Monthly Archives: May 2022

Le luxe s’achète aussi en cryptomonnaies

« Le monde du luxe a toujours fui le numérique avant que celui-ci ne permette l'expression de la rareté. Aujourd'hui, la blockchain le permet même s'il y a des abus et des choses inutiles. La culture, la rareté, la collection dans l'art et le luxe, tout cela peut s'exprimer avec les NFT. Il y a le support technologique pour cela. Quelques marques ont moins peur que d'autres de faire le premier pas et je prends le pari que, bientôt, la tendance va s'inverser ; ne pas y aller sera plus risqué que d'y entrer », décrypte-t-il. Les Etats-Unis, marché pilote Dès le 31 mars, Off-white, le label fondé par le designer Virgil Abloh - décédé le 28 novembre 2021 - et dont LVMH (propriétaire des « Echos ») est actionnaire majoritaire, a rendu possible l'achat par cryptomonnaies dans ses boutiques emblématiques de Paris, Londres et Milan. Mais le carnet de bal du mariage des cryptos et du luxe remonte d'une certaine façon à plus loin : 2018, année du dixième anniversaire du bitcoin fut celle du lancement de la montre Hublot, Big Bang Blockchain. Nouvelle étape, l'horloger suisse a présenté à la mi-février 2022 une édition limitée à 50 exemplaires de la Big Bang Unico Ledger, créée en partenariat avec la célèbre licorne française qui propose des supports sécurisés pour ces actifs. Le mouvement des cryptos s'accélère dans le luxe. Gucci, fleuron de Kering, inclut ce nouveau type de paiement dans plusieurs de ses boutiques aux Etats-Unis, premier marché du luxe toujours en forte croissance. Dans certains magasins de New York (Gucci Wooster), Los Angeles (Rodeo Drive), Miami (Design District) ainsi qu'à Atlanta et Las Vegas, on peut désormais acheter un sac de la célèbre griffe italienne avec dix catégories de cryptomonnaies qui vont des bitcoins et ethereum (ETH) aux stablecoins GUSD, dai, etc…

By |2022-05-31T21:23:36+00:00May 31st, 2022|Scoop.it|0 Comments

Ce que révèle l’appel à déserter de la part des ingénieurs diplômés d’Agro Paris Tech

qu’un appel à la… désertion. Jobs destructeurs Les mots lus sont forts. « Nous sommes plusieurs à ne pas vouloir faire mine d’être fières et méritantes d’obtenir ce diplôme à l’issue d’une formation qui pousse globalement à participer aux ravages sociaux et écologiques en cours, souligne une des signataires de ce texte. Nous ne croyons ni au développement durable, ni à la croissance verte, ni à la « transition écologique  Nous ne nous considérons pas comme les « Talents d’une planète soutenable » [nouvelle devise d’AgroParisTech]. Nous ne voyons pas les ravages écologiques et sociaux comme des « enjeux » ou des « défis » auxquels nous devrions trouver des « solutions ». Nous voyons plutôt que l’agro-industrie mène une guerre au vivant et à la paysannerie partout sur terre. Nous pensons que l’innovation technologique et les start-up ne sauveront rien d’autre que le capitalisme. Nous ne croyons ni au développement durable, ni à la croissance verte, ni à la « transition écologique ». » Violent, vous avez dit violent ? Ces étudiants jugent aussi que leur école forme ses élèves à des « jobs destructeurs ». La liste de leurs griefs est impressionnante. Pour eux, l’agro-industrie cherche à « trafiquer en labo des plantes pour des multinationales qui renforcent l’asservissement des agricultrices et les agriculteurs ». Elle vise « à concevoir des plats préparés et des chimiothérapies pour soigner ensuite les maladies causées (et à) inventer des labels « bonne conscience » pour permettre aux cadres de se croire héroïques en mangeant mieux que les autres ». Pour eux, les « énergies dites « vertes » permettent d’accélérer la numérisation de la société tout en polluant et en exploitant à l’autre bout du monde » et les rapports RSE sont « d’autant plus longs et délirants que les crimes qu’ils masquent sont scandaleux… » Fermez le banc. 40% des terres sont dégradées Les faits tendent, hélas, à confirmer leurs discours. Un récent rapport de l’ONU consacré aux Perspectives foncières mondiales, intitulé le Global Land Outlook, a révélé que 40% des terres de la planète étaient désormais dégradées et que les exploitations agricoles étaient responsables de 80% de la déforestation. Les experts estiment en effet que durant la seconde moitié du XXème siècle, les deux-tiers de la superficie agricole mondiale se sont dégradés. Le système agricole productiviste qui maximalise les rendements grâce à la mécanisation, à l’utilisation d’intrants et à l’irrigation massive, qui est apparu après la seconde guerre mondiale dans les pays « riches » avant d’être adopté par de nombreuses nations en voie de développement, a eu un impact environnemental massif. Les experts estiment en effet que durant la seconde moitié du XXème siècle, les deux-tiers de la superficie agricole mondiale se sont dégradés. En France, selon les chiffres du ministère de l’Écologie et du Développement durable, plus de la moitié des eaux de surface sont dans un état écologique moyen, médiocre ou mauvais. Une agriculture respectueuse de l’environnement Pour mettre fin à ce système agricole productiviste destructeur, de nombreux scientifiques pointent du doigt les bienfaits de l’agroécologie. Ce modèle « est fondé sur une coopération entre l’homme et la nature, qui replace les processus de régulation naturelle au cœur des pratiques agricoles et permet ainsi d’éviter le recours aux intrants de synthèse néfastes pour la biodiversité, la qualité des sols et de l’eau », résume Laetitia Cuypers, responsable du programme Agroécologie à la Fondation de France. De plus en plus d’initiatives qui cherchent à promouvoir des méthodes de production agricoles respectueuses de l’environnement commencent à se développer dans nos campagnes. La Fondation Ecotone s’est donnée notamment pour but de restaurer la biodiversité en réimplanter notamment des amandiers en Provence et des haies champêtres entre les champs. La Fondation Léa Nature/Jardin Bio aide des associations philanthropiques environnementales à réaliser leurs projets. Terra Symbiosis encourage, pour sa part, les nouveaux modèles de ruralités innovantes à travers le mouvement Colibris. La Fondation Lemarchand développe, de son côté, des fermes expérimentales où la biodiversité et le respect du vivant sont au cœur des techniques agronomes. Longtemps, ces initiatives étaient lancées par des bobos et des écolos un rien idéalistes. Voir de jeunes ingénieurs formés à la prestigieuse école AgroParisTech soutenir ce mouvement représente un nouveau pas dans la prise de conscience des dangers provoqués par l’agro-industrie. Les marques ne peuvent pas ignorer ce phénomène. La révolution verte est-elle pour autant lancée ? Le très faible résultat des verts aux dernières présidentielles et l’essor de la malbouffe pourraient nous en faire douter. L’éternelle histoire du verre à moitié plein…

By |2022-05-31T21:22:58+00:00May 31st, 2022|Scoop.it|0 Comments

Mark Zuckerberg ‘Encouraged’ 2016 Election Meddling: Lawsuit

“In other words, Cambridge Analytica used the Facebook Platform—in a way that Facebook and Zuckerberg encouraged—to influence and manipulate the outcome of a United States presidential election,” the complaint states. “The personal data of the more than 70 million U.S. Facebook users that Cambridge Analytica used to manipulate the election accounted for more than half the total votes during the 2016 presidential elections, in an election that was effectively decided by just a few hundred thousand people.” According to the lawsuit, the cover-up followed the breach. “The Cambridge Analytica revelations shocked the world, but it was no surprise to Facebook or Zuckerberg,” the complaint states. “Facebook had both a longstanding relationship with Cambridge Analytica and also actively encouraged companies like Cambridge Analytica to use the Facebook Platform to influence and manipulate consumer behavior.”

By |2022-05-31T21:21:49+00:00May 31st, 2022|Scoop.it|0 Comments

The Metaverse Sure Feels Like An Enterprise Thing

The common narrative about the metaverse is that it’ll be a new digital world — enabled by virtual and augmented reality — where we’ll spend time with friends and family. The technology is moving so fast, proponents say, that we’ll experience life via the headset in short order.  That vision may be realized someday, but it’s already evident that enterprises will find the technology useful long before regular people do. If you wear a headset in the near to mid-future, it’ll most likely be at work.  “Who used Blackberries? Back then it was business users,” said Tuong Nguyen, Sr. Analyst at Gartner. “Then the phones added features and functionality that were useful to a broad set of consumers.” An iPhone moment, however, appears far away for the metaverse. Nearly every company that builds virtual and augmented reality devices eventually turns to use cases such as factory work, teaching, and even disaster preparedness. Google Glass started as a consumer device, then went enterprise. Microsoft’s Hololens did the same. Magic Leap is making a similar pivot. Professional training is one of VR’s biggest hits. None of this is an accident.  Hanging out with friends and family in virtual reality is, for instance, unlikely to appeal to people who live physically close to each other. About 75% of Americans live less than 30 miles away from a parent or adult child, and only 7% are more than 500 miles away. It would take remarkable innovation to get someone to simulate presence with people who live a short car ride away, especially outside of a gaming context. Virtual reality’s value shines at work, however. Using VR to communicate with coworkers in different geographies, or even when working from home, has the potential to help people work better. “It's an amazing sense of presence being in that virtual space,” Nick Clegg, Meta’s president of global affairs, said on Big Technology Podcast this week. Clegg hosts his weekly meetings in VR. “My voice relaxes so much more when I am speaking to people in the metaverse.”  Virtual reality can also be useful in various other workplace tasks, including looking at prototypes without having to physically build them, conducting trainings, and, as Microsoft imagines, organizing ideas with colleagues on digital walls. When Microsoft CEO Satya Nadella said the words “enterprise metaverse” last year, people mocked him. But he was right about the opportunity.  Augmented reality, the second key metaverse technology, may have gotten better since the days of Google Glass, but the awkwardness of someone having a computer on their face while they talk to you hasn’t gone away. Google Glass failed not because the technology was bad, but because it felt like a spycam. The same uneasiness will exist when Apple inevitably releases its own AR glasses. Also of note, Meta’s Ray-Ban Stories glasses didn’t exactly take off. And Snap once stored hundreds of thousands of unsold pairs of Spectacles in a warehouse. Magic Leap — which began its life developing augmented reality for a mass market — has pulled back and is now focusing on enterprise. The company was at Davos demoing a wildfire simulation in its second generation glasses this week. The simulation let you watch a 3D rendering of a fire, appearing on a table, as it swept through the woods near a town. Fire departments could use this technology to help monitor wildfires as they spread, and plan associated evacuations. Wearing the glasses in this scenario didn’t seem anywhere near as strange as in a social situation.  Still, companies like Meta and Apple are betting this technology will take off in the mass market, and Clegg dismissed the notion that Oculus should be limited to enterprise. “We think what we're good at,” he said, “is precisely based on finding new, and enriching, and inspiring, and enjoyable, ways for people to connect with each other.”  In time, Gartner’s Nguyen believes that successful enterprise use of metaverse tech will eventually lead to mass-market appeal. “You can potentially see enterprise usage vault ahead of consumer adoption,” he said. “But I think over time, as it becomes more broadly available, and more broadly applicable to consumers, then the equation will change.”

By |2022-05-31T21:20:53+00:00May 31st, 2022|Scoop.it|0 Comments

Crypto placements : Conseils pour naviguer dans la tempête

Désormais installé dans le paysage des placements financiers et faisant progressivement son trou dans l'univers de la gestion de patrimoine traditionnelle, le placement en crypto doit se gérer. « Il est difficile voire dangereux de rester inactif et de garder toujours les mêmes positions face à l'extrême variabilité des cours », reconnaît un expert. Ce placement se démocratisant, on voit fleurir ici et là de nombreuses offres commerciales « clé en main ». Elles permettent à ceux qui n'ont pas l'envie ni même le temps de s'occuper de ce placement versatile de confier la gestion à un professionnel. Depuis plusieurs mois, les propositions se multiplient. Par exemple, depuis février, Coinhouse, site spécialisé dans la transaction de cryptoactifs, propose un service de gestion pilotée accessible dès 15.000 stablecoins (USDC ou USDT) avec au choix trois niveaux de risque et des expositions fluctuantes en fonction de l'état du marché. L'option défensive, la « moins risquée », repose sur un panier constitué de trois monnaies que sont le Stablecoin US Tether (adossé au dollar), le bitcoin et Ethereum. Ce choix restreint est censé protéger de l'hyper volatilité des cours. DECRYPTAGE - Les bulles du bitcoin et du Nasdaq se télescopent Opinion | Les stable coins ou comment faire du nouveau avec de l'ancien ? L'option équilibrée ouvre davantage le spectre de l'investissement avec un panel de 15 cryptoactifs. Enfin, la configuration offensive, potentiellement la plus rentable mais hautement risquée, peut intégrer jusqu'à 43 cryptoactifs, tous accessibles sur la plateforme. La durée de souscription minimale de ce service est de quatre semaines. Les frais d'entrée et de sortie sont facturés 1,2 %, les frais de gestion s'élèvent à 2 %. Autre initiative récente, celle d'AlphaCap. Son offre de mandat de gestion porte sur un univers d'investissement limité à 50 cryptomonnaies et plusieurs profils de gestion habituels (défensif, équilibré, dynamique), plus un « green » (cible les actifs numériques les « moins » énergivores) et uniquement investi en bitcoins. Les frais d'entrée et de gestion sont respectivement facturés 2 % et 2,99 %, plus une commission de surperformance de 20 %. Attention : même en optant pour une gestion pilotée, il n'y a jamais aucune garantie de résultat et la perte en capital peut être partielle voire totale.

By |2022-05-25T07:41:26+00:00May 25th, 2022|Scoop.it|0 Comments

Consumer confidence plunges to lowest ever level

As inflation reaches a 40-year high, driven by soaring food and energy bills, consumer confidence plunges. By Lucy Tesseras 20 May 2022 Source: Shutterstock Consumer confidence has plummeted again, with more “bad news” expected as inflation rockets and UK unemployment hits a 50-year low. The latest GfK Consumer Confidence Barometer recorded a headline score of -40 in May, the worst since records began in 1974, and a 2% fall on last month. This means consumer confidence is lower now than during the “darkest days” of the global banking crisis. The lowest score previously was -39, which was recorded in July 2008. “We’ve just recorded the lowest level of consumer confidence ever, but the most depressing aspect is that there’s no sense the bad news will stop here,” Joe Staton, GfK’s client strategy director tells Marketing Week. “It will get worse because we are only just entering the UK’s cost of living crisis and the consumer mood won’t turn a corner until inflation has come under control and starts dropping. Unfortunately, we are in for the long haul.” Inflation hit 9% on Wednesday (18 May), the highest level in 40 years, fuelled by rising food and transport costs. All but one of the five measures that make up the GfK index score dropped in May. People’s view of the general economic situation over the past year fell 3% to -63 in May, down from -60 last month and -48 last year. Meanwhile, consumers’ expectations of the economic situation over the next 12 months dropped 1% to -56 in May. People’s view of their personal finances fell 3% to -22 in May, down from -19 in April and -4 in May 2021. The only score to see an increase was consumers’ outlook for their personal financial situation over the next year, which increased by 1% in May but still remains in negative territory at -25. This is vastly different from May 2021 when the figure stood at 10. Meanwhile, the major purchase index, which measures people’s propensity to buy big-ticket items, has dropped by 3% to -35. “Shoppers will be forced to change their spending priorities as incomes continue to fall in real terms according to the latest figures. The clear downward trend in our major purchase index underlines that. In July 2021, our major purchase measure was at 2 and since then November 2021 was the only month it improved, so now we are at -35,” adds Staton. “So the story for brands everywhere going forward is about adapting, being flexible, being creative. Selling the same product or service in the same way might not be the best solution. Instead, now is the time to reinforce your value and brand values in the minds of current and future consumers.”

By |2022-05-23T09:56:18+00:00May 23rd, 2022|Scoop.it|0 Comments

Les rebelles de HEC : 100 000 euros pour travailler chez Rothschild ? « Jamais de la vie ! »

L’offre d’embauche est tombée alors même qu’il lui restait encore une année et demie à étudier à HEC. Un CDI doté d’une rémunération annuelle à peine croyable : 100 000 euros. Mais Arthur Coelho, originaire de Strasbourg, a préféré décliner. Ce jeune homme de 24 ans ne voulait pas rejoindre la banque d’affaires Rothschild. Pas envie de ce job « d’analyste ». « C’était flatteur, mais jamais de la vie ! J’aspirais plus à un métier où, a minima, je ne contribuerais pas à abîmer la planète. » Comme beaucoup d’étudiants en école de commerce, Arthur Coelho a choisi ses études un peu par hasard. « Longtemps, j’ai été très indécis. J’ai eu mon bac à 16 ans, et après j’ai hésité entre devenir pianiste, ingénieur ou épicier. Je voulais surtout me sentir utile. » La difficulté à trancher, alliée à d’excellents résultats scolaires, l’ont amené en classe préparatoire aux grandes écoles, puis à HEC, la plus prestigieuse des écoles de commerce françaises. « J’étais fier d’y entrer, d’autant que j’étais intéressé par la finance et qu’ils ont le meilleur master. » Sauf que ses stages dans des banques engendrent une désillusion. « Il y avait une ambiance toxique, avec peu de place pour les femmes, une logique de “présentéisme”, des horaires délirants – on restait souvent de 9 heures à 1 heure du matin –, et surtout un manque de sens total : la rentabilité des investissements comptait plus que le reste, sans souci éthique. Ça ne correspondait pas du tout à mes valeurs. » A sa sortie de HEC, Arthu

By |2022-05-23T09:11:37+00:00May 23rd, 2022|Scoop.it|0 Comments

La « Grande Démission », ce tsunami qui frappe les Etats-Unis

Plus de 38 millions d’Américains ont quitté leur emploi en 2021. Un mouvement massif, qui touche tous les âges, tous les métiers. Et qui renverse le rapport de force entre salariés et entreprises. Par Philippe Boulet-Gercourt (correspondant à New York) · Publié le 21 mai 2022 à 17h00 Temps de lecture 8 min A Lancaster, petite ville de Pennsylvanie, Marcus Grimm se marre en évoquant l’époque, récente, où il devait arriver au boulot à 7h30 pour une raison et une seule : son titre de vice-président. A New York, Michelle Albert-Rickert a fait quelque chose que cette consultante n’aurait jamais imaginé oser : elle a tout débranché pendant des mois pour s’occuper de sa famille, avant de reprendre, mais à son rythme et à ses conditions. A Sandy Springs, près d’Atlanta, Mike Petchenik a troqué son job stressant de reporter télé pour un emploi à plein temps auprès d’une start-up installée à plus de 1 000 kilomètres de là, à Chicago ; il n’y a jamais mis les pieds, même pour son embauche. A Magnolia, au nord de Houston, Kimberly Fiddle a quitté son boulot, créé sa boîte presque par accident, en a fait un business prospère et vient de refuser de la vendre : elle veut pouvoir continuer à embaucher des personnes étiquetées « inemployables », et elle a recruté une assistante, « parce qu’il n’est pas question que je me remette à bosser soixante heures par semaine ».

By |2022-05-23T09:09:51+00:00May 23rd, 2022|Scoop.it|0 Comments

Web3 platform Arianee raises €20 million

Arianee, the Paris-based Web3 platform for luxury and fashion, has raised €20 million in Series A funding with plans to expand internationally and beef up its New York office. The round, announced today, was led by US investment firm Tiger Global, following an €8 million round in March last year. Since then staff have tripled. Arianee's existing investors (BPI, ISAI, Cygni Capital and Noia Capital) also participated in this second round, with Commerce Venture and Motier Ventures. The round is a mix investment of equity in Arianee’s software solution and Aria20, the Arianee platform’s native cryptocurrency. In addition to global expansion and more hires, the funds will be used to continue developing Arianee’s products and services. READ MORE The blockchain playbook: From LVMH’s Aura to Arianee BY MAGHAN MCDOWELL “Web3 is eating the world and we believe brands can leverage this revolution to regain control of their digital presence,” a statement from Pierre-Nicolas Hurstel, CEO and co-founder of Arianee, reads. “We also want to build for each and every user and not just for a minority. This requires robust and seamless tools and interfaces allowing communities to move from one world to another, from physical to digital to immersive.” Founded in 2018, Arianee has been one of the key Paris-based startups helping shape the conversation around NFTs in luxury and fashion with its early embrace of Web3. It combines Arianee Project, an association that manages the open source part of the technology, and Arianee SAS, a software-as-a-service firm based on blockchain technology. Paris Fashion Week, as well as brands including Printemps, Breitling, Vacheron Constantin, Panerai and IWC, have used the platform to mint NFTs, distribute them to their communities and leverage them with for example personalisation. “We began as a service to help luxury brands create a digital passport for their goods. We then widened our offer to all kinds of tokenisation including purely digital assets, membership tokens and experience NFTs, allowing brands to leverage them for CRM, loyalty and personality,” Hurstel tells Vogue Business. Tech startups that mint NFTs have mushroomed since 2018. Arianee intends to keep the first mover advantage by offering an end-to-end solution. The Aura Blockchain Consortium, whose founding members are LVMH, OTB, Prada and Richemont, focuses on the “upstream”, including tracking and tracing materials in the supply chain, while Arianee is more about downstream use cases such as customer relationship management. Arianee, whose headquarters are in Paris accelerator hub La Caserne, is part of the growing Web3 ecosystem in the French capital, including startups Powder and Lynx. "As a Web3 pioneer, Arianee has developed innovative solutions that are reinventing customer relationship management,” Tiger Global partner Griffin Schroeder says. “We are excited to support Arianee's development and believe they are well positioned to become a leading global Web3 solution for brands.” Tiger Global's investments have included Vestiaire Collective, Airbnb, Meta and Linkedin.

By |2022-05-17T15:11:02+00:00May 17th, 2022|Scoop.it|0 Comments

La tempête des cryptos en cinq questions

5/Y a-t-il un risque de contagion pour les marchés financiers ?  C'est la question qui inquiète Wall Street et les régulateurs mondiaux. Les liens entre la finance traditionnelle et les cryptomonnaies se sont renforcés ces dernières années. Les grandes banques et gérants d'actifs ont multiplié les initiatives pour capter une part des capitaux qui circulent dans le secteur. Mais pour l'instant leur exposition reste limitée. Wall Street est directement concerné via la chute des valeurs cryptos. En six mois, l'indice qui rassemble les 25 principales sociétés cotées du secteur - dont Coinbase ou Robinhood par exemple - a vu 200 milliards de dollars de valorisation partir en fumée. Mais le principal risque reste celui d'une crise de confiance qui contaminerait les autres sphères de la finance mondiale. Parmi les jeunes boursicoteurs, ils sont nombreux à avoir un pied dans les marchés traditionnels et un pied dans les cryptos. A force d'accumuler les pertes sur les actifs numériques, ils pourraient être tentés de vendre leurs actions pour récupérer du cash. La baisse entraînant des appels de marge plus importants, l'incendie peut s'étendre. Le risque est réel : la corrélation entre les mouvements du Nasdaq, l'indice de Wall Street à forte coloration technologique, et ceux du bitcoin s'est largement renforcée depuis le début de l'année. Déjà, certains analystes redoutent, si le Tether était de nouveau mis à l'épreuve - c'est-à-dire si les traders recommencent à vendre - de voir le mouvement gagner les marchés monétaires.

By |2022-05-17T15:08:23+00:00May 17th, 2022|Scoop.it|0 Comments