Monthly Archives: August 2022

Scandale de Cambridge Analytica : Facebook a conclu un accord de principe

En 2018, des utilisateurs de Facebook ont accusé le réseau social d’avoir enfreint les règles de protection de la vie privée en partageant leurs données à des tierces parties, dont la firme Cambridge Analytica Facebook a conclu un accord préliminaire dans un procès de longue date réclamant des dommages et intérêts au réseau social pour avoir laissé des tiers, dont la société Cambridge Analytica, avoir accès aux données privées des utilisateurs. Facebook indique soumettre le projet d’un « accord de principe » et a demandé la suspension des procédures pour 60 jours « afin de finaliser l’accord par écrit et de le présenter au tribunal ». Recevez la newsletter Économie Inscrivez vous à la newsletter Économie pour ne plus manquer une seule information importante. S'INSCRIRE Le réseau social n’indique pas de montant ni les termes de cet accord dans ce procès en nom collectif. L’accord intervient alors que le PDG de Meta, Mark Zuckerberg et sa directrice générale Sheryl Sandberg devaient témoigner devant la justice en septembre, dans le cadre de ce scandale. SUR LE MÊME SUJET Cambridge Analytica a-t-il accédé à vos données sur Facebook ? Un outil permet de savoir Mis en ligne par Facebook, un outil permet à toute personne disposant d'un compte de savoir si ses données personnelles ont été utilisées. Données de 87 millions d’utilisateurs Dans une procédure initiée en 2018, des utilisateurs de Facebook accusaient le réseau social d’avoir enfreint les règles de protection de la vie privée en partageant leurs données à des tierces parties dont la firme Cambridge Analytica, liée à la campagne présidentielle de Donald Trump en 2016. Cambridge Analytica, qui a fermé depuis, avait collecté et exploité, sans leur consentement, les données personnelles de 87 millions d’utilisateurs de Facebook, auxquelles la plateforme lui avait donné accès. SUR LE MÊME SUJET Affaire Cambridge Analytica : Mark Zuckerberg poursuivi par le procureur de Washington Mark Zuckerberg est poursuivi par le procureur de Washington pour tromperie et violation d’une loi de protection des consommateurs dans l’affaire Cambridge Analytica Ces informations auraient été utilisées pour élaborer un logiciel utilisé pour orienter le vote des électeurs américains en faveur de Donald Trump. En juillet 2019, les autorités fédérales ont imposé à Facebook une amende de 5 milliards de dollars pour avoir « trompé » ses utilisateurs et lui ont imposé un contrôle indépendant de sa gestion des données personnelles. A LIRE AUSSI Bordeaux : une femme chute du premier étage d’un hôtel Lot-et-Garonne : L’entreprise Reyssac bois menacée par une décision de la Ville de Boé LES SUJETS ASSOCIÉS Justice Réseaux sociaux Etats-Unis Economie International Home Depuis l’éclatement du scandale Cambridge Analytica, Facebook a supprimé l’accès à ses données à des milliers d’applications, soupçonnées d’en abuser, restreint la quantité d’informations accessibles aux développeurs en général et facilité, pour les utilisateurs, le calibrage des restrictions en matière de partage des données personnelles.

By |2022-08-31T21:47:23+00:00August 31st, 2022|Scoop.it|0 Comments

Des récessions en série

Le monde court-il à la récession ? La question est devenue lancinante ces dernières semaines. Dans leurs prévisions publiées fin juillet, les experts du FMI expliquent qu'une chute de l'activité n'est pas leur scénario central (malgré le recul enregistré au printemps) avant d'affirmer que « le risque de récession est particulièrement proéminent en 2023 ». L'agence de notation Fitch évoque des « probabilités croissantes de récession ». Tout dépend de ce que l'on appelle récession. Il fut un temps où les prévisionnistes parlaient de récession mondiale quand la croissance annuelle du PIB descendait au-dessous de 3 %. Avec cette définition trop large, une récession mondiale paraît désormais inévitable dès cette année, l'an prochain au plus tard. Ces derniers mois, la plupart de prévisionnistes ont abaissé leurs chiffres 2022 et 2023 en deçà de cette barre. Vents différents Il en va autrement avec la définition la plus courante de la récession : baisse de la production sur une année. Contrairement à ce qui s'est passé en 2009 suite à la crise financière « made in USA » puis en 2020 pour cause de virus venu de Chine, l'activité mondiale devrait tout de même progresser. Davantage que la population. Mais à un rythme bien moindre que lors des deux dernières décennies, où la moyenne fut proche de 4 % l'an.

By |2022-08-31T21:13:21+00:00August 31st, 2022|Scoop.it|0 Comments

Air France CDG-GVA: deux pilotes suspendus après une bagarre dans le cockpit en plein vol –

Un co-pilote et un pilote qui en viennent aux mains peu après le décollage de leur Airbus A320. L’épisode, dévoilé le 27 août par la Tribune, remonte au mois de juin dernier et concerne deux employés d’Air France, suspendus depuis par la compagnie aérienne, qui en a fait l’annonce ce dimanche. Les deux pilotes ont commencé par s’attraper par le col après que l’un a bousculé accidentellement l’autre, selon la Tribune, confirmé par l’agence américaine Associated Press. Le ton est monté, puis les pilotes ont échangé des coups, avant que l’équipage en cabine n’intervienne pour séparer les deux pilotes. Le différend n’a pas affecté le reste du vol, qui s’est poursuivi sans encombres. Par précaution, un membre d’équipage a passé le vol dans le cockpit avec les pilotes incriminés, selon le rapport. Incidents récurrents Cet épisode apparaît peu de temps après que le gendarme français de l’aviation, le Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile (BEA), a publié le 23 août dernier un rapport sévère dans lequel il souligne la récurrence d’incidents lors desquels les règles de sécurité ont été ignorées par des équipages d’Air France. Ce rapport du BEA s’inquiète d’«une certaine culture installée chez certains équipages d’Air France qui favorise une propension à sous-estimer l’apport d’une application stricte des procédures pour la sécurité» et appelle la compagnie aérienne française à «remettre le respect des procédures au centre de la culture de sécurité de l’entreprise».

By |2022-08-31T20:54:09+00:00August 31st, 2022|Scoop.it|0 Comments

PGE, 100 millions de touristes, APST… Olivia Grégoire fait le point

Fin août oblige, Olivier Grégoire a commencé par partager les grandes tendances d’une saison 2022 qui s’annonce aussi bonne que 2019, malgré plusieurs vents contraires, entre incendies et inflation. 2022 se présente comme « une année exceptionnelle après 2,5 années plus que ternes », a souligné la ministre déléguée chargée des PME, du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme. « Le tourisme a battu tous les records », a confirmé François de Canson, président d’ADN Tourisme. 7 Français sur 10 partis en vacances « 35 millions de Français sont partis en vacances cette année, soit 7 sur 10, contre 6 sur 10 l’an passé. » Par ailleurs, les clientèles européennes mais aussi américaines sont revenues en force. Ce qui se traduit par de belles performances. A titre d’exemple, l’hôtellerie-restauration a retrouvé les niveaux de fréquentation équivalents à ceux de 2019 (avec +22% de RevPar versus l’été 2019), notamment en Ile-de-France et dans la région PACA. Autre signe de satisfaction : les dépenses par carte bleues augmentent de 10% par rapport à 2019 sur ce segment. En outre, les signaux pour l’arrière-saison sont « très encourageants ». Olivia Grégoire a aussi évoqué le « patriotisme touristique des Français ». Soulignant au passage que le secteur est une « locomotive essentielle de notre économie », avec « des acteurs performants » à la manœuvre. PGE : des possibilités ponctuelles de rééchelonnement « C’est bien la raison pour laquelle l’Etat a soutenu légitimement et massivement ce secteur lors de la crise sanitaire. » Entre le fonds de solidarité, les Prêts garantis par l’Etat (PGE), l’activité partielle, l’Etat a mis 38 milliards d’euros sur la table. « Les acteurs ont su s’en emparer pour démultiplier ces aides et les mettre au service de leur développement. » Sur l’ensemble du secteur du tourisme, près de 120 000 entreprises françaises ont bénéficié de PGE, pour un montant global supérieur à 12 milliards d’euros. Les premiers remboursements ont démarré en avril 2022. Au 30 juin, 10% des PGE du secteur étaient remboursés en intégralité. « Les entreprises ont jusqu’en 2026 pour rembourser ces prêts. Je rappelle aussi que la durée de la garantie de l’Etat a été étendue au-delà de six ans, pour faciliter l’allongement du remboursement dans le cadre de restructurations amiables et judiciaires validées par le médiateur du crédit. » Autrement dit, les PGE peuvent toujours faire l’objet de discussions et de rééchelonnements, dans des cas spécifiques. Il faut le cas échéant se rapprocher de la médiation du crédit (rattaché à la Banque de France). APST : pas de feu vert de Bruxelles S’agissant de l’APST et des garants financiers des opérateurs du tourisme, le système de réassurance publique par la Caisse centrale de réassurance, prévu jusqu’au 31 décembre 2023, a été adopté par décret le 30 décembre 2021. Mais il n’est pas en application. Problème, la Commission européenne n’a toujours pas donné son feu vert… De fait, la situation n’a pas évolué pendant l’été, au grand dam des agences de voyages et des voyagistes : « Nous n’avons pas encore le feu vert de Bruxelles », précise Olivia Grégoire. « Si une grande faillite survenait, l’APST ferait à son tour faillite », avait prévenu Alix Philipon, avant de céder les rênes à Mumtaz Teker. Rester la première destination mondiale Quelles sont les premières tendances sur l’ensemble de l’année 2022 ? La France devrait enregistrer 65 à 70 millions de visiteurs étrangers, ce qui nous positionnerait toujours la France en tête devant l’Espagne en 2e place en termes d’arrivées. « Ensemble, nous avons bien l’intention de rester la première destination mondiale », a complété la ministre déléguée au tourisme.  L’objectif des 100 millions de visiteurs internationaux, contre 90 millions en 2019, est-il toujours d’actualité ? Olivia Grégoire ne l’exclut pas, mais rappelle l’importance de la qualité du tourisme (et des emplois), au-delà du but purement quantitatif.  

By |2022-08-31T17:59:21+00:00August 31st, 2022|Scoop.it|0 Comments

L’abonnement Netflix avec publicité coûtera moitié moins cher

Quatre minutes de publicité par heure. C'est, selon Bloomberg, la limite que s'est fixée Netflix dans la mise en place de son service d'abonnement financé en partie par les annonces publicitaires. Les futurs convertis devraient débourser entre 7 et 9 dollars par mois. Moitié moins, donc, que l'abonnement standard actuel qui coûte un peu plus de 15 dollars. Le service devrait être mis en place dans les trois derniers mois de l'année sur au moins six gros marchés mondiaux. Avec cette offre, la compagnie espère ne pas perdre d'abonnés plein tarif et au contraire attirer de nouveaux clients soucieux du prix standard trop élevé. Cette offre d'abonnement en partie financée par la publicité (AVoD) pourrait aussi offrir aux personnes prêtes à résilier leur abonnement une alternative moins chère. Netflix souhaite ainsi repartir de l'avant après avoir perdu près de 1 million d'abonnés au deuxième trimestre. En avril dernier, le groupe annonçait d'ailleurs le premier recul de cet indicateur de son histoire. Ne pas tomber dans le modèle traditionnel américain Selon une étude du cabinet spécialisé Ampere Analysis, cette nouvelle catégorie de clients pourrait permettre à Netflix de générer 8,5 milliards de dollars par an dans le monde d'ici à 2027, tant grâce aux frais d'abonnement qu'aux ventes d'espaces publicitaires. De bon augure pour celui qui a bouleversé la consommation de la télévision mais a été récemment dépassé en nombre d'abonnés par son grand rival Disney+, lequel se met aussi à inclure de l'AVoD afin d'être plus concurrentiel en matière de prix. Pour autant, Netflix reste conscient de ce qui fait sa force. Il s'est toujours vendu comme une alternative conviviale à la télévision où séries et films sont proposés à la demande et sans publicité. Les récentes pertes ont contraint la direction à changer de stratégie. Mais avec cette limite de quatre minutes, le pionnier des services de streaming espère trouver le juste équilibre. Aux Etats-Unis, on peut compter jusqu'à dix à vingt minutes de publicité par heure sur certains programmes. Bien loin de la moyenne de neuf minutes imposée au sein de la télévision française.

By |2022-08-31T17:57:08+00:00August 31st, 2022|Scoop.it|0 Comments

Art Can Die : Quand les cryptomonnaies transforment l’économie du marché de l’art

« Jusqu’à présent, le numérique et l’art ne se sont pas beaucoup rapprochés… Il a fallu attendre l’arrivée des NFT pour créer un marché de l’art numérique et lui donner une liquidité (…). En somme, nous reprenons les codes du monde de l’art traditionnel : une expérience des œuvres uniques, mais en ajoutant le lien avec l’artiste. On considère que c’est l’embryon des œuvres d’art de demain. On parle beaucoup du métavers actuellement, mais le vrai métavers, demain, ce seront les objets qui auront des liens avec le monde digital. Je crois bien davantage en ces ponts entre mondes physique et virtuel ». Voilà comment Federico Benincasa, fondateur et CEO de Wall Burners décrivait hier dans nos colonnes l’influence des NFT et de la blockchain sur le marché de l’art actuel. A l’entendre, les œuvres et leurs artistes n’ont jamais été aussi accessibles qu’aujourd’hui. S’il est encore un peu tôt pour le dire – certaines voix, toujours dans nos colonnes, osant même affirmer que le web3 a déjà été rattrapé par la logique de rentabilité et donc que dans le domaine artistique la qualité n’est pas ce qui importe le plus aux collectionneurs –, force est de constater que les expérimentations artistiques « phy-gital » se multiplient à travers le globe. Pour le pire, parfois, mais aujourd’hui pour le meilleur.   Bangkok, où le théâtre des rêves numériques Art Can Die, une DAO – pour Decentralized Autonomous Organization – qui connecte des artistes, des collectionneurs et des passionnés en produisant des projets artistiques grâce aux technologies de la blockchain, vient d’annoncer le lancement d’une exposition d’un genre nouveau. Fidèle à son motto de bâtir un écosystème décentralisé permettant à tout un chacun de participer activement au financement d’un projet artistique via la Blockchain, la maison de production d’art 3.0 dévoile sa première exposition à l’échelle internationale… et aux invités prestigieux. Son président et co-fondateur, l’avocat international Jean-Marc Goossens nous en dit plus : « Art Can Die organise sa première exposition d’art, The New Ark Exhibition, à partir du 1er septembre prochain à Bangkok. Nous exposerons durant 6 semaines les œuvres de 13 artistes internationaux sur 600 m² à River City qui est l’un des centres artistiques les plus connus d’Asie. C’est la première fois qu’une exposition artistique de cette ampleur est financée exclusivement par la vente d’un token et nous avons reçu les patronages officiels des ambassades de France et de Belgique à Bangkok, ainsi que celui du Ministère de la Culture de Thaïlande. L’ambassadrice de Belgique va inaugurer l’exposition le 1er septembre et nous venons de recevoir la confirmation de la présence de l’attaché culturel de France et de celle du Ministre de la Culture de Thaïlande ».

By |2022-08-31T17:48:12+00:00August 31st, 2022|Scoop.it|0 Comments

Les start-up qui poussent à plus de sobriété, nouvelle tendance de la Tech

La quatrième édition des Universités d'été de l'économie de demain (UEED) s'est ouverte mardi sur la thématique de la sobriété. Au programme de cette journée : une sélection dévoilée en la présence de Jean-Noël Barrot, le nouveau ministre délégué du Numérique, de 10 start-up capables d'être les « licornes sobres de demain », selon Mouvement impact France, une organisation patronale. Un écho à l'objectif des 25 licornes « vertes » fixé par Emmanuel Macron d'ici à 2030, lors de son intervention à VivaTech en juin dernier. « Toutes les licornes devront être sobres par nécessité. L'été passé nous le rappelle, la situation internationale aussi. Elles devront l'être pour attirer les collaborateurs, pour conserver la confiance de ses clients, de ses investisseurs, qui vont bien réaliser que c'est une question de soutenabilité financière », a déclaré le ministre. Finance, santé, mobilité, circuit court… Elles ont été choisies selon des critères de parité chez les fondateurs, de sobriété interne (économie des ressources, équité…), externes (modèle vertueux) et managériaux (échelle de salaire, partage de la valeur…) Sur ce dernier levier, le spécialiste de la fontaine à eau micro-filtrée Castalie a, par exemple, créé un comité de l'économie sociale et solidaire composé de salariés et d'experts de l'impact pour accompagner la stratégie des dirigeants et s'assurer du respect de la dimension sociale et solidaire de la start-up. Penser d'autres modèles En mai dernier, le Boston Consulting Group dénombrait entre 10.000 et 15.000 « entreprises à impact » en France tout en relevant que seules 19 % des start-up parvenaient à lever des fonds, contre 46 % pour les start-up dites « classiques ». Même si les fonds classiques saupoudrent de plus en plus leurs investissements d'impact, certaines pépites et surtout certains modèles alternatifs peinent à trouver preneurs. « Tout l'enjeu est aussi de faire comprendre aux institutionnels et aux grands fonds le besoin de financer ces modèles de manière plus forte et accélérée, pour ne plus être des alternatives mais des modèles, à terme, dominants », argue Marion Graeffly, à la tête de TeleCoop, une coopérative née en 2020 qui propose un abonnement mobile responsable.

By |2022-08-31T17:47:31+00:00August 31st, 2022|Scoop.it|0 Comments

Usbek & Rica – Il y a une chance sur six qu’une éruption volcanique massive bouleverse le monde au cours de ce siècle

1 chance sur 6 Voilà la probabilité qu’une éruption volcanique de magnitude 7 se produise au cours de ce siècle. Un tel évènement engendrerait un changement climatique brutal et l’anéantissement de la civilisation humaine, car ses impacts se répercuteraient en cascade sur les transports, l’alimentation, l’eau, le commerce, l’énergie, la finance ou encore la communication. C’est en tout cas le scénario que craignent des chercheurs de l’Université de Cambridge et de celle de Birmingham qui ont publié, le 17 août dernier dans la revue scientifique Nature, une étude réévaluant à la hausse le taux de récurrence des grandes éruptions. Après avoir examiné des carottes de glace provenant des deux pôles et identifié près de 2000 signes d’éruptions datant de 9 000 à 60 000 ans dans la glace du Groenland et de l’Antarctique, les scientifiques ont établi que les événements de magnitude 7 se produisent environ une fois tous les 625 ans, et ceux de magnitude 8 – également appelés « super-éruptions » – tous les 14 300 ans. « Cette fréquence est plus élevée que celle suggérée par des évaluations antérieures […] qui ont révélé des intervalles de récurrence de 1 200 ans pour la magnitude 7 et de 17 000 ans pour la magnitude 8 », rapportent les chercheurs, qui se disent inquiets de voir à quel point « le monde est terriblement mal préparé à un tel événement ».

By |2022-08-31T17:47:02+00:00August 31st, 2022|Scoop.it|0 Comments

John Lewis the landlord? Welcome to brand extension nirvana

And here, again, John Lewis is in a very strong position. It’s a superb brand blessed with giant awareness and strong associations of being never knowingly undersold, while offering unwavering, first class quality. The bullseye in other words. Simply writing ‘A John Lewis Home’ at the bottom of a new rental property propels it to a higher level of demand and price insensitivity. That is partly because the presence of the John Lewis brand is so valuable. But it is also a function of a third advantageous factor that makes this new move so attractive: the competition is shithouse. Just because you can enter a category, and just because your brand adds some value to it, does not mean you should actually extend into that area. Ask Virgin how successful their Cola was back in the 90s. I would argue any brand dumb enough to enter a category dominated by Pepsi, Coke and private label deserves to have its ass handed back to it, with a straw. The lesson here is you should pick your fights. Look for categories that you can not only enter, but, once there, dominate thanks to weaker, smaller incumbents. John Lewis brings salience, value and quality to its rental proposition. But it also brings those advantages to a category replete with anonymous operators that have close to zero brand equity to counter them. Name me a famous, trusted property rental company? Me neither.

By |2022-08-31T17:17:43+00:00August 31st, 2022|Scoop.it|0 Comments

Hôtellerie : quelles sont les attentes des clients en matière de technologie ?

Cette étude*, réalisée avec le média Skift, révèle que les voyageurs français interrogés sont adeptes de l’expérience numérique et notamment du mobile. 65 % d’entre eux souhaitent utiliser leur appareil mobile pour gérer leur expérience hôtelière, notamment leur enregistrement et sortie, le paiement, leur commande de nourriture, etc. Ils sont également favorables à un séjour « à la carte » qui ferait varier le prix en fonction des équipements utilisés. D’ailleurs, 68 % des directeurs français d’établissements hôteliers voient ce modèle « à la carte » comme l’avenir de la gestion des revenus hôteliers. 67% des Français interrogés sont d’accord pour que leurs données et l’IA soient utilisés si cela permet de mieux personnaliser les services et les offres proposés (recommandations de plats, tarifs de chambre plus avantageux). Plus de technologie et moins de contacts humains La majorité des Français interrogés souhaitent plus d’autonomie lorsqu’il réside dans un hôtel. 60 % estiment qu’ils sont plus susceptibles de séjourner dans un hôtel qui propose une technologie en libre-service limitant les contacts avec le personnel et les autres clients. Un plus petit nombre (36 %) souhaite même un modèle en libre-service complet, avec un personnel disponible uniquement à la demande. En revanche, 27 % des Français interrogés seulement déclarent vouloir une expérience sans contact complète pour toutes les transactions hôtelières de base (check-in/check-out, nourriture et boissons, clés de chambre, etc.). Le même confort qu’à la maison D’une manière générale, les clients des hôtels souhaitent avoir le même confort dans leur chambre d’hôtel qu’à la maison. 32 % des personnes interrogées souhaitent pouvoir commander un service de chambre depuis leur téléphone ou un chatbot et 43 % recherchent également le paiement sans contact. 40 % ont déclaré que l’accès au divertissement à la demande, avec une connexion facile à leurs comptes personnels de streaming ou de jeux, était un-pré-requis pour leur séjour. 39 % souhaitent des commandes vocales pour toutes les commodités de leur chambre (lumière, rideaux, clés, etc.) et 23 % souhaitent des outils de contrôle en chambre qui ajustent automatiquement la température, l’éclairage et même l’art numérique en fonction de leurs préférences qu’ils ont pré-renseignées. Interrogés sur le métavers et la réalité virtuelle, les Français interrogés ont infirmé leur intérêt avant le séjour. 6% seulement sont intéressés par leur utilisation pour découvrir un hôtel virtuellement avant de réserver. En revanche, ils sont 83% à être intéressés par des visites, des expositions d’art ou des cours de fitness en réalité virtuelle au sein des hôtels. Le « sans contact » convainc les hôteliers Selon Oracle, la technologie peut permettre de réduire la pression sur les clients et le personnel dans un contexte de pénurie de main d’œuvre dans le secteur. 65 % des hôteliers, en France comme à l’international, ont déclaré que l’intégration de nouvelles technologies pour le personnel correspondait mieux à leur stratégie visant à réduire les pénuries de main-d’œuvre et à attirer de nouveaux talents. La technologie « sans contact » est considérée comme intéressante et 48% d’entre eux estiment qu’une « expérience sans contact complète » est susceptible d’être la technologie la plus largement adoptée dans le secteur au cours des 3 prochaines années. Pour 42% des hôteliers français, la priorité absolue est d’adopter des technologies qui améliorent ou éliminent le besoin d’interaction avec la réception d’ici 2025. « La pandémie a établi le rôle de la technologie dans le parcours des clients et des associés, et le secteur ne reviendra jamais en arrière », affirme Alex Alt, Vice-Président senior et Directeur général, Oracle Hospitality. * nommée « L’hôtellerie en 2025 : automatisée, intelligente… et plus personnalisée » a été menée auprès de 5 266 consommateurs et 633 cadres du secteur hôtelier dans le monde entier, parmi lesquels 530 voyageurs et 47 cadres français, au printemps 2022.

By |2022-08-31T17:12:05+00:00August 31st, 2022|Scoop.it|0 Comments