Monthly Archives: December 2018

Iliad à la relance avec une Freebox Delta haut de gamme

L'opérateur a lancé mardi une nouvelle box très haut de gamme, facturée 60 euros par mois.Elle doit réasseoir la domination technologique de Free et porter la reconquête des clientsCeux qui attendaient des innovations ont été servis. Mardi matin, Xavier Niel a présenté son bébé, la Freebox Delta, au siège parisien de l'opérateur.  Un événement inédit depuis le lancement de la Freebox Révolution en 2010.« On lance des Freebox révolutionnaire tous les huit ans, a lancé le patron d'Iliad, crâne. Et dans huit ans, ça restera la référence du marché ». En tout cas, quelques heures après sa présentation, les demandes ont été telles que les serveurs de Free ont explosé rendant impossible les commandes...Après en avoir détaillé les caractéristiques techniques, salué périodiquement par des salves d'applaudissements, les équipes de Free ont révélé son prix : 49,99 euros par mois. « Waow, ça va faire mal », a-t-on alors pu entendre dans la salle.Mais aussitôt l'opérateur a précisé que, pendant les quatre premières années, la facture serait dix euros plus élevée. Soit en réalité 60 euros par mois - le double du standard du marché actuellement en vigueur. « Ah dommage », réagissait instantanément le même observateur.Devialet, Amazon et NetflixSi la Freebox Delta est aussi chère, c'est qu'elle inclut de nombreuses fonctionnalités et services jamais vus dans une box : un débit colossal de 10 Gb/s, une enceinte intégrée signée  Devialet - la start-up phénomène de l'audio tricolore  - l'assistant vocal Alexa d'Amazon, et une flopée de contenus.Les clients de la nouvelle box disposeront en la sortant de son carton d'un abonnement à Netflix (l'offre avec un seul écran et sans HD). Ils auront accès à un kiosque numérique comptant plus de 1.000 titres de presse.Enfin, Free met un pied dans la maison connectée en incluant ce qu'il nomme un « pack sécurité », qui comprend un détecteur d'ouverture pour sécuriser portes ou/et fenêtres, une caméra wifi avec vision nocturne, ou encore un système d'alarme sécurisé par  le réseau bas débit du français Sigfox .

By |2018-12-04T21:38:43+00:00December 4th, 2018|Scoop.it|0 Comments

FABERNOVEL INSTITUTE s’empare de YUMAN CONSEIL , FUSACQ Buzz

En faisant l’acquisition de YUMAN, FABERNOVEL étend sa capacité à développer des programmes de transformation pour les grandes organisations.Spécialisée dans le développement de la culture numérique, collaborative et entrepreneuriale des grandes entreprises, FABERNOVEL INSTITUTE, société du groupe FABERNOVEL, fait l’acquisition de YUMAN, un cabinet de conseil spécialisé dans le management du changement, l’accélération de la transformation et le développement de l’agilité. Depuis sa création en 2009, YUMAN a accompagné 33 000 collaborateurs dans plus de 50 entreprises.Nouvelle économie, nouvelles règles du jeuLa troisième révolution industrielle pousse les entreprises à relever de nouveaux enjeux : tirer profit des nouveaux modèles économiques, technologiques et culturels que les collaborateurs doivent maîtriser.La formation, le développement de programmes de transformation, le management du changement - autant d’outils au service des grandes organisations qui souhaitent en tirer parti - doivent également s’adapter à ces nouveaux usages où le collaboratif et le collectif prennent le pas sur les approches traditionnelles “ascendante-descendante” de transmission du savoir.Interroger le sens, définir une vision claire, transformer sa culture et son fonctionnement, voici quelques-unes des missions de YUMAN, qui intervient simultanément sur les dimensions « hard » (système, gouvernance, organisation) et sur les dimensions « soft » (culture et pratiques).

By |2018-12-04T11:24:51+00:00December 4th, 2018|Scoop.it|0 Comments

TikTok continue de se développer et gagne 30 millions d’utilisateurs en 3 mois

Cette application qui permet à des utilisateurs du monde entier de filmer leurs chorégraphies sur fond musical commence à faire de l’ombre aux réseaux sociaux historiques.Un concurrent de tailleDepuis le rachat officiel de Music.ly, l’ancien nom du réseau social, le 2 août, TikTok ne cesse de se développer et commence à concurrencer fortement les réseaux sociaux “occidentaux”. Le total d’utilisateurs actifs est passé de 100 millions à 130 millions en seulement trois mois et le nombre de téléchargements mondiaux a augmenté de 20% depuis le rachat. Sur le sol américain, les téléchargements de l’application ont augmenté de 25%Ce succès a été rendu possible par des campagnes de publicité importantes puisque, selon une étude menée par Advertising Intelligence d’Apptopia, Bytedance, l’entreprise propriétaire de TikTok, a vu ses dépenses publicitaires fortement augmenter depuis le rachat de l’application et a diversifié les canaux de communication.Le succès de l’application est tel que Facebook a d’ailleurs commencé à se pencher sur un produit similaire pour conserver son statut de leader dans le secteur.L’application préférée des fans de playbackAlors que Snapchat connaît une baisse d’utilisation de son application pour le deuxième trimestre consécutif et que Twitter, après une augmentation du nombre d’utilisateurs au cours du deuxième trimestre 2018 a par la suite observé une légère perte, l’arrivée de TikTok a de quoi inquiéter les grands réseaux sociaux.Le côté fun et léger de l’application apporte un léger vent frais : l’objectif de TikTok est partager de courtes vidéos sur lesquelles, les utilisateurs dansent, font du play-back sur leurs chansons préférées ou se mettent en scène. Un large choix de filtres et d’effets, comme des accélérations ou des ralentis, permet d’obtenir des clips originaux et décalés.Dernier chiffre intéressant : environ 80% des sessions de TikTok proviennent d’appareils tournant sous Android.

By |2018-12-04T11:23:51+00:00December 4th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Comment la distribution s’organise pour contrer la « pieuvre » Amazon

Se structurer pour contre-attaquerEn 2011, à son arrivée à la présidence de la Fnac, Alexandre Bompard a cassé les silos existants entre la Fnac.com et l’enseigne physique. Pour permettre la transition, les magasins ont dû être évangélisés et un système d’incentive a été mis en place sur le CA du e-commerce. En effet, une grande partie du commerce en ligne est délivré en click&collect, donc lié aux stocks des magasins. « Amazon a fait de la gratuité de la livraison un standard. Or, c’est un service très coûteux. Le développement du click&collect nous permet de dépasser cette problématique. En outre, faire passer le client en magasin donne aux vendeurs l’opportunité de faire de l’upsell, notamment sur les extensions de garantie qui sont des services plus complexes à vendre sur Internet. ».Le digital de FnacDarty, c'est 200 personnes réparties dans 5 directions : « branding/media », « data, fidélité et marketing opérationnel », IT, « marketing, CRM et digitalisation du point de vente » et enfin une régie.Bricomarché revient de plus loin car il n’existait même plus de direction marketing : « elle avait été peu à peu absorbée par la direction commerciale. Nous avons donc dû nous restructurer autour de ce métier et définir un objectif : mettre le client au centre. »Le magasin physique comme avantage concurrentielSe transformer ne signifie pas pour autant renoncer au point de vente physique, bien au contraire ! Les retailers misent sur l’avantage de posséder un maillage de magasins forts et des experts en magasins pour offrir une meilleure expérience d’achat. D’ailleurs, Jeff Bezos lui-même annonçait à ses actionnaires dès mai 2016 qu’« Amazon va ouvrir plus de boutiques ».Ainsi, FnacDarty a cartographié les différents types de clients pour mieux répondre à leurs besoins : « Il y a ceux qui veulent aller vite et pour lesquels faire la queue en caisse est un véritable irritant. Pour eux, nous testons ‘Pay&Go’ à la Défense, un service qui leur permet de scanner leur panier et de le régler via une application. D'autres  préparent leurs achats en ligne mais souhaitent avoir le conseil d’experts. C’est pourquoi nous avons lancé il y a peu un service de rendez-vous personnalisé en magasin, où le client est accueilli par un vendeur présenté par son prénom… ». Comme chez Apple ? "Comme chez Apple !"  Le groupe a également digitalisé les 2/3 de ses points de vente avec le paiement sans caisses, teste le shop-in shop ou encore les magasins hybrides.La transformation des 700 magasins Bricomarché, quant à elle, repose en partie sur une étude : « le principal insight est que plus les consommateurs achètent sur Internet, plus ils sont intéressés par les points de vente. Mais seulement s’ils peuvent accéder à du conseil et du service. De plus, il faut savoir que les clients poussent la porte des enseignes de bricolage s’ils savent exactement ce dont ils ont besoin. Or, 1 Français sur 2 n’y connait rien  ». A terme, l'objectif est de libérer les vendeurs de la mise en rayon, confiée à des robots, et de les mobiliser sur le service client.Innover ou mourirPour concurrencer les grandes plateformes, le groupe FnacDarty multiplie les innovations technologiques fondées sur ses valeurs - le foyer pour Darty, la curiosité pour la Fnac - et ses atouts.Le bouton Darty dont le socle est le fameux « contrat de confiance » de la marque s’engage à assister les consommateurs, clients ou non de l’enseigne, en cas de panne ou de questions sur un appareil électroménager. Depuis le mois de mars dernier, le bouton est également disponible via Google Home. D’ailleurs, le groupe mise énormément sur les technologies vocales puisqu’il a été le premier à lancer une appli transactionnelle sur Google Home, bien mise en avant dans les magasins. Alexa d'Amazon, elle, brille par son absence dans les boutiques Fnac et Darty !La carte de fidélité Fnac, lien fort entre la marque et le consommateur, a été dématérialisée, avec Gowento. « Cette application était jusqu’ici peu mise en avant par Google et Apple mais elle prend du galon depuis que ces deux acteurs ont lancé leurs solutions de paiements. Nous poussons à la dématérialisation de la carte et 100 000 de nos 5 millions de porteurs de cartes ont franchi le pas », précise David Nedzela

By |2018-12-04T11:21:56+00:00December 4th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Intel Awarded a Patent for an Energy Efficient Bitcoin Mining Process

The Intel corporation, headquartered in Santa Clara, California is well known for being a competitive chipset manufacturer. Last Tuesday the company was granted a patent by the United States Patent and Trademark Office (USPTO) which describes a specialized processing system for mining the SHA256 algorithm. The patent was filed on June 29, 2016, and the concept was invented by three individuals from Hillsboro, Oregon.Intel’s latest patent claims the corporation has invented a more efficient SHA256 mining (BCH, BTC) process. The mining process is optimized by using SHA256 datapaths. The invention claims to be a more efficient mining processor with hardware accelerators that can narrow overall power consumption compared to today’s application-specific integrated circuit (ASIC) machines. The patent’s description is 29 pages long and contains figures which illustrate the processing system. The invention could comprise of various things like a “chipset, or a portion of a chipset.”“Embodiments of the present disclosure include energy-efficient ASIC-based SHA engines that consume less power for Bitcoin mining operations,” explains the patent.The Intel patent explains that Bitcoin’s technology “resolves the ‘double spending’ problem,” but further emphasizes that processors today that are mining cryptocurrencies consume enormous amounts of power. Intel says some “clusters of SHA engines” consume more than 200 watts. The invention claims it will take advantage of a myriad of SHA-256 stages and methods of processing hash by utilizing optimized data paths.

By |2018-12-04T09:56:20+00:00December 4th, 2018|Scoop.it|0 Comments

Congo-Brazzaville : ces innovations qui stimulent l’e‑commerce

la mise à disposition d’infrastructures et de terminaux ne suffit pas. Elle peut être une condition nécessaire mais ne sera aucunement suffisante à la réussite d’un projet d’entreprise de commerce en ligne ! En effet, même avec le boom du paiement mobile, les entreprises du e-commerce sont assez vite confrontées à la délicate problématique de la confiance (celle de l’acheteur envers le vendeur). Dans ce cas, l’existence d’une boutique traditionnelle (qui devient en fait un showroom) et la présence de vendeurs en chair et en os (qui se différencient des avatarsdes sites web marchands) sont des atouts majeurs pour les consommateurs congolais. Nous pourrions citer d’autres exemples, comme ceux des enseignes GIA Markets et Brazza shop, dans la distribution, ou encore Nourishka dans le secteur des produits de beauté. Ces entreprises, basées physiquement à Brazzaville, qui est la ville la plus peuplée du pays, proposent directement leurs produits en boutique ou via des applications mobiles ou encore sur les réseaux sociaux (Facebook ou Instagram notamment suite à la disparition annoncée de Google+) pour atteindre un maximum de consommateurs. Malgré ces succès notables, le développement du commerce en ligne se heurte encore et toujours à de nombreux obstacles liés aux contenus et aux contenants de ce type de commerce. Nous ne reviendrons pas sur les infrastructures réseau insuffisantes en l’état (même si les travaux actuels avec notamment l’installation de la fibre optique entre le Gabon et le Congo semblent de bon augure). Insistons surtout sur les difficultés opérationnelles liées aux phases de livraison (quelle adresse ?) et de stockage des produits (comment ? où ?). Insistons aussi sur le recours trop systématique à l’argent liquide (cash) qui n’est ni souhaitable pour l’acheteur, ni pour le livreur, et qui pourrait être remplacé et sécurisé par le paiement mobile via une technologie robuste comme MoMo, par exemple. Finalement, au Congo-Brazzaville comme ailleurs, la progression future du « lèche-vitrine en ligne » reposera essentiellement sur deux piliers. Tout d’abord, la confiance dans la sécurité des systèmes de paiements (qu’ils soient dématérialisés avant la livraison, ou prévus en cash à la livraison) puis la confiance dans le bon produit qui devra être livré au bon endroit, au bon moment et en bon état !  Des initiatives à encourager Aujourd’hui, la plupart des acteurs de la vie économique congolaise sont, semble-t-il, mobilisés pour lever ces obstacles et avancer dans le développement de l’e-commerce. C’est le cas des opérateurs téléphoniques (MTN Momo, Airtel) qui travaillent de concert sur un portefeuille électronique pour favoriser le paiement via le téléphone en sécurisant les paiements. C’est le cas aussi d’acteurs majeurs de l’économie comme La Société des postes et de l’épargne du Congo (SOPECO).

By |2018-12-04T08:02:15+00:00December 4th, 2018|Scoop.it|0 Comments