Monthly Archives: October 2021

Ikea France réalise un tiers de son chiffre d’affaires en e-commerce

Sur son année fiscale 2021, Ikea France réalise un chiffre d’affaires de 2,8 milliards d’euros en progression de +4% malgré près de 5 mois de fermeture des magasins. Le e-commerce double en un an et pèse 1 milliard d’euros de chiffre d’affaires, soit 35% du chiffre d’affaires. L’année fiscale d’Ikea va du 1er septembre 2020 au 31 août 2021. Le rôle des magasins a été redéfini sous la pression de la crise sanitaire L’enseigne veut accélérer l’expérience omni-canal via de nouveaux outils, pour effacer progressivement la frontière entre points de contacts physiques et digitaux. Durant les fermetures de magasins à cause de la crise Covid-19, Ikea France a redéfini le rôle des magasins en mettant en place le service « Cliquez et Emportez », en préparant des livraisons à domicile ou en réalisant des rendez-vous à distance pour la planification de cuisine ou chambre.

By |2021-10-19T13:53:23+00:00October 19th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Purpose could be ‘the death of brands’, warns Byron Sharp

Speaking at the Festival of Marketing: The Year Ahead today (18 October), Sharp, director of the Ehrenberg-Bass Institute and long-time critic of brand purpose, argued that from a branding perspective, if a company goes down this route “it’s just so easy to copy”. “As a marketer I worry that it leads to the sort of advertising a 12-year-old kid would come up with in a high school assignment. ‘Buy this brand because it will help children in Africa’. If all brands do that it’s very boring and not creative. It’s not branding,” said Sharp. Many years ago, he predicted that private label products – goods created by one company to be sold and branded by another – would eventually pick off and replace the most simply differentiated brands. At first, that meant those brands that were differentiated by being the cheapest in their category. Then, it was those brands differentiating themselves on being organic, or sold on being British. “That’s just so easy to pick up,” he said. So, if the marketing community succeeds in teaching consumers they should only buy brands that donate to charity or are seen as doing good for the world, private labels can easily take that over as well.

By |2021-10-19T13:47:23+00:00October 19th, 2021|Scoop.it|0 Comments

L’impact économique des applications de consommation responsable telles que Yuka ou BuyOrNot

En juin 2021, la start-up Yuka était condamnée en première instance par le tribunal de commerce de Paris à la suite d’une plainte de la Fédération des Entreprises Françaises de Charcuterie Traiteur (FICT) pour « pratique commerciale déloyale et trompeuse ». Ce groupe d’industriels de la charcuterie estimait que le mauvais score attribué aux produits contenant des nitrites et nitrates était injustifié. Une réponse judiciaire à contre-courant de la tendance générale à la responsabilisation des industriels. Car une autre démarche, plus constructive, pourrait également se développer entre industriels, applications et consommateurs. Face à cette tendance de fond, l’enseigne Intermarché a annoncé avoir reformulé neuf cents de ses recettes en supprimant 142 additifs. Plutôt que s’en prendre aux messagers portant la voix des consommateurs, les acteurs de l’alimentation tendent donc progressivement à intégrer l’existence de ces outils dans leurs stratégies pour préserver leurs ventes. Mais que se passerait-il si cette logique de transparence s’étendait à l’ensemble des univers de produits ? L’influence écologique et sociale bénéficie de nouveaux critères L’extension de cette logique demanderait d’abord la définition de nouveaux critères d’évaluation potentiellement plus complexes à élaborer que les scores nutritionnels afin de mesurer des aspects comme l’impact écologique ou encore les pratiques sociales. Mais certaines applications ont ouvert la voie en intégrant un « éco-score » conçu en coopération avec l’ADEME et tenant compte de l’impact de produits en termes écologiques. L’application BuyOrNot quant à elle relaie des appels au boycott liés à l’impact social des entreprises productrices (emploi de personnes mineures, mauvaises conditions de travail, corruption) et prévoit la création d’une rubrique proposant des produits alternatifs. Un autre critère potentiellement déterminant pourrait être la durée de vie et le degré de réparabilité des produits : à la fois moins chers sur le long terme et plus responsables écologiquement, les produits les plus durables seraient logiquement préférés par les consommateurs. C’est selon ce principe que, depuis début 2021, un indice de réparabilité a été créé par l’ADEME et rendu obligatoire pour les ordinateurs portables, les smartphones, les télévisions, les lave-linges à hublot et les tondeuses à gazon électriques. Dès 2022, il sera progressivement déployé sur d’autres équipements électriques et électroniques. Les mêmes applications pour les produits tech ? Rien n’empêcherait donc que les mêmes méthodes d’évaluation s’étendent à d’autres secteurs industriels comme ceux des produits technologiques. Mais certaines problématiques propres à ces autres marchés pourraient toutefois s’imposer. Si les alternatives écologiques et socialement responsables sont particulièrement développées dans le domaine de l’agro-alimentaire, ce n’est pas le cas dans de nombreux autres secteurs comme l’informatique. Les terres rares – ces métaux indispensables à la fabrication de nombreux composants comme les batteries – sont par exemples utilisées par l’immense majorité des acteurs de l’électronique et ne sont, comme leur nom l’indique, pas renouvelables. En matière de téléphonie, le FairPhone fait figure d’exception mais n’est pas encore en mesure de concurrencer sérieusement les géants du smartphone dont le rapport performance/prix repose en partie sur des économies d’échelles. 

By |2021-10-19T13:43:29+00:00October 19th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Blockchain : la marketplace de Winding Tree vise à désintermédier le tourisme

Winding Tree, société suisse spécialisée dans le blockchain dans le tourisme, a récemment lancé sa marketplace qui permet aux acteurs du tourisme de se connecter sans intermédiaire. Même si elle ne se voit pas comme une « GDS killer », le but de la société est de réduire les coûts pour toute la chaine y compris les petits producteurs et les clients finaux. Explications avec Mathieu Tahon, Chef de produit chez Winding Tree. Winding Tree a créé une marketplace, pouvez-vous nous en dire plus ? @Mathieu Tahon, Chef de produit chez Winding Tree Notre marketplace repose sur la blockchain et permet à n’importe quel acteur du tourisme de se connecter à l’inventaire d’un autre sans intermédiaire et d’obtenir toutes les informations dont il a besoin. Chacun peut être vendeur ou acheteur. Grâce à cette marketplace, le client final peut lui aussi réserver une chambre d’hôtel et bientôt un billet d’avion via Glider, notre agence de voyage open source. N’importe qui peut copier le code de Glider pour créer sa propre agence de voyage. Quelles réflexions ont nourri la création de cette marketplace ? Winding Tree a été fondée en 2017 et j’ai moi-même rejoint la société en 2020. Les trois premières années de son existence ont été dédiées à la recherche autour de la distribution dans la blockchain. Après plusieurs tests réalisés, l’équipe a réalisé qu’il était nécessaire de créer une identité propre afin de pouvoir identifier l’entreprise et ses tarifs. Habituellement, cette identité est contrôlée par les GDS. Ces tests ont également permis de savoir qu’il est aujourd’hui compliqué d’effectuer autant de transactions à la seconde que les systèmes existants. La blockchain permet seulement d’effectuer 20 transactions par seconde. Il fallait donc travailler en direct, mais en utilisant la blockchain. Entre 2017 et 2020, plusieurs partenariats ont été signés avec Air France, Lufthansa ainsi que des hôtels et des channel managers. C’est à partir de 2020 que la création d’une marketplace s’est imposée.

By |2021-10-17T08:43:05+00:00October 17th, 2021|Scoop.it|0 Comments

LinkedIn’s Exit From China Cuts Another East-West Bridge | WIRED

FOR CHINESE REGULATORS, even a censored US-based social network was too much. Microsoft ​said Thursday it would cease operating its work-oriented social network LinkedIn within China by the end of the year. In a statement, the company cited a “significantly more challenging operating environment and greater compliance requirements in China.” The announcement is a symbolic moment for US-China tech relations, and for China’s new hard-line approach to regulating its tech industry. Microsoft’s withdrawal is the most high-profile departure since Google left the country in 2010 in protest over censorship and alleged espionage. LinkedIn entered China in 2014 after agreeing to censor content on its site for misinformation and politically sensitive subjects, such as Taiwan. Microsoft, which had its own long and relatively strong relationship with Chinese authorities, acquired LinkedIn in 2016. In recent years, it has been the only major US internet company offering content within China. LinkedIn says it will operate a China-only jobs board within the country, effectively removing the social networking and content sharing functionality of the site. The exit highlights the pressure on American companies as US-China relations worsen and the Chinese government deepens its influence over the economy. “China’s tightening control is becoming less and less reconcilable for Western companies,” says Nina Xiang, a financial analyst and the author of US-China Tech War, a book on high-tech competition and collaboration between the world’s two biggest economies. “LinkedIn is about the last remaining big American tech firm operating in China that involves content,” Xiang says. “With it gone, the decoupling between China and the rest of the world will only deepen.” The LinkedIn announcement follows months of intensifying Chinese government pressure on its technology industry, with sweeping crackdowns and harsh new rules. Significantly, this includes a plan to come into force later this year to examine and regulate recommendation algorithms. This would cover the algorithms that LinkedIn uses to suggest content as well as new potential business connections to users.

By |2021-10-17T07:51:54+00:00October 17th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Quatre choses à savoir sur Swile, la nouvelle licorne française

À peine trois ans, et déjà l'ambition de conquérir l'Amérique latine. Swile, entreprise française spécialisée dans les titres-restaurants dématérialisés et autres avantages financiers en entreprise, vient de lever 200 millions de dollars avec pour ambition de s'implanter au Brésil et au Mexique. Elle rejoint ainsi le club des licornes françaises, ces entreprises qui dépassent une valorisation d'un milliard de dollars. Swile entend également étendre ses services, pour offrir une « super appli » à destination des employés. Voici que ce qu'il faut savoir sur cette entreprise. 1. Une carte de paiement et une application Swile, née sous le nom Lunchr, a été lancée début 2018 par Loïc Soubeyrand. L'entreprise offre une carte à puce Mastercard qui permet de dématérialiser les tickets-restaurants et de payer sur tous les terminaux de paiement, sans paramétrage spécifique préalable. Avec une promesse : cette carte fonctionne partout. Swile lève 200 millions de dollars et devient la nouvelle licorne tricolore Depuis, l'offre s'est élargie en s'ouvrant aux bons cadeaux, aux aides mobilités et bientôt aux tickets vacances. Elle permet aussi aux entreprises de verser des primes d'intéressement. La carte Swile permet enfin d'associer une carte bancaire sur laquelle elle ira chercher le complément pour un paiement si la somme à payer dépasse le solde du compte Swile. Swile s'appuie également sur une application, qui a vocation à offrir aux employés de nombreuses fonctionnalités tenant à l'heure vie quotidienne dans l'entreprise : un service de sondage RH, une messagerie, un service de cagnotte en ligne, un calendrier des événements d'entreprise, un service de remboursement entre collègues, etc.

By |2021-10-11T19:29:49+00:00October 11th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Auchan-Carrefour : les leçons du « non-deal »

Mais l'affaire Auchan-Carrefour indique également deux choses. Grâce à la famille Mulliez, Auchan conserve des ressources, malgré ses difficultés. Désendetté, le groupe a pu offrir 12 milliards de numéraire aux actionnaires de Carrefour, sans compter ses actifs. Les Mulliez ont brisé plusieurs tabous : les réticences du fondateur Gérard Mulliez, la cotation d'Auchan et l'accès aux autres actifs de l'AFM. De l'autre côté, porté par ses bons résultats et un management moderne, Carrefour fait figure de proie idéale. Avec une capitalisation de 12,4 milliards à un cours compris entre 15 et 16 euros (en baisse de 2 % ce lundi) le leader français est finalement peu valorisé à une époque où l'argent coule à flots. Vivre seul Le canadien Couche-Tard ne s'y est pas trompé en proposant 20 euros fin 2020. Auchan est monté à 21,50 euros, dont 30 % en actions. Et le monde des affaires sait désormais qu'à 22 euros l'action, Carrefour pourrait plus facilement changer de mains. « Une fiancée attractive » titrait ce lundi la note de Fabienne Caron, l'analyste de Kepler Cheuvreux qui estime, au passage qu'« Alexandre Bompard ne s'est pas assez battu en faveur de l'offre de Couche-Tard » qui proposait du cash et 1 milliard d'investissements. Après avoir été éconduit par Casino en 2018 puis avoir refusé Auchan, Carrefour a épuisé les possibilités de consolidation franco-françaises, sauf à se jeter sur un spécialiste comme FNAC Darty. Une solution étrangère a été refusée par le gouvernement avec Couche-tard. Selon nos informations, Alexandre Bompard estime que le contexte de la crise passée, ainsi que, bientôt, la présidentielle, une opération avec un nom français redeviendrait possible… Mais il pense également que Carrefour peut vivre seul grâce à sa transformation numérique. Autres pistes Auchan a, lui, les moyens de nouvelles ambitions et n'a pas exploré la piste Casino. Ses grands hypers pourraient compléter les réseaux des Franprix et Monoprix… Pure conjecture pour l'heure. Dernière conséquence du mariage raté Auchan-Carrefour : le sort d'Alexandre Bompard. La rumeur le voit partir chez Orange, TF1-M6 ou Kering. Plusieurs sources disent que la famille Moulin, actionnaire de référence de Carrefour, a peu apprécié de ne pas avoir été tenue, précisément et en temps voulu, au courant des offres d'Auchan. Une source proche du groupe dément vivement. Mais la petite musique d'un désalignement du PDG et de son actionnaire principal résonne aussi.

By |2021-10-11T19:28:49+00:00October 11th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Facebook Renews Its Ambitions to Connect the World | WIRED

In a briefing with press this week, Facebook chief technology officer Mike Schroepfer trumpeted the work of the company’s Connectivity group and revealed plans to connect a billion more people around the globe via high-speed internet. Schroepfer says Facebook is working on a new, 24-fiber transatlantic subsea cable system that will connect Europe to the US; has improved its aboveground, fiber-deploying robot; and has been testing a “last-mile” wireless internet system that delivers gigabit speeds over the air. The efforts have been years in the works. Eighteen months ago, Facebook said it had partnered with African operators to build massive subsea internet cables. Development on the wireless system, called Terragraph, started in 2015, while the fiber-focused robot, Bombyx, was first developed in 2018. (The latter has not yet been deployed, but was first announced in the summer of 2020.) Schroepfer and other executives, including Dan Rabinovitsj and Yael Maguire, say these new technologies could bring fiber, or fiber-like speeds, to the masses much more quickly and cheaply than typical fiber deployments. Schroepfer says the Bombyx bot represents “one of the single largest drops in the cost of fiber deployment ever,” and that Facebook has now developed breakthrough technologies across three layers of internet infrastructure: the subsea cables, the Bombyx robot, and a system that delivers gigabit-speed internet over the air. “Almost half of the world still lacks internet access, and affordability is the primary reason for this digital divide,” Rabinovitsj says. “Especially in countries where affordability means providing internet access for less than a dollar per day.” Facebook is among several tech companies with ambitions of expanding internet access around the world. But many have run into both technical and political obstacles. Google shuttered its Loon project that aimed to beam internet access via helium balloons. It also ran Google Fiber from 2010 until 2015, relying on existing utility poles in some markets and digging trenches in others. But that proved to be too costly for Google to maintain. Meanwhile, Amazon and SpaceX are investing billions in low Earth orbit (LEO) satellites, which would provide internet access through “constellations” of thousands of satellites. (Facebook had a team working on LEO satellites; this team was acquired by Amazon just three months ago.) Facebook has had its own pie-in-the-sky, internet-access ideas before that didn’t exactly pan out. Its experimental solar-powered drone project, Aquila, was powered down in 2018. And then there was FreeBasics, which was part of Facebook’s broader Internet.org initiative and was supposed to offer free, no-frills internet to phone users in India. But critics said Facebook’s offer of free-but-limited internet violated the rules of net neutrality, and the Indian government banned the service. Facebook is in a uniquely powerful position: In some parts of the world, the social media company is already synonymous with the internet, even if it is not technically an internet service provider. And as its content moderation and targeted advertising practices fall under increasing scrutiny, having its hands in the underlying infrastructure of the internet could raise concerns as well.

By |2021-10-10T12:30:52+00:00October 10th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Easyjet France : retour du voyage d’affaires au niveau d’avant-crise

La low-cost britannique a fait un point sur la reprise de son segment Business travel dans l’Hexagone. Le taux de voyageurs d’affaires (26%) était le même, début septembre, qu’avant le début de la pandémie. Historiquement, easyJet accueille en moyenne 25% de voyageurs d’affaires sur son marché France, en s’appuyant sur son important réseau domestique. La compagnie low-cost britannique a réussi à faire un peu mieux la première semaine de septembre, avec 26 % de passagers business, la meilleure performance depuis février 2020. Soulignant les « signes positifs de reprise des voyages d’affaires sur l’ensemble de notre réseau », Bertrand Godinot, directeur général d’easyJet pour la France, peut même afficher des taux meilleurs encore sur l’Hexagone «où la part des voyageurs d’affaires atteint plus de 30 % en moyenne et jusqu’à 50 % sur certaines lignes domestiques (…). Dans le monde post-Covid, a-t-il ajouté, le rapport qualité-prix est un critère fort et l’offre easyJet répond à ce besoin avec un prix abordable et des options pertinentes – comme le speedy boarding – pour la clientèle affaire ». Le bon résultat du segment affaires est bien sûr lié au poids de l’offre domestique de la compagnie. Laquelle rappelle que 58 % de ses voyageurs d’affaires, sur l’ensemble de son réseau, volent sur des lignes intérieures. Si le profil des passagers d’affaires comprend aussi bien des grandes entreprises que des PME, easyjet note que ces dernières sont le fer de lance de la reprise. Rappelons que la compagnie a augmenté ses fréquences sur plusieurs lignes domestiques (Paris-Nice et Toulouse, Nantes-Toulouse, Nantes-Lyon, Lyon-Bordeaux et Lyon-Toulouse) et européennes (Paris-Berlin, Paris-Milan, Paris-Venise et Paris-Londres). A noter aussi l’ouverture des lignes Paris CDG-Bergame et Paris Orly-Montpellier et Toulon.

By |2021-10-10T08:42:18+00:00October 10th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Nigerians Optimistic CBDC Will Improve Payments and Help Promote Cryptocurrencies – Fintech

Nigerians are hopeful the planned central bank digital currency (CBDC), also known as the e-naira, is going to enhance cross-border payments and make it “easier for the naira to be widely used and accepted.” E-Naira Launch a Boon for Cryptos In fact, according to a VOA report, some Nigerian blockchain experts like Janet Kaatyo believe the e-naira launch will work in favor of cryptocurrencies. Prior to the Central Bank of Nigeria (CBN)’s February directive, cryptocurrency usage and trading in Nigeria had surged due in part to pandemic-related movement restrictions. However, this growing popularity as well as the depreciation of the naira eventually forced the CBN to act. Soon after ordering banks to squeeze out crypto players, the CBN began promoting the e-naira which it claimed would “ease monetary transactions and improve the long-term value of Nigeria’s currency.” CBDC Role in Fighting Corruption While the CBN has yet to announce the new launch date for the e-naira, some Nigerians like Daniel Yerimah, a digital strategist, are still hopeful this central bank digital currency (when rolled out) will help authorities curb corruption and money laundering. “Everything built on blockchain is very safe and secure. Another thing again is it’s universal, parts of the benefits they intend to achieve with the eNaira is it will be used for both international and local trade and also it’s going to be to fight corruption,” the report quotes Yerimah explaining.

By |2021-10-10T08:41:25+00:00October 10th, 2021|Scoop.it|0 Comments