Concrètement, le comité installé jeudi va maintenant, avec les ministères concernés, décliner les conséquences des deux scénarios envisagés, de sorte à définir une nouvelle stratégie d’adaptation au réchauffement.

« A 4 °C, les deux tiers des stations de ski manqueront de neige dans les Alpes. A 4 °C, on aura cinq fois plus de sécheresse et des jours de canicule beaucoup plus intenses. C’est aussi 1m20 d’augmentation de montée des eaux dans la deuxième moitié du siècle », a insisté le ministre mercredi sur France Info, évoquant la nécessité d’évaluer les conséquences « sur les investissements, les normes, les sols ou encore sur l’eau ».

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