Monthly Archives: September 2021

Accor lance une première carte de paiement en France

Les membres du programme de fidélité ALL profitaient jusqu’à présent d’un modèle classique dans l’univers du voyage : des points sur leurs séjours et des récompenses associées. Aujourd’hui, la carte de paiement ALL – VISA s’ouvre au plus grand nombre en permettant de gagner des points sur les achats du quotidien. Des points à utiliser lors d’un séjour, ou encore d’un concert ou d’un spectacle. La carte est disponible en trois versions : Pulse (4,50€/mois), Explorer (13,50€/mois) et Ultimate (34€/mois). Comment fonctionne-t-elle ? . Le porteur règle ses achats du quotidien avec sa carte ALL – VISA . Les achats génèrent automatiquement des points du programme de fidélité ALL Quels sont ses avantages ? . Elle est acceptée partout (95% des commerçants acceptent VISA dans le monde) . Elle permet dès le 1er niveau de carte de réaliser les achats et retraits à l’étranger sans frais . Elle permet aux membres d’accéder aux 34 marques hôtelières participantes au programme de fidélité. Les points cumulés ouvrent aussi les portes d’évènements (sport, spectacles, concerts, gastronomie). . Elle offre les « meilleures assurances du marché » selon Accor . Elle « surbooste » le programme de fidélité ALL (accès au meilleur tarif disponible, bonus de points de bienvenue, accélérateur de statut, accès exclusif à des offres hôtelières) qui regroupe 85 partenaires dont 33 compagnies aériennes et loueurs de voiture. . Son parcours de souscription est 100% digital, en téléchargeant 3 documents (RIB, justificatif de domicile et pièce d’identité) . Elle inclut, avec l’application dédiée Accor Pay, une notification en temps réel des dépenses, et un débit différé de ces derniers en fin de mois.

By |2021-09-22T21:33:21+00:00September 22nd, 2021|Scoop.it|0 Comments

Taxi volant : Airbus vise une entrée en service à horizon 2025

Pas de conférence sur l'avenir du transport aérien sans un nouveau projet de taxi volant ! La conférence Airbus consacrée à l'aviation durable, qui se tient de mardi à mercredi à Toulouse, ne fait pas exception. L'avionneur a dévoilé pour l'occasion un nouveau projet de taxi volant électrique baptisé CityAirbus Nextgen, qui pourrait entrer en service en 2025. Le nouveau « UAM » d'Airbus (Urban Air Mobility) découle de deux précédents démonstrateurs - le City Airbus et l e Vahana - développés et testés par Airbus de 2016 à 2020, dans la perspective de l'émergence d'un nouveau mode de transport aérien intra-urbain de colis et de passagers, à décollage vertical. Un premier vol prévu en 2023 Un marché encore inexistant, mais pour lequel Airbus nourrit « de grandes ambitions » selon le directeur d'Airbus Helicopter, Bruno Even. « Nous avons beaucoup appris du Vahana et de CityAirbus et nous sommes prêts à ouvrir un nouveau chapitre », a-t-il annoncé. Doté de huit moteurs électriques, le Nextgen serait capable de transporter jusqu'à 4 personnes (trois passagers et un pilote), à une vitesse maximale de 120 km/h et sur une distance maximale de 80 km. Mais, contrairement à ces prédécesseurs, le nouveau CityAirbus ne s'arrêtera pas au stade du démonstrateur technologique. L'objectif annoncé est de faire voler un prototype en 2023, en vue d'une certification et d'une entrée en service en 2025.

By |2021-09-22T21:11:15+00:00September 22nd, 2021|Scoop.it|0 Comments

Les 5 chiffres fous de Sorare, la licorne française au développement éclair

En deux tours de table, Sorare cumule les superlatifs. Fondée à Paris en 2018, cette start-up a créé une plateforme qui permet d'acheter ou de vendre des cartes de joueurs de football basées sur une blockchain Ethereum. L'avantage ? Chaque « carte crypto » est associée à un token unique, ce qui en fait un actif financier à la fois identifiable et infalsifiable. Les utilisateurs de Sorare peuvent ensuite collectionner ces cartes ou composer des équipes et participer à des compétitions. La start-up, qui compte parmi ses soutiens financiers aussi bien des investisseurs de renom comme Softbank que des stars du ballon rond comme Antoine Griezmann, connaît une croissance fulgurante. Tour d'horizon en 5 chiffres clés. 1. Une valorisation de 4,3 milliards de dollars Avec un financement de 680 millions de dollars, ce tour de table est le plus important réalisé en Europe pour une série B. Et la plus grosse levée de fonds jamais réalisée par une jeune pousse de la French Tech. PUBLICITÉ Un tour de table historique, qui fait de Sorare la licorne française la mieux valorisée, à près de 4,3 milliards de dollars « post-money ». Lors de son précédent tour de table, en février dernier, Sorare avait déjà réuni 40 millions de dollars. Sorare signe la plus grosse levée de fonds de l'histoire de la French Tech PORTRAIT - Nicolas Julia, le patron discret mais pressé à la tête de Sorare 2. 150 millions de dollars échangés sur la plateforme depuis janvier Le développement éclair de Sorare est soutenu par la fièvre des NFT qui secoue actuellement le monde de l'art et du divertissement. Depuis le début de l'année 2021, les « non-fungible tokens », ces titres de propriétés d'oeuvres numériques échangés sur la blockchain, sont en plein essor avec près de 2,5 milliards de dollars vendus cette année. Sur ce marché, Sorare revendique avoir réalisé un volume d'affaires de plus de 150 millions de dollars depuis janvier 2021 avec la vente des cartes à collectionner. Entre le 2e trimestre 2020 et le 2e trimestre 2021, Sorare estime que ses ventes trimestrielles ont été multipliées par 51. 3. Près de 180 clubs de football partenaires Début septembre, la jeune pousse a réalisé un gros coup en nouant un partenariat avec la Liga , la ligue de football espagnol qui compte parmi elle deux des clubs les plus connus au monde : le FC Barcelone et le Real Madrid. Actuellement, 177 clubs sont sous licence officielle, c'est-à-dire qu'ils autorisent la start-up à utiliser les photos officielles des joueurs et son logo sur les cartes numériques, contre une commission sur leurs ventes. Ces stars du foot qui ont parié sur Sorare Six choses à savoir sur Sorare, le jeu de fantasy football à la sauce crypto L'ambition de Sorare est « d'intégrer les 20 meilleures ligues de football mondiales et les 50 plus grandes fédérations nationales, tant masculines que féminines », avant de s'étendre à d'autres sports.

By |2021-09-22T21:10:30+00:00September 22nd, 2021|Scoop.it|0 Comments

« Avec Urbanloop, nous voulons concurrencer la voiture en ville »

L’Urbanloop est un nouveau moyen de transport qui circule à la même vitesse qu’un métro automatique et parcoure 1 km par minute. Pour l’emprunter, il suffit de se rendre à une station et de badger. Une capsule équipée de deux places arrivera rapidement, protégée par un tube protégeant la voie. Chaque capsule est réservée à un groupe de personnes, que vous soyez seul(e) ou accompagné(e). Si vous êtes plus de deux personnes, alors plusieurs capsules arriveront à la suite et se suivront de près pendant le trajet. L’Urbanloop ne fait pas d’arrêt, il s’arrêtera à la destination que vous avez renseignée. Il ne rentre pas en concurrence avec les autres moyens de transports en commun existants, il vient plutôt les compléter. Il n’a pas vocation à être implémenté dans les centres-villes déjà saturés, mais à transporter les usagers de la périphérie jusqu’au centre comme le ferait la voiture. Les transports en commun prennent ensuite le relai. L’Urbanloop peut aussi être intéressant pour transporter des personnes au sein d’un campus, d’une zone industrielle, une station de ski, d’un aéroport ou d’un parc d’attractions. L’infrastructure se monte et se démonte facilement ce qui permet de réduire l’empreinte écologique. Le système utilise l’intelligence artificielle, à quoi sert-elle ? L’intelligence artificielle va permettre de prédire l’affluence des usagers dans les stations et préparer des capsules en conséquence. Il sera possible de connaître les heures de pointe et estimer le flux correspondant. Le système sera également nourri de données météo et issues d’autres transports en commun. Grâce à la géolocalisation des usagers, il sera même possible d’anticiper leur arrivée en station. Comment est né l’Urbanloop ? Avant de concevoir l’Urbanloop, nous cherchions un moyen de concurrencer la voiture en ville et pour ça, nous sommes partis de zéro. Tout est parti d’un challenge que nous avons lancé à nos étudiants de l’université de Lorraine et des différentes écoles d’ingénieurs de Lorraine INP. Le projet était de mettre au point un moyen de transport écologique ; que ce soit en consommation, en matériaux et en énergie grise ; économique, c’est-à-dire simple à déployer pour les collectivités ; accessibles à tous ; sécurisé ; et réalisable avec les grilles technologiques existantes. La première idée a été de faire des petites unités, des capsules, qui passent souvent en station. Mais qui dit petites unités, dit davantage de véhicules. Il fallait donc que les navettes coûtent moins cher ou à un prix équivalent aux transports en commun. Cela a été possible grâce à l’utilisation du moteur synchrone à aimant, utilisé notamment par les hoverboards et les trottinettes. La taille et le coût des infrastructures sont réduits avec l’Urbanloop. Même s’il faut construire un pont, cela coûtera moins cher car le poids des capsules est moindre. C’est aussi un avantage pour effectuer des courbures dans le parcours. Les voies sont plus chères à installer, mais le moyen de transport est moins gourmand en énergie. Les étudiants ont impulsé l’idée et une SAS a été créé ensuite pour mettre en œuvre le système final. Nous collaborons avec des industriels des transports et de la sûreté aujourd’hui. Quelle a été votre réaction lorsque vous avez appris que vous pourrez mettre en œuvre votre moyen de transport lors des JO de 2024 ? Nous sommes très fiers, c’est un projet fou qui se concrétise. Les JO s’inscrivent parfaitement dans notre planning de développement. Mais c’est aussi un grand défi car tout reste à construire. Heureusement, nous avons tout l’appui des services de l’Etat pour nous aider à obtenir le degré de sécurité nécessaire. Les Jeux Olympiques seront pour nous un terrain d’expérimentation et de démonstration. Nous sommes également en discussion avec la Métropole du Grand Nancy. D’ici 2024, notre système devra être validé, nous devrons obtenir l’autorisation de faire des travaux puis de transporter des passagers. Le but sera de réaliser les travaux d’installation le plus tard possible afin d’avoir un plus faible impact sur l’environnement et la vie des habitants.

By |2021-09-22T21:08:13+00:00September 22nd, 2021|Scoop.it|0 Comments

A La Réunion, 95% des déchets triés sont exportés

A La Réunion, les déchets sont triés et collectés, mais que deviennent-ils ensuite ? Comment sont-ils traités ? Un Réunionnais jette en moyenne 35 kg d’emballages et de papier. Des matières valorisables, qui sont triées et récupérées par des opérateurs tels que Cycléa, une société d’économie mixte basée au Port. 27 000 tonnes de déchets recyclables exportés chaque année Ces matières que l’on retrouve dans les bacs jaunes, les cartons, papiers, revues et bouteilles en plastique, pourront ainsi avoir une seconde vie, mais pour cela il faudra qu’elles soient exportées pour la grande majorité d’entre elles. A La Réunion, 95% des déchets considérés comme des matières secondaires valorisables, sont exportés, soit 27 000 tonnes par an. Cycléa est ainsi le 2ème exportateur du territoire en volume, après le sucre, explique Laurent Blériot son directeur général.

By |2021-09-22T20:48:50+00:00September 22nd, 2021|Scoop.it|0 Comments

Orange money : plus de 62 milliards d’euros de transactions pour la seule année 2020 | CIO MAG

Accessible à plus de 60 millions d’abonnés dans dix-sept pays d’Afrique et du Moyen-Orient, Orange money a généré plus de 62 milliards d’euros de transactions pour la seule année 2020. Afin d’améliorer les performances dans la gestion de ces flux de transactions et accélérer l’inclusion financière, Orange Afrique et Moyen-Orient a choisi Ericsson comme partenaire stratégique pour son service Orange Money, en s’appuyant notamment sur Ericsson Wallet Platform. Un partenariat que le Sénégalais Alioune Ndiaye, président-directeur général d’Orange Afrique et Moyen Orient, justifie dans un communiqué. « Leur plateforme de services financiers est construite sur les dernières technologies de sécurité et les principes d’architecture ouverte qui peuvent élargir davantage notre écosystème et réaliser notre ambition d’inclusion financière en Afrique. » Lire aussi » Orange Money célèbre ses 10 ans Avec une première technologie API ouverte et publiée, Ericsson Wallet Platform est au cœur du système des services financiers mobiles. Entre autres services financiers essentiels proposés par la plateforme d’Ericsson : le stockage, le transfert et le retrait d’argent; les paiements marchands et des fournisseurs de services publics. L’offre de services s’étend également à la population non bancarisée. Actuellement, plus de 300 millions de personnes dans le monde utilisent les solutions Ericsson Wallet Platform via les fournisseurs de services de communication. Lire aussi » Marc Rennard, PDG d’Orange Digital Investment et Président d’Orange Digital Ventures : « Orange Money serait la première Licorne africaine s’il avait été conçu en mode start-up » En vertu de ce partenariat, les solutions Ericsson Wallet Platform seront déployées par étapes dans quatorze pays de la zone Afrique et Moyen-Orient où le service Orange Money est disponible, en commençant par le Sénégal. Lire aussi » Transfert d’argent international Orange Money : deux nouveaux corridors ouverts depuis la France vers le Burkina Faso et le Maroc Pour Fadi Pharaon, président d’Ericsson Moyen-Orient et Afrique, cet accord est « une nouvelle étape importante dans le partenariat de longue date avec Orange Afrique et Moyen-Orient ». Selon lui, Ericsson permettra à Orange Afrique et Moyen-Orient de concrétiser sa vision d’accélérer l’inclusion financière sur le continent africain.

By |2021-09-22T20:16:04+00:00September 22nd, 2021|Scoop.it|0 Comments

Les grands magasins consacrent la seconde main

Les temples de la mode s'ouvrent à la seconde main. Nés magasins de nouveautés, ils se convertissent à l'occasion. Coup sur coup, les Galeries Lafayette et le Printemps inaugurent des espaces dédiés au « vintage » dans leur fief du boulevard Haussmann à Paris. Comme un symbole, au Printemps, c'est dans un grand espace qui a connu les défilés de Paul Poiret et de Pierre Cardin, au septième étage du bâtiment femme, que s'étendront à partir du 22 septembre les 1.300 mètres carrés où seront exposés les vêtements et accessoires de mode qui ont un vécu. Les bureaux de la direction ont été déménagés, les faux plafonds démontés. Une verrière a été rendue à la lumière ainsi qu'une coupole, la seconde de l'immeuble, qui avait été condamnée pendant la Seconde guerre mondiale. Achats et ventes Le département « (Re) store » des Galeries Lafayette jouxte lui la coupole principale, au troisième étage, sur 600 mètres carrés. Il s'inscrit dans la démarche « Go for Good » qui labellise depuis trois ans les marques qui s'engagent dans le développement durable. Le Printemps voit plus grand, mais lance aujourd'hui seulement sa propre étiquette « Unis vers le beau responsable ». Tout un programme. Opinion | La seconde main, étape clé vers une nouvelle société de consommation Les Galeries Lafayette se délestent à nouveau de grands magasins en province Les Galeries donnent la main à sept partenaires spécialistes : Monogram qui vend des pièces de luxe monogrammées, Relique pour une sélection inspirée des années soixante-dix, Personal Seller, Entremains, Petit Chineuse, Crush On, la plateforme qui rassemble 1.000 commerçants spécialistes de l'occasion et Culture Vintage, connu pour ses fripes japonaises. Entremains et Personal Seller prennent des rendez-vous pour l'achat de produits. La seconde main s'inscrit aussi dans un circuit de consommation fermé au Printemps. Des experts vérifient d'abord l'authenticité des produits que proposent les clients. Une fois le prix fixé, celui-ci se voit créditer la somme sur son compte Printemps. Il ne peut ensuite la dépenser que dans les magasins ou les sites Internet de l'enseigne. Upcycling Chez le concurrent des Galeries, l'espace seconde main est divisé en deux : d'un côté, sous la verrière agrémentée d'une coupole de papillons argentés du designer Charles Kaisin, dans une décoration brute qui laisse apparaître les poutrelles et les briques, une sélection de vêtements et accessoires. « Il y aura 1.300 produits apportés par des particuliers mais aussi par 400 marques partenaires qui se sont elles aussi lancées dans la démarche de la seconde main » détaille la directrice de l'offre du grand magasin, Karen Vernet.

By |2021-09-18T08:23:08+00:00September 18th, 2021|Scoop.it|0 Comments

BlaBlaCar bouscule l’assurance auto en misant sur le portable

Régulièrement montré du doigt dans les accidents de la route, l'usage du téléphone portable pourrait aussi aider les automobilistes à être plus prudents. Et même à réduire leur facture d'assurance. C'est du moins la promesse que font la plateforme de covoiturage française BlaBlaCar et L'olivier Assurance, en dévoilant ce mardi une nouvelle offre d'assurance auto « connectée », sur un marché français qui en compte très peu. Le principe de cette nouvelle offre, ouverte même à ceux qui ne font pas partie des 20 millions de Français inscrits sur BlaBlaCar, est simple. Les automobilistes se voient proposer une assurance moins chère s'ils acceptent que leur téléphone portable analyse leur comportement au volant, via une application. Pas de boîtiers dans la voiture Baptisée « BlaBlaCar Coach », celle-ci encourage une conduite prudente et « éco-responsable », en établissant des scores et en prodiguant des conseils. Jusque-là, les quelques acteurs s'étant frottés dans l'Hexagone à l'assurance personnalisée en fonction de la conduite ont souvent misé sur des « boîtiers » à installer dans les voitures. Mais aux yeux de L'olivier - filiale de l'assureur britannique en ligne Admiral - et BlaBlaCar, ces outils posent un problème de coût et de commodité pour les clients. « On est les premiers en France à ne pas mettre de boîtiers », se félicite Gwénaël Moy, responsable de l'assurance chez BlaBlaCar. Mesure des accélérations et freinages Misant sur la technologie embarquée dans les téléphones portables, l'application de BlaBlaCar peut par exemple « mesurer les accélérations, les freinages brusques et permet aussi de voir quelle est l'utilisation du téléphone pendant la conduite, ce qui est un élément très important », poursuit le professionnel. La technologie a été développée avec le réassureur Swiss Re. Pour BlaBlaCar, ce partenariat avec L'olivier acte la fin de la collaboration avec l'assureur AXA. Pas question à ce stade d'ajuster le tarif de l'assurance, si l'analyse de la conduite révèle par la suite que le conducteur est casse-cou ou au contraire exemplaire. Malgré tout, le système serait d'entrée de jeu gagnant pour l'assuré comme pour l'assureur. « Quand quelqu'un télécharge l'application et l'utilise, il adopte tout de suite un meilleur comportement », soutient Gwénaël Moy. « Aujourd'hui, les gens adorent analyser leur sommeil. De la même façon, ils aiment bien avoir une analyse de leur conduite, assure Pascal Gonzalvez, directeur général de L'olivier. A terme, on aimerait qu'un membre BlaBlaCar sur dix ait cette assurance ».

By |2021-09-18T08:22:26+00:00September 18th, 2021|Scoop.it|0 Comments

Etam déploie 6000 smartphones d’encaissement et de relation client en magasin

Les équipes de vente en magasin ont un rôle de plus en plus important chez Etam, l’enseigne de lingerie qui innove très souvent en avant première dans le secteur du retail. Ses vendeuses sont actuellement en cours d’équipement avec des smartphones sous Android, en remplacement d’iPads d’Apple, à la fois pour encaisser les clientes en point de vente et renforcer la relation client. Supprimer les points de friction en magasin en s’inspirant du web A ce stade, 850 smartphones ont été déployés, l’objectif est de 6000 terminaux d’ici la fin de l’année. L’encaissement sur mobile sert à éviter que la cliente ne patiente en caisse plusieurs minutes. Elle peut ainsi régler ses achats où elle qu’elle se trouve dans le magasin à la façon d’un check-out sur le site e-commerce. Etam travaille en permanence afin d’optimiser chaque interface, afin de réduire par exemple de 5 à 10 secondes le temps d’encaissement. « Nous essayons d’appliquer toute la logique du digital en magasin » explique Etam. La vendeuse en magasin peut effectuer des relances sur les produits sélectionnés sur internet, une fonction venue du e-commerce L’application mobile permet en outre à la vendeuse d’avoir accès à la fiche de la cliente, avec son historique d’achat, ses produits préférés, la dernière date de venue dans ce magasin, ainsi que les informations venues du web datant de moins de 30 jours, telles que les paniers d’achat abandonnés sur le site internet et les pages Web consultées sur le site d’Etam. Cela permet à la vendeuse d’effectuer des relances sur ces produits, une fonction venue du e-commerce où la relance sur un panier abandonné est un pilote clé de chiffre d’affaires.

By |2021-09-17T17:09:55+00:00September 17th, 2021|Scoop.it|0 Comments

L’Oréal va commercialiser le boîtier Perso de fabrication de cosmétiques à domicile

Le lancement du boîtier Perso créé par L’Oréal aura lieu en France avant la fin de cette année. Ce boîtier présenté lors du salon CES Las Vegas de janvier 2020 permet à la cliente de fabriquer elle…

By |2021-09-17T17:08:33+00:00September 17th, 2021|Scoop.it|0 Comments