFP) une source proche du dossier. Mais, selon elle, cela « ne remet en aucune manière en cause ni les démarches de transformation engagées dans le plan Auchan 2022, ni les projets de désendettement de deux milliards d’euros annoncés en août ».L’expansion d’AlibabaLe géant chinois du commerce en ligne Alibaba affiche, de son côté, un dynamisme insolent. Il a ainsi annoncé en août dernier une hausse de 34 % de ses ventes au premier trimestre de son exercice décalé, grâce à l’explosion des dépenses sur Internet malgré l’impact économique dû au coronavirus.

By |2020-10-19T08:52:08+00:00October 19th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Face à la crise, Danone se réorganise profondément et change ses équipes

Nous allons revoir l'ensemble de notre portefeuille dans le monde entier, ce qui va nous conduire à regarder de façon extrêmement détaillée l'ensemble de nos références. Les petites marques et références, qui avaient leur place jusqu'alors, ne sont plus aussi pertinentes dans le contexte de contraintes économiques actuel. Pour des raisons de logistique entre autres, nos grands clients distributeurs ne veulent plus d'une telle prolifération de références. Nous allons donc être amenés à les réduire de 15 à 30 % dans certains cas. L'eau est un cas symptomatique de la nouvelle donne.

By |2020-10-19T08:42:04+00:00October 19th, 2020|Scoop.it|0 Comments

L’Oréal distingue 3 startups pour leur apport positif à la planète

Changement climatique oblige, L’Oréal, leader mondial de la beauté, distingue 3 startups qui font du bien à la planète dans le cadre de son concours international « Beauty Tech for Good Challenge ».Publicité solidaire et reforestationLa startup canadienne WhatRocks se positionne en label de la publicité solidaire. La startup propose aux marques de reverser une partie des bénéfices de leurs campagnes publicitaires à des associations caritatives. Reforestum , venue d’Espagne, pour sa part propose aux entreprises et aux particuliers de lutter contre le changement climatique en compensant leur impact carbone au moyen de projets de reforestation.Ces projets sont certifiés et les utilisateurs peuvent suivre leurs progrès grâce à l’analyse d’images satellites permise par l’intelligence artificielle. Reforestum se donne comme mission d’apporter plus de transparence et de confiance dans les crédits carbone issus de la reforestation.Recyclage du plastique à température ambianteEnfin, le suisse DePoly recycle le plastique PET. Sa méthode chimique à température ambiante aide à transformer les déchets qui ne sont aujourd’hui pas recyclés, tels que les plastiques de couleurs mélangées ou contenant des fibres en polyester. La matière première récupérée peut ensuite être utilisée pour la fabrication de nouveaux plastiques PET.

By |2020-10-18T13:27:16+00:00October 18th, 2020|Scoop.it|0 Comments

Yext : Mal informés, les Français ont dépensé 3,1 Mds € en pure perte…

La somme est impressionnante. Les Français auraient dépensé à tort l’année dernière 3,1 milliards d'euros en bien et services. Descriptions erronées, produits non conformes aux attentes, renvois compliqués pour ne pas dire impossibles… En 2019, nous estimons ainsi avoir gaspillé 130 euros par personne. Ces chiffres sont tirés d’une étude qui a été menée auprès de 6000 consommateurs en France, au Royaume-Uni et en Allemagne par le cabinet Censuswide pour le compte de la plateforme de digital knowledge management Yext.Problème majeur : la désinformation Pour 96% des Français, la désinformation est d’ores et déjà un problème majeur. Et pour cause : près d’un acheteur sur deux (40%) affirme avoir été trompé dans le passé. Moins de la moitié des sondés (41%) font confiance aux marques en général et 51% jugent que les entreprises ont toujours un réel problème lorsqu'il s'agit d'afficher en ligne des informations vérifiées et à jour. Lorsqu’ils reçoivent des données inexactes sur une marque sur la Toile, les consommateurs blâment davantage la marque elle-même (52%), plutôt que le moteur de recherche (16%) ou le navigateur web (10%). Et cette tendance ne semble pas prête de s’inverser puisque les trois-quarts des répondants (74%) estiment que la désinformation sera de plus en plus fréquente dans les années à venir. La pandémie de COVID-19 aurait même amplifié ce phénomène, selon 66% des personnes interrogées. Cette méfiance pousse de nombreux particuliers à mieux se renseigner sur la Toile.Fake news 74% des sondés affirment ainsi consulter une autre source d'information lorsqu'ils n'obtiennent pas de réponse satisfaisante à une question en ligne et une large majorité d’entre eux (63%) vérifie systématiquement les informations fournies par les marques et les entreprises. « A cause de la prolifération de fake news que l’on trouve en ligne, le public est devenu plus sceptique que jamais, constate Franck Negro, le directeur général de Yext pour l’Europe du Sud. La désinformation est aujourd'hui une bataille essentielle à mener dans la quête de confiance. Plus les consommateurs sont nombreux à rechercher de l’information en ligne, plus leurs attentes quant à sa véracité augmentent. Il est certain que la désinformation a un coût pour les marques comme pour les consommateurs. Quelle que soit la source ou le média, les particuliers attendent des marques qu'elles prennent le contrôle de leurs informations en ligne. Elles risquent sinon d'éroder la confiance des consommateurs et donc d’impacter négativement leurs résultats ».Les Français plus critiques L’autre principal enseignement de cette étude est que les Français sont plus sceptiques et critiques que leurs voisins. Etonnant, non ? « Ils sont nettement plus méfiants et plus durs dans leur jugement que les autres, confirme Hélène Draoulec, la directrice marketing pour l’Europe du Sud chez Yext. Les 25-35 ans ont davantage le sentiment que les autres classes d’âge que les marques leur font gaspiller leur argent ». La somme de 130 euros par an peut sembler toutefois un peu élevée. Les commanditaires de cette enquête ne le nient pas. « Cette étude est totalement déclarative et il serait très compliqué de vérifier scientifiquement le montant exact des achats qui sont liés à de la désinformation, avoue Hélène Draoulec. Une chose néanmoins est certaine : le sentiment de défiance vis à vis des marques ne cesse de se développer ». Justifiée ou non, les Français sont en colère. Ce constat n’est pas vraiment une surprise…

By |2020-10-17T08:06:48+00:00October 17th, 2020|Scoop.it|0 Comments