Monthly Archives: February 2022

Scalapay, la star italienne du paiement fractionné, devient licorne

Les levées de fonds se suivent et se ressemblent dans le paiement fractionné. Quelques jours après le f rançais Alma (115 millions d'euros levés) , c'est au tour de l'italien Scalapay d'annoncer un tour de table de 215 millions de dollars qui intervient seulement six mois après le dernier de 155 millions. Le géant chinois Tencent entre au capital de la fintech quelques jours après avoir dévoilé son investissement dans… Alma. Parallèlement à l'augmentation de capital, Scalapay lève 282 millions de dollars de dette pour financer les marchands. Cette nouvelle opération valorise la jeune pousse plus d'un milliard de dollars (le montant exact n'est pas précisé), un petit événement en Italie, qui ne regorge pas de licornes. Les cinq start-up qui ont obtenu ce statut ont soit été rachetées, soit sont entrées en Bourse. L'écosystème italien des start-up est moins mature que le Français avec seulement 1,2 milliard d'euros levés en 2021 contre 12 milliards dans l'Hexagone, d'après le site spécialisé Dealroom. Un panier moyen assez faible Scalapay apparaît donc comme cheffe de file de son écosystème national. Cependant, il est difficile de connaître le poids de la fintech car elle ne communique ni son nombre de clients ni ses volumes de transactions. « Nous progressons vite », glisse Pingki Houang, directeur de Scalapay pour la France. La start-up s'est vite déployée en Europe et opère dans neuf pays lorsqu'elle s'est lancée mi-2019. Depuis son arrivée en France en 2020, elle a conquis plusieurs grandes marques connues dans le prêt-à-porter comme Jennyfer et le groupe Beaumanoir (Caroll, Cache-Cache, Morgan…). Plus d'un commerçant sur dix accepte le paiement fractionné en France « Nous avons une forte présence dans la mode, la cosmétique et la beauté. Ce sont des enseignes avec des paniers moyens assez faibles », résume le dirigeant. Son concurrent britannique Zilch s'est aussi positionné sur ce segment vantant même les mérites d'acheter une pizza en plusieurs fois ! « Acheter de l'alimentaire en trois fois n'a pas de sens. Dès qu'il y a une forte répétition d'achat, ce n'est pas utile », estime Pingki Houang. Le paiement en un ou deux clics Dans le monde très concurrentiel du paiement fractionné, tout est bon pour se faire remarquer. Le suédois Klarna, présent dans une dizaine de pays européens, vient de lancer le paiement en ligne classique en France, qui concurrence ainsi les banques mais aussi les fintech comme Stripe et Adyen. Cette activité représente 50 % de son activité totale désormais. « Le crédit n'est qu'un bout de notre business model », indiquait il y a quelques jours Sebastian Semiatkowski, PDG de Klarna, aux « Echos » . Crédit : pourquoi le paiement fractionné pourrait être plus sévèrement encadré Alma se démarque avec une offre de crédit allant jusqu'à 12 mois. De son côté, Scalapay n'a pas prévu de copier ses deux concurrents. « Nous préférons rester sur notre segment du paiement en plusieurs fois car même si le marché européen est compétitif, il n'est pas du tout saturé », observe Pingki Houang. La fintech lance un module indépendant de « checkout » qui permet aux consommateurs de régler leurs achats en un ou deux clics. Une option popularisée par Amazon Pay et dont plusieurs start-up en ont fait leur spécialité comme Fast et Bolt aux Etats-Unis, et Simpler au Royaume-Uni. « Nous serons agnostiques. Le marchand pourra proposer tous les moyens de paiement qu'il souhaite, même Klarna », indique le dirigeant. Concurrent d'un côté et partenaire de l'autre.

By |2022-02-25T06:53:48+00:00February 25th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Madagascar succède à la France à la tête de la Commission de l’océan Indien

Madagascar succède à la France à la tête de la Commission de l’océan Indien  Lecture 1 min Accueil International La France a passé le flambeau à Madagascar à l’issue du 36e Conseil des ministres de la COI à Paris, présidé par Jean-Baptiste Lemoyne, ministre délégué auprès du ministre français des Affaires étrangères. © Crédit photo : AFP Par SudOuest.fr avec AFP Publié le 23/02/2022 à 21h41S'ABONNER La présidence malgache aura notamment comme objectif la sécurité régionale et maritime et la lutte contre le crime transfrontalier Madagascar a succédé mercredi soir, 23 février, à la France à la présidence annuelle de la Commission de l’océan Indien (COI), avec notamment pour dossiers prioritaires la sécurité maritime, la lutte contre les trafics et l’accroissement des échanges commerciaux intrarégionaux. Recevez la newsletter Présidentielle : Paroles citoyennes Inscrivez vous à la newsletter Présidentielle : Paroles citoyennes pour ne plus manquer une seule information importante. S'INSCRIRE La France a passé le flambeau à Madagascar à l’issue du 36e Conseil des ministres de la COI à Paris, présidé par Jean-Baptiste Lemoyne, ministre délégué auprès du ministre français des Affaires étrangères, chargé notamment du Tourisme et de la Francophonie. Plusieurs objectifs Les ministres des Affaires étrangères de Madagascar, de l’Union des Comores et des Seychelles, et le secrétaire général des Affaires étrangères de Maurice ont participé à ce Conseil des ministres de la COI, créée en 1984. « La COI est une institution clef » et la présidence française a travaillé à « son renforcement », a estimé M. Lemoyne lors d’une conférence de presse, insistant sur les « défis à relever en commun ». La présidence française s’est concentrée sur les dossiers de la relance économique, de la formation, avec le lancement d’un « Erasmus de l’océan Indien » et un premier partenariat avec l’île de La Réunion, et de la mobilité professionnelles, de la sécurité maritime, de la gestion des catastrophes naturelles et sanitaires, de l’environnement et de l’économie bleue, selon le ministre. Cette présidence « a bien avancé sur le chemin qui nous conduira à être observateur de l’Union africaine » (UA), a déclaré M. Lemoyne. Selon le ministre malgache des Affaires étrangères Patrick Rajoelina, la présidence malgache aura notamment comme objectif la sécurité régionale et maritime et la lutte contre le crime transfrontalier. A LIRE AUSSI Crise ukrainienne : pourquoi la situation reste très fragile malgré les efforts diplomatiques ? La Commission européenne minimise un incident entre sa présidente et un ministre ougandais Macron réunit mercredi un mini-sommet sur le Sahel et le Mali LES SUJETS ASSOCIÉS International Politique Home Deux accords ont été signés lors de ce conseil : un accord entre la COI et l’IORA (Indian Ocean Rim Association) visant à renforcer la coopération entre ces deux acteurs, et un autre entre la COI et l’Agence française de développement (AFD) sur le financement d’un projet de cinq millions d’euros visant à appuyer les initiatives culturelles régionales.

By |2022-02-25T06:42:52+00:00February 25th, 2022|Scoop.it|0 Comments

La guerre en Ukraine fait plonger les cryptos

La guerre en Ukraine douche les espoirs de rebond du marché des cryptos et prolonge la correction entamée en novembre dernier. Depuis l'invasion de l'Ukraine ce jeudi matin avant l'aube, près de 200 milliards de dollars de capitalisation sont partis en fumée. Le marché pèse 1.600 milliards de dollars, moitié moins qu'à son record en novembre (3.000 milliards). Les cryptos connaissent littéralement leur « baptême du feu », leur premier conflit armé d'ampleur. Le bitcoin avait bien résisté à ses débuts lors des crises mais financières ( Chypre en 2012-2013 ). Le bitcoin (- 6,5 % à 36.000 dollars soit 32.500 euros) perd 23 % depuis le début de l'année. Lors des précédentes phases de repli les détenteurs importants de bitcoins ont été plutôt acheteurs. Ils sont 2.000 à avoir chacun un portefeuille détenant de 1.000 à 5.000 bitcoins, et 220 à en détenir plus de 5.000 selon les données de glassnode. Volatilité et faible liquidité Sur les dernières 24 heures, les autres principales cryptos cèdent près de 9 % (Ether, Binance Coin, Ripple). Pour les suivantes (Avalanche, Dogecoin , Polkadot, Litecoin), la chute est plus prononcée, autour de 10 %, après avoir perdu entre 15 % et 20 % en début de journée. La faible liquidité de nombre de petites cryptos les condamne à des fortes chutes faute d'acheteurs. Les cryptos du métavers (Decentraland, Sandbox , Axie Infinity) ont perdu près du tiers de leur valeur en sept jours. Les mondes virtuels ne sont pas à l'abri des krachs. NFT La maison de vente Sotheby's a annulé mercredi soir la vente de 104 CryptoPunks, généreusement valorisés entre 20 et 30 millions de dollars. Faute d'acheteurs, le vendeur a décidé de conserver ses personnages numériques dans un contexte bien moins porteur pour les NFT et cryptos.

By |2022-02-24T18:45:52+00:00February 24th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Technologies/Micromobilité : Gouach lance la première batterie réparable et durable

La start-up bordelaise, qui s’oppose au modèle économique des batteries classiques « basé sur l’obsolescence programmée », a conçu un réservoir d’énergie dont tous les composants défectueux peuvent être remplacés. Elle boucle une levée de fonds de 3,3 millions d’euros Après plusieurs milliers de kilomètres, la batterie de votre vélo à assistance électrique (VAE) commence à montrer des signes de faiblesse. Rien d’anormal : sa durée de vie se réduit à mesure que les cycles de charge et décharge s’accumulent, jusqu’à sa perte totale d’autonomie. Une défaillance parfois prématurée. « Quand vous trouverez votre batterie trop faible, elle sera au minimum à 60 % de sa capacité initiale. Si elle tombe en panne, c’est pire, il y a à peu près 80 % des cellules contenues à l’intérieur qui sont...

By |2022-02-21T08:52:58+00:00February 21st, 2022|Scoop.it|0 Comments

Trust Barometer Edelman: la France confiante? Du jamais vu !

Trust Barometer Edelman: la France confiante? Du jamais vu ! La France est le pays qui a enregistré, l’année dernière, la plus forte hausse du paramètre  « confiance de ses citoyens », selon le dernier Trust Barometer d’Edelman. Une surprise ? Pas vraiment… closevolume_off   Les « convois de la liberté » dénoncent la politique sanitaire du gouvernement, l’extrême-droite et la gauche radicale devraient rassembler 48% des voix à la présidentielle selon le dernier sondage d’Harris Interactive, le taux d’abstention pourrait atteindre un niveau record… Toutes ces informations ne donnent pas vraiment une image rassurante de la société française. Et pourtant… La France en tête La France est le seul des 28 pays (Canada, Chine, France, Allemagne, Inde, Japon, Mexique, Arabie Saoudite, Corée du Sud, Royaume-Uni, États- Unis, Indonésie, Singapour, Émirats Arabes Unis, Malaisie, Pays-Bas, Thaïlande, Australie, Kenya, Italie, Brésil, Irlande, Colombie, Afrique du Sud, Argentine, Espagne, Russie et Nigéria) étudiés dans la 22ème édition du Trust Barometer d’Edelman à afficher une hausse de la confiance de ses citoyens. Oui, vous avez bien lu : « Pour la première fois depuis dix ans, la France est passée du groupe des nations en défiance à celui des pays neutres, se félicite Anne-Cécile Thomann, la co-CEO d’Edelman France. Aucune autre nation n’a changé de catégorie cette année. Notre niveau de confiance moyen atteint aujourd’hui 50 alors qu’il ne dépassait pas 36 il y a une décennie. Un air d’optimisme souffle sur l’hexagone depuis l’éclatement de la crise sanitaire. » Si notre pays n’atteint toujours pas la moyenne du baromètre (56 points), la hausse de son score détonne avec les chutes affichées par plusieurs de nos voisins comme l’Allemagne (46 points soit – 7 points), les Pays-Bas (57 points, -6 points) et le Royaume-Uni (44 points, -1 point). Les médias toujours montrés du doigt Les ONG, les entreprises et le gouvernement bénéficient dans notre pays d’un niveau de confiance comparable (55, 54 et 53 points). Les médias, eux, restent à la traîne (38 points) même si leur cote commence -très doucement- à grimper (+1 point). Ce gouffre peut étonner. « Les Français souffrent d’un dédoublement de la personnalité, analyse Inès Leonarduzzi, la directrice générale pour la France de MTArt Agency et présidente de l’association Digital For The Planet. Ils affirment faire davantage confiance aux entreprises qu’aux médias alors que ces derniers appartiennent presque tous à des grands groupes. » Si les organes d’information traditionnels ne suscitent pas tous la défiance des consommateurs, les réseaux sociaux continuent de faire peur car ils sont considérés comme peu fiables. Leur score en France est désormais le plus bas enregistré dans tous les pays analysés dans le Trust Barometer. Ce triste constat n’est toutefois pas une fatalité. Un retournement est toujours possible « Les ONG étaient, elles aussi, mal notées dans le passé, se souvient Cécile Duflot qui dirige Oxfam France. Elles sont, malgré tout, parvenues à inverser cette tendance en décidant collectivement d’être plus redevables de ce qu’elles faisaient. J’ai d’autant moins de mal à le dire que je ne travaillais pas dans ce secteur à cette époque. Les gens ressentent un besoin de sincérité et de vérité simple. » Le regain d’optimisme des Français observé l’an dernier n’étonne pas non plus l’ancienne secrétaire nationale d’Europe Écologie Les Verts. « Le choc provoqué par la pandémie a développé notre appétence pour les projets de construction collective, souligne l’ex- ministre de l’égalité des territoires et du logement sous la présidence de François Hollande qui a quitté la politique en 2018. Cette crise, loin de nous avoir découragés, nous a, au contraire permis de nous ouvrir aux autres ». Merci le Covid…

By |2022-02-21T08:34:49+00:00February 21st, 2022|Scoop.it|0 Comments

More than half of marketers want to quit their job

More than half (56.9%) of marketers are either ready for a change of job or currently considering it, according to Marketing Week’s 2022 Career and Salary Survey. This figure is in addition to the more than a quarter of marketers (27.9%) who have changed roles in the past 12 months, up on the 25.8% who took on a new job last year. The exclusive survey finds 27.9% left their role to learn new skills, while 27.2% were looking for a change of direction and 19.8% said the pandemic had made them rethink their priorities. PUBLICITÉ A further 18% said they had been attracted by their new business’s culture, while 14.2% were in search of a company that aligned with their personal views. Some 12.8% said the change of role had been brought about by redundancy, while 10.5% have switched jobs over the past year in search of flexible working. While marketers have been making career moves over the past 12 months, many more are open to exploring a new role in 2022. The survey of 4,463 marketers reveals the number one reason for considering a change of role in 2022 is better financial remuneration (64.5%), while 53.8% are in search of a new challenge and 45.6% believe there are limited opportunities at their current company. A third of the marketers surveyed (33.3%) are on the lookout for a better workplace culture, while 31.9% would move in search of a promotion. A further 28.5% are looking for a role that will broaden their experience or provide them with a sideways move, with a fifth (20.7%) looking for increased responsibility. The chance to work in a ‘better’ industry or sector (19.8%), the search for flexible working (15.6%) and a change of location (11.8%) were other reasons marketers cited as reasons to change role in 2022. According to the analysis, the entertainment sector is the most popular sector for marketers to consider moving into (24.5%), followed by FMCG (23.7%), an agency/consultancy (22.9%), a role in retail, wholesale or ecommerce (22.8%) or at a charity/not-for-profit (21.2%).

By |2022-02-21T08:26:07+00:00February 21st, 2022|Scoop.it|0 Comments

Promesses non tenues, dérive financière, dette astronomique : la descente aux enfers de Sigfox – L’Express L’Expansion

ffaire à saisir ! Ex-fleuron des objets connectés, espoir déçu de la French Tech, cherche repreneur pour échapper à la faillite... La chute est rude pour Sigfox (300 salariés), placée en redressement judiciaire fin janvier. La désillusion est d'autant plus cruelle qu'Emmanuel Macron en avait fait le porte-drapeau de l'innovation française quand il était ministre de l'Economie.  La start-up toulousaine avait certes vu grand. Son ambition ? Déployer un réseau mondial pour y connecter des objets équipés de capteurs communicants. Cet Internet des objets (IoT) trouve des débouchés dans des secteurs aussi variés que la logistique, pour suivre le cheminement des palettes, l'automobile, pour pister les voitures volées, ou encore l'énergie, pour relever les compteurs à distance... Sur la base de ces applications, en quelques années, l'entreprise avait convaincu industriels, opérateurs et capital-risqueurs d'investir près de 300 millions d'euros dans une promesse : celle d'un réseau à bas débit, peu énergivore et ultracompétitif sur le plan commercial - le coût pour le client ne dépasse pas quelques euros par an et par objet relié à cette toile.   LIRE AUSSI >> French Tech : les secrets de la multiplication des licornes, par Robin Rivaton "Sigfox prévoyait d'en connecter un milliard à l'horizon 2023. Mais à la fin de l'an dernier elle en recensait seulement 20 millions, confie un industriel du secteur. C'est très insuffisant pour équilibrer ses comptes." D'autant que ceux-ci sont plombés par les coûts de développement de son réseau, qui couvre 75 pays. Dans la plupart d'entre eux, Sigfox s'appuyait sur des partenaires locaux qui achetaient ses antennes, les déployaient et s'acquittaient d'une redevance pour les

By |2022-02-19T16:53:34+00:00February 19th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Jets privés, yachts, voitures de luxe : les ultra-riches ont dépensé sans compter depuis le Covid-19

La flambée des places boursières et des prix immobiliers a considérablement gonflé le patrimoine financier des ultra-riches. Des ressources immenses qui alimentent une consommation de luxe déraisonnée. Ferrari, Rolls-Royce, même Bugatti. Toutes ces marques de voitures de luxe, dont aucun modèle ne part à moins de 200 000 euros, ont connu une année 2021 extraordinaire. Chez Bentley, on compte plus de 400 commandes supplémentaires par rapport à 2019 (5 586 unités contre 5 152). Le marché du grand luxe a rarement été aussi florissant, explique une enquête du journal Le Monde. Recevez la newsletter Économie Inscrivez vous à la newsletter Économie pour ne plus manquer une seule information importante. S'INSCRIRE SUR LE MÊME SUJET Le Covid-19 a profité aux ultrariches, 5 milliardaires français possèdent autant que 40% de la population La fortune des personnes les plus riches du monde, notamment les milliardaires français, a doublé depuis le début de la pandémie tandis que les revenus du reste de l’humanité ont fondu, d’après un rapport d’Oxfam Sur les mers, on dénombre plus de 200 yachts lancés en 2021, soit le plus grand nombre depuis 12 ans. Et dans les airs, les carnets de commandes des constructeurs comme le Français Dassault ou le Canadien Bombardier sont pleins.

By |2022-02-19T16:51:22+00:00February 19th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Disney va construire une ville en Californie

Un quartier paisible, avec des espaces verts, un centre de divertissements et la possibilité de participer à de nombreuses activités… C’est ce que propose The Walt Disney Company, qui vient de présenter son nouveau concept, « Storyliving by Disney ». Baptisé Cotino, ce premier quartier résidentiel, qui regroupera 1 900 logements, sera construit à Rancho Mirage, dans la vallée de Coachella, en Californie. Totalement dessiné par l’équipe de Walt Disney Imagineering, qui produit l’ensemble des parcs à thème du groupe, Cotino proposera de nombreuses activités autour d’un lagon artificiel, avec club-house et plage privée. Hôtel centre de séminaire, restauration : les lieux seront également accessibles aux non-résidents, parfois contre l’achat d’un billet d’entrée à la journée. Disney promet de nombreuses activités autour du lagon artificiel de Cotino. © Disney Pas de Space Mountain au bout de la rue Disney promet donc de plonger ses résidents dans son univers au quotidien, sans toutefois solliciter les personnages ou les techniques utilisés dans les parcs à thèmes. En effet, Cotino proposera des animations qu’on pourrait qualifier de « douces » (sports, bien-être…), mais toujours encadrées par des salariés de la société. Mais pas de Space Mountain ou de maison hantée dans le projet présenté par la firme américaine. Avec cette annonce, The Walt Disney Company ressuscite l’un des vieux rêves de son fondateur, Walt Disney. Décédé en 1966, l’homme d’affaires considéré comme l’inventeur du « parc à thème moderne » rêvait de bâtir une cité idéale où transports, services et loisirs favoriseraient le bien-être de ses habitants. Ambitieux, et sans doute trop utopiste, le projet, baptisé Experimental Prototype Community Of Tomorrow (EPCOT) s’est finalement transformé en parc à thème, inauguré en 1982 à Orlando, en Floride.

By |2022-02-19T04:13:22+00:00February 19th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Transports : le pass Navigo intègrera nos iPhone en 2023 –

Après plusieurs années de négociation, Île-de-France Mobilités et Apple ont trouvé un accord pour permettre aux usagers du réseau de transport francilien de dématérialiser leur pass Navigo dans leur iPhone dès 2023. Après plusieurs années de négociation, Île-de-France Mobilités et Apple ont trouvé un accord pour permettre aux usagers du réseau de transport francilien de dématérialiser leur pass Navigo dans leur iPhone dès 2023. Annoncée en 2019 par Valérie Pécresse, la numérisation des titres de transports franciliens est encore en cours de réalisation. Les détenteurs de certains smartphones Android ont déjà la possibilité d’acheter et de valider leur ticket. Mais ce n’est toujours pas le cas pour les usagers possédant un iPhone. Les choses devraient néanmoins changer puisque Île-de-France Mobilités et Apple ont trouvé un accord qui vise à dématérialiser le pass Navigo dès 2023. Les utilisateurs pourront ainsi ajouter sa version dématérialisée à Wallet et le valider sur les bornes avec leur mobile ou leur Apple Watch. D’ici fin 2024, l’année des Jeux Olympiques de Paris, il deviendra possible d’acheter directement tous ses titres de transport via Apple Pay. Contrairement aux détenteurs de smartphones Android, c’est donc dans l’application d’Apple que seront stockés tous nos tickets. Avec seulement 25% de parts de marché en France, Apple n’était pas la priorité pour Île-de-France Mobilités, ce qui explique le temps de déploiement plus long. De plus, il a fallu attendre plusieurs années pour trouver un accord avec Apple. Dans d’autres villes, comme à Londres, les détenteurs d’iPhone paient directement leurs trajets avec Apple Pay. Le service d’achat et de validation des tickets sera disponible pour tous les smartphones Android dès cet été via l’application Ile-de-France Mobilités.

By |2022-02-19T04:11:57+00:00February 19th, 2022|Scoop.it|0 Comments