Monthly Archives: December 2017

La Société Générale dévoile son plan de bataille sur la donnée

La donnée, synonyme de confiance pour une banque Pour le responsable, la donnée est aujourd’hui un défi car sa sécurité est critique dans le secteur bancaire. Mais la banque de détail doit aujourd’hui se réinventer face aux nouveaux usages. « Nous devons réinventer notre métier en respectant son essence, même si la façon de la...

By |2017-12-13T21:47:38+00:00December 13th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Waves, le Uber de l’aérien

Un déplacement dans les airs va devenir aussi simple qu’un trajet en voiture. Tout du moins, c’est ce que la startup Waves, basée à St Peter Port au Royaume-Uni, vise à accomplir. La jeune pousse – née en février 2017 – propose de réserver un avion puis de partir au plus tôt trente minutes après la commande. Les utilisateurs peuvent rejoindre un vol en préparation et acheter une place ou organiser un vol, en choisissant ou non de le partager avec d’autres passagers. Avec des vols autour de 55 dollars, il est possible de parcourir les îles anglo-normandes et le Royaume-Uni. D’ici 2018, la compagnie de taxi aérien à la demande envisage d’opérer des vols vers l’Europe y compris dans le sud de la France, l’Espagne et l’Italie. Une plus grande flexibilité Les coûts de vols restent bas en partie grâce à l’utilisation d’hangars privés dans les aérodromes. Cela permet notamment de réduire le temps d’attente des passagers dans les installations aéroportuaires. De plus, il y a des prix fixes sur tous les services et les utilisateurs de Waves peuvent réserver un vol en fonction des horaires de leur choix et de leur emplacement. En cas de modifications de réservation, il n’y a pas de frais à prévoir et les franchises de bagages sont moins restreintes. Waves facilite grandement les déplacements en reliant les voyageurs à l’aéroport le plus proche de leur destination.

By |2017-12-13T21:33:39+00:00December 13th, 2017|Scoop.it|0 Comments

“Le bitcoin ne sera jamais un placement de bon père de famille”

Alors que la bulle sur le bitcoin finira tôt ou tard par imploser, Stamina AM juge que le bitcoin n’a pas sa place dans le cadre d’une gestion dite “en bon père de famille”. Ne générant aucun revenu, la reine des devises virtuelles ne peut pas être considérée comme un placement traditionnel - à l’image des actions et des obligations -, mais ne peut pas non plus être comparée à l’or, selon la société de gestion. Alors que le Bitcoin aborde la dernière ligne droite de 2017 sur les chapeaux de roue, avec un cours déjà multiplié par plus de 17 depuis début janvier, à près de 17.000 dollars, Clément Inbona, gérant chez la société de gestion d’actifs Stamina AM, se montre très critique vis-à-vis de la reine des devises virtuelles, estimant que cet actif - “s’il en est un” - n’a et n'aura jamais rien à faire dans une allocation d’actifs de “bon père de famille”... Si le bitcoin a fait - une fois encore - la une des journaux en début de semaine, ce n’est pas uniquement à cause d’une énième variation hors-norme, mais parce que “le bitcoin a gagné en légitimité grâce à la cotation d’un contrat à terme bitcoin contre dollar sur une place financière d’envergure mondiale : Chicago”, rapporte-t-il. Reste que le bitcoin demeure sulfureux à plus d’un titre, selon l’expert, et ne peut ni être considéré comme un placement traditionnel, ni être comparé à l’or, une réserve de valeur plurimillénaire.

By |2017-12-13T21:32:05+00:00December 13th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Alexa Wants You to Talk to Your Ads | Backchannel

Amazon’s Alexa offers more than 25,000 skills—the set of actions that serve as applications for voice technology. Yet Domino’s is one of a relatively small number of brands that has seized the opportunity to enter your home by creating a skill of its own. Now that Amazon Echoes and Google Homes are in kitchens and living rooms across the country, they open a window into user behavior that marketers previously only dreamt of. But brands’ efforts to engage consumers directly via voice have been scattershot. The list of those that have tried is sparse: some banks; a couple of fast food chains; a few beauty companies; retailers here and there. Building a marketing plan for Alexa has been a risky venture. That’s because, when it comes to our virtual assistants, no one knows what the hell is going on. But if 2017 was the year that Alexa hit the mainstream, 2018 will be the year that advertisers begin to take her seriously by investing time and money in figuring out how to make use of her. The shift toward a screenless, voice-first future has been slow and awkward. Without a playbook on how exactly to employ this technology, brands have been paralyzed. But the staying power of voice technologies is now universally accepted, and their ubiquity no longer belongs to a far-off future. A few brands have already begun to infiltrate the space. On Alexa, you can order your regular Starbucks drink, call an Uber, or check the balance of your Capital One account. But soon competition will mount, the wheels will begin to turn, and the experimentation that’s already begun will spread, writ large, throughout the industry. Amazon’s joke-telling, timer-setting unicorn of a product has become a standard device in homes across the country, and her audience is only growing. This holiday season alone, 12 million virtual assistants will be sold, according to audio advertising firm XAPPmedia. As companies race to catch up to the success of Amazon’s Alexa (Google has come the closest, though it still seems to be following Amazon’s lead), it’s becoming clear that the future is screenless. Alexa’s pervasiveness bring us closer to a new phase, in which the voice interface facilitates seamless interaction with the world around us. We have spent years with our heads down, buried in a rectangular, two-dimensional universe. We’re quickly moving toward a heads-up world, and Alexa is just beginning to prop up our chins. But there’s a good reason that companies haven’t gotten in on the conversation. Alexa is young and confusing, and its invisible platform, which doesn’t have the universally understood directives (like, say, a back-button) that allow web pages to be easy for anyone to understand, makes it difficult for brands to get a lay of the land. To developers and consumers alike, Alexa is still an enigma. Though most Amazon Echo owners engage their device multiple times a day, they’re typically repeating the same three or four tasks, according to James McQuivey, a principal analyst for ForresterTech. Even Amazon is continuing to figure out new uses for Alexa—just last month, the company launched a new initiative to adapt the tool for use at work. Cody Simms, a partner at the startup accelerator Techstars, predicts that the experimentation will continue until developers identify a transformative experience: something that shifts the technology from a toy to a powerful tool, the way search engines shaped the internet. “We’re still in the process right now of people even figuring out what those sort of killer experiences are,” Simms says. “We’re starting to see companies really experiment with interesting use cases around voice.”

By |2017-12-13T21:24:52+00:00December 13th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Airbnb ne proposera plus la carte prépayée qui faisait polémique

La carte de crédit était soupçonnée de favoriser l'évasion fiscale. Une décision intervenue après un entretien du géant américain avec les ministres Bruno Le Maire et Gérald Darmanin. Le gouvernement remporte une manche contre Airbnb. Après un entretien avec les ministres Bruno Le Maire et Gérald Darmanin, la plateforme de location et de réservation de logements de particulier s'est engagée lundi soir à retirer sa carte de crédit prépayée en France. Début décembre, France Info avait révélé que, outre les versements classiques par virement bancaire, Airbnb proposait depuis trois ans aux propriétaires de logements de se faire payer sur une carte rechargeable de la société américaine Mastercard Payoneer. Opacité Le problème ? Emis depuis Gibraltar, les paiements via cette carte seraient plus compliqués à contrôler par l'administration fiscale - et permettraient donc à ses utilisateurs d'échapper plus facilement à l'impôt. « Ces cartes ne sont pas concernées par l'obligation de notification au fisc. On ne vous demande même pas votre identité ! », s'était inquiété le député UDI Charles de Courson.

By |2017-12-12T21:43:32+00:00December 12th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Souvenirs de discussions passées : TF1 fait une offre ferme pour racheter auFeminin à Alex Springer

L'offre de TF1 valorise la société appartenant au groupe de médias allemand Alex Springer à 364,8 millions d'euros. TF1 veut changer de recette sur internet. La chaîne a annoncé ce mardi avoir fait une offre ferme pour l'acquisition des parts du groupe de médias allemand Axel Springer dans l'éditeur de sites internet auFeminin, valorisant la société à 364,8 millions d'euros au total. Une fois l'acquisition de 78,4% d' Aufeminin auprès d'Axel Springer réalisée, TF1 lancera une offre publique d'achat sur le reste du capital, précise-t-il dans un communiqué. Le prix de 38,74 euros par action offert par TF1 représente une prime de 45,7% par rapport à la clôture du titre auFeminin au 8 décembre, a précisé Axel Springer dans un communiqué. L'annonce des négociations exclusives ce lundi ont en revanche immédiatement fait bondir le titre Auféminin de 18% . Accompagner les annonceurs Parti avec plusieurs longueurs de retard sur M6 dans le numérique, TF1 intégrerait 450 personnes et un chiffre d'affaires d'environ 120 millions d'euros si cette acquisition se concrétisait. AuFeminin l'aiderait à accompagner les annonceurs, qui cherchent des alternatives à la télévision pour capter les publics jeunes, sur les nouveaux formats publicitaires. Le groupe auFeminin, coté à la Bourse de Paris, propose une offre éditoriale et communautaire sur les thématiques comme la mode, la beauté, le style de vie, la cuisine, la santé. Très convoité, l'actif MyLittleParis appartenant à auFeminin a su se développer dans le commerce électronique avec ses box et dans le contenu pour les marques (« brand content ») et l'événementiel Axel Springer a précisé qu'il comptait conclure un accord de vente après avoir achevé les consultations du personnel d'Aufeminin.

By |2017-12-12T21:42:05+00:00December 12th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Looking Beyond the Facebook / Google Duopoly – eMarketer

Google and Facebook, taken together, will account for about 63% of US digital ad revenues this year—and their share is growing. Send by email With the duopoly taking in about two-thirds of US digital ad revenues, that leaves around a third of the market for every other firm to compete for. Most of that third is taken up by the long tail: Well over half of net US digital ad revenues at companies other than Facebook or Google go to firms outside the handful of major ad companies tracked by eMarketer. That share is falling, however. In other words, not only are Facebook and Google increasing their portion of the market, the remaining "Big 8" publishers are also gaining, meaning that, each year, less of the remainder is left for every other publisher on the market. Oath and Microsoft are tied as the largest individual digital ad firms outside the duopoly, with each expected to take 11.8% of the nonduopoly market this year. Third-place Amazon is far behind, with 5.4%, but will close the gap significantly by 2019, even as Twitter will lose share—and its No. 4 ranking—to Snapchat.

By |2017-12-12T21:34:37+00:00December 12th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Un ex-cadre de Facebook ne veut pas de “cette merde” pour ses enfants

"Dieu seul sait ce qu'ils font aux cerveaux de nos enfants", "Je pense que nous avons créé des outils qui déchirent le tissu social". Ces deux citations ont deux points communs. Le premier est le sujet : Facebook. Le deuxième : elles proviennent toutes deux d'anciens hauts cadres de Facebook ; Sean Parker pour la première (l'ancien président de Facebook), et Chamath Palihapitiya pour la seconde (l'ancien vice-président en charge de la croissance de l'audience de Facebook). C'est le très haut niveau de responsabilité de ces deux anciens dirigeants chez Facebook qui donne un certain écho à leurs propos. D'autant plus lorsque l'on apprend que Chamath Palihapitiya, lors d'un débat organisé en novembre à la Stanford Graduate School of Business, explique qu'il utilise au minimum cette “merde” et qu'il l'interdit à ses enfants. "Vous ne le réalisez peut-être pas, mais vous êtes programmés." Au-delà de Facebook, c'est une grande partie des réseaux sociaux qui est critiquée, notamment le système de "récompense" lors d'une publication (récompense sous la forme d'un pouce levé ou d'un cœur) qui, à chaque fois, provoque une petite décharge de dopamine dans le cerveau de celui qui reçoit cette récompense, l'incitant à poster toujours plus de messages, et à passer toujours plus de temps sur les réseaux sociaux. "C'est très ordinaire pour l'humanité de créer des choses avec les meilleures intentions, avant qu'elles aient des conséquences négatives" expliquait ainsi Justin Rosenstein, l'inventeur du bouton "j'aime" de Facebook. Pour Chamath Palihapitiya, les réseaux sociaux “sapent les fondamentaux du comportement des gens", exploitent nos vulnérabilités psychologiques, "Les inventeurs et créateurs — moi (Sean Parker), Mark (Zuckerberg), Kevin Systrom sur Instagram, tous ces gens — l'ont très bien compris. Et l'ont fait quand même, en connaissance de cause." Sans pour autant vouloir l'abolition des réseaux sociaux, qui font tout de même "majoritairement du bien dans le monde" selon Chamath Palihapitiya, il semble nécessaire pour les plus âgés d'imposer aux plus jeunes des pauses dans la pratique de ces réseaux. En effet, selon Justin Rosenstein, "il est particulièrement important de parler maintenant, parce que nous allons sans doute être la dernière génération à se rappeler la vie d'avant”.

By |2017-12-12T21:25:54+00:00December 12th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Apple Confirms Shazam Buy: Here’s What That Could Mean

In a statement to Fortune, an Apple spokesperson said that the tech giant is “thrilled that Shazam and its talented team will be joining Apple.” While the Apple spokesperson didn’t share terms of the deal, the statement did say that “Apple Music and Shazam are a natural fit,” suggesting the service could be integrated into Apple’s own music streaming app. The U.K.-based Shazam was founded in 1999 but came into its own in 2008 when its mobile app debuted on the iPhone. The app allowed users to quickly identify from the app which song was playing. The company’s music-discovery service would then provide a link to iTunes, where users could quickly buy the app from Apple’s online store. An Android version of the app was released later that year. Shazam has since deepened its product offerings and can now recognize a variety of content, including movies, advertising, and television shows. The app, which uses the smartphone’s microphone and then compares what it hears to its database of content, has been available as a free download since 2008. Its app has been downloaded more than 1 billion times. As Shazam’s popularity grew, the company was courted by a variety of venture capitalists. Over its 18-year history, Shazam raised $143 million from a variety of firms, including Kleiner Perkins Caufield & Byers, and has been valued at as much as $1 billion. While neither Apple nor Shazam confirmed how much the tech giant is paying for Shazam, a report from TechCrunch on Friday tipping that a deal was in the offing said that Apple would pay about $400 million for the company. If that’s true, Apple is paying significantly less than Shazam had been valued at. It’s unknown exactly what Apple has planned for Shazam, but it’s likely the discovery features will be added to Apple Music at some point in the future. As of this writing, Shazam is still available in app marketplaces, but the iPhone maker in the past has removed its acquisitions from other stores to make them unique offerings for its own services. It’s possible Apple does the same with Shazam. In a statement to Fortune, a Shazam spokesperson said that the company is “excited” to be joining Apple.

By |2017-12-12T21:22:02+00:00December 12th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Bitcoin : Bercy alerte sur le risque de blanchiment

Tracfin, la cellule de renseignement de Bercy, s'inquiète de l'association des monnaies virtuelles avec des cartes prépayées qui permettent de convertir le bitcoin en espèces. « Le bitcoin, c'est une triple bulle : spéculative, opaque, et criminelle ». Cette nouvelle alerte sur les monnaies virtuelles émane de Bruno Dalles, directeur de Tracfin, alors que la cellule de renseignement de Bercy vient de publier son dernier rapport sur les risques de blanchiment. La révolution en cours dans les services financiers suscite l'inquiétude de ce service chargé de traquer les flux financiers frauduleux. « On voit de plus en plus souvent des combinaisons de monnaies électroniques, virtuelles, et de cartes prépayées », indique son directeur. Le rapport cite le cas d'un cybercriminel français interpellé en février 2016 par le service de lutte contre la criminalité numérique de la gendarmerie nationale. Il proposait à la vente sur le « darkweb » des numéros de cartes bancaires volées, contre paiement en bitcoin. Les recettes étaient déposées sur une carte bancaire dite « bitcoin to plastic » qui permet de convertir ces sommes en espèces. « Ces fonds étaient par la suite retirés en espèces à un distributeur automatique de billets ou dépensés pour l'achat de matériel informatique sur internet », indique le rapport. Culture de la traçabilité Un exemple parmi d'autres qui, pour Tracfin, rappelle « la nécessité de développer une culture de la traçabilité dans les « fintech » ». La cellule avait déjà signalé des risques concernant le « crowdfunding » ou les cagnottes sur internet. La particularité du bitcoin est qu'il repose sur l'anonymat. « Le problème, c'est l'opacité des monnaies virtuelles, indique Bruno Dalles, qui en dénombre près de 850. On a déjà identifié leur utilisation dans le paiement de stupéfiants ou dans ces cyberattaques associées à des rançons payées en bitcoins. » Le ministre de l'Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, a précisé que l'Etat surveillait l'utilisation du bitcoin et des autres monnaies virtuelles afin qu'elles ne soient « pas perverties » pour servir « à des financements de crime organisé, de terrorisme ou de blanchiment ». Il a indiqué que les plus-values générées sur des transactions en bitcoins devaient être déclarées au fisc, sans quoi « le redressement fiscal serait évidemment à la hauteur de la fraude. » Pas de statut juridique clair Cette lutte est d'autant plus difficile que les monnaies virtuelles n'ont pas de statut juridique clair et qu'elles ne sont pas reconnues comme des instruments financiers. La France attend beaucoup de l'actualisation de la quatrième directive antiblanchiment, actuellement en discussion au niveau européen. Le projet de texte prévoit que les plateformes d'échange entre monnaies réelles et virtuelles soient contraintes de s'enregistrer ou d'obtenir un agrément.

By |2017-12-12T21:19:20+00:00December 12th, 2017|Scoop.it|0 Comments