Monthly Archives: September 2017

Japanese Banks Are Planning to Launch J-Coin, a Digital Currency Meant to Kill Off Cash

Japan's central bank is backing a scheme that could see the the cash-dependent country move toward a digital currency built on blockchain technology. The J Coin, as it's to be called, is under development by a group of Japanese banks with the blessing of financial regulators. According to the Financial Times (paywall), it's meant to launch in time for the 2020 Tokyo Olympics as a way to streamline the country's financial system. At the moment, some 70 percent of all financial transactions in Japan use cash—a far higher amount than occurs in most developed countries, where cash has been on the decline for some time now. Relying so heavily on hard currency exacts costs in the form of transaction and handling fees, as well as the expenses associated with moving all those notes and coins around. Cash transactions are also easier to hide from regulators, and India, for example, cited shutting down the black market as one reason it decided to push aggressively towards digital money. The idea for J-Coin is that it would sit alongside the Japanese yen, exchanged at a one-to-one rate, and be offered as a free service. In return, the banks that operate it would get detailed data on how people use it (as we've discussed before, that will indeed make people easier to track).

By |2017-09-30T14:01:15+00:00September 30th, 2017|Scoop.it|0 Comments

La nouvelle révolution consumériste, un tsunami mondial

Le mariage entre La Redoute et les Galeries Lafayette ou le rachat de Whole Foods par Amazon le montrent : les industriels accélèrent pour coller aux nouvelles habitudes des consommateurs digitalisés. Avec une peur : celle de manquer le tournant Les mariages de vieux sont-ils, comme les pluvieux, les plus heureux ? Souhaitons-le aux Galeries Lafayette et La Redoute , 400 ans à eux deux, car à la vitesse où les désirs du consommateur évoluent les distributeurs n'ont pas intérêt à rater un virage. En moins de trois ans, l'ancien vépéciste a déjà mis son catalogue centenaire au pilon et redressé ses ventes. De son système informatique, ses repreneurs ont fait un monstre d'automatisation : le temps de préparation de ses commandes est passé de deux ou trois jours à deux heures. Rien d'étonnant à ce que les Galeries Lafayette y voient le partenaire digital idéal. « Alliés, nous résisterons mieux au tsunami du Net », insiste Philippe Houzé, le patron des « Galfa ». Pour lui, il ne fait pas de doute que le commerce sera physique ET digital. « Alliés avec La Redoute, nous résisterons mieux au tsunami du Net » Ces derniers mois, tout le monde a accéléré. Le rachat par Amazon, déjà quasi hégémonique sur le Net, des supermarchés bio Whole Foods (pour 13,7 milliards de dollars) leur a montré que la guerre serait totale. Le second « A » de Gafa derrière Apple veut, c'est clair, devenir l'« everything store ». Il s'appuie pour cela sur une logistique démentielle, et les dépenses de recherche qui vont avec, robots, drones, avions, bateaux et livraison en deux minutes ! Du coup, le très conservateur Walmart, lui, a appelé Google à l'aide pour rattraper son retard digital. A chaque jour sa nouveauté. Thermomix fait des infidélités à des décennies de vente à domicile, Chronopost va livrer le dimanche , etc. Bref, ça chauffe derrière les comptoirs à l'affût de cet étrange animal qu'est le consommateur de demain, celui qui se méfie des marques, aime mieux partager qu'acheter, suit davantage les recommandations de ses amis sur Facebook que les spots d'une TV que, de toute façon, il ne regarde plus. Tout le monde est sur la brèche, trop peur de rater la dernière lubie de ces Millennials, ces jeunes de 15 à 35 ans qui donnent le « la » mais ne sont pas les seuls accros au mobile et aux réseaux sociaux. Ainsi, le monde du commerce est totalement chamboulé.

By |2017-09-30T13:58:58+00:00September 30th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Nestlé cède à son tour à la pression des activistes

Le géant suisse se fixe pour la première fois un objectif de marge opérationnelle. Comme ses rivaux Danone et Unilever, il subit la pression de Kraft Heinz et des investisseurs activistes. Faut-il y voir le succès des manoeuvres de Daniel Loeb ? Pour la première fois, Nestlé a annoncé s'être fixé un objectif de marge opérationnelle, ce que réclamait haut et fort Third Point, le fonds de l'investisseur activiste américain. Lors d'une journée dédiée aux investisseurs ce mardi, le géant suisse de l'agroalimentaire a confirmé dans un communiqué son objectif de « croissance organique moyenne à un chiffre d'ici 2020 », après avoir connu une progression de ses ventes de 2,3 % au premier semestre (contre 3,5 % un an plus tôt). Et il a donc dévoilé « son objectif de réaliser une marge opérationnelle courante récurrente entre 17,5 % et 18,5 % d'ici 2020 ». « La pression était très forte » Une annonce qui correspond aux demandes formulées depuis juin par Daniel Loeb, devenu le huitième actionnaire de Nestlé (1 % du capital). Outre une cession de la participation du groupe dans L'Oréal (lire encadré ci-dessous), Third Point pressait la direction de fixer formellement un objectif de marge entre 18 et 20 %. « Il n'y aura probablement pas d'objectif de marge plus élevé après 2020 », a commenté Ulf Mark Schneider, arrivé aux manettes du numéro un mondial de l'agroalimentaire en janvier dernier. Nestlé a précisé que, en 2016, cette marge opérationnelle était de 16 % (1). « La pression des investisseurs pour un objectif de marge était très forte alors que la menace de Third Point plane. L'objectif ne paraît pas très impressionnant, mais il trace la voie pour l'entreprise », a estimé Jean-Philippe Bertschy, analyste chez Vontobel.

By |2017-09-30T13:58:45+00:00September 30th, 2017|Scoop.it|0 Comments

GDPR : « Ne croyez pas tous les discours alarmistes des fournisseurs IT »

C'est en résumé ce qu'a souligné Sheila FitzPatrick, responsable de la protection de la vie privée chez NetApp, lors de la conférence DataCloud Ireland qui s'est tenue à Dublin le 21 septembre. Dans une intervention à contre-courant et sans langue de bois, elle s'est attachée à séparer la vérité des mensonges liés à la déferlante marketing autour du GDPR. N'achetez pas n'importe quoi (et ne commencez pas par acheter) Avant l'entrée en vigueur de règlement le 25 mai 2018, elle constate que tous les vendeurs et fournisseurs prétendent disposer dans leur catalogue d'une expertise interne ou de technologies spécifiques que les clients peuvent acheter pour s'assurer qu'ils respectent bien le RGPD. « Il y a beaucoup de désinformation. C'est dû en grande partie au fait que les fournisseurs se précipitent pour prendre le train en marche. Ils essaient de faire peur aux entreprises en utilisant l'épouvantail de la conformité, voire leur donnent des renseignements trompeurs, pour les amener acheter de la technologie. La technologie sera certainement importante, mais on ne commence pas par là », prévient-elle. « Si vous n'achetez que des outils de suivi des données, de data discovery ou des outils de suppression, ils ne vous aideront pas à obtenir la conformité ». D'après Sheila FitzPatrick, dans cette période de transition, les entreprises doivent faire preuve de prudence et comprendre que, pour de nombreux fournisseurs IT, le GDPR n'est rien d'autre qu'une opportunité de nouveaux revenus. « Des organisations qui ne savent même pas comment définir la protection de la vie privée proposent déjà de l'expertise GDPR sur leurs sites. Tout à coup, tout le monde est devenu experts de GDPR... et honnêtement, la plupart n'y connaissent rien », vilipende-t-elle. Pour elle, cet instrumentalisation par la peur rappelle celle du bug de l'an 2000. « Il y a beaucoup de campagnes pour effrayer les entreprises, pour ensuite leur dire :"Il faut acheter nos outils et nos technologies et vous serez conformes"» Or, le point de départ d'une mise en conformité passerait - avant tout investissement technologique - par le fait d'avoir une base juridique et un programme de protection de la vie privée bien en place. « Je ne suis pas du tout anti-Cloud (je suis même une grande partisane des Clouds et du fait d'avoir des centres de données dans le pays), mais ceux-là seuls ne vont pas résoudre votre problème de GDPR », martèle-t-elle. DPO : n'engagez pas le premier venu Un autre mensonge vient d'une des recommandations (guidelines) finales du GDPR qui stipule que les autorités et les organisations doivent embaucher, nommer ou engager un délégué à la protection des données (DPO).

By |2017-09-30T13:57:44+00:00September 30th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Le buzz des Etats-Unis : la taille des tweets doublée

Le passage à 280 caractères concerne pour l’instant quelques utilisateurs, mais devrait être étendu peu à peu. Twitter cherche ainsi à simplifier sa plate-forme. La rumeur revenait régulièrement, ces dernières années. C'est désormais une certitude : Twitter va augmenter la longueur de ses tweets, qui vont passer à 280 caractères maximum, au lieu de 140 actuellement. Ce n'est toutefois pas encore généralisé : la société californienne réalise des tests avec un groupe restreint d'utilisateurs. Elle devrait ensuite étendre cette nouvelle limite à ses 328 millions d'utilisateurs.

By |2017-09-30T13:57:17+00:00September 30th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Amazon is beating Google in the race to the home computer

Amazon, Apple, Google, Microsoft, and Samsung are all chasing voice-based artificial intelligence with smart digital assistants that you talk to. It’s a future we’ve been promised for years: a computer you can talk to at home, and now the competition to make it a reality is really heating up. While Alexa, Cortana, Bixby, Google Assistant, and Siri all offer unique advantages for their associated platforms, they all need to keep learning to improve. That learning is powered by more users, more cameras and microphones, and by these digital assistants being in more places by being on every device you own. Amazon proved this week that it’s way ahead of Google in the race to be the computer for your home. Amazon invited the world’s media to its headquarters in Seattle this week, and kept its event secret until just hours before the company unloaded six new hardware products. There’s the smaller $99 Echo, the larger Echo Plus with smart hub, and an Echo Spot alarm clock for your bedside table. Amazon even launched a $70 Fire TV with 4K and HDR support, some cute Echo Buttons to play trivia games on an Echo, and a device to let Echo’s make calls. It was a lot of hardware, and a lot of surprise. All of these new devices build on Amazon’s big win of getting the hardware and software scenario just right for Alexa. Microsoft, Google, Apple, and Samsung made the mistake of focusing on phones or PCs for voice assistants, instead of a shared household device like Alexa. The competition is slowly catching up with devices of their own, but Amazon is marching towards the reality of Tony Stark’s Jarvis or Star Trek’s LCARS.

By |2017-09-30T13:56:55+00:00September 30th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Facebook enters the top 10 global brands for the first time

Facebook has climbed the ranks to become the world’s eighth most valuable brand, breaking into the top 10 for the first time. The results are part of Interbrand’s 18th annual Best Global Brands report, which has been released today (25 September). The report shows technology is the dominant sector, with tech giant Apple securing the highest rank as the world’s most valuable brand for the fifth year running, while Google retains its second place for the fifth year in a row. The top 100 brands have a combined total value of $1,872bn, an increase of 4.2% from 2016. Apple’s brand value grew by 3% to $184.2bn, and Google’s brand value increased by 6% to $141.7bn. Microsoft has traded places with Coca-Cola and secured the third highest ranking and is one of just 16 brands to achieve double-digit growth. Coca-Cola is at number four, followed by Amazon, Samsung, Toyota, Facebook, Mercedes-Benz and IBM. The ranking is based on three components that contribute to a brand’s cumulative value: the financial performance of the branded products and services, the role the brand plays in influencing customer choice and the strength the brand has to command a premium price or secure earnings for the company. Facebook also saw the biggest growth over the past year, with its value up 48%, followed by Amazon (29%), Adobe (19%), Adidas (17%) and Starbucks (16%).

By |2017-09-30T13:56:32+00:00September 30th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Qui sont les « Young Leaders » africains ?

L’éveil des start-up continentales ne va pas tarder. Et pour anticiper les futures « success stories » de l’innovation made in Africa, INfluencia vous présente 12 leaders en devenir ! Décloisonner les initiatives, rendre visibles les nouveaux acteurs, renforcer les outils et les réseaux tels sont les messages voulus par l’organisation AfricaFrance qui, au travers du programme de sélection « Young Leaders », veut porter sur le devant des scènes africaine et internationale des start-up. Le projet, qui a reçu 569 candidatures pour en retenir vingt, a pour mission de mettre en lumière une nouvelle génération d’entrepreneurs, aspirante et déterminée à conquérir le numérique ! La mission est simple : démontrer que ces jeunes entrepreneurs ne sont pas les leaders de demain mais bel et bien ceux d’aujourd’hui ! « En matière d’innovation, l’Afrique est loin d’être dépassée. On peut même dire qu’elle apportera les nouveaux services et l’innovation mondiale de demain », précise Lionel Zinsou, Président d’AfricaFrance et ancien Premier Ministre du Bénin Les trois objectifs de Young Leaders La triple vision portée par le programme souhaite faire émerger de nouveaux modèles et faire rentrer la nouvelle économie africaine dans une autre dimension. Et pour se faire, la constitution des réseaux est une étape primordiale. Comme créer une communauté de leaders qui unira le continent africain et la France. Construire un leadership et des visions communes basés sur des projets innovants et des rencontres de personnalités de haut niveau permet le développement d’une force ambitieuse, visionnaire et surtout éthique. Les valeurs basées sur l’humain représenteront le succès de ce projet. Et comme dernier objectif : expérimenter et mettre en œuvre pour accélérer les projets en faveur d’un développement durable pour le continent. Maintenant, on vous laisse découvrir ces Young Leaders cuvée 2017 !

By |2017-09-30T13:55:43+00:00September 30th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Survivre sans publicité ? Un site pirate a peut-être trouvé la solution

Le site a récemment expérimenté un système dans lequel un programme est exécuté sur les ordinateurs de certains visiteurs, et se met à « miner » – le terme est spécifique au domaine des bitcoins – la crypto-monnaie Monero aussi longtemps que les visiteurs restent sur la page. Certains utilisateurs ont remarqué un pic d’augmentation dans l’utilisation de leur processeur, et ont ainsi découvert que le site exécutait un programme à leur insu. Ce n’est que plus tard que The Pirate Bay s’est décidé à publier une déclaration, dans laquelle les administrateurs reconnaissent avoir testé le dispositif, dans l’objectif de voir s’il était possible de gagner de l’argent avec un autre moyen que la publicité. Ils affirment également que lors de cette expérimentation, un bug a permis au programme d’utiliser toute la puissance de traitement de l’ordinateur alors qu’il ne devait en utiliser qu’une bien plus petite quantité. Réactions plutôt favorables Étonnamment, les commentaires consécutifs à cette déclaration ont été plutôt favorables à la mesure. L’utilisation de leur puissance de traitement informatique pendant la brève période où ils se trouvaient sur le site a été perçue comme étant moins envahissante que les publicités, souvent pornographiques, que The Pirate Bay a l’habitude de diffuser. Leur seule plainte concernait le fait que le site aurait du les informer de l’opération, plutôt que de la mener en cachette. Les administrateurs ont également clairement indiqué que le « minage » pouvait encore être bloqué par les utilisateurs qui ne souhaitaient pas participer à un tel système de génération de recettes. En dépit des accusations de manque de transparence, l’initiative est ingénieuse : on a longtemps supposé, en effet, que la seule chose que le public pouvait offrir aux sites Internet était leur attention, ce qui a même conduit à l’idée que l’économie de l’attention était le seul modèle économique possible pour le web. Cependant, Amazon et d’autres entreprises impliquées dans le cloud computing ont montré que l’accès aux ressources informatiques est également une ressource rare, et qu’elle vaut énormément d’argent. Amazon Web Services, la division du groupe américain dédiée au cloud computing, génère 12 milliards de dollars US par an.

By |2017-09-30T13:54:48+00:00September 30th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Millennials Are All for AI, if it Elevates the Retail Experience

New research from Salesforce finds that many consumers, particularly millennials, are open to artificial intelligence (AI) or other shopping-related technologies that help streamline the retail experience, like the ability to search for merchandise in a store using an image and then receiving product recommendations based on the attributes of that image. For the most part, consumers want to receive personalized offers based on their purchasing history, or browsing activity within the retailer’s site or app. Millennials are far more likely than their older counterparts to welcome retail technology capabilities. For example, over a quarter of millennials said they would like it if a retailer made personalized offers in a digital channel—such as email or a mobile app—based on their purchasing history. In contrast, just 11% of baby boomers felt the same way. Similarly, 17% of millennials said getting orders delivered by a drone is appealing, while only 7% of baby boomers agreed. Salesforce’s findings are in line with previous studies from Qualtrics for Rocket Fuel, as well as DigitasLBi.

By |2017-09-30T13:54:08+00:00September 30th, 2017|Scoop.it|0 Comments