Monthly Archives: November 2017

Bitcoin Edges Closer to $10,000. Here’s What Analysts Are Saying.

Bitcoin is on its way to being worth $10,000 per coin. Currently, the cryptocurrency is up 800% compared to the beginning of the year, when it was priced at $968 per coin. As of this evening, the price was a few hundred dollars shy of $10,000. This new high comes just seven days after bitcoin broke $8,000 and not even a full month since it hit the $7,000 mark.

By |2017-11-28T18:03:19+00:00November 28th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Gravity : quand les grands groupes français s’unissent face aux géants du web / Via TOM, le média du digitourisme.

Lors du DataMarketing Paris 2017, Francis Morel, PDG du groupe Les Échos – Le Parisien et Fabien Magalon, Directeur général de Gravity, ont présenté le projet Gravity, une alliance publicitaire des grands groupes français destinée à contrer le monopôle de la data détenu par les géants américains. Avec la mise en ligne de sa plateforme publicitaire mutualisée, l’équipe de Gravity a « l’ambition de fournir aux annonceurs une data plus riche sur des segments spécifiques au travers d’un outil publicitaire puissant basé sur la programmatique, précise Fabien Magalon en tant que chef du projet Gravity avant de poursuivre, à l’heure où Google et Facebook captent 66 % du trafic en ligne, tous supports confondus, les entreprises européennes n’ont d’autre choix que d’unir leurs forces si elles souhaitent continuer à proposer des espaces publicitaires en ligne intéressants pour les annonceurs. » C’est là tout l’enjeu du projet Gravity, une alliance d’éditeurs et d’acteurs du digital français qui lance une plateforme commune d’achat d’espaces publicitaires. L’idée est simple : cumuler et croiser les données intentionnistes/transactionnelles, géolocalisées, profils sociodémographiques et socioprofessionnels, etc. Le tout au travers « d’une plateforme brand safety qui permettra aux annonceurs d’être dans un univers de marques bien défini », a insisté Francis Morel. Contrer le monopôle américain de la publicité digitale L’initiative a été portée par Les Échos – Le Parisien et Lagardère, des groupes médias pour qui la régie publicitaire constitue le fer de lance de leur modèle économique. Pour Francis Morel, le projet est la réponse logique à un constat que tous les médias connaissent. « Nous (les médias, ndlr) sommes conscients de notre retard par rapport aux GAFA qui concilient une visibilité importante, un support technologique développé et un savoir-faire performant en matière de programmatique (gestion de publicités automatisée, ndlr). Pour pallier ce retard de manière rapide et efficace, il fallait pouvoir mettre à contribution des expertises diverses. L’idée de mettre en commun l’expérience de groupes français issus de secteurs d’activité variés a été le choix le plus évident. C’est pourquoi Gravity est la première alliance publicitaire française qui réunit des médias, des éditeurs, des groupes télécoms, des e-commerçants, etc. Le but est clairement de croiser les expertises pour proposer un outil puissant dans un laps de temps limité. »

By |2017-11-28T17:55:35+00:00November 28th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Level, la nouvelle low cost long-courrier d’IAG, débarque en force à Paris-Orly

Portée par la maison mère de British Airways et d'Iberia, la nouvelle low cost va desservir les Antilles, Montréal et New York au départ d'Orly, avec des prix défiant toute concurrence. Les passagers en quête de bas tarifs au départ de Paris seront à la fête cet été. Après Norwegian, Level, la nouvelle filiale low cost long-courrier d'IAG, s'apprête à débarquer à Paris avec un produit et des tarifs défiant toute concurrence. Présentée ce mardi matin à Paris par Willie Walsh, le patron d'IAG en personne, Level desservira Montréal, Fort-de-France et Pointe-à Pitre à compter du 2 juillet, trois à quatre fois par semaine au départ d'Orly, avec un prix d'appel - sans aucune prestation à bord - à partir de 99 euros l'aller simple. Elle desservira aussi New York-Newark à compter du 4 septembre, à partir de 129 euros. Deux Airbus A330 basés à Orly Comme à Barcelone, Level disposera de deux Airbus A330-200 basés à Orly, offrant 21 sièges en classe premium et 293 sièges en classe éco. Mais, contrairement à Barcelone, Level ne partira pas de zéro à Orly, où elle reprendra les 170 salariés, les créneaux, le certificat de transport aérien et la clientèle d'Openskies, la filiale de British Airways spécialisée dans la desserte de New York, qui s'effacera totalement au profit de la marque Level à compter de septembre. Level pourra également s'appuyer sur la forte présence de Vueling, la filiale low cost moyen-courrier d'IAG, dont les 17 lignes sur Orly fourniront du trafic additionnel en correspondance.

By |2017-11-28T17:46:40+00:00November 28th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Comment faire de la France un leader mondial de l’intelligence artificielle ?

Hier s’est déroulé le Forum Parlementaire de l’intelligence artificielle (IA), en présence d’une cinquantaine de parlementaires. L’occasion de revenir sur les enjeux de l’IA et sur la nécessité pour la France de se positionner parmi les leaders mondiaux. C’est à la Maison de la Chimie que RM conseil, agence de conseil en communication et relations institutionnelles, a convié hier parlementaires, étudiants, professionnels et journalistes afin de réfléchir à l’intelligence artificielle en tant qu’impératif économique, sociétal et géopolitique. En introduction, Laure de la Raudière, députée (LC) d’Eure-et-Loire et marraine du Forum, a rappelé les différents enjeux induits par l’intelligence artificielle. Ils sont sociaux car plusieurs métiers vont disparaître. Il faut travailler à la réussite de cette mutation. Ils sont publics car l’IA, à travers la médecine prédictive, permet d’être plus efficace en réduisant les dépenses. Ils sont aussi éducatifs car elle pourrait permettre la mise en place de modes d’apprentissage adaptés à chaque élève. « En septembre dernier, Vladimir Poutine a dit que le pays qui dominera l’intelligence artificielle dominera le monde. Nos politiques ont un besoin vital de comprendre ces enjeux. Il nous faut créer des géants mondiaux et un fonds européen », a-t-elle lancé à l’auditoire tout en soulevant quelques questions. L’utilisation des données personnelles sonne-t-elle la fin de la vie privée ? S’agit-il là de la fin de la démocratie ? « Pensons le monde avec l’Homme au cœur », a conclu Laure de la Raudière dans son préambule. La France prévoit d’investir 1,5 milliards d’euros La table-ronde intitulée « Comment faire de la France un leader mondial de l’intelligence artificielle ? » s’est ensuite ouverte sur l’intervention de Virginie Duby-Muller, députée (LR) de la Haute-Savoie, qui a donné quelques chiffres. Elle a rappelé que la France a prévu d’investir 1,5 milliards d’euros dans le développement de l’IA quand la Chine prévoit d’en investir…13 milliards. En 2016, 1600 startups spécialisées dans le domaine étaient recensées dans le monde. En France, elles étaient 270 début 2017. Si l’enjeu semble avoir été compris par le gouvernement, il reste encore des efforts à faire pour se positionner parmi les leaders. Des startups qui veulent changer le monde Une idée partagée par Paul-François Fournier, Directeur exécutif en charge de l’innovation chez Bpifrance, qui croit au potentiel des startups. En 2017, la Banque Publique d’investissement a soutenu 4000 startups en 2017 contre 1500 en 2013. Selon lui, c’est du côté de la deep tech que se trouvent les opportunités les plus intéressantes. Les jeunes pousses de la deep tech ont l’ambition de créer des innovations de ruptures en repoussant les frontières technologiques, grâce aux avancées scientifiques. Elles veulent guérir le cancer ou lutter contre le changement climatique par exemple. ANIMA.ai est un laboratoire qui a cette même ambition. Fondé par Alexandre Cadain, entrepreneur et ambassadeur européen d’IBM Watson AI XPRICE, il entend impacter positivement la vie d’un milliard d’individus d’ici 2020. « Nous pourrions changer le monde mais nous ne le faisons pas. Des moyens sont mis pour créer des chatbots, mais aucun pour guérir le paludisme », a-t-il lancé à l’assistance.

By |2017-11-20T18:32:20+00:00November 20th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Inside the Race to Hack the Human Brain

IN AN ORDINARY hospital room in Los Angeles, a young woman named Lauren Dickerson waits for her chance to make history. She’s 25 years old, a teacher’s assistant in a middle school, with warm eyes and computer cables emerging like futuristic dreadlocks from the bandages wrapped around her head. Three days earlier, a neurosurgeon drilled 11 holes through her skull, slid 11 wires the size of spaghetti into her brain, and connected the wires to a bank of computers. Now she’s caged in by bed rails, with plastic tubes snaking up her arm and medical monitors tracking her vital signs. She tries not to move. The room is packed. As a film crew prepares to document the day’s events, two separate teams of specialists get ready to work—medical experts from an elite neuroscience center at the University of Southern California and scientists from a technology company called Kernel. The medical team is looking for a way to treat Dickerson’s seizures, which an elaborate regimen of epilepsy drugs controlled well enough until last year, when their effects began to dull. They’re going to use the wires to search Dickerson’s brain for the source of her seizures. The scientists from Kernel are there for a different reason: They work for Bryan Johnson, a 40-year-old tech entrepreneur who sold his business for $800 million and decided to pursue an insanely ambitious dream—he wants to take control of evolution and create a better human. He intends to do this by building a “neuroprosthesis,” a device that will allow us to learn faster, remember more, “coevolve” with artificial intelligence, unlock the secrets of telepathy, and maybe even connect into group minds. He’d also like to find a way to download skills such as martial arts, Matrix-style. And he wants to sell this invention at mass-market prices so it’s not an elite product for the rich. Right now all he has is an algorithm on a hard drive. When he describes the neuroprosthesis to reporters and conference audiences, he often uses the media-friendly expression “a chip in the brain,” but he knows he’ll never sell a mass-market product that depends on drilling holes in people’s skulls. Instead, the algorithm will eventually connect to the brain through some variation of noninvasive interfaces being developed by scientists around the world, from tiny sensors that could be injected into the brain to genetically engineered neurons that can exchange data wirelessly with a hatlike receiver. All of these proposed interfaces are either pipe dreams or years in the future, so in the meantime he’s using the wires attached to Dickerson’s hippo­campus to focus on an even bigger challenge: what you say to the brain once you’re connected to it. That’s what the algorithm does. The wires embedded in Dickerson’s head will record the electrical signals that Dickerson’s neurons send to one another during a series of simple memory tests. The signals will then be uploaded onto a hard drive, where the algorithm will translate them into a digital code that can be analyzed and enhanced—or rewritten—with the goal of improving her memory. The algorithm will then translate the code back into electrical signals to be sent up into the brain. If it helps her spark a few images from the memories she was having when the data was gathered, the researchers will know the algorithm is working. Then they’ll try to do the same thing with memories that take place over a period of time, something nobody’s ever done before. If those two tests work, they’ll be on their way to deciphering the patterns and processes that create memories. Although other scientists are using similar techniques on simpler problems, Johnson is the only person trying to make a commercial neurological product that would enhance memory. In a few minutes, he’s going to conduct his first human test. For a commercial memory prosthesis, it will be the first human test. “It’s a historic day,” Johnson says. “I’m insanely excited about it.” For the record, just in case this improbable experiment actually works, the date is January 30, 2017.

By |2017-11-20T18:05:18+00:00November 20th, 2017|Scoop.it|0 Comments

La révolution annoncée de la mobilité urbaine

L'idée de proposer tous les transports en illimité progresse, et les premières offres « mobility as a service » démarrent. Mais, pour s'imposer, le concept devra surmonter de nombreux obstacles. Et si l'avenir de la mobilité urbaine n'était ni une voiture volante, ni une navette autonome , ni un train ultrarapide façon Hyperloop (lire ci-dessus), mais un nouveau mode de consommation des transports ? L'idée peut sembler surprenante, mais elle fait son chemin chez les spécialistes du secteur, sous le nom de « mobility as a service » (MaaS). Le concept : rassembler tous les moyens de transport à disposition des citadins dans une seule offre illimitée, avec la garantie d'avoir le meilleur moyen d'aller partout, à n'importe quel moment. Une panoplie complète associant métro, bus, taxi, mais aussi vélo ou voiture en libre-service, VTC, scooter électrique, et même voiture de location classique pour s'évader le week-end ou pendant les vacances. Avec un objectif clairement affiché : une telle offre est le seul moyen de pousser les citadins, et en particulier les familles, à abandonner leur voiture personnelle.

By |2017-11-20T17:39:38+00:00November 20th, 2017|Scoop.it|0 Comments

How Microsoft’s ‘Time Lords’ Keep the Clocks Ticking

IN OCTOBER 2015, the Turkish government made the last-minute decision not to observe daylight saving time; the stated reason was to allow more daylight during voting hours during the election, a week away. Muted chaos ensued. The Turkish people, at first unsure what time it was, risked missed flights and other calamities. Spared from the confusion: Windows PCs, for which Microsoft had made a fix available just days before the DST debacle. A small team had flagged the change on October 9, and adjusted the clocks accordingly by October 20. The members of this team at Microsoft call themselves "time lords." They keep the clocks ticking. Zoning Out Among the many small miracles that one takes for granted, the coordination of clocks around the world seems as though it should sit low on the list. That's especially true in the United States, in which time zones, and time-shifting events like daylight savings, exist and occur with the utmost predictability. A small team at Microsoft is responsible for making sure a billion Windows devices stay coordinated in the face of daylight savings, time zone shifts, or any other surprises.

By |2017-11-20T17:27:21+00:00November 20th, 2017|Scoop.it|0 Comments

Transports du futur : Virgin Hyperloop One rejoint l’alliance Genivi

La firme californienne Hyperloop One, rebaptisée depuis quelques semaines Virgin Hyperloop One avec la montée de la société de Richard Branson à son capital, est devenue membre de l’alliance Genivi, association de constructeurs et d’équipementiers automobiles qui développe et promeut l’usage de logiciels ouverts dans les domaines de l’info-divertissement et du véhicule connecté. Créé en 2014, Virgin Hyperloop One a développé une technologie de transport à grande vitesse reposant sur le principe de l’Hyperloop, sorte de tube sous basse pression dans lequel se déplacent des capsules surélevées par sustentation magnétique, et a réalisé durant l‘été 2017 un test complet grandeur nature de son système. Dans le cadre de son rapprochement avec l’alliance Genivi, le Californien compte courant 2018 étendre son écosystème de fournisseurs afin d’y intégrer la communauté Genivi d’entreprises orientées sur l’open source et de développer avec son concours un ensemble de logiciels ad hoc. « Notre objectif est de disposer de systèmes commerciaux opérationnels d’ici à 2021 et nous souhaitons étoffer rapidement nos ressources d’ingénierie pour atteindre ce but, indique Matt Jones, vice-président senior, Software Engineering, chez Virgin Hyperloop One. Nous comptons embaucher 120 ingénieurs logiciels à court terme et c’est donc le moment idéal de rejoindre l’alliance Genivi, d’adopter et d’étendre les travaux de cette organisation, d’interagir avec d’autres membres de l’alliance et d’accélérer la mise au point des futurs systèmes Virgin Hyperloop One. »

By |2017-11-20T12:41:54+00:00November 20th, 2017|Scoop.it|0 Comments