Monthly Archives: May 2019

Réchauffement climatique : ce que proposent les Entreprises du Voyage –

« Je suis personnellement très préoccupé par le réchauffement climatique et la planète que nous allons laisser à nos enfants et à nos petits-enfants », a souligné ce matin Jean-Pierre Mas, lors d’une conférence de presse. « Nos clients sont également plus sensibilisés à ce sujet que je l’imaginais », selon un récent sondage réalisé par BVA. « Les acteurs du transport aérien ont la tête dans le sable, les compagnies aériennes campent sur (leurs positions avec) la Convention de Chicago de 1944, qui interdit mondialement la taxation du kérosène. Or en 1944, le réchauffement climatique n’était pas du tout d’actualité. »Pour le patron des EdV, ll est urgent d’agir, en France pour commencer, soit sur l’ensemble des vols qui décollent ou atterrissent dans notre pays, mais au niveau européen ensuite. « Il ne faut pas de taxer le transport aérien ni le rendre inaccessible ! Il faut que les compagnies aériennes absorbent le CO2 qu’elles produisent », martèle-t-il, « en fonction du type d’avion et de la durée du vol ».Monter un fonds dédié à la compensationSon idée, c’est donc la création d’un fonds alimenté par les compagnies, dont l’objectif serait strictement de compenser la production de CO2. « Le transport doit dire, je contribue au réchauffement climatique, et donc je compense. » L’incidence sur le prix serait plus élevée que si l’on mettait en place une taxe sur le kérosène, assure Jean-Pierre Mas. Le patron du syndicat est donc sur la même longueur d’ondes que Jean-François Rial, PDG de Voyageurs du Monde, lui aussi opposé à une « taxe », fiscale, qui alimenterait le budget de l’Etat. « Ce que je défends, c’est davantage une contribution ‘Planète’, de l’ordre de 10 euros par tonne, pour absorber totalement le carbone, qui serait un élément du prix de revient », nous avait indiqué Jean-François Rial.  » Les sommes collectées ne seraient pas gérées par un fonds qui dépend de l’Etat, mais par des pros, qui ont des projets absorbant le carbone. »

By |2019-05-21T21:11:29+00:00May 21st, 2019|Scoop.it|0 Comments

Want to Bring Customers In-Store? Get Them to Follow You on Social Media – eMarketer Trends, Forecasts & Statistics

More than three-quarters of US internet users said they would visit a brand's physical store after following it on social media, according to a February 2019 survey conducted by social media management platform Sprout Social.Loyal customers will typically follow a brand on social media as well as have an interest in visiting its retail location, likely contributing to the high figure. But that doesn’t mean social isn’t a great tool for engaging new, younger customers and getting them interested in visiting a physical store.Most US consumers discover new brands the old-fashioned way: by receiving recommendations from friends. Even among internet users ages 18 to 39, 55% were encouraged to try new brands from their friends and peers, according to a November 2018 survey conducted by Atlantic Re:think, the creative marketing group of The Atlantic magazine. But nearly half (48%) said they discovered new brands through their social media activity, and 36% said they were encouraged by a recommendation from an influencer they follow.

By |2019-05-21T14:10:15+00:00May 21st, 2019|Scoop.it|0 Comments

UP Magazine – L’Europe : un continent à bout de souffle ?

L’Europe à la démographie vieillissante a ainsi une aversion profonde pour le risque et elle se demande toujours un peu plus de protection. Une récente étude du consultant McKinsey montre que ces tendances s’observent de la même manière dans le secteur des affaires. Alors qu’une majorité des patrons américains considère qu’il est important de prendre des risques en investissant pour l’avenir, une majorité des patrons européens préfèrent d’abord favoriser la stabilité de l’acquis. C’est la raison pour laquelle, quels que soient les résultats des élections européennes, il sera difficile de mettre en œuvre une véritable réforme de l’Europe politique. La zone euro, le système Schengen, la défense européenne mériteraient d’être portés sur de nouveaux rails, mais il y a peu de chances que cela advienne. Pour la zone euro, les pays d’Europe du nord qui composent la nouvelle Ligue hanséatique diront qu’il faut assurer d’abord la bonne convergence économique de l’actuelle zone euro.Pour l’accord de Schengen sur la libre circulation des personnes, les pays d’Europe centrale mais aussi l’Italie diront que les procédures ne doivent pas être davantage européanisées car l’immigration nécessite d’abord et avant tout un contrôle aux frontières nationales plus efficace. Ils seront suivis sur ce point par beaucoup de Français, de Néerlandais et d’Allemands.Pour la défense européenne, l’Allemagne appuyée par la Pologne, le Danemark et les Pays baltes affirmeront qu’il ne faut pas faire de procès d’intention aux Etats-Unis sur leur désengagement de l’Europe et qu’il convient de faire preuve à l’égard de Donald Trump et de l’OTAN de « patience stratégique ». Il n’est pas certain que la principale menace de l’Europe politique soit la désintégration expresse, comme on le lit parfois, y compris sous la plume des théoriciens de l’intégration européenne. Elle est plutôt dans le statu quo menant à terme au délitement. Pour l’instant, le marché intérieur a résisté à ce mouvement, comme l’ont montré les négociations sur le Brexit.  C’est parce que les Britanniques ont à plusieurs reprises proposé des entorses à l’unité du marché intérieur que les autres Etats de l’Union ont plutôt eu tendance à tous le défendre. Le plus souvent par intérêt, comme pour les Pays-Bas et le Danemark historiquement proches du Royaume-Uni, et parfois par principe comme la France qui reste attachée au récit fondateur des quatre libertés de circulation (biens, personnes, services et capitaux) contenues dans les traités européens originels. Le jour où le marché intérieur perdra son unité de fonctionnement, le projet européen vacillera. Cette perspective n’est nullement à exclure si l’on en croit les attaques régulières contre l’idée de liberté des échanges qui traverse les sociétés européennes et qui est portée notamment par les partis politiques eurosceptiques. La critique sur les inégalités en Europe s’entend, en particulier lorsque l’on observe le creusement du coefficient de Gini dans des Etats comme l’Italie ou le Royaume-Uni, mais il est faux de dire que ceci est dû uniquement à l’existence d’un marché sans barrière. La véritable raison réside dans l’incapacité politique des Etats européens à corriger les externalités des marchés, ce qui n’est pas du tout la même chose. 

By |2019-05-21T14:09:40+00:00May 21st, 2019|Scoop.it|0 Comments

Kai-Fu Lee, cerveau de l’intelligence artificielle en Chine

Fort de trente ans de carrière, notamment chez Apple, Microsoft et Google, Kai-Fu Lee est aujourd'hui l'un des plus grands spécialistes d'intelligence artificielle au monde. Né à Taiwan il y a 57 ans, il compte plus de 50 millions d'abonnés sur Weibo, le « Twitter chinois », qui l'a élu membre le plus influent en 2013. Investisseurs, politiques, PDG de multinationales et étudiants se pressent pour l'écouter partager sa vision du monde.La voix est douce mais le propos est choc : « L'intelligence artificielle va provoquer des changements majeurs et rapides comme aucune autre révolution industrielle ne l'a fait jusqu'ici, ouvrant la voie à un nouvel ordre mondial bipolaire », prévient-il. Pour lui, cela ne fait pas l'ombre d'un doute : l'âge d'or de la Silicon Valley va se clore avec le déploiement de l'intelligence artificielle (IA). Non seulement la Chine va bientôt rattraper les Etats-Unis, mais elle pourrait même les dépasser, annonce-t-il dans son livre AI Superpowers : China, Silicon Valley and the New World Order. L'ouvrage a électrisé la Californie à sa sortie l'an dernier (1).Pour le scientifique-entrepreneur, la Chine communiste est le meilleur endroit où investir dans l'IA. C'est dans les locaux pékinois de son fonds d'investissement Sinovation Ventures, fondé il y a dix ans, qu'il nous reçoit. Dans le quartier de Haidian, non loin des prestigieuses universités d'où sortent chaque année des milliers d'ingénieurs et des centaines de start-up rêvant de conquérir le monde. Sur les murs, les noms des plus belles pépites du portefeuille de Sinovation Ventures.Sur les 370 start-up financées par le fonds, 15 sont devenues des licornes (dépassant le milliard de dollars de valorisation) ; une poignée des décacornes (plus de 10 milliards de dollars). De son fauteuil, Kai-Fu Lee voit les start-up chinoises se livrer une compétition sans merci, dans laquelle les adeptes du « 996 » (qui travaillent de 9 h du matin à 9 h du soir, six jours par semaine) prennent le risque de se faire laminer par les partisanes du « 997 » (mêmes horaires, mais sept jours sur sept). « La Silicon Valley a l'air carrément endormie comparée à ses concurrents de l'autre côté du Pacifique », constate celui qui a travaillé des deux côtés de l'océan.

By |2019-05-21T13:59:51+00:00May 21st, 2019|Scoop.it|0 Comments

Huawei Chief Defiant Amid US Crackdown – May 21, 2019

Although the Trump administration granted a three-month reprieve yesterday allowing some U.S companies to continue doing business with Huawei, the gesture apparently did little for founder Ren Zhengfei — who said his company had been ready to be blacklisted. In an interview with Chinese state media yesterday, the 74-year-old said the U.S. effort to block Huawei from its mobile networks “underestimates our strength.”Why the reprieve? Besides giving American companies time to adjust, some say the move could also help bring Washington’s allies on-side in the campaign to remove Huawei from networks around the world.

By |2019-05-21T12:58:45+00:00May 21st, 2019|Scoop.it|0 Comments

Angela Ahrendts, une recrue de luxe pour Airbnb

Débauchée par Apple en 2014 chez le britannique Burberry où elle avait contribué comme PDG à redresser les ventes de façon spectaculaire, Angela Ahrendts  a façonné pendant un peu plus de cinq ans l'image très haut de gamme associée au groupe américain.Plus de deux tiers des boutiques inaugurées pendant son mandat l'ont été dans les quartiers les plus en vue de grandes métropoles comme Bangkok, Bruxelles, Séoul (territoire de son principal rival, Samsung) ou encore Paris, sur les Champs-Elysées .Angela Ahrendts, le supplément d'âme d'AppleA son crédit notamment, la sensible hausse du revenu par boutique. Bien que non planifié, son départ en février dernier coïncidait néanmoins avec  la volonté d'Apple de tourner la page du luxe .Airbnb monte en gammeTout le contraire d'Airbnb, qui  a acquis en février 2017 le géant canadien des locations haut de gamme  Luxury Retreats pour 300 millions de dollars.Un an plus tard, soit en février 2018, Airbnb avait renforcé son offensive dans le luxe  en annonçant « Airbnb Plus » , qui rassemble les 2.500 résidences les plus onéreuses de son catalogue. L'objectif est d'en recenser plus d'1 million à moyen terme.

By |2019-05-20T17:38:07+00:00May 20th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Recherche : Qwant s’allie avec Microsoft pour contrer Google

Selon StatCounter GlobalStats, Qwant représente 0,66 % du marché de la recherche en France — contre 94,25 % pour Google. Une part de marché minuscule, fruit d’efforts considérables, mais insuffisants. Pour passer à l’échelle supérieure, Qwant doit être capable de traiter des centaines de milliards de pages, et d’analyser les ressources multimédias à grand renfort d’intelligence artificielle.Autrement dit : le moteur de recherche français souffre d’un déficit technologique majeur. Avec Azure, Microsoft vient le combler. Qwant utilisera la puissance de calcul et les outils du cloud de Microsoft. Hier encore, sur leur petit stand à VivaTech, les représentants de l’entreprise française nous vantaient l’« indépendance » du moteur de recherche et insistaient sur « l’importance de la souveraineté ».« Je pense que Qwant apportera des précisions pour lever toute ambigüité qui laisserait à penser que cela signifierait un abandon de souveraineté et de son modèle », dit Éric Bothorel, député et président du groupe d’études « économie numérique de la donnée, de la connaissance et de l’intelligence artificielle ». « Microsoft n’est pas Google », répond Éric Léandri

By |2019-05-20T17:33:54+00:00May 20th, 2019|Scoop.it|0 Comments

#VivaTech : Thales, en route vers le futur

Le train autonome, un futur pas si lointainQui dit ville intelligente, dit réseau de transports intelligent. Thales et la SNCF l’ont bien compris et ont annoncé leur collaboration sur le développement du « train du futur » au salon Viva Tech. « Le train restera un transport très important à l’avenir mais pour cela il faudra que le secteur fasse sa 3e révolution : la digitalisation du système ferroviaire », a affirmé Luc Laroche, Directeur du projet Train Automatique SNCF. Le développement du train autonome comporte de nombreux avantages dont l’augmentation de la fréquence sur certaines lignes, l’amélioration de l’expérience voyageur ou bien encore la sécurité.Mais les acteurs doivent aujourd’hui faire face à plusieurs défis technologiques qu’il est essentiel de relever : « Pour réussir à élaborer nos trains autonomes, il faut déverrouiller et automatiser tous les moyens de détection et de localisation. Nous avons besoin de précision. Ensuite, nous devons travailler sur la supervision. Un train ne sera jamais à 100% autonome, il y aura toujours des hommes derrière. Enfin, les nouveaux systèmes de télécommunications vont nous aider à accélérer le développement, notamment avec l’arrivée de la 5G », a-t-il expliqué. Pour Luc Laroche, cela ne fait aucune doute, le train autonome arrivera bien avant les voitures autonomes : « L’avantage avec le ferroviaire c’est que nos rails sont déjà prêts et nos systèmes d’exploitation également, ce qui facilite la transition. Aujourd’hui nous avons besoin de développer les technologies existantes, et non pas d’en inventer de nouvelles. »

By |2019-05-20T17:33:27+00:00May 20th, 2019|Scoop.it|0 Comments

#VivaTech : le smartphone fera office de titre de transport francilien dès septembre 2019

À VivaTech, Valérie Pécresse, Présidente de la Région Île-de-France et d’Île-de-France Mobilités, a annoncé la dématérialisation des titres de transports pour les voyageurs franciliens pour fin septembre 2019. L’annonce fait suite à l’expérimentation Navigo Lab menée avec succès à l’automne 2018. L’opération a permis à 3500 testeurs volontaires de mettre le service à l’épreuve d’une utilisation quotidienne dans les transports. 88 % d’entre eux envisagent d’ailleurs de l’utiliser à terme lors de sa mise en service officielle dès octobre 2019. À partir de là, le pass Navigo et les tickets T+ pourront être achetés et validés directement depuis un smartphone. Une modernisation censée offrir un service plus pratique aux voyageurs fréquents ou occasionnels. Le déploiement sera progressif et d’autres supports que le smartphone seront proposés dans les semaines à venir.Une intégration avec Samsung Pay« Je veux faire de l’Île-de-France la première Smart région d’Europe. Avec le lancement du Navigo sur smartphone, nous franchissons un cap. Nous faisons entrer les services numériques d’Île-de-France Mobilités dans la poche des Franciliens pour leur faire gagner du temps et de la liberté. Grâce à ce nouveau service, finie l’attente devant l’automate en gare ou station pour recharger son passe Navigo ou acheter ses tickets. L’achat et la validation du titre de transport seront possibles depuis tous les téléphones mobiles compatibles. Ce service est très attendu par les voyageurs. Il sera simple d’utilisation et disponible dès la fin septembre sur l’application d’Île-de-France Mobilités », a expliqué Valérie Pécresse.

By |2019-05-20T17:33:07+00:00May 20th, 2019|Scoop.it|0 Comments

Amazon teste la réservation aérienne

C’est en Inde que le géant du e-commerce s’essaie, discrètement, à la réservation de billets d’avion.Amazon a déjà effectué un test dans la réservation hôtelière, en 2015, avant de jeter l’éponge. Plus récemment, le géant américain du e-commerce a recruté afin de développer son activité dans le voyage. Et il effectue, déjà, quelques tests en matière de réservations aériennes, du moins sur le marché indien. C’est ce que révèle Robert Cole, consultant en hôtellerie, qui a tweeté des captures d’écran des vols intérieurs en Inde. Des itinéraires entre New Dehli et Mumbai exploités par plusieurs compagnies aériennes (Vistara UK, GoAir, SpiceJet, Indigo) seraient ainsi commercialisés sur Amazon, en collaboration avec l’agence de voyage en ligne Cleartrip, rapporte Skift. Les membres d’Amazon Prime bénéficieraient de rabais, visibles dans leur solde Amazon Pay. En entamant sa diversification dans le voyage, Amazon marche dans les pas de Google, qui monte en puissance dans ce secteur depuis plusieurs années.

By |2019-05-20T17:32:38+00:00May 20th, 2019|Scoop.it|0 Comments