Monthly Archives: September 2018

Quelles compétences face à l’automatisation ?

Une étude publiée par le Forum économique mondial estime que l'intelligence artificielle et la robotisation vont créer davantage d'emplois qu'elles n'en détruiront. A condition que les travailleurs soient suffisamment formés.Combien les robots et l'intelligence artificielle vont-ils détruire (ou créer) d'emplois d'ici à dix, vingt ou trente ans ? Depuis novembre 2013 et un premier article alarmant de Carl Benedikt Frey et Michael Osborne, chercheurs à Oxford, les études sur le sujet se multiplient... et se contredisent souvent. La dernière en date, publiée ce lundi par le Forum économique mondial à l'occasion de son sommet de Tianjin (Chine), pendant asiatique de celui de Davos, ne fait pas exception à la règle.Venant après une première étude publiée en janvier 2016, la deuxième édition du  « Future of Jobs Report » se montre plutôt optimiste : non seulement le « nouvel âge de la machine » (pour reprendre le titre d'un des meilleurs livres sur l'automatisation) ne va pas pousser la majorité des humains vers le chômage, mais il va même créer plus d'emplois qu'il n'en détruira. Du moins dans un avenir proche, les experts du Forum ayant cette fois-ci choisi de se concentrer sur le temps court - moins de dix ans.

By |2018-09-17T16:27:07+00:00September 17th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Gilles BABINET – L’entreprise digitale à la recherche de nouvelles formes de management (HBS/UP-Extrait)

1- Les Analytics : auparavant domaine réservé des grands éditeurs de systèmes d’information d’entreprise, ils se sont largement démocratisés depuis la naissance du fameux Google Analytics. Désormais, ils permettent aux entreprises de diffuser une culture de la donnée et du « benchmark » de façon simple, au travers du cloud. Toute l’entreprise, quels que soient les types d’expertises de ses collaborateurs, peut donc disposer d’une compréhension fine aussi bien d’enjeux génériques ou « corporates » que de points de données qui ne concerneraient qu’un petit groupe d’individus. Ainsi, dans les organisations digitales, les données, présentées sous forme de tableaux de bord visuels – dashboard – structurent largement la culture d’entreprise et sont souvent les juges de paix, lorsqu’il s’agit d’accroître un investissement ou au contraire de le stopper. 2- Les messageries instantanées ont, au sein des entreprises récentes, souvent presque totalement remplacé l’e-mail. Si les générations postérieures à X les critiquent pour être trop intrusives, elles sont plébiscitées par celles qui les suivent. Au-delà d’être instantanées, elles permettent de classer par sujet les échanges d’information et d’avoir un historique clair de ces derniers. Ainsi un nouveau venu sur un projet donné pourrait, sous réserve de bien maîtriser ce type d’outil, en comprendre toute l’étendue et la complexité en quelques heures. Le plus fameux d’entre eux, Slack, est si répandu que certains développeurs stars de la Silicon Valley refusent de travailler avec certaines entreprises si elles n’en sont pas équipées. Ce type d’outil n’est d’ailleurs plus restreint aux fonctions techniques, mais adopté par l’ensemble des entreprises digitales, du directeur général au stagiaire. 3- Les outils de partage de projet. Qu’il s’agisse d’entreprises qui conçoivent des réacteurs d’avion avec des outils de modélisation 3D comme General Electric ou qui élaborent le code informatique de sites d’e-commerce comme Amazon, la révolution cloud a permis de généraliser des outils disposant d’un niveau de collaboration et de transparence jamais auparavant atteint. Ces trois outils sont évidemment fortement complémentaires et comportent généralement des fonctionnalités qui permettent de naviguer avec aisance de l’un à l’autre. Ils ont induit une nouvelle culture du management, qui comprend quelques notions fortes :– Une transparence très avancée, qui permet de regarder très facilement ce qui a été réalisé par les autres collaborateurs. Le corolaire étant évidemment une capacité de contrôle et potentiellement de coercition très importante.– Une culture presque religieuse du KPI, principalement introduite par les Analytics.– Des cultures d’entreprise et des règles, généralement implicites, fortes. Il est évident que si, avec le développement des outils de chat (messagerie instantanée), tout le monde se mettait à communiquer à tout va, la concentration des collaborateurs et finalement, la productivité, s’en ressentirait fortement.L’erreur généralement commise consiste à imaginer qu’il suffit d’intégrer ces outils pour devenir une entreprise digitale. C’est évidemment un raccourci que l’on veillera à ne pas faire car de facto, le niveau de maîtrise technologique qu’il convient d’atteindre avant d’accéder aux données d’une entreprise dite « traditionnelle » et de pouvoir libérer les données essentielles est particulièrement exigeant ; données qui seront utilisées à la fois dans les Analytics et dans les projets. Le décloisonnement des organisations, le passage en gestion de type « lac de données », la mise en œuvre d’API, étant quelques-unes des étapes à franchir. Un préalable, adopter le mode projetDe surcroît, ces outils ne prennent leur plein potentiel que si l’entreprise s’est organisée autour du mode projet, et cela le plus largement possible. On n’imagine que difficilement les obstacles culturels, manageriaux qu’il convient de franchir pour arriver à cette situation. La conséquence la plus importante à l’introduction de ces outils est donc l’évolution vers un mode projet, où les outils se substituent largement à la hiérarchie, au « command and control » qui est le propre des organisations traditionnelles. Il existe toujours un contrôle hiérarchique dans les entreprises digitales, il est beaucoup moins visible et, comme le résume le patron de Facebook, Mark Zuckerberg, son rôle est davantage « de résoudre les problèmes qui ne peuvent plus être résolus par les équipes projet et […] de maîtriser la stratégie à long terme ». Certes, les résistances culturelles à une telle évolution sont fortes : si les générations Y et postérieures sont plus compatibles avec les principes de transparence et d’accountability – le fait de rendre des comptes -, il n’en reste pas moins à adapter les transitions au cas par cas. Comme l’observe Philippe d’Irbarne dans son livre « La logique de l’honneur », la culture anglo-saxonne protestante, férue de transparence et privilégiant la notion de « fairness » – équité -, est probablement plus adaptée au modèle de l’entreprise digitale que « le code de l’honneur » très implicite qui marquerait les entreprises latines, et particulièrement françaises. Il n’est donc pas incohérent d’envisager qu’il faille un certain délai pour faire muter une entreprise traditionnelle vers un mode digital, en gardant à l’esprit que les transformations technologiques sont infiniment plus aisées que celles qui touchent à la culture ou à l’ADN d’une entreprise.

By |2018-09-17T16:17:10+00:00September 17th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Peter Thiel: Crypto vs AI Dichotomy Will Determine the Future of Humanity

Thiel explained his view regarding cryptocurrencies, saying: “…on Bitcoin, so if crypto is libertarian, AI is communist. Everyone thinks crypto is libertarian because you have all these ideas about decentralizing money and things like this. Nobody says AI is communist and that’s because we are sort of more conscious of people with different views like libertarian and we are less conscious of people with collectivist views because that’s more the zeitgeist. But I think…the crypto versus AI dichotomy goes to the sort of question about what’s the future of the computer age going to look like. And is it going to be more centralized or more decentralized.”“In history we’ve had these very different pictures [of the future]. In the late 60s, the early Star Trek episodes you had one planet they got to where there was one big computer that ran the whole planet for 8,000 years. And the people didn’t have any thoughts. They were all docile, kind of happy. Nothing ever happened and that was what the people thought the future would be in the late 60s. That was in the late 60s when we had centralized big computers. In the late 90s, it was going to be crypto, to be decentralized. The internet was going to split up all these sorts of structures.”68 was centralized, 98 was decentralized, in 2018 in some ways the pendulum has swung back to centralized. Big governments, big databases that can monitor and survey people and know more about you than you know about yourself. Or things like this sort of creepy, big brother type thing.

By |2018-09-17T16:02:22+00:00September 17th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Commerce vocal : « il y a beaucoup de complexité à explorer » pour Adidas

Si les enceintes connectées rencontrent un succès, les Américains les utilisent apparemment très peu pour réaliser des achats. A peine 1 Américain sur 4 a utilisé une enceinte vocale pour tester un achat. Et comme le reconnaît elle-même Céline Del Genes d’Adidas, qui était jusqu’alors basée aux Etats Unis et qui a rejoint l’Europe, elle utilisait Alexa pour écouter sa musique pendant qu’elle était dans sa cuisine.Havas attire l’attention sur le changement des règles du jeu pour qu’une marque soit bien placée sur un moteur de recherche vocale. « Il faudra passer d’une recherche par mot clé, à une question structurée en langage naturel » pointe David Mingeon, directeur général adjoint de Havas Paris. L’enjeu sera d’être présent dans les 3 premiers résultats, voire d’arriver à être proposé comme solution produit lors de demandes génériques.Insérer de la publicité dans les enceintes vocales«  De nouvelles formes de publicité vont arriver. Si quelqu’un demande du dentifrice, Google Home pourra répondre ‘OK, je peux chercher une marque comme Colgate, que désirez-vous ? » présente David Mingeon. La technologie vocale pourra même être employée en magasin afin de guider le consommateur en boutique vers le bon produit.

By |2018-09-17T11:10:20+00:00September 17th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Ville intelligente : comment construire l’expérience client

La ville intelligente a confiance en ses banques Le premier constat de l’étude est étonnant : si 59% des sondés trouvent encore primordiale la responsabilité de la mairie, des régions et des acteurs publics, ce sont les banques (32 % des réponses) qui apparaissent comme les plus légitimes pour animer et coordonner les nouveaux services dans les villes. S’ensuivent les acteurs de l’internet (24%), de la mobilité (21%) et des télécoms (19%) pour compléter le quinté des acteurs de confiance en vue de la ville connectée. Pourquoi les services financiers à un tel niveau ? Trois éléments doivent être pris en compte pour apprécier ces réponses : les banques bénéficient d’un coefficient de sécurité, qui leur est traditionnellement attaché. Elles sont également perçues comme des acteurs urbains de proximité à travers leurs réseaux d’agences. Dernier élément et dans le contexte récent de la RGPD, les agences bancaires sont considérées comme un tiers capable de conserver les données personnelles en toute sécurité.  D’indispensables partenariats Autre prospective : aucun acteur ne pourra, seul, proposer une offre de mobilité répondant à l’envergure d’une ville intelligente. Alors que l’ambition d’une offre globale n’a jamais été aussi forte, le besoin de multiplier les partenariats, notamment entre le privé et le public est un passage obligé. « Je n’imagine pas une smart city sans une impulsion de partenariats public/privé et surtout de mairies extrêmement dynamiques en lien avec un constructeur, un opérateur téléphonique, une banque et des sociétés de transport », souligne le responsable des projets urbains d’une grande métropole française. Les opérateurs de la ville intelligente ne pourront agir seuls. L’attention se tourne ainsi vers les entrepôts mixant données publiques et privées et vers les différentes formes du datasharing.  Fluidity as a service  Dans la lignée des interrogations autour de l’expérience utilisateur de demain, les répondants à l’enquête ont été invités à imaginer les futurs services digitaux. Élément détonant : 57 % (70 % des plus jeunes) voudraient pouvoir régler toutes leurs dépenses de mobilité (parcmètres, transports en commun, parkings…) à partir d’une seule appli. Ils font valoir de la même façon une inquiétude : multiplier les interfaces diminuerait la qualité de l’expérience utilisateur. Une bataille s’impose ainsi pour les acteurs, celle de la fluidité. Alors que les solutions de « paiement invisible » comme Automatric d’Oney (qui sera bientôt intégré dans un prototype de voiture connectée que prépare PSA) permettront demain d’intégrer des fonctions de paiement dans les automobiles (passer un péage, faire le plein de carburant, ou payer un parcmètre…), l’étude confirme que la véritable attente se situe dans l’idée de globalisation de la démarche de mobilité. Si Mastercard à Mexico et Visa testent respectivement des innovations de ce type, l’avancée la plus « fluide » se trouve encore au Japon : l’opérateur téléphonique NTT Docomo avait lancé en 2004 l’Osaifu Keita, un mobile permettant les paiements sans contact qui compte aujourd’hui 30 millions d’utilisateurs. Il intègre désormais le portefeuille électronique EDY de Bitwallet (20 millions d’utilisateurs) utilisable dans de nombreux commerces et taxis, ainsi que la Super Urban Intelligent Card (SUICA) de la compagnie des chemins de fer de la région de Tokyo (qui couvre aussi les vols intérieurs).  Vers des formules de mobilité urbaine  Cela invite à considérer, que « les premiers acteurs de la ville intelligente pourraient plutôt être ceux qui sauront agréger les compétences dans la définition de bouquets de services, tels que le public les imagine notamment en matière de mobilité urbaine. Pas tant ceux qui proposeront de nouveaux modes de mobilité », souligne un expert interrogé dans l’étude. « Mais ceux qui sauront regrouper les différents modes de mobilité en un seul service ».

By |2018-09-17T11:07:05+00:00September 17th, 2018|Scoop.it|0 Comments

How to stop data centres from gobbling up the world’s electricity

Already, data centres use an estimated 200 terawatt hours (TWh) each year. That is more than the national energy consumption of some countries, including Iran, but half of the electricity used for transport worldwide, and just 1% of global electricity demand (see ‘Energy scale’). Data centres contribute around 0.3% to overall carbon emissions, whereas the information and communications technology (ICT) ecosystem as a whole — under a sweeping definition that encompasses personal digital devices, mobile-phone networks and televisions — accounts for more than 2% of global emissions. That puts ICT’s carbon footprint on a par with the aviation industry’s emissions from fuel. What could happen in the future is hard to forecast. But one of the most worrying models predicts that electricity use by ICT could exceed 20% of the global total by the time a child born today reaches her teens, with data centres using more than one-third of that (see ‘Energy forecast’)1. If the computationally intensive cryptocurrency Bitcoin continues to grow, a sharp rise in energy demand could come sooner rather than later (see ‘The Bitcoin bite’).For now, despite rising demand for data, ICT’s electricity consumption is staying nearly flat, as increased Internet traffic and data loads are countered by increased efficiencies — including shuttering older facilities in favour of ultra-efficient centres such as Prineville’s. But those easy wins could end within a decade. “The trend is good right now, but it’s questionable what it’s going to look like in 5–10 years,” says Dale Sartor, who oversees the Center of Expertise for Energy Efficiency in Data Centers at the US Department of Energy’s Lawrence Berkeley National Laboratory in Berkeley, California.

By |2018-09-15T14:36:03+00:00September 15th, 2018|Scoop.it|0 Comments

La femme est l’avenir de l’Afrique

« Si la femme est l’avenir de l’homme, je dois ajouter que la femme est l’avenir de l’Afrique, qui est elle-même l’avenir économique du monde ». Tout est dit dans cette affirmation de Thomas Jean, directeur général adjoint de l’Essec Business School,  lors de la première édition du Women in Business Meeting, en juillet dernier. Et ce n’est pas un hasard si aujourd’hui tant de femmes en Afrique sont à l’origine de certaines des innovations économiques, sociales, environnementales, en éducation ou en micro-crédit les plus originales du continent et créent leur propre entreprise, petite ou grande. 70 % des entrepreneurs sont ainsi des représentantes de la gent féminine. Un exemple que notre vieille Europe ferait bien de suivre. Stella Bida qui vient de remporter le prix New Leader for Tomorrow lors de la 29ème session annuelle du Forum de Crans Montana, et que nous avons interrogée dans cette newsletter, en est persuadée : si on les aide, les femmes africaines sont « des fonceuses » et sont capables d'aller de plus en plus loin. Au regard de son parcours, on veut bien l

By |2018-09-15T14:35:32+00:00September 15th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Carrefour : Alexandre Bompard nomme Marie Cheval à la tête des hypers en France

Carrefour France a perdu son patron des hypermarchés. Alain Rabec a quitté l'entreprise, indique le groupe ce vendredi, dans un communiqué sans plus d'explication. Présent chez Carrefour depuis quinze ans, il a peut-être voulu, alors que la transformation du distributeur s'annonce difficile, profiter du plan de départs volontaires qui a été ouvert au sein des différents sièges du distributeur.Le nom de sa remplaçante crée en revanche la surprise : Marie Cheval. Débauchée de Boursorama il y a un an par le nouveau PDG Alexandre Bompard, elle avait pris la fonction de directrice de la transformation digitale du groupe. Un poste hautement stratégique à l'heure du e-commerce.Les hypermarchés sont au coeur de l'histoire et de l'activité de Carrefour qui en a été l'inventeur en 1963 à Sainte-Geneviève-des-Bois. Ils génèrent encore la majorité du chiffre d'affaires dans l'Hexagone.Trop grands, ils doivent aujourd'hui se transformer. Leurs rayons non-alimentaires ont été attaqués et vaincus par Amazon et consorts. Leur restructuration constitue un élément clé de la réussite du plan de transformation que le PDG du groupe a présenté en janvier.Du monde à la FranceSi cette nomination apparaît à première vue comme une promotion, Marie Cheval descend en fait à l'étage France quand elle avait jusqu'alors des responsabilités au niveau mondial. Cela compte, même si les deux sièges vont être regroupés à Massy, en région parisienne. Elle demeure au comité exécutif du groupe, mais au titre des seuls services financiers.Par ailleurs, Enrique Garcia Lopez, ancien de McKinsey en charge de Carrefour.fr devient directeur exécutif e-commerce et transformation digitale France. Marie Cheval lâche donc la main sur le digital. Sa mission en la matière ne semblait pourtant pas terminée, malgré  les accords passés avec Tencent en Chine et Google en France . « Le remplacement de Marie Cheval comme directrice clients et transformation digitale groupe fera l'objet d'une prochaine communication », précise le communiqué de Carrefour.« La transformation des hypermarchés passe par l'omnicanal. L'expertise de Marie Cheval sera clé », rétorque-t-on en interne. Elle aura tout de même bientôt quelqu'un au-dessus d'elle qui dessinera une stratégie digitale qu'elle devra suivre.

By |2018-09-15T14:35:23+00:00September 15th, 2018|Scoop.it|0 Comments

France New Law

Under President Macron, France is trying to transform itself into a haven for business, including the business of cryptocurrency. Earlier this year, Mr Macron launched the Action Plan for Business Growth and Transformation (PACTE), which, among other things, aims to make it easy for companies to operate in France, and to lay out legal guidelines for fund raising via token sales.The AMF began public consultations leading to the new law on ICOs – passed September 12 – some months back. In July, the French administration cut the cryptocurrency tax by more than half to 19 percent, in a move largely viewed as positive for the development of crypto and the blockchain ecosytem in the world’s sixth largest economy.Explaining the new legal framework in June, law firm Kramer Levin said: “… (the legislation) provides a definition of tokens, indicating that a token is intangible property representing, in numerical form, one or more rights that can be issued, registered, conserved or transferred using a shared electronic registration mechanism that facilitates the identification, directly or indirectly, of the owner of said property.”

By |2018-09-15T14:35:16+00:00September 15th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Apple dote l’iPhone Xs d’une eSIM, angoisse des opérateurs télécoms

Alors qu'une SIM classique est programmée en usine avec les informations données par l'opérateur, une eSIM est mise à jour à distance. Une fonctionnalité très pratique pour le consommateur. Il n'a pas à se soucier de recevoir une carte SIM par courrier. Et quand il veut changer d'opérateur, il lui suffit de quelques clics pour mettre à jour son eSIM.Bien sûr, cette perspective n'enchante pas les opérateurs. Ils craignent également d'être court-circuités par les constructeurs et de perdre la relation avec le client final. « Rien n'empêche Apple de proposer demain des abonnements en boutique. Ou de gérer la facture téléphonique directement dans iTunes », explique un connaisseur du secteur.Voitures, PC, montres...Bilan, les opérateurs freinent des quatre fers. Alors que la technologie existe depuis 2010 et dispose de standards définis par la GSMA (le regroupement mondial des opérateurs télécoms) depuis plus de trois ans, rien n'a vraiment bougé.La eSIM a conquis d'autres marchés, mais pas celui du smartphone. On en trouve dans les voitures connectées, mais aussi dans certaines tablettes, des PC et d'autres objets connectés. Apple l'a introduite dans l'iPad dès 2014. Samsung, dans sa montre Gear S3 en 2016, suivi par les Apple Watch de troisième et quatrième générations.

By |2018-09-15T14:34:51+00:00September 15th, 2018|Scoop.it|0 Comments