Monthly Archives: February 2021

Ecommerce : Google Images intégrera bientôt de la publicité

Dans un article de blog, Google rappelle que son moteur de recherche est le premier endroit où les internautes américains se rendent pour chercher des produits ou des marques en ligne. La firme de Mountain View constate désormais que 50% des acheteurs en ligne se disent inspirés par des images et se tournent de plus en plus vers Google Images pour effectuer leurs recherches. Un sondage qui tombe à pic… Pile au moment où la firme annonce l’intégration prochaine de la publicité sur son moteur de recherches d’images : Google Images. Pour l’heure, la fonctionnalité est testée auprès d’un panel restreint d’utilisateurs et d’annonceurs et concerne uniquement des requêtes générales pour du mobilier ou encore des produits cosmétiques. A l’aide d’un bouton, l’internaute peut afficher la référence, les informations tarifaires et le lien pointant vers le site marchand où le produit peut-être commandé.

By |2021-02-22T22:13:20+00:00February 22nd, 2021|Scoop.it|0 Comments

E-commerce : les 10 tendances pour 2021

ans une infographie, la solution de paiement PayPlug et la plateforme e-commerce PrestaShop dévoilent les 10 grandes tendances de l’e-commerce pour 2021. La volonté de consommer plus local et plus durable ressort en toile de fond. Tendance n°1 : la rétention client La crise sanitaire a boosté les ventes en ligne. Mais selon l’étude, le plus dur sera de conserver ces nouveaux acheteurs sur le long terme. Les marques européennes envisagent d’augmenter leurs dépenses marketing de 30% pour fidéliser cette année. Tendance n°2 : la livraison à la carte En proposant de livrer parfois le jour-même, Amazon a revu à la hausse les attentes des consommateurs. L’un des enjeux de cette année sera de proposer le plus d’options de livraison possible. En effet, 73% des Français y accordent de l’importance. Tendance n°3 : l’essor des marketplaces locales Pour compenser l’afflux moins important dans les boutiques, plusieurs commerçants se sont regroupés sur des marketplaces cette année, particulièrement au moment de Noël. On l’a vu notamment chez les libraires. De 2019 à 2020, le volume d’affaires de ces marketplaces a augmenté de 50%. Selon l’étude, ce chiffre continuera d’augmenter en 2021. A lire également : Marketplaces : Mirakl rejoint le cercle des licornes françaises Tendance n°4 : le succès du re-commerce   Le marché mondial de la seconde main a le vent en poupe, boosté par une envie de faire de bonnes affaires et de consommer plus responsable. Une croissance de 42% est attendue pour le marché de l’occasion cette année. D’ici 2029, il pourrait il pourrait être deux fois plus important que le marché de la fast fashion. Tendance °5 : l’omnicanal comme nouvelle norme Dans le contexte actuel, le click and collect s’est largement répandu. Les consommateurs ont été nombreux à commander en ligne et à récupérer leurs produits en boutique. 85% d’entre eux estiment que les enseignes ont tout à intérêt à proposer ce système. Tendance n°6 : la recherche visuelle Selon l’étude, les internautes effectuent davantage des recherches à partir d’une image dans leur parcours d’achat. C’est surtout le cas chez les plus jeunes, puisque 62% des moins de 35 ans souhaitent pouvoir faire des recherches de cette manière. Bien souvent dénichées sur les réseaux sociaux mais pas toujours légendées, ces images sont de plus en plus le point d’entrée de l’acte d’achat. Tendance n°7 : le paiement en plusieurs fois Proposé depuis plusieurs années déjà dans le secteur du Tourisme, le paiement en plusieurs fois a été plébiscité pendant la crise. Un quart des Français ont eu recours au paiement en plusieurs fois en 2020. 78% des habitués de cette fonctionnalité sont prêts à changer d’enseigne pour pouvoir en bénéficier. Tendance °8 : le storytelling des petites enseignes L’étude explique que la crise a renouvelé l’intérêt du public pour les artisans et petits commerçants. 56% des consommateurs prévoient de dépenser plus chez eux qu’avant la pandémie. Cette année, ils ont donc tout intérêt à travailler leur storytelling pour attirer cette clientèle. Tendance °9 : les produits de grande consommation Les dépenses en ligne consacrées aux produits de grande consommation ont augmenté de 55% entre 2029 et 2020. L’e-commerce est devenu le lieu des achats de première nécessité selon l’étude et cela continuera d’être le cas cette année. Tendance °10 : les micro-interactions Les micro-interactions permettent de fidéliser les consommateurs. Créatrice d’émotion et d’engagement, elles sont d’actualité dans cette période d’hyper-connexion.

By |2021-02-22T22:12:39+00:00February 22nd, 2021|Scoop.it|0 Comments

Malaysian Police Bust Gang That Stole $2.15 Million Worth of Electricity to Mine Bitcoin – News

Police in Malaysia’s Jahor state have busted a seven-men gang that stole 8.6 million Malaysian ringgits ($2.15 million) worth of electricity to mine bitcoin and other cryptocurrencies. ● Police said they seized 1,746 bitcoin (BTC) mining machines across 21 premises in raids carried out between Feb.15 and Feb.16, the Malay Mail reported. The miners are claimed to be worth a combined 2.6 million ringgits ($650,000). ● Seven local suspects aged between 24 and 64 were nabbed in the operation, which involved domestic power company Tenaga Nasional Berhad (TNB). ● “The syndicate, which has been active since the beginning of last year, carried out its activities on the top floor of a shophouse to avoid detection by the authorities,” said Johor’s police chief, Datuk Ayob Khan Mydin Pitchay.

By |2021-02-21T20:12:59+00:00February 21st, 2021|Scoop.it|0 Comments

Elon Musk Says Holding Bitcoin Is Less Dumb Than Cash, Disputes Peter Schiff’s Claims About Money and BTC – Featured

when fiat currency has negative real interest, only a fool wouldn’t look elsewhere. Bitcoin is almost as BS as fiat money. The key word is ‘almost.'” Gold bug Peter Schiff, who recently bashed Musk and Tesla for buying bitcoin, tweeted Friday: “According to Elon Musk ‘Bitcoin is almost as BS as fiat money.’ So Musk regards both bitcoin and fiat as BS.” He further wrote: “I agree, I just think bitcoin, which is digital fiat, is even more BS than the paper fiat issued by central banks. Gold is not BS. It’s real money and better than both.” Musk saw the tweet and replied to Schiff: An email saying you have gold is not the same as having gold. You might as well have crypto. Money is just data that allows us to avoid the inconvenience of barter. That data, like all data, is subject to latency & error. The Tesla CEO continued, “The system will evolve to that which minimizes both.” He additionally noted, “That said, BTC & ETH do seem high.”

By |2021-02-21T18:56:30+00:00February 21st, 2021|Scoop.it|0 Comments

Entre bons résultats et attentes des salariés, le grand écart de Carrefour

Pour y avoir contribué, les salariés de Carrefour doivent se réjouir autant que leur PDG, Alexandre Bompard, des bons résultats annuels annoncés jeudi 18 février, qui, selon lui, marquent « un virage » et donnent une « visibilité si importante pour les investisseurs ». Le groupe de distribution alimentaire a ainsi évoqué « une performance commerciale record en 2020 », sa meilleure « depuis au moins vingt ans », avec un chiffre d’affaires global en hausse de 7,8 %, à 78,6 milliards d’euros, et de 3,6 % en France. Dans l’Hexagone, tous les modèles ont progressé : les supermarchés (+ 6,8 %), les magasins de proximité (+ 8,3 %), et même les hypermarchés (+ 1 %), qui connaissent un « retour à la croissance ». Au cours d’une année marquée par la pandémie de Covid-19 et ses confinements, les magasins alimentaires ont été quasiment les seuls à rester ouverts continûment. Carrefour, comme ses concurrents, a bénéficié du report des besoins de nourriture des ménages. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Chez Carrefour, des syndicats vent debout contre le projet de la direction Ces résultats, Sylvain Macé, délégué syndical CFDT chez Carrefour en France, les attendait avec impatience, car les négociations salariales annuelles se déroulent en ce moment. Le groupe a rappelé, jeudi, avoir versé 128 millions d’euros « de primes exceptionnelles et avantages assimilés aux collaborateurs de terrain en 2020 ». Ambiance électrique Cependant, les dirigeants se livrent à un grand écart. « Ils doivent expliquer aux marchés financiers que ça va bien et aux salariés que ça va mal », ironise le syndicaliste. Pour les hypermarchés, la direction a proposé une revalorisation des salaires de 0,3 %, avant de la porter à 0,5 %, assortie d’une prime de 117 euros, conditionnée à la présence.

By |2021-02-19T09:01:45+00:00February 19th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Renault encaisse une perte historique de 8 milliards d’euros

Le groupe au losange a annoncé vendredi une perte nette de 8 milliards d'euros l'an passé, sur fond de chute des ventes liée à la pandémie de Covid-19 et des difficultés de Nissan. Il a toutefois connu un net rebond au second semestre, de bon augure pour la nouvelle stratégie du groupe. Lire plus tard Automobile Partager Commenter Renault ne versera pas de dividende au titre de 2020. (Stéphane Mahe/Reuters) Par Anne Feitz Publié le 19 févr. 2021 à 8:04Mis à jour le 19 févr. 2021 à 9:43 Une perte historique : engagé dans une vaste restructuration, Renault a annoncé avoir enregistré un déficit net 8 milliards d'euros l'an dernier. Un résultat dans le rouge écarlate, qui fait suite à une première perte nette de 141 millions en 2019. Les temps sont durs pour le Losange, qui n'était pas prêt à affronter une tempête exceptionnelle comme le Covid. La contre-performance du constructeur automobile français est essentiellement imputable à la baisse de ses ventes sur fond d'épidémie . Ses volumes ont plongé de 21,3 %, à 2,95 millions de véhicules, qui ont entraîné une baisse du chiffre d'affaires de 21,7 %, à 43,5 milliards d'euros. A cela s'ajoutent les difficultés de Nissan, qui plombe son actionnaire français de 5 milliards d'euros. Coup de volant stratégique Il y a toutefois un motif d'espoir : le redressement observé au second semestre, avec un chiffre d'affaires en recul de « seulement » 8,9 % et 660 millions d'euros de perte nette. « La résurrection du groupe a démarré », a déclaré le nouveau directeur général Luca de Meo, lors de la réunion avec les analystes. Le dirigeant italien, qui a pris ses fonctions en juillet dernier, a présenté son plan stratégique le 14 janvier , tournant résolument le dos à la course au volume engagée sous la houlette de son prédécesseur Carlos Ghosn. FOCUS Chez Renault, le logiciel prend du galon Les premiers résultats de coup de volant stratégique de retour vers la valeur, se sont déjà fait sentir au deuxième semestre de 2020. « Nous avons amélioré les prix de 5,5 points au troisième trimestre et de 6,2 points au quatrième », a expliqué Luca de Meo. Le Losange a décidé de se recentrer sur les modèles et les pays les plus rémunérateurs, et de cesser de « pousser » les ventes à tout prix. « Nous avons par exemple délibérément amputé nos parts de marché de deux points au Brésil », a indiqué le dirigeant.

By |2021-02-19T09:00:36+00:00February 19th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Le groupe de luxe Kering investit dans des plateformes e-commerce transverses

Fortement touché par la crise sanitaire qui a entrainé la fermeture des points de vente, le groupe de luxe Kering annonce qu’il investit de manière volontariste sur 2021 afin de développer des plateformes transverses en matière d’-ecommerce, d’omni-canal, d’infrastructures logistiques et technologiques, d’expertises et d’outils digitaux innovants, notamment via des expériences clients immersives. Kering effectuera également une expansion ciblée et sélective du réseau de magasins. Bond de +67,5% des ventes via internet en 2020 Si le chiffre d’affaires global est en net recul, le e-commerce en revanche bondit de 67,5% en 2020. Le chiffre d’affaires mondial de Kering atteint 13,1 milliards d’euros, en baisse  de -17,5%. Dans le même temps, Kering souligne la forte accélération de ses ventes en ligne, de +67,5% sur l’ensemble de l’année 2020. Ce canal a représenté 13% des ventes totales du réseau de distribution en propre du groupe de luxe.  « Nos ventes ont affiché une reprise encourageante au cours du second semestre » retient François-Henri Pinault, PDG de Kering.

By |2021-02-19T08:55:15+00:00February 19th, 2021|Scoop.it|0 Comments

German Cannabis Firm Hedges Bitcoin to Protect from Massive Currency Devaluation –

On Tuesday, the cannabis firm Synbiotic SE, a publicly-traded company in Germany that’s listed on the Frankfurt Stock Exchange and Xetra, has announced it is leveraging bitcoin to hedge against the euro. Synbiotic’s chief executive officer, Lars Müller explained that the company decided to hedge with the leading crypto asset in order to protect the firm from further risk of euro and dollar devaluation. Synbiotic CEO: ‘Bitcoin Is the Exact Antithesis of Traditional Currencies’ A German cannabis company is joining the growing list of firms that are adding bitcoin (BTC) to their treasuries. Synbiotic SE announced on Tuesday that it is holding BTC in order to hedge against fiat currency inflation. Synbiotic’s CEO, Lars Müller explained that the cannabis firm has already started to shift “free liquidity into bitcoin.” “Our decision focused less on price fluctuations than the risk of devaluation of euro and dollar. Bitcoin is the exact antithesis of traditional currencies: its volume is limited to 21 million units,” Müller said during the announcement. “This limit is fixed and inviolable, which the cryptocurrency‘s decentralized organization and the blockchain‘s tamper-proof nature in turn guarantees. For this reason, we have more long-term confidence in bitcoin than in euros or dollars, where a central institution, influenced by politicians, can expand the money supply immeasurably,” he added. Müller continued: In addition, the cannabis sector, in particular, has had very positive experiences with bitcoin as a simple and digital means of payment. Several Synbiotic subsidiaries already accept payments in bitcoin in addition to payments in euros. The Massive Devaluation of Fiat Money Is a Legitimate Concern Synbiotic’s recent announcement follows a slew of companies adding BTC to their balance sheets. This week, Microstrategy announced it was selling $600 million in convertible shares to purchase the leading crypto asset. Synbiotic currently focuses on the synthetic production of cannabinoids, drug development, dietary supplement development, and cosmetic products as well. Much like most of the firms adding bitcoin to their treasuries, Synbiotic’s reasonings and “legitimate concern” are similar. Synbiotic and many other businesses are concerned about the “massive devaluation of fiat money” particularly when it comes to the U.S. dollar and the EU’s euro. Synbiotic believes that the company is the first corporate entity in Germany that has invested in BTC in order to curb inflation.

By |2021-02-18T22:02:01+00:00February 18th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Cryptomonnaie : le MTI sud-africain ou la plus « grosse arnaque » mondiale en 2020 | CIO MAG

Dans son rapport de crypto crimes 2020, la société Chainalysis d’analyse de la blockchain fournissant des logiciels de conformité et d’enquête aux organisations a désigné Mirror Trading Internationl (MTI) en tête du Top 10 des escroqueries aux investissements en devises cryptographiques. (Cio Mag) – « Mirror Trading International a été de loin la plus grande escroquerie de l’année, avec 589 millions de dollars de crypto répartis sur plus de 471 000 dépôts, ce qui laisse supposer un nombre de victimes se chiffrant en centaines de milliers », a dévoilé le rapport. MTI est une société de commerce et de réseautage qui utilise le bitcoin comme monnaie de base pour payer les primes à ses membres. Malgré ses airs de légitimité, « les recherches sur Google révèlent que les gens ont, à juste titre, spéculé sur le fait que l’entreprise est une escroquerie », déplore l’étude. Elle énumère également quelques faits qui remettent en cause l’innocence de ce réseau. Notamment un article de Coindesk, un site d’actualités spécialisé dans le bitcoin et les devises numériques incitant les utilisateurs de MTI à retirer leurs fonds dès que possible. Tout en citant la décision des régulateurs de l’Etat du Texas d’étiqueter officiellement la société comme une arnaque, ainsi qu’une enquête en cours de l’Autorité de contrôle des services financiers d’Afrique du Sud. En effet, dans un communiqué publié en août dernier, l’autorité exigeait, une licence correspondant aux activités financières de l’entreprise. Elle a surtout constaté que « les rendements des investissements revendiqués par MTI semblent farfelus et irréalistes » car elle n’avait pas été en mesure de confirmer de manière concluante des fonds existants déclarés par MTI. Sans oublier que qu’après une enquête l’autorité a constaté  que la société avait falsifié des déclarations commerciales, n’avait pas déclaré de pertes et avait commis d’autres actes de fraude pour tromper le marché. « L’enquête a également révélé que MTI avait plus de 16 000 bitcoins de fonds d’investissement de clients déclarés non comptabilisés. MTI a prétendu avoir transféré ces fonds sur une nouvelle plateforme de négociation de devises après que son ancienne plateforme l’ait interdite en raison de sa réputation d’escroquerie. La nouvelle plateforme affirme que ces fonds n’ont jamais été déposés », persiste Chainanalysis. Alors que l’autorité de contrôle de services financiers a averti le public de la non-autorisation des activités de MTI, les clients se sont également plaints de ne plus pouvoir accéder ou retirer les fonds qu’ils avaient déposés sur la plateforme tandis que Johan Steynberg, PDG du groupe a déserté l’Afrique du Sud. Selon le rapport Chainanalysis, le plus intéressant est peut-être l’utilisation apparente par le MTI Club d’un service populaire de jeu de devises cryptographiques comme mécanisme de blanchiment d’argent et d’encaissement. « La plateforme est la destination la plus risquée des fonds du MTI en volume, ayant reçu 39 millions de dollars de crypto d’arnaque en 2020. Dovey Wan, observateur de la crypto monnaie  et investisseur en capital-risque, explique que cette technique de blanchiment d’argent devient courante pour de nombreux cybercriminels qui utilisent la crypto monnaie », peut-on lire dans le rapport. Informer pour décourager D’après l’enquête, ces mécanismes de jeu permettent de masquer les origines et les flux de fonds obtenus de manière illicite. Elle affirme par ailleurs que ce fait est particulièrement vrai pour les arnaqueurs et que ce réseau sud-africain est un exemple de la raison pour laquelle l’industrie doit informer que les plateformes de négociation algorithmiques promettant des rendements irréalistes sont presque toujours des escroqueries. Pour l’entreprise d’analyses de blockchain, les bourses de valeurs et autres services de cryptologie doivent également  décourager les utilisateurs d’envoyer des fonds ou du moins les avertir que des pertes financières sont très probables. En outre, les bourses, les plateformes de jeux et les autres services que ces escroqueries utilisent pour blanchir des fonds devraient envisager de bloquer les transactions des entreprises reconnues comme des arnaqueuses. Elle a également prévenu que la crypto-monnaie reste attrayante pour les criminels, principalement en raison de son pseudonyme et la facilité avec laquelle elle permet aux utilisateurs d’envoyer instantanément des fonds n’importe où dans le monde, malgré sa conception transparente et traçable. Selon elle, la criminalité liée à la crypto monnaie a fortement diminué l’année dernière. Laquelle a été « une année incroyable » pour cette monnaie 2020 avec le bitcoin qui a « pulvérisé ses précédents records de prix, en grande partie grâce par l’augmentation du nombre de personnes dans la monnaie crypto ».

By |2021-02-17T13:47:27+00:00February 17th, 2021|Scoop.it|0 Comments

The Line, la nouvelle folie des grandeurs “verte” de l’Arabie Saoudite…

L’Arabie Saoudite prévoit de construire une ville verte de 1 million d’habitants qui fera 170 kms de longueur. Sur « The Line », les transports seront souterrains et l’IA sera partout. Projet ou mirage dont cette région est si folle. A vous de juger…   Difficile d’imaginer que ce sublime désert qui vient se perdre dans les eaux chaudes de la Mer Rouge devrait laisser place, d'ici une décennie, à une ville nouvelle longue de 170… kilomètres. Les concurrents du dernier Dakar, qui se tient depuis l’année dernière en Arabie Saoudite, n’avaient sans doute pas conscience en parcourant les pistes poussiéreuses le long de ces côtes qu’ils pourraient devoir, lors des prochaines éditions, faire des slaloms entre les pelleteuses et les grues. Neom n’est aujourd’hui qu’un lieu-dit en plein désert dans le golfe d’Aqaba mais dans une décennie, ce site devrait marquer le point de départ de « The Line » . Ce projet pharaonique ou plutôt princier dans le cas présent est, avouons-le, un rien mégalomane. Cette nouvelle cité devrait, en effet, être trente fois plus grande que New York. Le prince héritier saoudien Mohammed Ben Salmane, -MBS pour les plus intimes-, ne manque pas d’ambitions pour réduire la dépendance de son pays aux hydrocarbures d’ici 2030.     Dubaï fait des émules   Les premiers coups de pelle ont déjà été donnés dans ce désert sans fin. « Aujourd’hui, 700 personnes travaillent sur le site mais à terme, plusieurs dizaines de milliers de salariés seront impliqués sur ce chantier », nous confie Florent Lennert, le responsable de la technologie et des données numériques chez Neom. Une fois terminé, The Line devrait abriter plus de 1 million d’habitants et permettre la création de 380.000 emplois. Cette zone devrait également accroître chaque année de 83,3 milliards d’euros le PIB saoudien. Voilà pour la théorie. Aujourd’hui, ces chiffres ressemblent surtout à des vœux pieux mais la réaction des critiques était la même lorsque l’émirat de Dubaï promettait, il y a près de 30 ans, de créer une mégalopole en plein cœur du désert… Quand les ressources financières sont illimitées ou presque, les rêves les plus fous peuvent, parfois, devenir réalité. Construire une ville toute en longueur peut paraître étonnant mais ses promoteurs ont un argument de poids pour justifier leur choix. « Le long de cette ligne, vous pouvez trouver sept types de paysages différents, raconte Florent Lennert. Des rives de la Mer Rouge, aux plaines désertiques, en passant par le désert rouge et des massifs montagneux dont les sommets atteignent 2500 mètres d’altitude, le choix sera vaste. » Le long de ce tracé horizontal seront construits des communautés séparées en quatre quartiers d’environ 20.000 habitants chacun. Ces « villes moyennes » chercheront à séduire différents types d’investisseurs. « Nous allons nous concentrer sur certains secteurs comme les médias, le sport, la santé, l’énergies, les mobilités ou le tourisme », énumère Florent Lennert.     Une ville sous la ville   Pour relier ces agglomérations, des transports en commun à grande vitesse seront creusés dans le sous-sol. Aucun trajet ne devrait excéder vingt minutes. Les ingénieurs ont également promis de bâtir une ville écologique dans laquelle la voiture sera interdite. Aucune route ne devrait même être construire sur le site. En surface, les habitants se déplaceront à pied, à vélo ou en trottinette électrique entre des bâtiments séparés par d’innombrables espaces verts ). Sous le sable et les plaines rocailleuses, des camions et des bus non polluants transporteront des biens d’un endroit à l’autre et enfouis encore plus profondément des tunnels permettront aux métros rapides de se déplacer rapidement. Toute l’énergie nécessaire à cette ville sera produite par la nature.

By |2021-02-16T21:50:07+00:00February 16th, 2021|Scoop.it|0 Comments