Perrier interagit avec 15 000 clients en bistrot grâce à l’addition connectée
L’objectif a été atteint, avec 15 000 consommateurs touchés et 1000 établissements, bars et cafés, mobilisés. Il y a eu 150 000 points de contact avec un taux de transformation de 13%. Dans le dispositif, le client qui achète la célèbre petite bouteille de Perrier se voit proposer de scanner avec son smartphone un QR Code figurant sur un autocollant labellisé à la marque Perrier intégrant également du NFC (communication radio sans fil), collé par exemple sur le bar, ainsi que son ticket de caisse où doit figurer l’achat de la bouteille de Perrier. Le client a alors accès à la plateforme digitale de la marque Perrier, où il bénéficie d’un « instant gagnant ». La technologie nécessaire a été délivrée par la startup Vazee. Elle a créé la plateforme de marque et a utilisé sa technique de reconnaissance d’une addition. « Cette opération fonctionne d’abord parce qu’elle génère des ventes additionnelles, cela fait aussi partie de nos KPI » commente Clément Sutter, directeur Category & Channel Sales Development chez Nestlé Waters. Au passage, on note que le sticker Perrier collé en point de vente a une durée de vie de 55 jours, ce qui est supérieur à ce que permettent d’autres PLV, publicités sur les lieux de vente. Un moyen d’interagir avec le client « L’opération fonctionne aussi parce que le consommateur a ponctuellement besoin d’être gâté. Dans le circuit des cafés, des hôtels et des restaurants, nous n’avions jamais trouvé le moyen de le faire. Avec Summer Perrier, nous avons enfin le moyen d’interagir avec le consommateur » se félicite-t-il. Le QRcode ou le NFC étaient utilisables Cette opération permet d’obtenir des informations sur le fonctionnement du circuit fragmenté de la distribution de boissons, entre l’industriel, les distributeurs et les cafetiers chez lesquels on peut trouver la petite bouteille de Perrier à 4 €, 5 € voire 8 €. L’opération a permis une connaissance assez précise des consommateurs, avec un taux d’opt-in de 36%, et d’apprendre énormément sur les acteurs hors domicile, qu’il s’agisse des distributeurs et des commerçants.
Le Live commerce, un nouveau canal de vente testé chez Leroy Merlin, Fnac et Cultura
Sous la contrainte de la crise sanitaire, de grandes enseignes françaises s’essayent au « live streaming », c’est à dire la vente à distance grâce à de la vidéo diffusée en direct et des échanges interactifs entre le public et le vendeur. En octobre dernier, Leroy Merlin a réalisé une session live, afin de présenter la nouvelle gamme de perceuses Subconpact d’AEG. Les ventes ont augmenté de 270% dans les 48 heures, avec un doublement du chiffre d’affaires entre l’avant et l’après live. Le nombre de visites sur les pages produits a été multiplié par 6 le jour du live. L’enseigne a fait appel à Renaud Bauer, un youtubeur dont la chaîne de « tutorials » est spécialisée dans la création et la soudure et réunit 50 000 abonnés. La session en direct a réuni une quarantaine de spectateurs. En novembre, la Fnac a retransmis 7 sessions de « live shopping » en partenariat avec Moulinex pour son événement le Grand Live Moulinex. Et en juillet 2020, Cultura a testé le format du « live commerce », avec la présentation d’une palette d’aquarelle par deux collaboratrices. L’enseigne a enregistré une hausse de 211% d’ajout du produit au panier. Cultura a organisé depuis 5 nouvelles sessions sur l’impression 3D et les machines de découpe. Les trois enseignes ont utilisé la plateforme conçue par la société Caast et qui s’intègre dans le site e-commerce de l’enseigne. La vidéo peut ensuite être intégrée à la fiche du produit.
Aveda déploie la technologie blockchain pour tracer la chaîne d’approvisionnement
LES PREMIERS PRODUITS TRACÉS PAR BLOCKCHAIN PRÉVUS POUR 2021 Les agriculteurs apporteront leurs récoltes à une coopérative locale pour la vente, c’est à ce moment qu’ils pourront enregistrer les ventes via le code QR. Ces informations sont ensuite enregistrées via la technologie blockchain, ce qui les rend inviolables. À partir du moment où la vanille quitte les mains du producteur, elle est ensuite suivie à travers la chaîne d’approvisionnement sur blockchain pour valider sa qualité et son authenticité. La vanille de Madagascar est un ingrédient de base dans 125 produits Aveda et fait partie de l’histoire des ingrédients de la marque. Les premiers produits fabriqués à l’aide de vanille tracée par blockchain commenceront à apparaître sur les étagères des magasins au deuxième trimestre de 2021. « La [Blockchain] rend vraiment extrêmement objectif et traçable », a déclaré Barbara de Laere, présidente de la marque mondiale Aveda. « Nous pouvons toujours dire que nous faisons certaines choses, mais c’est la preuve dans le pudding. Il est sûr et fiable pour le consommateur et pour toutes les parties prenantes d’être en mesure de voir ce qui se passe avec l’ingrédient tout au long de la chaîne d’approvisionnement. » 80% DE LA PRODUCTION MONDIALE VIENT DE MADAGASCAR Il y a de fortes raisons de vouloir garder un œil sur la chaîne d’approvisionnement de la vanille. Selon un article de 2018 du New York Times, Madagascar produit 80% de la vanille du monde, et c’est l’un des ingrédients les plus chers. Entre 2013 et 2017, les prix de la vanille ont grimpé de 50 kilogram le kilogramme à 600 kilogram le kilogramme, ce qui est plus que l’argent. Madagascar a également fait face à une corruption et une instabilité gouvernementales rampantes, à un système judiciaire faible et à des problèmes de déforestation massive, selon le CIA World Factbook. Par conséquent, les cultures de vanille sont devenues un foyer de criminalité, de corruption et de violence. Pour une marque mondiale comme Aveda, qui est distribuée dans plus de 65 pays, la chaîne d’approvisionnement est un parcours complexe et parfois opaque. Aveda travaille avec 450 agriculteurs à Madagascar qui récoltent la gousse de vanille qui est ensuite expédiée à Grasse, en France et finalement à Blaine, au Minnesota, où Aveda fabrique ses produits américains. Le voyage de l’Afrique à l’Europe aux États-Unis prend environ six mois, a déclaré Greg Polcer, vice-président de la chaîne d’approvisionnement mondiale d’Estée Lauder Companies. UTILISATION DE CODES QR SUR LES EMBALLAGES Du point de vue du consommateur, Aveda prévoit d’avoir une activation en ligne face au consommateur à une heure indéterminée en 2021. Les clients pourront voir le voyage de la gousse de vanille de Madagascar à son usine du Minnesota. La possibilité de retracer les racines d’un produit via son emballage ne sera pas disponible, bien qu’Aveda étudie la viabilité de fournir ces informations à l’avenir. Prima, la marque de soins de la peau et de produits ingérables au CBD, et Doterra, la marque d’huiles essentielles, ont tous deux utilisé des codes QR sur leurs emballages pour que les consommateurs puissent voir par eux-mêmes la pureté et le code de lot d’un ingrédient. « Franchement, nous n’avons pas cherché un grand retour sur investissement ; le pilote était beaucoup plus sur la question : Est-ce que cela fonctionne, et pouvons-nous voir comment cela fonctionne ? », explique Polcer. « Ce que nous voyons maintenant, c’est que [gagner] la transparence n’est qu’un [petit] investissement dans le grand schéma des choses, et nous pensons pouvoir l’étendre pour retracer nos chaînes d’approvisionnement pour Aveda et de nombreuses autres marques du portefeuille Estée Lauder Companies. »
La Chine veut utiliser des QR Code pour suivre les voyageurs internationaux
A l’occasion d’un G20 virtuel, le président chinois Xi Jiping, a proposé d’utiliser un système de QR Code pour faciliter la reprise des déplacements transfrontaliers malgré la pandémie, appelant au renforcement de la coopération internationale sur le sujet. Selon le chef du parti communiste, le recours à un tel système permettrait de booster la reprise des voyages internationaux tout en permettant un meilleur suivi, au niveau international, des résultats de dépistage effectués sur des voyageurs. Le dispositif reposerait sur l’usage de QR code, un système pris en charge par la quasi-totalité des modèles de smartphones dans le monde. En Chine, où l’usage du QR Code a été rendu populaire par des acteurs comme WeChat ou Alipay, c’est la méthode retenue depuis février 2020 pour suivre l’état de santé des citoyens et leurs dossiers de voyage. Pour l’heure aucun état n’a déclaré prendre part à ce dispositif. Selon ChinaTravelNews, la Chine comptabilisait officiellement 86 414 cas de covid-19 confirmés ce samedi 21 novembre.
Ciphertrace Files 2 Patents for Systems to Identify Criminal Monero Transactions | News
Blockchain analytics and cryptocurrency intelligence firm Ciphertrace announced Friday that it has filed two monero tracing patents. One patent is called “Techniques and Probabilistic Methods for Tracing Monero” and the other is “Systems and Methods for Investigating Monero.” They two patents cover a number of areas, including “Forensic tools to explore monero transaction flows to assist in financial investigations,” “Transaction visualization tools and ways to track stolen monero currencies or illicit monero,” and “Methodologies for gaining intelligence about transactions that rely on third-party nodes.” The crypto intelligence firm described: Ciphertrace’s goal is to enable the detection of criminal users, therefore increasing the safety and sustainability of privacy coins like monero in the future. Founded in 2015, the company has about 150 customers who are banks, crypto service providers, government agencies, and regulators. It is funded by the U.S. Department of Homeland Security (DHS), its website details. Ciphertrace began developing these tools “within the scope of a Department of Homeland Security project” in early 2019, the firm clarified. “This project has laid the groundwork for future implementation of entity transaction clustering, wallet identification, exchange attribution, and other functionality that will provide law enforcement with even more tools for investigating monero transactions and addresses related to criminal activity.” The company announced at the end of August that it had developed tools for the DHS “to track transactions of notoriously difficult-to-trace privacy coin monero (XMR).” However, XMR proponents disagreed.
Elon Musk imagine une Tesla compacte taillée pour l’Europe
Bientôt un nouveau modèle dans le catalogue de Tesla ? Déjà lancé dans la commercialisation du « Cybertruck » , qui devrait s'ajouter dans les deux ans aux quatre véhicules déjà en vente, le constructeur de véhicules électriques pourrait également se positionner sur un modèle compact, a lancé mardi Elon Musk. « En Europe, cela pourrait avoir un sens de faire, j'imagine, une voiture compacte, peut-être une cinq portes ou quelque chose comme cela, a affirmé le milliardaire au cours d'une conférence européenne sur les batteries, organisée en ligne par le gouvernement allemand. Aux Etats-Unis, les voitures ont tendance à être plus grandes pour des raisons de goûts personnels, en Europe elles tendent à être plus petites ». Mal ajusté Les quatre modèles Tesla actuellement disponibles dépassent tous de plusieurs dizaines de centimètres une Volkswagen Golf - y compris les versions les plus courtes, les Model 3 et Y. Des volumes mal ajustés à l'exiguïté des villes du Vieux continent, comme l'a reconnu Elon Musk : ce dernier a souligné les difficultés qu'il a lui-même rencontrées pour garer à Berlin une Tesla Model X longue de cinq mètres.
Comment la pandémie place l’innovation et l’écologie en modèles du Tourisme mondial (1/2)
Un besoin d’évolution accru par des changements de comportements et d’attentes de la part des voyageurs qui semblent prendre conscience de l’impact négatif sur l’environnement de leur séjour. Les séjours de proximité et la réduction du nombre de voyages internationaux semblent être 2 tendances qui caractériseront le secteur à moyen terme. Et bien que certains acteurs du secteur trouvent un écho auprès des consommateurs pour leurs valeurs écoresponsables, la transition écologique n’est pas sans poser de problème au secteur. Selon l’enquête, le Voyage est en retard sur d’autres secteurs en ce qui concerne l’engagement global envers les 17 objectifs de développement durable fixés par l’ONU pour 2030. Malgré les enjeux de compétitivité difficile d’intégrer ces objectifs au cœur des stratégies de recouvrement d’activité, d’autant plus pour des acteurs traditionnels dont le modèle est construit sur des volumes importants. L’étude rapporte ainsi que 42 % des acteurs du secteur ont déclaré être contraints de stopper le développement de produits de voyages durables en raison de la crise sanitaire. Parmi les 17 objectifs de développements durables, les acteurs du Voyage se distinguent toutefois comme de bons élèves, en affichant des taux d’engagement supérieurs à la moyenne des autres secteurs dans trois domaines : l’innovation des infrastructures, la contribution aux villes et communautés durables et la qualité des conditions de travail.
How Covid-19 has shaken-up L’Oréal’s digital plans
In the UK, ecommerce sales have increased 71% since March, with Rochet noting that “if ecommerce was a country it would be our biggest country”. “Digital has helped us weather the storm of Covid-19 and we are more ahead than we could have predicted,” she said. “Covid-19 is the biggest accelerator of digital capabilities but also the biggest stress test.” While many brands pulled back on marketing spend when Covid-19 hit and countries started going into lockdown, L’Oréal instead shifted its spend. At the peak of the crisis, it was spending 77% of its media investment on digital. “Many companies decided to go dark on media, we continued to move swiftly from offline to online,” Rochet explained. She believes that decision to keep communicating “strengthened our relationships with consumers and allowed us to have lots of conversations”. L’Oréal’s transformation journey While Covid-19 might have accelerated digital transformation, L’Oréal has been on this journey for a number of years. That has included recruiting 3,000 digital experts across the group with the intention this would upskill current staff to think digital first. “Upskilling has been a very key part [of L’Oréal’s digital journey]. We are now a digital-first company building from the ground up. You have to be obsessed about measurement, excellence and communication,” she stated. Looking to the future, Rochet said the most important aspect of marketing will be “the construction of beauty and entertainment”. She explained: “Gaming and livestreaming are rewriting the world of beauty shopping from Gen Z and beyond. This is QVC on steroids, this is social commerce.” As part of this, the company is trying to appeal more to social media users. Just this month, it launched a digital-only make-up brand for consumers that could be used on Snapchat filters and TikTok.
Sky and Unilever back industry initiative to address climate crisis –
Sky, Unilever and the Guardian are joining forces with the Advertising Association (AA) and others to tackle the UK ad industry’s carbon footprint. Together with the IPA and ISBA they are launching Ad Net Zero, an industry-wide call for immediate, collective action to help achieve net zero carbon emissions from the development, production and media placement of advertising by 2030. Sky’s group chief marketing, corporate affairs and people officer, Debbie Klein, tells Marketing Week: “It is vital we all take responsibility for the carbon impact of our advertising. This action plan sets out very clearly how we can all make a difference through the way we work.” To mark the launch of Ad Net Zero, the AA has published a report by its Climate Action Working Group with Credos, which outlines a five-point call-to-action, which it urges brands and agencies to sign up to. It calls for companies to commit to cut their carbon emissions, primarily by reducing travel, fossil energy use and waste.